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Municipal genevois: la féministe Vera Figurek se venge des hommes!

Paru dans la Tribune de mercredi, cet article sur l’hégémonie féminine au bureau du Conseil municipal genevois. Il est même précisé qu’un tonnerre d’applaudissements a salué cette annonce.

Féminisme1.jpgBien, bien, formidable. Je n’ai personnellement aucune préférence pour des hommes ou des femmes en politique. Qu’il y ait plus des uns ou plus des autres m’est égal, pourvu que les élu-e-s produisent un bon travail.

Mais cette annonce me gratte un peu quelque part. A cause des commentaires de ces élues faites au journaliste Jérôme Faas.

De Véra Figurek: «Peut-être est-on sur le bon chemin dans l’optique de l’égalité hommes-femme (…).Si l’on veut atteindre la parité, il faudra des mesures drastiques». Ah bon? Une hégémonie - qu’elle soit féminine ou masculine - est la parité? Fichtre, le vocabulaire change dans le féminisme. L’égalité et la parité sont devenues le fait que les femmes soient plus nombreuses que les hommes, et que peut-être il n’y ait plus d’hommes…

A noter que cette dame, présidente du bureau, n’a aucun complexe pour faire du sexisme anti-hommes: elle juge que les femmes savent mieux travailler collectivement que les hommes. Peut-elle produire des études sur ce sujet? Quelle est cette disqualification de genre des hommes, cette généralisation téméraire? Mentalité de dominante, de colonisatrice culturelle. Détestable manière très machiste de montrer aux hommes qu'elles sont meilleures qu'eux. Un homme tiendrait ce genre de propos envers les femmes, il se ferait huer. Ici, elle se fait applaudir.

Mais on comprend plus loin que ce n’est ni l’égalité, ni la parité qui intéressent Madame Figurek: c’est la vengeance sur les hommes. «C’est une bonne vengeance pour nous.»

Voilà donc ce féminisme-là: il rêve de vengeance sur les hommes, il les exclut par revanche. Gna gna gna…

C’est ce que je dis depuis longtemps: ce féminisme revanchard, ce féminisme de cour de récréation, n’est pas soucieux de véritable équité, et par ce fait il biaise la notion même d’égalité. Ce qu’il veut, c’est se venger.

Un peu curieux que cela ait reçu un tonnerre d’applaudissements. Les hommes sont-ils devenus suicidaires ou masochistes?

7-1LybieJoke.jpg

Catégories : société 57 commentaires

Commentaires

  • 4 000 ans de domination masculine sont passés à la trappe dans votre discours. 4 000 ans de guerres, d'affrontements, de compétition et de discrimination qui n'ont pour unique base que la recherche de la domination. Exiger la parité aujourd'hui quand on attendu 1971 pour avoir le droit de vote mais surtout pour l'octroyer et venir pleurnicher pour un malheureux bureau du conseil municipal d'une ville 188 000 habitants ça pourrait faire rire... Calmez vous votre hégémonie n'est pas mise en péril par les déclarations de Vera figurek mais par votre obstination à ne pas entendre que hommes/femmes sont les revers de la même médaille et que s'il n'est pas possible de vivre sans les hommes... sans les femmes non plus ! Qu'elles revendiquent haut et fort leur droit à participer des décisions ne doit vous faire peur... enfin pas encore !

  • Bonjour Hommelibre,

    Voilà donc une femme qui déclare tout haut agir comme les hommes, qui eux agissent ainsi depuis bien des siècles...

    Je rappelle, des fois que celà vous ait échappé, que cette femme a été élue.

    Salutations

  • @Rita
    "4 000 ans de domination masculine sont passés à la trappe dans votre discours."
    Domination de quoi et par qui? Tout juste que vous n'utilisez pas le mot oppression.
    Je vous défie de me trouver le défaut de vouloir dominer les (ou même une seule) femmes. Mais dans vos propos je sens bien VOTRE ENVIE de vouloir dominer les hommes.

    "4 000 ans de guerres, d'affrontements, de compétition et de discrimination qui n'ont pour unique base que la recherche de la domination."
    La recherche de la domination des hommes sur les femmes? Dites-moi, où avez vous trouvé cette information fracassante? La 1ère et la 2ème guerre mondiale, des guerres pour dominer les femmes? La guerre contre l'Irak - une guerre contre les femmes?

    "Exiger la parité aujourd'hui quand on attendu 1971 pour avoir le droit de vote"
    Je présume que vous n'étiez même pas née avant 1971, vous ne comprenez donc pas la structure sociale et familiale de l'époque. Alors ne vous faites pas l'avocate pour une génération passée, les femmes de l'époque avait tout autant de droits qu'aujourd'hui, le droit de vote était leur dernier souci. Ma mère ne voulait jamais voter, elle ne s'intéressait pas à la politique. S'interesser à la politique semble être un condition sine qua non pour être reconnu comme VRAIE femme aujourd'hui. N'y avait il pas une vie avant la politique?

    "La vengeance", ce terme dit tout sur l'esprit qui règne.

  • Applaudir ??? qui ? quoi ?
    Avant d'applaudir, il faut voir les résultats de l'engagement de ces personnes!
    Féministes...Machos.... les unes ne valent pas mieux que les autres ! (Tous à la poubelle !!!!)
    Ce que le peuple attend des dirigeants ce sont des personnes qui s'engagent à fond pour le seul "bien-être" du peuple, tous sexes confondus; des personnes qui ne font pas de la politique "politicienne".
    On ne fait pas de politique "pour se venger", mais pour apporter "un plus" en s'investissant sans aucun préjugé. Les personnes qui s'engagent à de telles tâches doivent être là pour offrir "le meilleur d'eux-même" pour l'ensemble de la population.
    On a trop tendance à oublier que dans notre démocratie "directe", LE PEUPLE EST SOUVERAIN ! Donc, si des "féministes déjantées" ou des "machos imbéciles" dérangent, ils se feront inévitablement éjecter (tôt ou tard)! Il faut arrêter de prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages !............
    A bon entendeur aux extrêmistes !
    Mes amitiés !
    Coucou

  • sans blague....

  • ...et oui Luzia !
    si j'ai écrit cela, c'est que trop souvent à notre époque c'est du "fait ce que je dis, pas ce que je fais !!!"
    Je pense que toutes et tous les politiciens, suite à leur élection, devraient signer un code de déontologie !................................ (mais je pense que je rêve !?)...........................
    ;o)
    Salutations
    Coucou

  • il aura fallu peu de chose pour que ces femmes-là nous prouvent qu'elles n'ont de la politique que la vision que celle des despotes!

    Mais comme elles appartiennent à la même famille politique que ceux qui prétendent défendre le puple mais qui, en finalité, l'oppriment, il n'y a rien d'étonnant à cela.

    En réalité se sont de pauvres personnes qui utilisent l'estrade politique pour réaliser la guérison de leurs blessures intimes et il faut d'avantage les plaindre que les blâmer.

    En revanche, ceux qui sont à blâmer sont ceux-là même qui, par le jeu d'alliances politiques confinant aux accords maffieux, les ont mises au pouvoir. Ils ont pour nom socialistes de pacotilles et autres Bobos et vrais populistes d'arrière boutique qui s'appuient sur les thèses les plus populaires pour accéder au pouvoir mais qui le confisquent lorsqu'ils y sont. la suppression du jury populaire, émanation réelle du peuple comme justicier suprême est la démonstration de cette prise de pouvoir des classes bourgeoises de l'administration.

