Eric Zemmour a envoyé au président de la Licra une lettre d’explication sur ses récents propos qui font polémique et sont jugés racistes par certains. Suite à cela la Licra a renoncé pour le moment à déposer plainte contre le journaliste. Un débat aura lieu entre M. Zemmour et le président de la Licra.
Cette lettre est publiée sur le site marianne2. Vu le lynchage de Zemmour je pense utile d’en mentionner ici quelques extraits. Le débat sur le racisme il y a quelques jours sur ce blog avait déjà nuancé et élargi le sujet. Il est normal de donner aussi la parole à l’accusé, homme intelligent et pas connu pour des positions habituellement racistes.
«Ma volonté n’a jamais été de stigmatiser « les noirs ou les arabes » comme des délinquants, mais si cette phrase, sortie de tout contexte, a pu heurter, je le regrette.
La mise en scène tout de gouaille cynique d’un Ardisson sur Canal +, qui prévient d’avance par un panneau comme dans les dessins animés de Tex Avery : «Attention, Zemmour dérape», et qui mime un effarement scandalisé d’autant plus surjoué qu’il est enregistré et inséré a posteriori, tandis que pendant l’émission, il avait pris un air patelin, pour me glisser à l’oreille : «tu as un rôle très important dans la société de dire les vérités qui dérangent...Ne t’inquiète pas, je te protégerai au montage...» Car si mes propos étaient si infâmes à ses yeux, que ne les a-t-il coupés au montage ?»
Qui est raciste?
Après avoir fait rappel de ses origines et de la discrimination que lui-même et sa famille ont vécue, il continue:
«On a volontairement oublié que ma désormais fameuse phrase n’était qu’une réponse aux arguments développés par les autres intervenants selon laquelle «la police n’arrête que les Arabes et noirs». Cette double «stigmatisation» - et de la police républicaine - et des «Arabes et noirs» ne choque personne. Les «Arabes et noirs» peuvent être distingués du reste «de la communauté nationale» s’ils sont héros (le livre de Thuram exaltant les héros noirs) ou victimes. Dans tous les autres cas, il est infâme de les distinguer.»
Cette remarque est intéressante, puisqu’elle met en évidence le fait que Madame Rokhaya Diallo fait elle-même une allusion discriminatoire mais que personne ne la prend à partie pour cela. Si le noir ou l’arabe sont victimes, ils peuvent être noirs ou arabes, pas s’ils sont criminels. Le blanc étant dans ces cas de figure forcément le bourreau et le criminel, et la cause implicite de la criminalité de l’autre. On a vu dans mon billet sur le racisme que les chiffres des populations carcérales doivent être relativisés. Mais pour qu’ils le soient, encore faut-il que l’on puisse en parler ouvertement. Si l'on veut tordre le cou à un préjugé, il faut avoir le courage de montrer sur quoi le préjugé est fondé. D’autre part Madame Diallo attaque sans nuance l’entièreté de la police française en la soupçonnant de racisme: «La police n’arrête que les arabes et les noirs». Elle diffame la police et introduit elle-même un débat à connotation raciste. Que l’on poursuive donc Madame Diallo pour racisme, comme on le fait pour Monsieur Zemmour.
Celui-ci rappelle aussi les propos du curé des Minguettes qui a donné beaucoup de lui-même pour l'intégration des jeunes issus de l'immigration récente:
«Pourtant, devant une commission parlementaire du Sénat, Christian Delorme, surnommé «le curé des Minguettes», ne déclarait il pas : « en France, nous ne parvenons pas à dire certaines choses parfois pour des raisons louables. Il en est ainsi de la surdélinquance des jeunes issus de l’immigration qui a longtemps été niée, sous prétexte de ne pas stigmatiser. On a attendu que la réalité des quartiers, des commissariats, des tribunaux, des prisons, impose l’évidence de cette surreprésentation pour la reconnaître publiquement. Et encore, les politiques ne savent pas encore en parler.»
Personne n’a poursuivi en justice ce curé. Pourquoi? Il ne dit pas autre chose que M. Zemmour, avec en plus une connaissance du terrain qui donnent du poids à ses propos.
Puis M. Zemmour cite Madame Anne Lauvergeon, présidente de l'Areva (nucléaire français), sur cette phrase que j’ai traitée dans un billet:
«Quand certains grands patrons déclarent qu’ils n’embaucheront plus désormais que «des gens issus de l’immigration, et en tout cas pas des mâles blancs», c’est aussi une discrimination, mais personne ne s’en soucie. C’est pour éviter ces querelles sans fin que j’explique que <la discrimination, c’est la vie>, c’est à dire la liberté de choix. Il faut traiter les problèmes réels autrement. En tout cas, on peut en débattre dans un pays libre.»
Le propos de la présidente d'Areva est grave. Très grave. Madame Lauvergeon n’a jamais été inquiétée ni poursuivie pour discrimination sexiste et racisme. Mais cette phrase montre à quel point on en est arrivé dans la haine de soi, la haine du blanc et de l'homme, la culpabilisation de l'occident. Je ne marche pas dans ce plan.
La meute est lâchée
La rapidité avec laquelle tout le monde s'aligne pour lyncher Zemmour, alors qu'il n'est même pas en justice, et alors que d'autres tiennent impunément des propos similaires dans les termes ou dans l'esprit, en dit long sur l'état d'esprit délétère qui règne actuellement en France, et ailleurs aussi. Les marionnettes au pouvoir s'agitent et tentent de lyncher leurs têtes de turc. Le féministement correct réécrit l'Histoire comme au temps des soviets, le politiquement correct vous tue socialement, le juridiquement correct a forcément raison même dans les dérapages de la magistrature, la langue de bois devient un étendard, etc, etc.
On pourrait retrouver derrière ce lynchage l'habituel clivage gauche-droite: et bien non. De la gauche à la droite c'est l'union sacrée pour abattre un homme à cause de propos pour lesquels il n'a même pas encoré été convoqué par la justice. Pour moi qui soutiens des idées plus que leur privatisation par un bord politique ou un autre, je suis surpris qu'autant de moutons bêlants et de saintes-nitouches se précipitent dans cet hallali.
Le devoir d'incorrection
Il y a aujourd'hui un devoir d'incorrection à incarner, pour que la pensée et la liberté ne deviennent pas des cadavres dans les égoûts de l'indifférence et de la peur de déplaire. A quand une nouvelle révolution culturelle dadaïste?
J’ose espérer que, grâce à cette affaire Zemmour, le goût des vrais débats plutôt que de la politique de l’autruche reviendra un peu plus, et que la censure reculera devant la résistance. Car dans cette affaire, pour moi, d’accord ou non avec Eric Zemmour, je pense qu’il est devenu un résistant. Et je pense que sa résistance contre l’étouffement de la parole doit être soutenue et partagée. J'espère que s'il est licencié, un mouvement de soutien prendra forme contre les pisse-froids.
On a sérieusement besoin d’une piqûre de rappel de Voltaire, avant de sombrer dans le silence.
PS: Max Göldi, prisonnier en Libye, prisonnier de vengeance, otage de Kadhafi.
Commentaires
Petite précision: il n'y a pas de connotation raciste dans les propos de Madame Diallo. Elle stigmatise un corps de métier - en l'occurence la police -, non pas une "race". Par ailleurs, tous les policiers ne sont pas "blancs", loin de là.
Pour le reste, et même si l'on n'est pas d'accord avec ses propos, il faut évidemment soutenir Zemmour au nom du droit à s'exprimer. Maintenant, pour le faire, il peut sans doute trouver mieux que Le Figaro.
On peut en effet dire que tous les policiers ne sont pas blancs, mais les accuser collectivement de choisir leurs têtes selon des critères ethniques peut être vu comme une forme de racisme. Ca se discute, d'accord, mais je ne peux l'exclure totalement.
D'autre part elle disait elle-même au début du débat que la couleur de peau n'avait aucun sens pour elle. Puis elle invoque cette discrimination sur les noirs et les arabes arrêtés. C'est elle qui a introduit la discrimination dans le débat. Pour moi tout cela n'est guère cohérent et elle fait usage de la discrimination ethnique dans ses propos. Je veux bien, je préfère même que l'on puisse appeler un chat un chat. Mais alors que l'on laisse tomber ce procès d'intention fait à M. Zemmour.
