Rayane au paradis.
Je n’aime pas cette émission. Sa tendance larmoyante est gonflante. Mais s’y présentent parfois de réel talents, incroyables ou non. C’est le cas de Rayane, vainqueur cette année.
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Rayane au paradis.
Je n’aime pas cette émission. Sa tendance larmoyante est gonflante. Mais s’y présentent parfois de réel talents, incroyables ou non. C’est le cas de Rayane, vainqueur cette année.
« Ces gens ont quelque chose que nous n’avons pas. Une volonté de diamant, une détermination dès le plus jeune âge. On n’arrive pas à ce niveau par hasard. C’est l’alliance des bonnes fées et du travail acharné. »
On maltraite la Chine pour ces jeux aux pistes blanches collées dans des paysages sans neige. On la boycotte à cause de ses minorités discriminées. Mais si le CIO a accordé ces jeux, il savait cela.
Les électeurs et es électeuses voteront le 13 juin sur la Cité de la Musique dont Genève pourrait se doter. Je ne discute pas ici du projet lui-même mais d’une affiche émanant des milieux opposés au projet, situés en partie dans la gauche Vert-rose.
Tout autre chose aujourd’hui. Je ne parle pas de notre étoile, qui selon toute vraisemblance n’est pas éternelle. Je partage une découverte musicale très originale: le Authentic Light Orchestra, ou ALO. C’est de l’ethno-jazz.
Le peintre illustre ici l’envers du couple. Pessimiste assumé, les relations femmes-hommes ne trouvent guère grâce à ses yeux. Pour lui la femme est une menace autant qu’un objet de culte. Il la redoute autant qu’il la désire. Mais « Aucune paix, aucune harmonie ne saurait s’instaurer dans les rapports entre l’homme et la femme. »
La question illustre un biais de société dans lequel nous sommes entrés comme des éléphants. Elle m’est venue en lisant le récent billet d’Anne Cendre. J’apprécie le ton et le regard de cette journaliste, qui tient blog ici. Pourtant un passage m’a interpellé. Un bon désaccord valant parfois mieux qu’un mauvais accord, je réagis ici à ce passage.
Les Français ne sont plus orphelins. Le taulier est de retour. Il occupe à nouveau la scène. Droit dans ses bottes comme toujours. Et il fait un tabac là où il passe. Le phénomène Guégan a pris une telle ampleur que le chanteur a réservé Bercy pour décembre 2010. Bercy? Mazette! Un couronnement pour les plus grandes notoriétés dans le monde du spectacle.
Des prises et porters époustouflants, des figures originales, une esthétique envoûtante: le duo espagnol de cirque Acrodreams m’a scotché.
Un ton dépourvu de manières, des paroles fortes et l’affection de sa fille: c’était Alain Delon à Cannes. Il recevait hier une palme d’or d’honneur, malgré la polémique. Il lui était reproché d’être raciste, homophobe et misogyne.
Sa voix est comme un instrument. Timbre chaud, clarté du ton, précision admirable. Un fleuve d’humanité roule dans ses variations. Maurane, une voix à part, l’une des plus généreuses parmi les chanteuses françaises.
On ne sait pas encore de quoi. On sait seulement qu’elle est morte brusquement. Les icônes nous rappellent que nous ne sommes pas immortels. Elle, c’était l’icône de Limerick, une ville de l’ouest irlandais dans le comté de Shannon.
À chacun son tour. C’est le sien. Pas de décès mythique à la James Dean au volant d’une voiture rapide. Pas de crash en hélico comme Daniel Balavoine. Pas dans son bain, comme Clo-Clo. Mais la même année que Chuck Berry, pionnier du rock.
L’homme porte chapeau par-dessus son large sourire. Une gueule d’aventurier, et le look qui va avec. Aventurier il l’est à sa manière. Au quotidien, dans chaque lieu où le portent ses pieds.
J’ai cette chance: mon âme d’enfant ne s’étant jamais endormie je n’ai pas besoin de la réveiller sur commande. Je dis ça, parce que c’est l’effet que les géantes semblent avoir eu sur un blogueur voisin, dont le billet m’a motivé à voir le spectacle. Son titre: Merci aux géantes de nous élever !
Sam Shepard, c’est un rôle marquant dans L’étoffe des héros. Mais c’est surtout l’écriture du scénario de Paris, Texas, le film lumineux de Wim Wenders palme d’or à Canne en 1984.
Des fans de Clint Eastwood se demandent comment il peut soutenir Donald Trump. La valeur de ses films ne correspondrait pas aux valeurs du nouveau président des États-Unis.
Michel Polnareff a passé quinze mois en studio pour réaliser son nouvel album. Le groupe Queen était à l’époque resté enfermé une semaine, douze heures par jour, rien que pour mettre en boîte la partie des choeurs – 180 voix empilées interprétées à trois – de Bohemian Rapsody. Le Floyd est resté huit mois en studio pour enregistrer The Wall. La location d’un studio peut aller jusqu’à 10’000 euros par jour. Chacun fait au mieux selon ses moyens.
C’est la dernière ligne droite. Bientôt l’aboutissement. J’ai le trac. J’y travaille depuis presque deux. Et voilà, j’y suis. La mise au monde est imminente.
On était préparé. Depuis plusieurs mois et semaines quelques médias l’avaient annoncé. La maladie a eu la peau de Michel Delpech. Il est mort hier à 69 ans. Nostalgie.