    Cette gauche-là, que l'on retrouve les mains pleines du cambouis des institutions, aux SIG, à la ville avec Salerno et à tant d'autres endroits, fait le lit du MCG qui mène seul le combat que cette gauche caviar a délaissée. Ce n'est pas contre le MCG qu'il faut lutter (mis à part son débile de façade) mais contre cette gauche puante et méprisante qui laisse monter au pouvoir de réels dangers pour la démocratie. Cet éxécutif du conseil municipal est l'expression même de cet abandon et c'est un spectacle pitoyable, notamment pour toutes les autres femmes de gauche qui ont une vraie vision politique contrairement à ces merdocrates postmarxistes!

    On verra bien cet automne si les Verts sont de vrais démocrates, ce que je crois volontiers. Leur teste sera d'accepter l'alliance avec l'extr^me gauche ou pas. S'ils l'acceptent, ils nous montreront qu'ils sont comme tous les autres, seulement intéressés par le pouvoir. S'ils la refusent ils nous prouverons qu'ils ont la stature d'un parti de gouvernement.

    En l'Etat pleurons la démocratie en ville de Genève, ces femmes, par leurs déclarations l'ont baffouée.

  • Les féministes ont revendiqué l'égalité de traitement, résultat la retraite est passée de 62 à 64 ans pour les femmes sans tenir compte du nombre d'enfants élevés. A quand la retraite à 65 ans pour remédier à cette inéquité que soi-disantes les hommes véhicules ?

  • ... et pour quand le service militaire pour les femmes, afin que les guerres cessent?

  • "les femmes de l'époque avait tout autant de droits qu'aujourd'hui, le droit de vote était leur dernier souci. "

    Parce que vous prétendez peut-être savoir le sentiment de toutes les femmes de cette époque? Ma grand-mère a obtenu le droit de vote à 45 ans, elle n'a par la suite jamais manqué un vote et a toujours souligné comme ce jour avait été important pour elle, la reconnaissance que son avis avait de la valeur, et qu'elle pouvait ainsi donner son opinion sur le gouvernement de son pays. Ma mère avait 23 ans, elle n'a donc du attendre que 3 ans de plus que mon père, c'était déjà 3ans de trop. Elle n'a jamais pu faire le collège, parce que le collège moderne était encore réservé aux garçons, tandis que les filles avaient droit à l'école ménagère ou l'école supérieure de jeunes filles. Apparemment nous n'avons pas entendu le même son de cloche... Et puis 1971 c'était au niveau fédéral, les Appenzelloises de Rhode-intérieur ont du attendre 1990 au niveau cantonal, par imposition juridique. Comme je ne suis pas Appenzelloise, je ne dois donc pas pouvoir comprendre pourquoi à peine une décennie avant le 21e siècle, des hommes se refusaient encore à accorder un droit de cité à leurs femmes, mères et filles sûrement au nom d'une tradition et d'une organisation socio-économique parfaitement louable...

    Pour un tenant du libéralisme comme vous, je m'étonne de ce si grand attachement aux valeurs traditionnelles d'antant qui reposait purement sur un bonus au sexe.

    En ce qui concerne la seconde guerre mondiale, si les femmes n'étaient certes pas les premières visées, reste qu'elles en ont passablement payé les frais et notamment à la libération où dans un mouvement de purge phallocratique (pour ce coup on ne peut en dire autre chose) collective du déshonneur de l'occupation, on a tondu les "sorcières" qui avaient osé souiller leur patrie en se laissant lutiner par des Allemands, pour des histoire de coeurs parfois, pour faire survivre leur famille souvent. A ma connaissance on ne connait pas d'histoire similaire pour des Français qui auraient couché avec des Allemandes. Au Rwanda il a également clairement été établi que la volonté d'épuration ethnique s'était aussi manifestée par le viol de femmes tutsi par des interahamwe sidéens, ce afin de distiller la mort sur les générations à venir. Par l'allégorie de la femme avec la terre et la patrie, les femmes pâtissent généralement énormément des guerres qui rétablissent souvent les pires archaïsmes. Ce fut le cas pendant la 1ère guerre mondiale aussi, qui sonne à la fois le glas des théories néo-malthusiennes sur les possibilités de contrôle des naissances et marque un retour institutionnelle du contrôle de la sexualité des femmes avec une pénalisation de l'adultère beaucoup plus dure et une très grande tolérance aux crimes "passionnels" en cas d'épouse adultère. Sans parler de la lutte contre l'avortement et contre les faiseuses d'anges pendant la 2e guerre mondiale.

    Alors oui les guerres n'ont pas forcément comme but la limitation des droits des femmes, mais celle-ci en est trop souvent une des conséquences logiques pour qu'on ne puisse y voir une certaine logique de système.

    Pour ce qu'il en est plus généralement des propos de cette conseillère municipale, je dois dire que je n'adhère pas du tout à cette différenciation sexuée, mais je relève que ceci est le commentaire du journaliste, non assorti de guillemets, et donc peut-être mal compris ou déformé. La tribune, au détour d'un pseudo soutien aux femmes, a l'habitude de nous en sortir des bonnes. J'ajouterais que quand des hommes le disent ça peut aussi faire sourire une bonne partie de la population. Je rappellerai juste à cet effet que le premier parti de Suisse en terme d'électorat fédéral par la voix de son conseiller fédéral estime que c'est le devoir de l'homme de travailler (sans trop préciser ce qu'il en est pour les femmes évidemment) et que plusieurs de ses membres ont regretté publiquement une "oestrogénéisation du parlement" et un "manque de testostérone du conseil fédéral". Mais c'est vrai que depuis qu'un comité de femmes UDC s'apprête apparemment à travailler pour lutter contre l'établissement de la sharia en Suisse, menace si imminente, alors peut-être somme nous "sauvées"... C'est vrai qu'à côté le fait qu'il n'y ait que 2 crèches en suisse pour 1000 enfants, que Christophe Blocher ait en son temps (pas si lointain) milité contre la réforme du mariage patriarcal et que l'UDC se soit positionné contre la solution des délais c'est du pipi de minet et un truc de "bourgeoises"...

  • J'ai parlé pour ma mêre, vous parlez pour votre grand-mère. Je salue la participation des femmes (qui le veulent) au processus politique, vous en fait une obligation par le biais d'une parité forcée. J'ai renoncé à ma place dans la politique (qui m'est apparemment due et assurée comme pour tout homme) au profit de qui veut la prendre, femme ou homme. Profitez en !
    De tout façon je n'avais aucune chance d'être élu, même en tant qu'homme, car il y a trop de candidat(e)s et pas assez de places. Et je n'ai aucune envie de me faire élire pour mes attributs physiques, je les garde pour autre chose.

  • Et dans les obscures procédures de recrutement politique où l'on arrive parfois à des résultats de 0 femmes sur 14 hommes, n'y a-t-il pas encore une barrière cachée à l'accès des femmes à la politique. Ou faut-il voir comme un pur hasard qu'on arrive à trouver des proportions à peu près équivalentes de femmes sur les listes des partis de gauche et beaucoup moins dans certains partis de droite?