D'accord sur le fait qu'il pourrait trouver de mei8lleurs supports que le Figaro en tant que pamphlétaire.
Deux sondages sont éclairants concernant le prétendu racisme de la police française.
Dans le premier (IFOP), il apparaît que 43,46% des policiers français n'ont rien contre les noirs.
Dans le second (SOFRES), il ressort que 43,46 % des policiers français sont d'origine antillaise.
J'espère que "Marianne" le reprendra au vol. Je suis en tous cas dégoûté du Figaro que je lisais jusqu'ici avec plaisir. Heureusement, RTL n'a pas fait le même calcul idiot. Ceci dit, c'est un bon prétexte pour "Le Figaro" qui estimait que Zémmour favorisait la concurrence. Seulement au lieu d'attirer la sympathie de leur lectorat, cette décision aura l'effet inverse.
On peut ajouter :
- que Zemmour est la seule voix médiatique qui ait protesté contre la proposition de loi sexiste votée par l'Assemblée nationale le 25 février 2010 sur "la prévention et la répression des violences FAITES AUX FEMMES"
- Lauvergeon n'est pas poursuivie par le Parquet mais il y a une plainte contre elle de Fabrice Robert, président du Bloc identitire.
encore félicitations a la TDG ,de reproduire cet article, je suis FRançais et très fier de l'être ; merde et merde il y en a assez de cette DICTATURE de ses associations subventionnées par l'argent du contribuable FRançais , mr Zemmour a très bien parler ,a dit la vérité et aucun jugeaoïon n'est autorisé a le sanctionner, pour ces propos Mr Zemmour n'a aucunement fauté .Quant-au figaro,ce canard devient de plus en plus une feuille de chou et bientôt il va arriver au stade de torchon , HONTE aux journaleux le dirigeant,pour être dans l'air du temps,on sanctionne,on licencie; sur cette affaire dont le figaro est totalement et entièrement FAUTIF ; Zemmour a raison .
Enfin cette petite fouine va trouver une place qui lui convient : un placard ou mieux, la rue.
" J'espère que "Marianne" le reprendra au vol ".
Je préférerais qu'il passe plutôt au " Point " ce qui serait possible,vu que ce magazine à depuis peu consacré des articles concernant Zemmour; y compris son licenciement prochain.
Si Zemmour n'a pas eu la manière de déclarer ses propos qui l'on crucifiés, il a néanmoins dit la vérité. Mais depuis quelques années; certaine vérités n'est pas bonne à dire. On ne peut bientôt plus débattre sur certain mauvais côté de certain immigrés.
D.J
on est en pleine dictature douce, dictature de la bien-pensance, de la tête dans le sable, il ne faut pas stigmatiser le immigrés, les immigrés délinquants.
il ne faut pas leur déplaire, il faut leur plaire, comme une bonne mére qui plait à ses enfants qui ne tranche pas, qui ne punit pas qui négocie, Ah dans quel travers de fonctionnement notre douce société maternante ne vas t'elle pas.
En se promenant dans Genève, on voit que Zémour a tout à fait raison, alors arrêtons de nous voiler la face, enfin si j'ose dire!
On parle de propos racistes, pour ma part je suis très souvent insulté par les dealers parce que je les regarde, leurs propos sont alors toujours racistes, comme leurs comportements!
Il n'empêche que cela aurait été l'occasion de regarder de plus près ces chiffres, d'abord pour savoir s'ils correspondent à la réalité, et si oui à l'analyser d'un peu plus près.
Je doute que la population carcérale soit constituée de personnes majoritairement aptes à un emploi décent et bénéficiant de bonnes conditions environnementales (logement, formation, etc.).
:-B
En effet Pascale, l'analyse détaillée des chiffres permettrait de savoir ce qu'il en est, et d'approfondir l'analyse.
Sur l'aspect des conditions environnementales, pour moi ça se discute davantage: tous ceux qui vivent dans des conditions matérielles dégradées ne sont pas automatiquement des délinquants. Il y a donc d'autres facteurs à prendre en compte. On peut d'ailleurs faire de même pour les délinquants autochtones.
Je trouve que les explications sociologiques manquent parfois de critères, comme les critères éducatifs vécus, la force du clan (ou la dignité familiale), par exemple. Après il faut des études longitudinales pour valider ou non l'appréciation faite selon les critères. Le risque est toujours de tomber dans la simplification et d'y mettre des ressentiments personnels. Mais avec la position française, la simplification devient réduction. Et c'est souvent en n'allant pas au fond des choses qu'elles deviennent récurrentes et empoisonnent le débat public.
@ Pascale
"bénéficiant de bonnes conditions environnementales (logement, formation, etc.)."
avant d'être en prison d'autres qu'eux bénéficiant des mêmes conditions environnementales, n'onts pas finis délinquants, c'est vrai que ceux là onts peut-être été éduqués, ils onts eu un pére eux.
Source: INSEE http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/ip706.pdf
"Je trouve que les explications sociologiques manquent parfois de critères, comme les critères éducatifs vécus, la force du clan (ou la dignité familiale), par exemple."
les explications sociologiques oublient t'elles volontairement le rapport bruel !!!
pas trés honnête tout ça
"aptes à un emploi décent" à un certain stade un délinquant n'est plus apte à un emploi décent puisqu'il est asocial !!!
Donc, si je comprends bien homme libre, ce ne sont pas vraiment les conditions socio-culturelles qui font que beaucoup d'hommes de couleurs deviennent des criminels...
D'accord. Vous en concluez quoi, au juste? que c'est la race, alors?
@ lucide
criminels Ouh là délinquants ce sera un bon début.
http://www.uniondesfamilles.org/absence_du_pere.htm
http://www.communautarisme.net/Violences-dans-les-banlieues-regarder-la-realite-en-face_a646.html
"N. O. - Ce «déficit de père» explique pour certains de nombreux phénomènes contemporains de violence. François Caviglioli, vous évoquez dans ce livre le cas des émeutes en banlieue de novembre 2005...
F. Caviglioli. - Oui, on veut maintenant refabriquer là-bas du père, mais c'est après avoir complètement assassiné les pères musulmans. Après les avoir transplantés loin de leur famille, avec la complicité des entreprises françaises. Le regroupement familial de 1974 n'aura pas restauré leur autorité, bien au contraire. Leurs enfants étaient devenus des étrangers, maîtrisant des codes auxquels, eux, tournaient le dos. Et c'est assez compréhensible. Le père musulman appliquait sans le savoir le théorème de Tocqueville : aucun individu n'accepte de fondre ses valeurs dans celles d'une société dominante s'il a la conviction qu'il n'occupera que le dernier rang dans le nouveau système. Du reste, la situation se perpétue... Pendant les émeutes de 2005, on n'a entendu que les mères. Les pères sont restés aussi silencieux et désarmés que leurs pères il y a vingt-cinq ans, ces pères de l'exil envers qui ils s'étaient montrés si sévères."
http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2217/articles/a342204-au_nom_du_p%C3%A8re.html
@ lucide:
J'ai écrit que les conditions économiques, urbanistiques ne sont pas des facteurs suffisants. Ils n'expliquent pas pourquoi, dans un même contexte ou environnement, certains deviennent délinquants et d'autres non, cela quelle que soit l'origine ethnique. De ce point de vue, on peut tenter de faire des constats (ce que me semble-t-il a tenté M. Zemmour) mais on ne peut tirer de conclusion de ces constats.
Etre délinquant c'est se mettre hors des valeurs qui fondent un groupe (et qui sont les mêmes partout: ne pas voler, ne pas tuer, etc).
Voler, tuer, c'est atteindre à sa propre dignité en plus d'atteindre à autrui et à l'organisation sociale à laquelle on appartient. La dignité, le respect de soi, la capacité à être clair et libre intérieurement parce qu'en accord avec sa conscience et ses actes, c'est un bien moral inestimable. Le voleur sait qu'il n'a plus cette clarté, et ne peut plus regarder le mode avec la même clarté, le même aplomb intérieur. Le jour où il sera lui-même victime d'une injustice ou d'une agression, il n'aura pas la même légitimité à se défendre.
Qu'est-ce qui donne la conscience de ce genre de valeur? La philosophie, la religion (en principe), l'éducation grâce à l'exemple de dignité des parents et à l'autorité qu'ils ont su prendre sur l'enfant pour lui transmettre cela.
Alors, que les mauvaises conditions économiques et d'habitation ou d'emploi puissent entrainer un sentiment de dévalorisation personnelle, une jalousie, puissent aussi déstabiliser, certainement. Mais la perte des repères moraux (dans le sens des valeurs qui fondent une organisation sociale) ne serait-elle pas due à d'autres facteurs, dans une proportion à étudier, dans laquelle la famille a explosé, dans laquelle les parents ne sont plus des garde-fous, dans laquelle parfois les parents dénigrent eux-même le pays où ils sont et encouragent le non-respect, etc?
La perte de la fonction paternelle dans les familles d'immigration récente a été abordée dans mon premier billet cité et semble aussi être une piste à prendre sérieusement en compte.
http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2010/03/19/hypocrisie-de-l-anti-racisme.html
Je ne tire aucune conclusion, je n'en ai pas les moyens, mais je propose des pistes de réflexion.
Cela suppose des recherches sociologiques qui dépassent les simples chiffres ou les boulevards intellectuels connus. Il faut aller creuser dans le fond, dans le détail. Pour moi que le constat des chiffres peut être le point de départ d'une exploration beaucoup plus poussée.
La race - ou l'ethnie puisque la notion de race n'est pas acceptée par tous - n'a rien à voir là-dedans. Mais quand une ethnie est surreprésentée dans un domaine, cela pose des questions - ou n'en pose pas, c'est chacun qui voit si cela le dérange ou non. Le constat n'est ni une conclusion ni un jugement. C'est un point de départ.
On pourrait encore parler de races, sujet qui est l'objet de désaccord dans sa définition même. C'est un peu long pour être traité ici. Je vois par contre que les mouvements antiracistes assimilent ethnie et race dans l'interdit et la sanction.
Pascale... ce que tente de dire cet imbécile ignare de leclerq... c'est que c'est la faute des femmes si les hommes ont fermés leurs gueules incapales de faire entendre leurs voix et que seul les femmes sont montées aux barricades se plaindre des violences... et c'est la faute des femmes si il existe des pères démissionaires, et encore la faute des femmes si la justice est laxiste...
Leclerq... à votre place... je me pendrais... j'ai une corde chez moi... je vous retrouve volontiers...
Je crois que de tous temps et dans toutes les sociétés, ce sont bêtement les plus pauvres et les moins éduqués qui se retrouvent en prison. Aujourd'hui, ce sont peut-être les gens de cultures différentes, mais avant ...il y a toujours eu des différences sociales au sein de la population carcérale...
Sans doute y a-t-il également un déficit d'éducation.
Mais il est clair que l'ethnie et la couleur sont la donne la moins importante de cette problématique.
@Boo
Et il a raison non? Si notre société n'était pas maternante, il n'y aurait pas de délinquance... ;-)
@hommelibre
Oui, mais on peut dire que la majorité des délinquants sont issus de milieus défavorisés, même si cela n'implique pas que tous les défavorisés deviennent délinquants. Ce qui signifierait d'ailleurs une situation de guerre civile.
Sur les causes à la Leclerq, et le manque de père, je ne suis pas d'accord. Les pères absents, ce n'est pas une nouveauté, vous ne me ferez pas croire ça. Ils l'étaient (absents) d'ailleurs probablement plus dans les milieux aisés que pauvres, ce qui voudrait dire selon votre théorie qu'auparavant les délinquants étaient tous nantis.
En poussant à l'extrême, mais c'est vrai dans certaines coins de la planète, la délinquance devient le seul moyen de survie. Rien à voir avec la culture ou la nationalité.
:-B
....relisez les "Misérables"......
Ya quand même un truc qui me botte de plus en plus en lisant certains commentaires masculins sur ce blog.
C'est quand moins de 50 ans et tout en étant ultra minoritaires dans les divers cercles étatiques, les femmes aient réussi l'exploit de materner autant de poids lourds sans aucune aide masculine !
Ya pas à dire, nous sommes fortiches ;o))
(o_o)
@ Pascale:
Je pense au contraire que l'absence de repères paternels est justement problématique. Surtout dans des familles où le père joue encore fortement le rôle de délimitation des comportements sociaux.
L'autorité du père n'est pas que psychologique, elle s'appuie aussi sur sa plus grande force physique (en principe) qui donne réalité à ses éventuelles menaces de sanction et qui, en éveillant une crainte chez l'enfant ou l'ado, introjecte la limite et le respect de cette limite.
Je pense qu'en Europe et aux USA, la diminution du rôle du père est aussi pour quelque chose dans la banalisation de la violence. Moi, mon père ne m'aurait jamais laissé dire le centième de ce que se disent certains gamins de 8-12 ans (pute, enculé, etc). Et je rejoins l'idée souvent défendue par Leclercq sur une société trop maternante. je sais que Leclercq est mal-aimé ici pour sa manière abrupte et certaines thèses qui mériteraient d'être explicitées, je l'ai déjà dit. Mais sur le fond il met en avant des thèses que les sociologues feraient bien de prendre en compte s'ils veulent être crédibles.
Tiens, je crois que je vais en faire un billet.
Loredana: le maternage n'a pas attendu le féminisme pour exister. De nombreuses femmes n'ont pas attendu les chiennes de garde pour être des dominantes et prendre le pouvoir sur les hommes. Les femmes n'existent pas que depuis 50 ans, et n'étaient pas des être soumis et incapables d'exister avant.
" je sais que Leclercq est mal-aimé ici pour sa manière abrupte"
j'estime que quand on doit dire quelque chose pourquoi tourner autour du pot.
pourquoi faire des phrases allambiquées, il faut appeler un chat, un chat.
bon j'ai pas été trés disponible depuis hier soir, hommelibre a répondu à ma place à Boo et pascale j'aurais pas fait mieux, et j'aurais surement été plus sec.
"Sans doute y a-t-il également un déficit d'éducation."
ce n'est pas sans doute c'est surement, ça me donne l'impression que tu prends jean-marie petit-clerc pour un imbécile, le juge bruel aussi d'ailleurs.
". Les pères absents, ce n'est pas une nouveauté, vous ne me ferez pas croire ça. Ils l'étaient (absents) d'ailleurs probablement plus dans les milieux aisés que pauvres"
non ils n'étaient pas abscent, le référent de l'autorité dans la famille c'était eux, vouloir faire croire le contraire c'est un mensonge, et un déni du rôle des hommes.
"ce qui voudrait dire selon votre théorie qu'auparavant les délinquants étaient tous nantis"
la notion de nanti où de pauvre n'a rien à voir, avec l'éducatif, avec des péres qui assument où non leur rôle.
la différence maintenant avec avant, ce sonts la multiplication des familles nonnées pudiquement monoparentales.
de péres d'origines maghrébines, qui ne sonts pas soutenus dans leur rôle par la société, plutôt le contraire, merçi nos chéres assistantes sociales et consorts, la structure familiale dans ces milieux est beaucoup plus fragile que celle des français de souche.
chére Boo "ce que tente de dire cet imbécile ignare de leclerq..."
toujours aussi insultante, sans aucun argument évidement comme d'habitude.
"C'est quand moins de 50 ans et tout en étant ultra minoritaires dans les divers cercles étatiques, les femmes aient réussi l'exploit de materner autant de poids lourds sans aucune aide masculine !
Ya pas à dire, nous sommes fortiches ;o))
c'est vrai vous êtes fortiche, élisabeth Badinter explique très bien comment.
"Le féminisme aujourd’hui est essentiellement constitué de deux pôles. Il fonctionne sur deux modes. Il y a les féministes universitaires, qui produisent des travaux très intéressants, souvent pointus, qui débattent de concepts tels que «la domination masculine». De ce premier pôle, qui fonctionne parfaitement depuis vingt ans, découlent des études féministes où il est question de la condition féminine avec des approches intelligentes, militantes mais très fines.