    De même, dirait-on des quotas fédéralistes qu'ils sont un égalitarisme forcé? Qu'ils vont à l'encontre de la volonté populaire? Après tout, pourquoi un-e Vaudois-e ne pourrait-il représenter un-e genevois-e et vice versa? Il ne s'agit aucunement de forcer des femmes à faire de la politique, pas plus que le fait de leur donner enfin le droit de vote n'était les obliger à s'intéresser à la politique, il s'agit juste de permettre aux aspirantes qui le désirent de pouvoir concourir sur les listes électorales.

    Pour ce qu'il en est de l'armée, lorsqu'un véritable choix pourra être effectué entre service civil et militaire je serai la première à approuver que les femmes doivent l'exécuter aussi. Pas pour des raisons de capacités physiques, mais en raison d'un profond dégoût pour tout ce qui touche les armes à feu.

    Il est également clair que le concept d'âge de la retraite devrait être revu et considéré non du point de vue du sexe, mais des années de travail et de la pénibilité physique du travail effectué. Dans ce cadre il serait normal que les arrêts de travail professionnel pour travail domestique soient pris en compte dans le calcul, quel que soit le sexe de la personne considérée. Lorsque ce même travail est externalisé il est bien pris en compte après tout. Si les féministes ont revendiqué l'égalité de traitement, elles ont également revendiqué la reconnaissance du travail domestique et de soins aux personnes dépendantes. Dommage que cette deuxième partie ne soit que très peu écoutée. Mais ceci me fait quelque peu penser au discours de Soral selon lequel en revendiquant le droit au travail des femmes, les féministes leur auraient imposé la double journée de travail. Impressionnant comme on peut revoir l'histoire à coup de préjugés.

  • je ne vois pas pourquoi cette "énervement" exprimé dans votre blog.

    Mme Figurek se réjouit de voir arriver un équilibre homme-femme, c'est à dire que cette fois au lieu de n'avoir que des hommes il n'y a que des femmes.. cette fois... rien de très extravagant comme expression de satisfaction.

    Un enthousiasme légitime et non guérrier comme vous semblez l'interpréter. je n'y vois aucune réflexion contre les hommes.

    Jacqueline Roiz

  • @ audrey

    "Et dans les obscures procédures de recrutement politique où l'on arrive parfois à des résultats de 0 femmes sur 14 hommes, n'y a-t-il pas encore une barrière cachée à l'accès des femmes à la politique. Ou faut-il voir comme un pur hasard qu'on arrive à trouver des proportions à peu près équivalentes de femmes sur les listes des partis de gauche et beaucoup moins dans certains partis de droite? "

    où peut-être que ça ne les interesse pas tant qu'on veut bien nous le faire croire la politique !!!!

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article228

  • @ Rita cadillac

    "4 000 ans de domination masculine sont passés à la trappe dans votre discours. 4 000 ans de guerres, d'affrontements, de compétition et de discrimination qui n'ont pour unique base que la recherche de la domination."

    Tu a été chercher ça où ces bêtises !!!!
    je cite élisabeth Badinter.

    "Franchement, depuis longtemps, dans la société française de souche, que ce soit le judaïsme ou le catholicisme, on ne peut pas dire qu’il y ait une oppression des femmes."

  • @ audrey

    "En ce qui concerne la seconde guerre mondiale, si les femmes n'étaient certes pas les premières visées, reste qu'elles en ont passablement payé les frais et notamment à la libération où dans un mouvement de purge phallocratique (pour ce coup on ne peut en dire autre chose) collective du déshonneur de l'occupation, on a tondu les "sorcières" qui avaient osé souiller leur patrie en se laissant lutiner par des Allemands, pour des histoire de coeurs parfois, pour faire survivre leur famille souvent. A ma connaissance on ne connait pas d'histoire similaire pour des Français qui auraient couché avec des Allemandes.

    une infime minorité de femmes onts été tondues par quelques exités qui onts jouer les maquisards de la derniére heure, et tu écrit passablement payé, tu a le sens de la démesure !!!!! tu est vraiment capable d'écrire n'importe quoi !!!
    les allemands onts perdus la derniére guerre, donc les français qui onts couchés avec des allemandes ne risquaient pas grand-chose une fois la guerre finie, et pendant celle-ci je ne donnais pas cher de leur peaux s'ils étaient découverts vu le régime en place, et là ce n'était pas leurs cheveux qu'ils perdaient mais la vie. tes propos insultent les milliers d'hommes qui sonts morts pour défendre leur pays.

  • Leclerq, c'est pas celui qui construit des maisons? L'Homme fort qui fait de gros travaux? Peut-être je confonds...

    Bref, vous semblez une fois de plus à l'affût, hommelibre.

    Vous oubliez l'empathie. L'empathie pour comprendre ce que peut ressentir une femme, (de la fierté sans doute, mais pas seulement, aussi la réalisation d'un espoir, qui peut sembler utopique, à lire certains commentaires bas de plafond). Vous ne voyez que le côté sombre de la vengeance, de la nouvelle race d'amazone qui veut éradiquer les hommes.

    Mais pensez une fois à ces femmes, qui n'avaient même pas le droit de s'engager contractuellement pour un achat sans demander l'accord de leur mari. Elles ne sont pas si loin de nous, et certaines sont encore là, elles nous en parlent ou nous en ont parlé. Quelle joie de voir le chemin parcouru. Et cela laisse la place à l'espoir d'une société un peu plus équitable. De l'ouverture.

    Et pour les autres, vos retraites à 65 ans pour tous pour l'égalité, d'accord, nous le sommes toutes, mais s'il y a également un partage des tâches de la vie dite "privée". Fini les journées doubles pour les femmes.

    Et l'armée? MDR, mais c'est bien volontiers. On cessera enfin d'entendre que l'armée, ça vous fait un homme! Incompréhensible pour la femme que je suis de comprendre comment lorsque l'on "apprend" l'obéissance. la rigueur et la soumission, on devient un homme. Ah oui! il y a la joyeuse et saine virilité des chambrées que nous sommes incapables de comprendre. Pauvres de nous, ce que l'on rate tout-de-même.

  • "Pour ce qu'il en est de l'armée, lorsqu'un véritable choix pourra être effectué entre service civil et militaire je serai la première à approuver que les femmes doivent l'exécuter aussi."

    Je parlais de service militaire, dans le sens de "défense" de tout ce qui nous est cher.

    "Il est également clair que le concept d'âge de la retraite devrait être revu et considéré non du point de vue du sexe, mais des années de travail et de la pénibilité physique du travail effectué."

    Et si on laissait le choix de l'age de la retraite tout simplement aux individus? Pourquoi c'est l'état qui doit décider à ma place, il ne connaît rien sur ma vie.

    Ahh, la pénibilité du travail ! Quelle merveileuse idée pour créer des commissions et des postes d'inspectrices (parité oblige) du travail, pour élaborer des formules savantes afin de pouvoir calculer la pénibilité pour quelqu'un qui change fréquemment de job ou de responsabilité.