Ces écrits, ces thèses principalement sociologiques, je les respecte. Je les utilise. Ils nourrissent même, parfois, ma réflexion mais demeurent connus seulement d’un petit nombre. Ils sont signés par des spécialistes, qui parlent entre elles et dont, je ne sais pas pourquoi, la parole n’a pas d’écho médiatique. Cette réflexion-là, intellectuelle, universitaire, n’accède donc pas au grand public et reste confidentielle.
L’autre monde féministe est un ensemble de nébuleuses constitué de centaines d’associations, voire de milliers sur toute l’Europe. Sa vocation est de secourir des femmes, de venir en aide. Ses militantes, extrêmement engagées, ont une fonction unique: une fonction sociale de réparation. Ainsi, lorsqu’il s’agit, par exemple, d’associations de défense contre les violences faites aux femmes, on observe la plupart du temps une «réaction de militantes» à propos du sujet qui les préoccupe.
Ces associations-là, de terrain, ne se réclament de personne, faute de grande figure du féminisme comme Simone de Beauvoir, mais ne sont pas sans influence. Elles sont proches des médias de gauche et arrivent très bien à se faire entendre. Ce qui me paraît inquiétant, c’est qu’à partir de leur combat quotidien, ces associations dégagent une image de la femme – leur image propre de la femme, c’est-à-dire celle qui constitue leur «ordinaire» et dont elles font une «généralité». Ces féministes, qui s’occupent de femmes violées ou de femmes agressées, induisent de leur constat une condition des femmes qui remonte à la presse par le biais de leurs amies journalistes. J’ai été très frappée de voir – que ce soit pour la prostitution, pour la pornographie, ou encore pour le harcèlement – qu’aussitôt que ces associations s’intéressent de près à ces sujets, ils se répercutent immédiatement de façon négative dans les médias, télévision y compris.
À quoi cela tient-il?
Tous les secteurs «société» des grands médias sont confiés à des femmes socialement, idéologiquement et politiquement très proches de ces associations féministes. Ces journalistes s’alimentent de ce que leur apportent les associations, et ces informations sont transmises quasiment sans nuance. Elles participent donc à cette «chape de plomb» que j’évoquais précédemment. L’année dernière, au moment du débat sur la prostitution, j’ai vu à quel point il était difficile de faire entendre une parole différente.
Autre exemple marquant: au moment du débat sur la parité femme/homme dans le monde politique, l’ensemble des journalistes des secteurs«société» des médias étaient pour la parité. Or je condamne totalement cette espèce de connivence objective de génération, de milieu culturel et politique. Tout cela me semble très grave, parce que cette nébuleuse composée des différentes associations constitue, par son lien avec la presse, une sorte d’idéologie dominante. Par ailleurs, pendant les cinq ans du gouvernement socialiste de Lionel Jospin, un certain nombre de femmes ministres s’étaient entourées, dans leur cabinet, de représentants de ces associations. Il s’opérait ainsi une sorte de lobbying immédiat"
http://www.pensamientocritico.org/elisbad0105.htm
et puis sur notre bonne société maternante. lire Big Mother de michel Schneider très instructif.
Le choix de la prévention au lieu de la répression a été concocté par le pouvoir législatif, judiciaire, etc... Il ne me semble pas que les femmes minoritaires dans ces sphères, soient seules responsables de cela..
L'idéal serait d'arrêter de faire des lois et règlements à la hâte pour répondre à un problème posé par un petit groupe d'individus, sans anticiper et tenir compte de tout ce que cela implique comme changements comportementaux et donc sociétaux pour les autres.
Par exemple, amalgamer et sanctionner de la même façon les parents qui tabassent leurs gamins en leur laissant des bleus et ceux qui donnent une fessée en ultime recours quand les explications, discussions ne donnent rien, est à mes yeux une belle conn…e.
Pour finir, être une femme dominante -ce qui ne veut pas dire dominatrice- dans le couple, la sphère privée ou publique, le travail, oui cela a toujours existé et il y a même des hommes qui l'apprécie ;o)
(o_o)
@ Loredana
"Par exemple, amalgamer et sanctionner de la même façon les parents qui tabassent leurs gamins en leur laissant des bleus et ceux qui donnent une fessée en ultime recours quand les explications, discussions ne donnent rien, est à mes yeux une belle conn…e. "
tout à fait, tu a parfaitement raison.
à une époque un enfant qui faisait une bêtise à l'école prenait une baffe, et quand il rentrait à la maison il en prenait deux, par le pére, et cette attitude du pére n'était pas contestée par la mére, maintenant, la mére va à l'école mettre une baffe à la prof qui a osé touché son enfant roi, quelle protége comme une poule protége ses poussins.
ça donne aussi ça hier dans ma boite Email
"Cher ami,
Que feriez-vous si des enfants donnaient de grands coups de pied dans la porte de votre classe, en hurlant ?
Thérèse-Marie Cardon, un professeur à qui c'est arrivé, n'a pas hésité : elle a attrapé le meneur et lui a donné une paire de claques.
Le rectorat de Lille (elle enseigne au collège Dupleix de Landrecies, dans le Nord) a immédiatement ouvert une procédure à son encontre. Et la décision vient de tomber : Thérèse-Marie, 56 ans, est exclue quinze jours avec retenue de salaire.
C'est pourquoi je vous demande de signer la pétition de solidarité ci-jointe, avec Thérèse-Marie.
À SOS Éducation, nous pensons que son geste n'est pas celui d'une délinquante, mais d'une éducatrice qui a réagi d'une façon certes ferme, mais qui n’a entraîné aucune conséquence préjudiciable à la santé physique ou mentale de l’élève.
Au contraire, il est permis de penser que son geste aura appris à l'élève que son comportement n'était pas acceptable.
Beaucoup d'éducateurs responsables auraient réagi de la même façon que Thérèse-Marie. La sanctionner ainsi est injuste, disproportionné, et surtout néfaste pour toute la communauté éducative.
Car, vu le niveau d'indiscipline et de violence qui règne dans beaucoup d'établissements, s'en prendre ainsi à un professeur qui ose réagir est irresponsable.
Nous sommes très inquiets que cette sanction soit interprétée par d'autres élèves comme un « permis de chahuter » : « Allez-y les enfants, tapez dans les portes des classes, et si vos enseignants réagissent, ce sont eux que nous sanctionnerons », semble dire le recteur de Lille, qui a signé cette exclusion.
C'est pourquoi nous organisons cette pétition, pour lui demander d'annuler sa décision.
Si nous ne réagissons pas tous ensemble maintenant, alors personne ne réagira non plus lorsque vous ou moi subirons des sanctions aussi injustes.
L'espoir de nous faire entendre est réel : avec 28 652 signatures depuis vendredi soir, notre pétition démarre plus fort qu'aucune campagne de ce type jamais organisée sur Internet (à notre connaissance).
La grande pétition de SOS Racisme qui a permis d e mettre fin au débat sur l'identité nationale, avait mis trois semaines pour atteindre le même résultat.
Mais notre pression sur le rectorat de Lille n'est pas encore assez forte et c'est pourquoi je vous demande de participer vous aussi.
Avec vous et tout votre entourage, nous pouvons atteindre les 100 000 signatures.
Mais il faut que vous signiez maintenant, et que vous fassiez passer le mot à tout votre carnet d'adresses.
Je vous tiendrai évidemment au courant des résultats de notre action, si vous y participez.
Un grand merci d'avance, au nom de tous les adultes responsables qui pensent que ce n'est pas du tout rendre service aux enfants que de les laisser mal se conduire sans réagir.
Signez la pétition ici
Vincent Laarman
Délégué général
SOS Education
SOS Education est une association qui oeuvre à la défense de l'école. L'association mène tout type d'actions pour promouvoir une éducation de qualité, fondée sur des programmes cohérents, des méthodes d'enseignement, éprouvées, l'autorité des professeurs, la reconnaissance du travail et du mérite des enseignants, le respect de la neutralité de l'école.
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"Mais sur le fond il met en avant des thèses que les sociologues feraient bien de prendre en compte s'ils veulent être crédibles."
tout à fait de ce fait peu de sociologues le sonts, mais j'en ai quand même trouvé un
"Violences dans les banlieues : regarder la réalité en face
par Jean-Pierre Le Goff, sociologue"
http://www.communautarisme.net/Violences-dans-les-banlieues-regarder-la-realite-en-face_a646.html
Allez! Une p'tite lichette d'huile sur le feu, pour fêter mon retour! ;o)
La société patriarcale par excellence: le Vatican!