    Celui qui aime son travail ne le trouve pas pénible, celui qui ne l'aime pas le trouve pénible. Si je considère mon travail trop pénible, je cherche un autre travail, je ne vais pas attendre ma retraite (que je ne suis pas sûr d'atteindre). Après tout, c'est ma vie et je la gère.

  • "La recherche de la domination des hommes sur les femmes? Dites-moi, où avez vous trouvé cette information fracassante? La 1ère et la 2ème guerre mondiale, des guerres pour dominer les femmes? La guerre contre l'Irak - une guerre contre les femmes?"

    Puisque vous avez citer l'Irak:
    Chaque victime de guerre, chaque dommage collatéral est la fille ou le fils d’une mère c'est a dire une femme, dans tout le monde les femmes passent leurs vie à s'occuper des autres et ce sont elles qui souffrent le plus de la guerre. Les femmes et les enfants représentent 70 % des victimes de guerre et 80% des personnes déplacées. Il n’est pas étonnant qu’elles soient encore plus opposées à la guerre que les hommes. Beaucoup d’hommes le savent, sauf bien sur les anormales...
    Comme c’est le cas pour l’Irak, on censure les informations sur l’holocauste perpétré contre les femmes et les enfants, et aussi en Palestine par le gouvernement israélien qui agit au nom des intérêts américains au Moyen Orient, ce qui leur permet de posséder des armes de destruction massive, d’occuper des terres, de bombarder et de tuer des civils, dont des femmes et enfants, d’ignorer les résolutions de l’ONU.
    Sont également censurées les informations qui disent comment les intérêts occidentaux en Afrique favorisent et arment les guerres qui ont causé la mort ou le déplacement de millions de personnes, majorité femmes et enfants.
    GRÈVE MONDIALE DES FEMMES
    INVESTISSEZ DANS LE BIEN-ÊTRE
    PAS LA MORT

    Vous pouvez imaginer quelle est la situation en Irak à travers ces photos:
    http://contreinfo.info/article.php3?id_article=49
    L’Irak était le plus progressite et le plus développé des pays du Moyen Orient et du monde musulman, tout en étant sincèrement croyant.
    http://www.france24.com/fr/20090308-irak-rapport-denonce-condition-femmes-insecurite-pauvrete-silence-victimes-oubliees-violence

  • "http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article228"

    et bah on en apprend tous les jours. Bien votre site John...Bah voyons que la politique n'intéresse pas les femmes, c'est tout de même bizzare que cette absence sur les listes soit si différenciée d'une orientation politique à l'autre. A croire que quasiment toutes les femmes sont de gauche (ironique évidemment) puisqu'on ne peut pas dire que certains partis politiques bloquent sciemment l'accès des aspirantes au statut de candidat, sous peine de "misandrie". Grâce à ce site je viens effectivement d'apprendre que décrire l'inégalité du partage des tâches domestiques était "misandre", puisque je cite:

    "les évaluations expriment une moyenne : elles signifie que si "les" hommes en font moins globalement et en moyenne, certains en font autant que leurs conjointes, d’autres en font plus. On ne peut en tirer de généralisation."

    Elles soulignent surtout que les femmes effectuent 80% du travail domestique, point de généralisation, juste une "tendance" parfaitement due au hasard des arrangements totalement libres de couple vivant dans un monde asocial et dénué de toute construction sociale, ou à l'"atavisme" de la panosse peut-être, et qui, au nom des 20% du travail domestique des autres ne doit surtout pas être relevé sous peine de racisme...de sexe.

    Bizzare comme votre expérience, qui ne repose sur aucun chiffre officiel, vous permet pourtant souvent de relever des traits apparemment saillants, qui là devraient être représentatifs de quelque chose sans aucun sexisme bien sûr.

    Pour en revenir à l'article cité, il y a d'ailleurs quelque chose qui n'a malencontreusement pas été retenu par le résumé qui le précède et qui en conclut que les femmes ne veulent décidément pas faire le sacrifice de leur vie personnelle (comprenez leur "vie de famille"), sans oublier que la parité des listes, tellement bien appliquées en France qu'elle coûte des milliers d'euros aux partis à chaque élection parlementaire, a forcément fait passer des femmes incompétentes et peu investies devant des hommes compétents et motivés, tellement motivés d'ailleurs qu'il n'y a qu'à regarder les débats parlementaires et le nombre de chaises vides pour s'en convaincre, à moins qu'ils ne soient tellement compétents qu'ils ne puissent assister aux sessions bien sûr:

    "En tout cas, il est préférable (indispensable ?) d’être soutenue par la personne avec qui l’on vit. Bérengère Poletti (UMP) : « Il faut un mari autonome qui fait les courses. Peut-être que les conjointes supportent plus que les conjoints. » Geneviève Couraud, déléguée à la parité au PS, prétend avoir décelé des modèles différents entre la droite et la gauche, davantage pourvoyeuse de conjoints modernes prêts à partager les tâches."

    Mais chut hein, c'est misandre ;-)



    Et puis pour Leclercq, vous ne comprenez rien à rien, et je semble ne comprendre également rien à vos démonstrations particulièrement brillantes. Dès lors le mieux est encore de s'éviter, à moins que le dialogue de sourd ne vous passionne.

  • Oui Benpal. D'ailleurs si celui qui travaille sur le chantier à côté de chez moi à de l'arthrose et trouve son travail trop pénible il n'a qu'à devenir pdg de novartis demain. Et puis, ils avaient qu'à faire des études non mais. Ah ils ne sont pas nés ici et n'ont pas eu droit à la même offre scolaire? Bah ils avaient qu'à choisir de naître ici, c'est leur responsabilité après tout, non mais.. oui

    A noter que l'âge de la retraite doit être fixée pour le versement de l'AVS. Et que rien ne vous interdit normalement de continuer à exercer votre activité professionnelle au-delà. Mais j'imagine que l'AVS c'est encore une connerie socialo-bien-pensante créée pour les cloportes, autrement dit les miséreux imprévoyants, qui n'avaient qu'à faire des économies sur leurs 3000 francs de salaire.

    @ pascale :-)

    Non vous ne rêvez pas: Charles Ingalls est revenu. Et la verve impétueuse avec!

  • Audrey, vous préconisez le même salaire pour tout le monde, qu'il travaille ou pas? Je veux bien, tant que vous êtes prête à partager votre salaire avec moi (je n'en ai pas pour l'instant). Merci d'avance.

    Votre remarque conçernant AVS et connerie, vous pouvez la garder, c'est vous qui l'avez trouvée.

    Continuer de travailler après l'age de la retraite, n'est-ce pas trop pénible? En France, la pénibilité donne droit dans certaines professions (p. ex. chauffeurs de bus) à la retraite à l'age de 50 ou 55 ans.

  • @ Audrey: pas à l'affut, au travail!... Mais content que le débat ait lieu. J'imaginais bien, commençant à vous connaître un peu, que vous ne pouviez souscrire aux propos de genre cités dans l'article. Remarquez toutefois que les propos sont entre guillemets, donc ils citent la personne, sauf en ce qui concerne la collégialité.

    Je rejoins pleinement coucou: "On ne fait pas de politique "pour se venger", mais pour apporter "un plus" en s'investissant sans aucun préjugé. Les personnes qui s'engagent à de telles tâches doivent être là pour offrir "le meilleur d'eux-même" pour l'ensemble de la population". Les propos de la présidente n'ont donc rien à voir avec ceux de M. Blocher (position que je ne partage pas).