Pas la moindre trace de donzelles, ou alors tout juste bonnes à s'occuper des pauvres et des autres tâches subalternes...
Aux hommes biens virils (ou alors sénils??? Ch'sais plus...) les rênes du pouvoir politique et décisionel, les cordons des bourses (+-- :oO et les sièges au conseil d'administration de la Banco Ambrosiano...
Ah! Que ne donnerait-on pas à ces chères têtes blanches... Tous ces beaux mâles, adeptes de notre belle jeunesse, 'exfiltreurs' de (criminels) nazis dans les années 40, défenseurs des valeurs occidentales sous Mussolini, Franco, ou Pinochet, et agents blanchissant des mafias italiennes...
Hhmmm! Une bonne bouffée de testostérone... et de Viagra!
Me voilà tout ragaillardi!
Petits-petits-petits! Venez dire bonne nuit à oncle Popol...
=:oB
Un petit Python, un peu à côté de la plaque mais bon...
http://www.youtube.com/watch?v=9WA51ckFJfs
"- I want to have Racquel Welch dropped on top of me." ;ob
PS: Ok, c'est facile! Et mon post n'est pas du meilleur goût... Mais bon, ce n'est qu'une goutte d'eau dans un océan de ....
Alors ça, c'est un retour:-)
:-B
"La société patriarcale par excellence: le Vatican!"
mais le vatican n'est pas une société, c'est juste une énorme secte ayant pignon sur rue.
Définition:
"Société: Etat des êtres vivants qui vivent dans un groupe organisé. Ex Les fourmis vivent en société"
Si les fourmis vivent en société, je suppose que les curés peuvent le faire...
Vous pinaillez Leclercq.
:-B
Leclerc,
La perte des valeurs morales, éducatives, comportementales de la société actuelle n'est pas à mettre uniquement sur le dos des femmes. Il y aussi des hommes qui ne punissent pas fiston ou princesse, car cela pourrait les traumatiser, briser leur élan créatif !! :o(
Si cela va mal, c'est à partager à 50/50 entre hommes et femmes et pas comme vous le répéter ad nauseam, la faute aux femmes uniquement.
(o-o)
D'ici peu, Leclerc va nous sortir que si les curés sont des pédophiles, c'est à cause des bonnes soeurs qui se sont rebellées et n'ont plus voulu assouvir les besoins de ces hommes ....
(o_o)
Brian, vous manquiez! Plaisir de vous retrouver. Mais gardez un peu de votre verve pour mon billet de demain...
Loredana, vous avez parfaitement raison, je ne comprends pas que les bonnes soeurs aient voulu en finir avec cette situation dorée: des hommes non mariés, pleins de libido, avec lesquels pas besoin de partager un appart: que les avantages sans les inconvénients!
(•⸏∼)
Je reviens demain sur le reste dans un nouveau billet.
@ Pascale:
Eh oui ! Le p'tit lapin repointe le bout de ses oreilles en cette période pascale, Pascale ! =;oB
Et il a les crocs !
http://www.dailymotion.com/video/x58ich_sacre-graal-le-lapin-tueur_fun
Sa mission: défendre notre civilisation contre le péril rongeur:
http://www.dailymotion.com/video/x3k8kz_monty-python-s-flying-circus-the-mo_fun
Bon, assez de bêtises...
Au dodo.
=:oB
Le même lien "à grandes oreilles", mais de meilleure qualité:
http://www.dailymotion.com/video/x2oxwq_killer-rabbit-sacree-graal_shortfilms
Ne faites pas de cauchemars...
=:oB
:-)
J'adore cette scène!
:-B
"Si les fourmis vivent en société, je suppose que les curés peuvent le faire...
Vous pinaillez Leclercq.
bien vu pascale.
Loredana "Il y aussi des hommes qui ne punissent pas fiston ou princesse, car cela pourrait les traumatiser, briser leur élan créatif !! :o( "
dans quelle proportion. ?
moi j'aime assez l'explication de jean gabard.
"très souvent les « papas », même plutôt moins patients, n’osent plus intervenir. De plus, voyant en général moins leurs enfants que les « mamans », ils n’ont plus envie de jouer le rôle ingrat et préfèrent rester dans l’affectif et le ludique avec eux. Les mamans, plus proches des enfants parce qu’elles les ont portés et protéges, ont tendance à être plus compréhensives. Ce sont pourtant souvent d’elles que viennent les limites. En effet, en prenant l’initiative et en choisissant elles-mêmes la sanction, elles prouvent qu’elles sont libérées et s’épargneront le spectacle de leur enfant malmené par un autre. Qu’en est-il alors de l’autorité des pères ? Peuvent-ils l’avoir le jour où ils décident d’intervenir ? L’autorité parentale leur est donnée par la loi, mais il se pourrait que pour être effective celle-ci ait besoin d’être acceptée par l’enfant. En effet sortant du ventre d’une femme, l’enfant a pour référence première celle avec qui il veut rester dans la fusion. Percevant cette femme toute-puissante, il est fasciné par elle et veut l’imiter et surtout ne pas la perdre. Pour cela il a intérêt à l’écouter pour lui plaire et n’obéit à une autre personne que si cela peut plaire à sa maman. S’il voit sa maman prendre les décisions ou les laisser quand elle le souhaite à quelqu’un d’autre, l’enfant continue de la voir toute-puissante et n’a pas de raison de prendre en compte celui qui semble tenir la place de subalterne, même si celui-ci peut être un « gentil papa ». Cet homme, ne pouvant plus imposer son autorité au risque de devenir un ennemi de la maman et donc quelqu’un qui ne mérite pas d’être écouté par l’enfant, est dépendant de la volonté de la « maman » d’apparaître dépendante ou pas du père ! Si la « maman » ne joue pas devant l’enfant ce « jeu de l’aliénation » qui la fait apparaître moins « toute-puissante » et qui valorise le père, elle n’entre pas dans la fonction de mère et ne permet pas au « papa » d’entrer dans la fonction de père.
L’autorité parentale censée donner l’autorité « aux pères et aux mères » se traduit en fait très souvent par la perte de la fonction de père et de mère. Dans cette fusion-confusion l’homme perd l’autorité et la femme qui croit la conquérir ne fait que du chantage affectif incapable de faire entrer l’enfant dans la loi. En voulant fuir, à juste titre, l’autoritarisme et le machisme, non seulement nous fabriquons des « enfants-rois », mais il se pourrait que nos enfants en manque de pères et de repères "
http://le-forum-parents-profs.xooit.com/t181-le-feminisme-Du-male-dominant-au-pere-conteste.htm
"Si cela va mal, c'est à partager à 50/50 entre hommes et femmes et pas comme vous le répéter ad nauseam, la faute aux femmes uniquement."
donc si je te suis bien, le pére ayant été évincé de son rôle, si celà va mal, il est quand même 50% coupable sympa pour lui.
Le père n'a pas été évincé de son rôle, Leclerc, personne ne l'empêche de l'assumer à la maison. Et si il est stupide d'interdire toute fessée, une fessée seule n'a jamais rien résolu. Il y a des tas d'autres façons d'être autoritaire, sans lever la main...
Selon les statistiques, la répartition des tâches ménagères n'a que très peu changé. Les mecs ne font toujours pas le ménage. Ou très rarement. Pourquoi donc le rôle du père (qui est effectivement, à mon sens d'assumer une autorité plus "virile" que celle de la mère) aurait-il tellement changé, si sous les autres aspects, si peu a changé ?
Serait-ce à dire que les pères n'assument plus leur partie (le rôle du père) mais n'en assument pas davantage leur part des tâches ménagères, donc qu'ils ne foutent plus rien ??? Qu'ils ne servent plus à rien !
Ce n'est évidemment pas vrai.
Personnellement, je fais les deux. Ma part du ménage tout en assumant mon rôle de père, et plutôt trois fois qu'une. Et personne ne m'a jamais fait la moindre remarque à ce sujet, tout au contraire: je ne reçoit qu'encouragements et félicitations de toutes parts. Y compris des femmes bien sûr.