    @ xx: oui, en effet elle a été élue. Mais élue pour se venger des hommes? Cela figurait-il sur son programme? Quand à dire qu'elle fait ce qu'ont fait les hommes, c'est un peu court. Le système de répartition des rôles était ce qu'il était, mais il n'était pas une façon de se venger des femmes.

  • Euh.. au fait Audrey, le site dont vous mentionnez le lien n'est pas le mien... Il est tenu par un ami, Patrick Guillot, principal rédacteur du Manifeste hoministe, auteur, un homme de conviction.

  • @ Djilani: Je vous cite:

    "Chaque victime de guerre, chaque dommage collatéral est la fille ou le fils d’une mère c'est a dire une femme"

    Aux dernières nouvelles, ce sont aussi les filles et fils d'un père, c'est à dire d'un homme. Un homme qui se bat et se fait tuer à la guerre pour défendre sa femme et ses enfants. Ils n'ont pas l'occasion d'être déplacés, car eux on les oblige à être en première ligne pour se faire tuer.

  • "Audrey, vous préconisez le même salaire pour tout le monde, qu'il travaille ou pas? "

    Parce que faire remarquer qu'il semble difficile de dire à un manoeuvre sur un chantier que s'il trouve son boulot pénible et bien qu'il n'a qu'à le quitter pour un meilleur ça équivaut chez vous à revendiquer un salaire égal pour tous? Faudra m'expliquer alors...

    "Votre remarque conçernant AVS et connerie, vous pouvez la garder, c'est vous qui l'avez trouvée. "

    Expliquez moi donc dans ce cas comment on fait pour fixer l'AVS sans âge de la retraite...

  • L'écoféministe misandre Françoise D'Eaubonne déclarait, à propos du livre de Simone de beauvoir, Le deuxième sexe : Quand ce livre est paru, j'étais folle de joie. Je lui ai écrit : "Nous sommes toutes vengées" (entretien avec Marina Galimberti, 1999). Aujourdhui, c'est Vera Figurek qui se venge. Sachant que Le Deuxième sexe est paru en 1949, on en est à soixante ans de vengeance !!! Ca va durer encore longtemps ?

  • Et si on sortait les bazookas, les filles? Moi, j'suis sidéré de cette guerre. En 68, les filles s'envoyaient en l'air avec les Beatles ou les Pink Floyd. Flower Power. Je sais, ça parait ringard mais putain ce que c'est sexy ce pouvoir-là. Moi quand je lis vos trucs, je vois des avions dans le ciel qui jettent des bombes, et dessous des filles qui raquent et qui envoient la sauce avec leur défense DCA de plus en plus perfectionnée. Et l'amour, bordel? Vous pensez encore à l'amour ou plus qu'au sexe quand cela devient indispensable? Moi,j'en ai assez de vivre dans un monde ou les femmes exigent des supermans, et des mecs qui prétendent sauter des filles fabuleuses. En fait, tout ça c'est du pipeau, jeu de puissance, jeu d'impuissance. Le vrai pouvoir, c'est le flower power. Et tant pis pour tous ceux et toutes celles que cela emmerdent et qui ne veulent pas comprendre que si on a raté 68, on a pas encore raté 2009 et la suite. Les Verts montent en puissance. Et si on faisait de cette puissance un jardin de fleurs qui illuminent nos coeurs?

  • @ Rita: vous me faites penser à Salika Wenger: même style, même manque de finesse d'analyse, mêmes poncifs, même doctrine. Relisez donc le code Hamourabi, relisez la société celte, entre autres. La domination n'est pas affaire de genre, mais d'individus, qui à certaines périodes (Napoléon et 150 ans après par exemple) ont érigé en système l'exclusion des femmes. Pour autant la majorité des hommes ne pratiquaient pas cette domination alors même que le système le permettait.

    Et puis voir avec les yeux d'aujourd'hui un système qui a eu ses raisons et son équilibre (et ses déséquilibres aussi) est assez peu objectif. Mais enfin, si vous avez envie de faire des femmes les victimes universelles et des hommes les prédateurs universels... libre à vous... mais relisez Bazin (Folcoche), et tant d'autres auteurs où les femmes le disputent aux hommes en terme de domination.

    Et puis, vous paraphrasant à l'absurde, je pourrais dire que cela fait au moins 4'000 ans que l'éducation donnée par les mère interdisent aux hommes de connecter leurs émotions, de pleurer, les préparent à tout assumer, à recevoir les coups. La domination féminine dans l'éducation a opprimé des hommes depuis très, très longtemps...

  • @ Audrey,

    Effectivement, la politique intéresse beaucoup moins les femmes que les hommes..c'est un fait avéré. Cela demande énormément d'énergie, d'investissement et une capacité à se montrer déterminé-e, battant-e...peut-on en déduire que les femmes, en général, sont moins "attirées" par d'éventuels "jeux de pouvoir"..?..

    Cela dit, il est vrai qu'entre la gestion d'une famille, des activités domestiques, des loisirs..c'est le manque de temps qui leur manque cruellement..

    Certains partis politiques ont introduit les fameux quotas, la parité hommes-femmes..et peinent à trouver-intéresser des femmes..résultats des courses, le nombre de candidats-es diminuent..quotas obligent ! Personnellement, cela me vexe considérablement lorsque l'on me fait entendre "que j'ai ma place sur une liste..parce que je suis une femme..!" Pour moi, les COMPETENCES N'ONT PAS DE SEXE et ces quotas sont au contraire une forme de "descrimination positive", les femmes ne devant pas être considérée comme une minorité.

    Vous l'aurez compris, je vous rejoins sur, je vous cite "...fait passer des femmes incompétentes et peu investies devant des hommes compétents et motivés..". Non, effectivement, nous ne devons pas privilégier des candidatures féminines "passables" au détriment de candidats fortement compétents..seuls la motivation, l'engagement, les compétences, .. devraient être pris en considération...mais l'espoir fait vivre, non !?

    Chère Audrey, si vous n'êtes pas encore engagée politiquement, vous pourriez y songer..si vous n'avez rien contre le fait d'évoluer dans un monde "machiste", vous devriez vous y sentir "comme un poisson dans l'eau" :-)

    Avec mes meilleurs messages

  • @ pachakmac: raaahhhh.... yessss.... Années 70, belle époque, filles et gars joyeux, sexe sans culpabilité ni religion ni judiciarisation, belle musique... Bien d'accord avec vous.

    Et pourtant, la querre est rallumée. Mais bon, le discours de vengeance des femmes est assez récurrent dans les paroles de certaines féministes. Dur d'offrir une rose à une femme qui va poser plainte pour harcèlement...

    (=√o)

  • Coucou Valérie, plaisir de te lire! Ah, Valérie, génial mélange de détermination et de dialogue, positionnée et ouverte, jamais victime, toujours s'assumant. Une belle énergie!

    Bisou.

  • "principal rédacteur du Manifeste hoministe"

    Dont vous êtes quand même co-signataire si je ne m'abuse? Bon c'est vrai que les paroles des autres n'engagent qu'eux-mêmes, j'espère donc que vous ne souscrivez donc pas à cette tentation obscurantiste de taxer de misandre toute revendication pour un partage des tâches. Je crois que les mots doivent garder leur valeur. Tout n'est pas sexiste non plus.

    Pour ce qu'il en est de la collégialité, si ces propos ont vraiment été tenu, et que le sens qui leur était donné était effectivement celui-ci, je m'oppose évidemment à toute interprétation de ce style. Les débats houleux ne sont pas l'apanage des hommes et la solidarité féminine est un beau mythe malheureusement peu existant, tout comme la solidarité masculine.

    Je me demande néanmoins si vous n'avez pas un peu extrapolé vite sur le terme de "vengeance". Cette conseillère municipale parlait surtout d'une revanche sur une situation plus que courante où l'on voyait alors sempiternellement 5 hommes occupés les mêmes positions. Dans la situation le terme de "revanche" me paraît effectivement plus approprié, même si vous l'auriez tout autant décrié, j'ose espérer que vous saisirez la nuance que j'essaye d'y mettre, celle d'une revanche sur la "vie", ou plutôt sur ses contraintes sociales. Je vous rejoins en partie, mais j'ai du mal à juger sur des paroles rapportées. La Tribune aime bien les discours stéréotypés (voir l'article sur des "vieilles" qui sortent avec des "jeunes" et ont peur de les perdre puisque la "nature" [selon l'auteur] pousserait les hommes à choisir des femmes jeunes pour la reproduction, tandis que les jeunettes choisiraient des vieux protecteurs), je m'interroge donc sur le bien fondé de cet article, et des citations choisies dans un contexte que je ne connais honnêtement pas pour ne pas y avoir assisté. Après on sait qu'il existe des féministes différentialistes. Je ne le nie pas mais je ne les comprends pas.

    En faite quand je parlais de propos d'un conseiller fédéral, je pensais évidemment à M. Maurer et ses paroles datant de l'hiver dernier. Heureusement que le discours de cette conseillères municipale ne lui ressemble pas, c'était juste une manière de montrer que la misogynie politique n'empêchait pas encore de se faire une foule d'émule, là où vous aviez l'impression que ce discours ne saurait être tenu aujourd'hui.

  • @ Audrey: j'assume le texte que j'ai co-signé, je voulais simplement rendre hommage à Patrick. Sur le partage des tâche, nous en avons déjà parlé. Je n'adhère pas à un décompte précis, au partage obligatoire des mêmes tâches. Chacun fait selon ce qui lui convient le mieux et le couple fait sa propre loi. Pas d'accord que cela devienne un dogme ou une loi.

    Sur le terme "vengeance", je comprends vos précautions, mais vous avez raison: "revanche" n'aurait pas mieux passé. C'est peut-être à prendre dans un contexte, mais c'est quand-même un état d'esprit guerrier. Elle aurait pu demander à mettre la parité dans le Bureau, plus une femme (elles sont 7). Cela aurait montré un alignement entre le discours d'égalité et les actes qui ont forcément exclu délibérément des hommes. Double langage. Et marre que l'on me dise en filigrane que les hommes doivent payer. Payer quoi? Un ancien système qui imposait des obligations aux hommes comme aux femmes? (Je ne parle pas du code Napoléon). Qui répartissait? Et payer combien de temps? Et qui doit payer? Pas moi. Pas de raison.

  • Bonsoir Valérie!

    Vous le croirez ou non, mais je suis contente pour une fois d'avoir une "contradictrice" féminine. ;-)

    Je ne suis pas si sûre que la politique "intéresse" moins les femmes, encore moins que ce soit un fait avéré. Il faudrait pour cela s'entendre sur ce que veut dire "s'intéresser à la politique", mais je vous concède qu'on pourrait passer des heures rien qu'à fixer une définition précise et pas trop simpliste de ce qu'est la politique.

    Votre analyse des ressources en temps est parfaitement exacte. Mais je pense que ce manque de ressources (les fameuses double journée, puis triple quand engagement politique) fait justement comprendre qu'il ne s'agit pas d'un simple manque d'intérêt pour le débat politique mais de contingences qui créent cette impression de désintérêt: pas le temps, moins d'éducation à la conflictualité, à la confiance en soi, plus d'éducation à être une bonne mère qui fait des enfants et ne saurait les délaisser pour sa passion, etc., etc.

    Les partis politiques qui ont introduit ces quotas n'ont que rarement eu à réduire leurs listes pour ces raisons à ma connaissance. Il y a eu il y a quelques mois l'affaire des verts, on ne peut pour autant en faire une généralité. Et puis entre 50/50 et le 0/100 d'un certain parti, je dirais qu'il y a une marge qui pourrait effectivement être plus souple.

    Un discours pour la parité des listes est effectivement aussi différentialiste et vous dira que vous avez une place sur cette liste parce que vous êtes une femme. Un autre, celui que je défends, vous dira que ces quotas de listes sont une mesure temporaire essentielle pour que certains partis, qui rechignent clairement à l'égalité comme en témoigne leurs diverses positions sur la question, laissent enfin la liberté et la possibilité à des femmes compétentes de pouvoir les représenter. Vous devriez donc avoir une place sur ces listes parce qu'en tant qu'individu vous le méritez, mais vous avez tendanciellement moins de chance d'y arriver en raison des stéréotypes qu'on peut porter sur votre sexe qui ne change pourtant rien à ce que vous pouvez apporter. Sans quota il y en aura toujours pour dire que vous avez été placée sur la liste parce que vous étiez une femme parce que ça fait "trendy" dans un pseudo environnement politiquement correct, et ce d'autant plus si vous êtes la seule femme sur la liste, certains ne sont pas à une contradiction près. Des stéréotypes sur la protégée et la promotion canapé vous en trouverez dans bien d'autres endroits que la politique, quota ou pas, compétence ou non.

    Quota de liste ne veut pas non plus dire quota de résultats, Si vous vous faites élire on pourra donc toujours dire que vous avez été mise sur la liste pour votre sexe, reste qu'avec le système des bulletins modifiables si vous êtes élue c'est que vous avez normalement convaincu, ou tout du moins pas trop profondément déçu. Mais il est clair que quand on part avec même pas 30% de femmes sur l'entier des listes, 0% ou 10% sur certaines qui font un très bon score, on arrive à une assemblée composée en majorité d'hommes, pas toujours compétents soit-dit en passant, pas plus/ni moins tendanciellement que les femmes en tous cas. Si on arrive à faire des listes avec 80% d'hommes censés être compétents, on devrait arriver à trouver 40 à 50% de femmes compétentes, à moins qu'il n'y ait là une différence de sexe. Et puis au final, si tous les partis étaient obligés de faire avec des femmes, on pourrait peut-être enfin espérer que le politique s'adapte à leurs contraintes pratiques qui sont encore opérantes. Qui sait si on ne verrait pas un regain d'"intérêt" à ce moment-là! Les femmes ne sont effectivement pas une minorité, et il serait bon qu'on s'interroge donc sur les raisons de ce manque en politique. Reste qu'en l'absence de contraintes ce sujet n'intéresse pas beaucoup certains votants/partis et que la responsabilité de cet état de fait a du mal à dépasser la propre responsabilité des femmes, jugées pas assez intéressées justement.