Si la société a, c'est vrai, un problème de reconnaissance de l'autorité et des limites, notamment dans l'éducation des enfants, les femmes n'en sont pas plus responsables que les hommes. Le féminisme n'est qu'un aspect des multiples mutations qui ont influé sur nos comportements sociaux depuis un demi-siècle (qui suivaient des siècles d'évolution préalable). Mutations qui comme toujours, ont du bon et du moins bon, voire du franchement mauvais.
Mais tout coller sur le dos des femmes, c'est stupide et monomaniaque, ce n'est pas scientifique et cela n'amène à rien. Juste à attiser les tensions au lieu de progresser dans la voie des améliorations à apporter.
Moi aussi j'aime bien l'explication de Gabard,
""très souvent les « papas », même plutôt moins patients, n’osent plus intervenir. De plus, voyant en général moins leurs enfants que les « mamans », ils n’ont plus envie de jouer le rôle ingrat et préfèrent rester dans l’affectif et le ludique avec eux"
qui rejoint le commentaire très juste de Philippe S.
(o_o)
@ Philippe S
les péres onts besoin d'être soutenus par la société pour assumer leur rôle,
ce qui n'est plus le cas actuellement, Aldo Naouri l'explique trés bien, la société est devenue maternante, sous l'impulsion du mouvement féministe et soixante huitard. et les femmes onts confondu égalité, autorité parentale partagée et contestation du rôle du pére, jean Gabard l'explique avec beaucoup de clarté dans mon post ci-dessus.
"Selon les statistiques, la répartition des tâches ménagères n'a que très peu changé." tes sources sonts dépassées.
"quand « 80% du noyau dur des tâches domestiques (cuisine-vaisselle-ménage-linge) » devient « 80% des tâches domestiques » ou « 80% du travail à la maison » ou « les femmes travaillent deux fois plus que les hommes » ?
D’après les mêmes chiffres si les femmes font effectivement 80% du noyau dur des tâches ménagère, elles ne font plus que 65,2% de l’ensemble des tâches domestiques (et les hommes 34,8%). Si l’on additionne le temps passé pour l’ensemble des tâches domestiques et pour les activités professionnelles, les femmes font 51,8% de l’ensemble du travail contre 48,2% pour les hommes. La différence existe bien mais on est loin des 80% - 20%.
Serait-il accepté de dire que les hommes assurent 80% du travail à la maison parce qu’ils assurent 89,1% du bricolage et 71% du jardinage (suivant les mêmes études) ?
N’y a-t-il pas propagande et même sexisme
quand, afin de victimiser les femmes les tâches domestiques de celles-ci sont jugées « contraintes » et les tâches des hommes « nobles » ?
Tondre la pelouse, tailler la haie, s’occuper des poubelles … ne seraient-elles pas des tâches tout aussi « contraintes » ?
N’y a-t-il pas propagande et même sexisme
http://justice.pa-pa.normandie.over-blog.com/article-31512256.html
d'ailleurs dans une enquête récente, avant le premier enfant pour la cuisine répartition 49% 51%, en faveur des femmes, aupremier enfant ça passe à 58% en faveur des femmes, conclusion de l'enquête au premier enfant les inégalitées s'accentuent, alors que 25% des femmes travaillent moins où onts arrêter de travailler, moi j'appelle ça de la propagande mensongére.
et dans toutes ces chéres enquêtes les gros sonts oubliés, belle malhonnêteté.
"Et si il est stupide d'interdire toute fessée, une fessée seule n'a jamais rien résolu. Il y a des tas d'autres façons d'être autoritaire, sans lever la main..." oui exemple super nanny, qui dit d'ailleurs aux hommes exigez votre place, ce qu'ils n'osent plus faire.
"Il y a des tas d'autres façons d'être autoritaire" ah oui, bien sur c'est ce qu'ils fonts en suéde et on en voit le résultat "le pays des enfants rois"
http://www.liberation.fr/evenement/0101108464-la-suede-royaume-de-l-enfant-roi
"Mais tout coller sur le dos des femmes, c'est stupide et monomaniaque, "
je ne le colle pas sur le dos des femmes, je leur explique la réalité et quelles doivent respecter leur compagnon, et ne pas contester son autorité auprés des enfants. apparement ici certaines fonts la sourde oreille.
"ce n'est pas scientifique", c'est la grande mode tout devrait être expliqué scientifiquement par des enquêtes et des spécialistes, les féministes onts la main basse sur ce systéme, qui bien analysé n'est qu'une propagande mensongére.
"Les recherches « scientifiques » sur les « violences conjugales », sur les « tâches ménagères », sur les « inégalités de salaire », sont-elles vraiment des recherches et à plus fortes raisons scientifiques quand ceux qui les font sont des partisans d’une idéologie et ont déjà les réponses avant de les avoir cherchées ?
L’interprétation des résultats obtenus par des chercheurs partisans peut-elle être considérée comme une information quand elle est donnée dans le but de défendre une idéologie ? N’est-ce pas alors plutôt de la propagande ? "
"Juste à attiser les tensions au lieu de progresser dans la voie des améliorations à apporter"
qui parle d'attiser les tensions, les hommes doivent juste exiger leur place comme dit super nanny, (il est vrai que dans le désarroi où ils sonts ils n'osent pas), si besoin avec fermeté comme l'écrit yvon Dallaire, avec assertion comme disent les psychologues. Ah j'oubliais, ils ne peuvent pas non
plus ça serait de la violence psychologique et madame serait en droit de porter plainte, avec la nouvelle loi qui vient d'être votée, sois disant pour protéger les femmes de l'infime minorité de PN qui sonts assez malin pour ne pas utiliser la violence physique. alors que la grande majorité des personnes victimes de violences psychologique sonts des hommes mais ça nos chéres féministes s'en foutent.
"Si la société a, c'est vrai, un problème de reconnaissance de l'autorité et des limites, notamment dans l'éducation des enfants, les femmes n'en sont pas plus responsables que les hommes."
non elles contestent juste leur autorité vis à vis des enfants pas plus que ça, c'est déjà pas mal, lis éduquer ses enfants l'urgence aujourd'hui, les péres et les méres d'Aldo Naouri tu y verra des exemples édifiants.
@ Loredana
j'aime bien ton commentaire,
"n’osent plus intervenir" "ils n’ont plus envie de jouer le rôle ingrat"
oui c'est le rôle ingrat, et pourtant c'est indispensable qu'ils le jouent, ils onts besoin d'être soutenus par la société dans leur rôle. la société en étant devenue maternante ne les soutient plus !!!!
je pose la question comment les péres peuvent-ils êtres soutenus par la société actuellement, je ne sais pas qu'elqu'un a-t'il une solution intéressante ?
il y a une impasse là Aie !!!!
je repense à l'enfant d'une cousine à ma femme qui manipulait la psychologue de l'école, cette psychologue veut tellement lutter contre la maltraitance infantile quelle en arrive à harceler les enfants sur le sujet, et l'enfant comprend trés bien que cette femme de part sa fonction, est capable de saper l'autorité de son pére, et il en a jouer, il s'est inventé des coups donnés par son pére, et elle n'a rien vérifier, sûre d'avoir découvert un cas de maltraitance infantile, cet exemple est révélateur, une femme reste une femme.
et dans ce cas là, au lieu de faire preuve de bon sens, son sens maternel reprend le dessus, elle sape l'autorité du pére, commme fonts de nombreuses mére qui confondent autorité parentalle partagée, avec contestation de l'autorité du pére, c'est notre société maternante qui a mis en place des personnes comme cette psychologue, toute puissante, notre société ne soutient plus les porteurs d'autorié, forces de l'ordre, enseignants, péres.
Oui, les hommes doivent bien assumer ce rôle ingrat. Ce n'est pas eux qui en sont l'enjeu, c'est pour leurs enfants. C'est vrai qu'éviter les conflits et être maternant peut être confortable pour des hommes qui eux-mêmes n'assument pas les conflits en général. Mais le rapport de force induit par le père et maîtrisé dans un cadre protégé et expliqué, est nécessaire. Les ados violents ici ou dans les banlieues cherchent ce rapport de force. Ils en ont besoin. Et c'est rarement la mère qui en a l'énergie.