    En fait mon propos sur la compétence était honnêtement ironique. Je ne vois pas comment l'on peut considérer qu'un quota de liste puisse faire passer des incompétentes pour les raisons précédemment citées, de même qu'il faudrait fixer une définition de ce que veut dire "compétence". Par contre la différence gauche-droite en la matière montre clairement qu'il y a déjà des formes de "quota" implicites qui déservent tendanciellement les femmes, comment expliquer cette différence sinon? Comme vous je souhaiterais que l'on élise des candidats essentiellement pour leurs mérites, mais force est de constater que les représentations de la politique ne sont de loin pas aveugles au sexe de celui qui l'effectue en témoigne également certains soutiens pro-paritaires qui pensent que les femmes font "naturellement" de la politique différemment. Je trouve aussi que l'argument paritaire peut être néfaste à l'égalité des sexes, tout dépend évidemment comment on l'avance.

    J'y songe, j'y songe, mais je ne me reconnais entièrement dans aucun parti, et je ne me sens pas l'âme de devoir voter contre mes convictions profondes le cas échéant.

    Très bonne continuation à vous aussi!

  • Effectivement nous n'allons pas y revenir, à force je crois qu'on ne peut plus rien y ajouter de nouveau ;-)De là à traiter ces propos de "misandres" il y a un pas, comme celui d'émettre l'idée que le droit des femmes à garder leur nom de famille soit une atteinte aux droits des hommes, parole tenue par votre ami sur son même site et qu'on a du mal à comprendre, même dans son contexte au passage.

    C'est un état d'esprit guerrier si vous voulez l'interpréter ainsi, remarquez que titrer "la féministe vera figurek se venge des hommes" ou élaborer l'introduction d'un rapport de colloque sur les "féministes talibanes" est peu pacifiste et consensuel dans son genre aussi...revanche pour revanche c'est un point partout je crois!

  • @ Audrey: un petit dernier avant de me coucher. (:o)

    Disons que le titre de ce billet est davantage une alerte et une incitation au débat, alors que depuis 5 jours personne n'avait trouvé à redire à ces propos. Pour le billet sur les "talibane", en effet ce n'était pas un modèle de pacifisme... Mais il répondait à une attaque en règle contre l'annonce du congrès Paroles d'hommes de Bruxelles, attaque qui réveillait la mémoire des agressions physiques contre les locaux du 2ème congrès à Montréal en 2005. D'ailleurs, une féministe blege a repris ce terme de talibanes, comme désignant l'extrémisme doctrinaire.

    Et ma foi j'assume que je suis en lutte contre les thèses d'un certain féminisme.

    Bon, à suivre...

    Bonne nuit.

  • à la bonne heure...

  • Eh bien! John avez-vous lu l'interview de Salerno!
    A côté Figurek c'est de la roupie de sansonnet!

    Salerno: "Non, la priorité sera toujours à la compétence, c’est un prérequis. Mais à compétences égales, on privilégiera le sexe qui est sous-représenté. Par ailleurs, on fera attention d’aller chercher des candidatures de qualité du sexe sous-représenté. Ceci implique une démarche plus active."

    Compétences égales! MDR!
    Un ami enseignant m'a dit récemment que pour deux postes de directeurs dans le secondaire, il n'y avait eu que... 2 candidats! Compétences? MDR! Mais j'ai oublié de demander le sexe des candidats... forcément nommés!

    Décidément on se rapproche toujours plus d'une république bananière.

  • @ Audrey

    "l'idée que le droit des femmes à garder leur nom de famille soit une atteinte aux droits des hommes, parole tenue par votre ami sur son même site et qu'on a du mal à comprendre, même dans son contexte au passage."

    Pouvez-vous donner le lien de ce texte qui s'insurgerait - on est bien d'accord - contre "le droit des femmes à garder leur nom de famille" ? Là, je crains qu'on ne vous prenne en flagrant dit de mauvaise foi - ou du moins de mauvaise lecture (très très mauvaise même...).

  • @ Rita cadillac

    "4 000 ans de domination masculine sont passés à la trappe dans votre discours. 4 000 ans de guerres, d'affrontements"

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article80

    lis ce livre plein d'humanité de compréhension.
    ça te sortira de tes préjugés féministes !!!!!

  • @ audrey

    ""l'idée que le droit des femmes à garder leur nom de famille soit une atteinte aux droits des hommes, parole tenue par votre ami sur son même site et qu'on a du mal à comprendre, même dans son contexte au passage."

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article129

    qui parle de droits !!!!!

    le patronyme a pour rôle de nous inscrire dans une culture et une différence radicale par rapport à notre mère ».

  • @ audrey

    "celui que je défends, vous dira que ces quotas de listes sont une mesure temporaire essentielle pour que certains partis, qui rechignent clairement à l'égalité comme en témoigne leurs diverses positions sur la question, laissent enfin la liberté et la possibilité à des femmes compétentes de pouvoir les représenter. "

    sans loi sur la parité il n'y aurait sois-disant pas de femmes compétentes pour les représenter, étonnant tout ça et quand le temporaire sera fini ce principre serais de mise alors, principe que je rétute bien évidement !!!!
    je corrobore entiérement l'avis d'élisabeth Badinter sur le sujet.

    Elisabeth Badinter. La parité est à la fois une mesure technique de rattrapage et un grand débat philosophique. 5 % de femmes, c’est de la discrimination négative implicite. S’est ensuivi un débat compliqué pour justifier l’introduction de la différence des sexes dans la Constitution. Devant cette pathologie politique, que dire des quotas ? J’aurais accepté qu’on se mette d’accord sur une politique volontariste. Exemple : devant une situation qui n’est pas acceptable, pendant cinq ans chaque parti s’engage à faire rentrer, comme des quotas déguisés, 30 % ou 50 % de femmes. Et puis on arrête. Pas de loi. La question de la loi est insupportable à mes yeux pour deux raisons. La première, c’est la sexualisation de la citoyenneté, et avec elle le retour du déterminisme biologique. Ce que je trouve redoutable pour les femmes et contraire aux acquis universalistes. Deuxième point, les femmes qui ont défendu la parité ont montré un égoïsme contraire à leur supposé nature altruiste : " Les quotas pour nous, pas pour les autres. " Or quand je regarde l’Assemblée nationale, je ne vois pas de Français de la première génération, je ne vois pas de Français de moins de vingt-cinq ans, je ne vois pas d’ouvriers, je ne vois pas représentés de nombreuses catégories de la population. Du coup, au lendemain de la loi votée sur la parité, on a vu des associations de Français d’origine africaine et maghrébine dire " pourquoi pas nous ? " Ce que je comprends très bien. De plus, le discours convenu sur les femmes en politique consistant à dire qu’il y a un point de vue féminin, une appréhension féminine de la société, qu’une femme est plus douce, plus pacifique, plus altruiste, plus dévouée à la collectivité…, cela fait franchement sourire quant on connaît le monde politique.

  • @ Audrey

    Eh bien Audrey vous êtes prise effectivement en flagrant délit de mauvaise foi. Le texte que vous citez ne traite à aucun moment du nom de famille des femmes, et donc ne remet nullement en cause leur droit à le garder (qui le remettrait en cause, d'ailleurs ?). Il parle exclusivement du nom à donner à l'enfant, et prend parti pour la transmission automatique du nom de famille de son père à l'enfant (en tant que lien symbolique qui vient équilibrer le lien charnel existant avec la mère).