Leclercq, vous ne vous rendez même pas compte que vous vous vautrez mollement dans votre logique de "société maternante" en réclamant de celle-ci du soutien pour oser agir en homme !
Perso, je fais ma part du noyau dur des taches ménagères et j'ai de l'autorité sur 3 ados, et j'aime ma compagne, qui m'aime. Ce qui me semble fondamental. Je n'attend pas de la société qu'elle vienne me soutenir ou me dire comment je dois gérer mon comportement au sein de ma famille. A l'extérieur non plus d'ailleurs. L'un des avantages de la déconstruction soixante-huitarde, c'est que chacun peut aujourd'hui vivre à peu près comme ça lui chante.
Si vous avez un problème de virilité, arrêtez de pleunicher et prenez-vous en main, que diantre ! Ce n'est pas "la faute à la société"... ou aux femmes ou à maman, ou à papa... C'est la vôtre, votre responsabilité. Et cessez de rabacher la guerre des sexes: faites l'amour, pas la guerre. Vous verrez, cela vous fera du bien.
@Leclerq
A vous entendre chialer sans arrêt sur notre société soi-disant maternante, faire preuve de bon sens, pas sûre que vous en soyez capable.
Vous commencez à me faire ch..r, pas d'autre mot.
J'ai un autre exemple de psychologue "toute puissante", une petite fille tabassée et maltraitée par son père (qui tabassait la mère également). La petite fille n'a pas voulu dire que son père la battait, elle disait être tombée, ce qui n'était pas crédible, c'était constant et sur tout le corps. Donc clôture du dossier.
On en a laissé crever des gamins comme ça, on peut donc comprendre par la suite une réaction HUMAINE et non maternante, d'être parfois trop vigilants et d'agir trop vite.
Et un gamin qui va dire que son père (ou sa mère) le bat a, à mon avis, déjà un sérieux problème d'éducation.
@ Philippe S.
"logique de "société maternante" en réclamant de celle-ci du soutien "
"Le père a toujours eu besoin du soutien sociétal pour fonder son autorité symbolique. Quand il n'a plus ce soutien, il disparaît. C'est ce qui se passe dans les sociétés occidentales aujourd'hui."
http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2217/articles/a342204-au_nom_du_p%C3%A8re.html
"Si vous avez un problème de virilité, arrêtez de pleunicher et prenez-vous en main, que diantre ! "
aahaahahahahaaahahahaha... c'est bien ce que je lui répète depuis le début à ce pauvre petit caliméro... dieu merci je ne sors pas avec un sous-homme comme lui qui a besoin qu'on lui tienne la main pour savoir ou se trouve sa place!
"A vous entendre chialer sans arrêt sur notre société soi-disant maternante, faire preuve de bon sens, pas sûre que vous en soyez capable.
Vous commencez à me faire ch..r, pas d'autre mot"
Ah vous voyez c'est dur de garder son calme :) bonne chance en tout cas ;)
@ Philippe S
le sujet n'est pas de parler de moi où de toi. mais du manque de péres dans l'éducatif aujourd'hui.
ce qui est une réalité non contestée, et de comprendre pourquoi.
et je ne vois pas le rapport entre cette réalité et le fait que je la souléve serait sois disant un signe de manque de virilité de ma part, assez affligeant comme raisonnement.
tu ne fais que nous parler du quotidien de ta petite personne, et qu'on loue tes capacités à bien faire le ménage, mais qu'est qu'on s'en fout !!!!!
actuellement il y a 40% d'enfants en déficit éducatif, apparement tu t'en fout aussi, genre ce sonts des imbéciles les parents faites comme moi qui suis beaucoup plus malin.
@ Pascale
"J'ai un autre exemple de psychologue "toute puissante", une petite fille tabassée et maltraitée par son père (qui tabassait la mère également). La petite fille n'a pas voulu dire que son père la battait, elle disait être tombée, ce qui n'était pas crédible, c'était constant et sur tout le corps. Donc clôture du dossier."
ce type de cas est très minoritaire et ne justifie en rien, que les porteurs d'autorité ne soit plus soutenus.
"Et un gamin qui va dire que son père (ou sa mère) le bat a, à mon avis, déjà un sérieux problème d'éducation."
ce gamin n'a aucun probléme éducatif ma femme s'en est occupé mais au contraire, il est intelligent, il a compris que cette gourde de psychologue était manipulable, c'est ce qu'il a fait, et ce qu'a fait cette gourde nos chéres assistantes sociales le fonts à bien plus grande échelle avec les péres musulmans des banlieues, aprés le résultat ce sonts des émeutes comme celles de 2005. et aprés notre bonne société maternante les fait encore passer pour des victimes.
@ boo
chére Boo est de retour toujours aussi niaise à ce que je vois.
Cher leclerq... toujours aussi illettré :) et toujours aussi paranoiaque et complexé... la proposition plus haut tiens ;)
Allez gros bisous à vous dans votre combat aussi ridicule que celui de Don Quichotte contre les moulins à vent :)
Leclercq, non seulement nous n'avons jamais gardé les cochons ensemble, mais je ne vous connais pas. Je ne vois pas ce qui vous autorise à me tutoyer.
Pour le reste, puisque vous ne comprenez pas pourquoi je me permets de questionner votre virilité, je me contenterai de citer... la fin de l'article du Nouvel Obs que vous venez de mettre en lien. C'est votre guru Naouri qui parle:
"A. Naouri. - Il faut du père. Mais il n'y a de père que de pacotille, et c'est heureux. Alors je dirais qu'un père suffisamment bon, au fond, ce n'est rien d'autre qu'un homme auquel la mère de ses enfants se réfère. Un amant dont elle est fière."
@Leclercq
Alors si je suis votre raisonnement, les femmes que vous dénoncez souvent, celles qui manipulent la justice pour arriver à leur fins en fustigeant leur futur ex-mari afin d'obtenir gain de cause, sont somme toute très intelligentes, et n'ont pas tort d'agir ainsi.
@ Philippe S
"c'est que chacun peut aujourd'hui vivre à peu près comme ça lui chante"
Ah oui en faisant des expériences éducative joliment post-modernes donts les enfants fonts les frais.
"ce n'est rien d'autre qu'un homme auquel la mère de ses enfants se réfère."
le probléme actuellement c'est qu'avec la dévalorisation des péres mise en place par le féminisme, les femmes n'onts plus tendance à se référer au pére de leurs enfants.
"Pour le reste, puisque vous ne comprenez pas pourquoi je me permets de questionner votre virilité"
tu est tellement englué dans ton égoisme que pour toi toute personne qui essaie d'analyser la réalité a obligatoirement des problémes.
"Et cessez de rabacher la guerre des sexes: faites l'amour, pas la guerre."
là tu te trompe de cible, la guerre c'est le féminisme qui la déclare aux hommes
et c'est normal de la dénonçer.
"c’est que le féminisme, démarche hautement communautariste, déclarait une guerre guerre aux hommes avec une volonté exprimée de les changer." HL
@ Pascale
je considére que la suite du raisonnement t'est toute personnelle.
et ces femmes là toutes intelligentes quelles sonts sont avant tout des garces.
"et n'ont pas tort d'agir ainsi." donc c'est que tu serais enclin à faire pareil !!!!
finalement à grossir le nombre des enfants en manque éducatif.
HL " Et c'est rarement la mère qui en a l'énergie."
"Le père a toujours eu besoin du soutien sociétal pour fonder son autorité symbolique. Quand il n'a plus ce soutien, il disparaît. C'est ce qui se passe dans les sociétés occidentales aujourd'hui."
Ah bon j'croyais qu'avant c'était le père le pilier du foyer celui qui protégeait, nourrissait bref celui sur lequel on pouvait se reposer, nous autres femmes ... Faudrait savoir Leclerc.
p.s. veuillez modérer vos propos, vos frustrations ne vous autorisent pas à insulter les femmes !!!!!
@ Loredana
oui effectivement avant le pére avait le soutien sociétal
la phrase que tu cite est d'Aldo Naouri.
p.s. veuillez modérer vos propos, vos frustrations ne vous autorisent pas à insulter les femmes !!!!!
p.s je ne suis pas frustré et je n'insulte pas les femmes, et il vrai qu'actuellement certains voient bien du racisme où il n'y en a pas.