    Vous avez une drôle de manière d'argumenter !

  • @ Antisthene

    J'ai effectivement fait une erreur de lecture puisque le texte exact est:"Un tableau (doc.1) intitulé "La loi reconnaît lentement les droits des femmes" indique, en face de l’année 2004 : "Un enfant peut recevoir le nom du père ou de la mère". Aucune réflexion sur cette nouvelle loi : s’agit-il vraiment d’un "droit des femmes" ? Ne peut-on considérer au contraire qu’elle viole les droits du père ou les droits de l’enfant ?", erreur effectivement aisément vérifiable puisque je mentionnais l'endroit où je l'avais trouvé. Question mauvaise foi on fait mieux.

    Ne vivant de toute évidence pas en Suisse ou connaissant très mal la situation de ce pays qui n'admet pas encore qu'une femme garde son seul nom de jeune fille votre étonnement n'engage que vous.


    Pour le reste pensez absolument tout ce que vous voulez;-)

  • @ Audrey

    Il n'y a rien de tout cela dans le lien que vous avez cité. C'est n'importe quoi.

  • Il est dans ce cas très étonnant que vous ayez réussi si vite à corriger mon erreur par vous-même...peut-être parce que je mentionnais le nom de l'auteur et que le lien du site était mentionné 2 commentaires plus haut...

    Bref, conversation stérile, comme à chaque fois avec vous, pour moi c'est terminé. Continuez à hululer dans le blizzard comme notre ami Ingalls si ça vous chante.

  • COOL ! ça à marcher.... ça discute ferme. J'adore allumer la mèche !

  • "COOL ! ça à marcher.... J'adore allumer la mèche !"

    Heeeuuuuu ! C'est une allusion sexuelle ? (o_o)

    Haaaaaaaaaaa Buuooooooooon ! (ô_ô) Ben alors mais c'est bien sûr ! L'agressivité féministe est une demande de sexe déguisée; une demande d'approche passionnée pour déboucher à la transe extatique. C'est du langage comportemental codifié, tout cela parce que les hommes pendant des années n'ont pas mis assez d'importance sur l'amour et la passion. Le regard qui chavire d'amour, de tendresse et d'admiration en rentrant le soir. C'est cela au fond cette vengeance... Merci Rita j'ai enfin compris

    Allez les gars, faut assumer !

  • Dur dur d'être un homme...

    http://www.youtube.com/watch?v=CBmS-SJlPik



    p.s. : j'ai rien qui me vient à l'esprit dans les chansons françaises

    (~_o)

  • Moi aussi "Io Non So Piu' Cosa Fare" parce que je ne parle pas la langue de Dante !

    Mais j'ai saisi l'esprit (o_~)

  • Cool Loredana, j'aime, même si je ne comprends pas bien.

    Les smileys, c'est un festival inventif.

    (¨-¨) (ö≠ö) (°v°)

  • @ Hommelibre

    J'attends avec impatience votre réaction à mes deux mails.

    Salutations cordiales

  • VENGEANCE ???... Ou bien HAINE des hommes ? Cette femme, elle est comme toute les autres, toutes celles qui ont la haine des hommes ! Ces femmes là n’ont plus du tout besoin de l’homme, point barre ! Le malheur pour le féminisme c’est de tolérer cette idéologie déviante et délétère, car elles prônent la guerre des sexes. Comment arriver à plus d’égalité entre les femmes et les hommes et la parité dans une dynamique de conflits ? En prenant des mesures « drastiques » comme cette pseudo féministe ? Dans toute forme de guerre, il y a des perdants et des gagnants ainsi que des dégâts collatéraux. Alors que ces vaginocrates sont en minorité, elles s’accaparent l’audimat parce qu’elles ont l’art de la manipulation… perversité narcissique oblige. La parité et l’hégémonie sont totalement contradictoires ! Les sept membres du Bureau du Conseil sont des femmes. Alors, les gars… vous êtes bien mal barrés ! Comptez-vous manifester dans ce Bureau du Conseil, pour revendiquer la parité ? STOP à l’HÉGÉMONIE FÉMININE ???...

  • Depuis les années 70, c'est la crise... partout. Serait-ce la faute des femmes en révolutions, contre les hommes?

  • Sur 4.000 de connaissances par les études d’histoires sur la politique, sur le monde social, sur l’économie, sur la sexualité, sur la psychologie,… citez nous où et comment l’homme a dominé la femme comme ces vaginocrates (féministes talibanes) tentent de dominer l’homme, de l’asservir et de féminiser l’humanité ? Je suis en accord (et principalement) avec Antisthene, Leclercq, Valérie, Benpal, Jack_line et surtout avec Elisabeth Badinter.

    Et pour reprendre le langage (écrit) de mon ami et penseur : « Ce grincement entre une vérité relative et un mensonge idéologique, ce clin d’œil de louche, c’est le chant des pervers. Un appel de sirènes, la complainte des salauds, le rap des « pofs cons » incassables, des narcissiques pervers qui cassent les autres sans vergogne. ».


    Le point de vue de certaines femmes : Assiste-t-on à un retour du balancier ? Plusieurs féministes disent que les hommes ont profité de l’avancement de la femme dans notre société. Nous croyons que c’est en partie véridique. Le mouvement féministe a certes fait avancer nos structures sociales vers un plus grand équilibre. Mais aujourd’hui, pourquoi leur langage n’a-t-il pas changé ? Ainsi, nous avons choisi de vous entretenir de quelques femmes ayant acquis une certaine notoriété et qui ont leur point de vue concernant certains aspects de notre société.
    D’entrée de jeu, nous vous partageons une citation qui provient d’une entrevue faite avec Mme Badinter par Jacqueline Rémy pour l’Express :

    « Depuis le fin des années 1980 et le début des années 1990, le féminisme dérive d’une façon qui me choque. Aveuglé pas ses bons sentiments – d’aucuns diraient sa « bien pensance » -- il est en train de redonner vie aux stéréotypes préféministes les plus éculés. L’image de la femme du XXIe siècle oscille entre l’enfant impuissant et la reine-mère : c’est une femme terrorisée, et qui, dit-on, aurait toute les raisons de l’être, une femme battue et maltraitée par l’homme, une femme-enfant irresponsable, une femme qui ne sait pas dire non et qui demande protection. Par ailleurs, pour justifier l’inscription de la parité dans la Constitution, certaines n’ont pas hésité à remettre à l’honneur la femme-mère. Cela correspond si peu aux objectifs que je souhaitais pour les femmes que je me suis dit : « Ça suffit ! »

    Enfin, je citerai une amie, féministe au Canada (qui m’avoua avoir quitté les jupes depuis fort longtemps) qui a écrit un livre remarquable (surtout de vérités analogues aux autres pays civilisés) « De l’Amour à la Haine » Un chemin trop souvent emprunté – ISBN 978-2-89565-817-7 Edition AdA

    Un livre à lire pour comprendre – aussi -- les aspects des dérives du féminisme.

  • Les Dérives du Féminisme - Rectification : "Sur 4.000 ans de connaissances..."
    :-)

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