Zut... me suis fait avoir. J'ai cru que pour une fois c'était de vous et pas les propos de Naouri, Dagard ou autres ;o)
Et cette phrase là,où vous dites que vous n'insultez pas ? elle est de vous ?? "et ces femmes là toutes intelligentes quelles sonts sont avant tout des garces." Vos propos ne sont pas racistes, Leclerc (mais je comprends que pour vous les femmes soient une race à part entière ;o)))), ils sont méprisants !!
(o-o)
@ Loredana
ces femmes loredana, pas les femmes, et bien ces femmes ne méritent que le mépris. non pour moi les femmes ne sonts pas une race à part entiére, c'est toi qui a écrit les femmes en généralisant au post précédent.
et j'espére qu'il y a beaucoup de femmes qui sonts révoltées par ça
" celles qui manipulent la justice pour arriver à leur fins en fustigeant leur futur ex-mari afin d'obtenir gain de cause"
Leclerc,
Je connais quelques femmes qui fustigent et emmerdent leur ex, elles ne le font pas parce que ce sont des garces mais parce qu'elles ont été blessées d'avoir été jetées, elles et les enfants, la quarantaine approchant par leurs hommes qui voulaient vivre autres choses avant d'avoir un pied (et autre chose !) dans la tombe. Et c'est le seul moyen qu'elles aient trouvé pour ne pas sombrer. Votre mépris elles s'assoient dessus, elles ne le font pas pour dominer les hommes. Juste faire payer aux leurs la souffrance qu'elles endurent.
Quant aux enfants, dans ces cas là, le père peut très bien continuer à exercer son autorité quand il est avec eux. Sauf que, pour se faire pardonner d'avoir quitté la cellule familiale, il préfère passer tous les caprices des enfants afin d'être pardonner, par eux, de sa défection.
(o-o)
mon diagnostic: mauvais choix, manque de métier, difficulté à cicatriser
@Loredana
Ouuuuuuuuuf! Attention! Il va revenir à la charge avec le sempiternel "ce sont les femmes qui demandent le divorce parce qu'eles ont été désapointées"
Et c'est vrai... comment comprendre ces femmes qui refusent de passer après les maîtresses de leurs maris?? C'est n'importe quoi!!! Elles devraient accepter la situation et fermer leurs grandes gueules et aller faire à manger et s'occuper des marmots!
Ps:
"avant d'avoir un pied (et autre chose !) dans la tombe. "
LOL :)
@ Loredana
fustiger et emmerder leur ex c'est une chose, manipuler la justice en est une autre. et puis ça peut donner aussi ça
http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article92
alors oui si elles fonts ça ce sonts des garces. que ces femmes que tu connais fassent partie de la minorité de femmes bléssées par leur ex et une chose, mais ça n'autorise pas toutes les bassesses.
cite moi des hommes, les plus nombreux qui onts été victimes des femmes qui s'autorisent ces bassesses.
se vengent-ils pour ne pas sombrer.
fonts-ils payer les souffrances qu'ils endurent, et en plus ils onts la justice familiale contre eux.
(ceux qui ne supportent pas la séparation, tues leur ex et se suicident aprés,
ça rentre dans les chiffres de la violence conjugale, le tiers), beaucoups se suicident sans émouvoir personne.
"le père peut très bien continuer à exercer son autorité quand il est avec eux. Sauf que, pour se faire pardonner d'avoir quitté la cellule familiale, il préfère passer tous les caprices des enfants afin d'être pardonner, par eux,"
un pére ne peut pas continuer à exercer son autorité quand il vois ses enfants deux week-end maxi par mois, tous les péres deviennent des papa gateaux dans ces conditions.
"que ces femmes que tu connais fassent partie de la minorité" ?
Leclerc ça c'est la majorité !!!! La minorité sont celles qui accusent d'inceste leur ex ! Faudrait voir à ne pas inverser les choses !!! (je ne connais, personnellement, aucun homme ayant été victime de telles accusations)
"ceux qui ne supportent pas la séparation, tues leur ex et se suicident aprés,
ça rentre dans les chiffres de la violence conjugale, le tiers"
D'accord avec vous pour cela ! Les femmes qui tuent leur familles et se suicident après sont rarissime !
Enfin, pourquoi un père ne pourrait pas aller chercher son gamin une ou deux fois durant la semaine et faire le chemin jusqu'à chez son ex ? Le chemin de l'école à toujours été, pour moi, un moment priviliégié où l'enfant livre les problèmes, peurs, joies qu'il a vécue ce jour-là à l'école. Et si cela n'est pas possible, pour X raisons, et qu'il doive le voir qu'un WE sur deux, il se doit quand même -en tant que référent adulte- à mettre un holà si la situation l'exige. Mais il est vrai que la trouille que nos enfants ne nous aiment pas/plus et que le WE soit gaché est plus forte que tout autre considération éducative.
(o-o)
Loredana, d'accord avec votre dernier paragraphe. Mais pas facile. Ayant vécu le 1 WE sur 2, du samedi 12h au dimanche 18h, quand j'allais prendre ma fille et que sa mère avait préparé des activités pour elle sur mon WE, cela prenait jusqu'au dimanche midi pour rétablir une communication sans tension. 24h où rien ne passait entre elle et moi... 6 h pour réparer cela...
La "manipulation" de la justice fait souvent partie de l'imaginaire de certains présenté pourtant comme une réalité vécue.
Tout d'abord, il est bien boiteux de prétendre que les femmes cherchent plus à manipuler la justice que les hommes. Une telle affirmation est en fait imbécile, avec un minimum de recul. Ensuite, même dans cette hypothèse, cela ne veut pas encore dire que les femmes (ou les hommes) sont favorisé(e)s. Tout est une question de point de vue, et il est naturel que ceux qui l'ont vécu ont parfois le sentiment d'avoir été défavorisé. Cela ne veut pas dire que tel est le cas. Rien ne sert de tirer des conclusions hâtives et générales sur des sujets qui relèvent à chaque fois du cas particulier.
Je n'ai pas vécu cette situation Hommelibre, mais je comprends que cela ne soit pas facile du tout, pour les deux adultes et surtout pour l'enfant.
L'adulte ne doit pas lâcher l'enfant, il doit lui faire savoir qu'il/elle sera toujours là pour lui, le relancer. Jusqu'à ce que le dialogue soit rétabli
(o_~)
@ Loredana
"que ces femmes que tu connais fassent partie de la minorité de femmes bléssées par leur ex"
dans les cas de séparation les femmes blessées par leur ex sonts une minorité.
la majorité c'est ça
"D'après la sociologue française, Evelyne Sullerot, féministe delà première heure, mais reconvertie après la fondation de l'organisme Retravailler où elle a reçu plus de 500 000 femmes, dont beaucoup étaient divorcées,
«Il ne faut pas oublier que ce sont les femmes, dans trois cas sur quatre, qui demandent la séparation... Et pourquoi la demandent-elles ? Diverses études montrent que la cause numéro un est le désappointement... Elles ne supportent pas le quotidien sans la romance : je m'ennuie, donc je veux refaire ma vie...
s'exclame la
Vous n'êtes pas tendre envers les femmes, journaliste.
Non. Je crois qu'elles n'ont pas très bien géré la formidable liberté qui leur avait été donnée. Je pense que tout cela est rattrapable. Mais je voudrais leur dire qu'elles ne sont pas les propriétaires de leurs enfants. »"
et dans ton exemple l'homme quitte sa femme pour une jeunette.
pas courant non plus, les hommes brisent rarement leur foyer pour une amante, les femmes le brisent pour refaire leur vie, c'est dans l'air du temps parait-il
mais n'est-ce pas pire !!!!
"il se doit quand même -en tant que référent adulte- à mettre un holà si la situation l'exige."
"P.S. : Selon vous, la fonction de mère a une importance primordiale et ne peut jamais être retirée. En cas de divorce, le père conserverait son rôle de géniteur et de père social, mais perdrait son rôle de " père fonctionnel " ? Vous allez faire hurler beaucoup de papas solos qui fréquentent notre site…
A.N. : J'espère que non et je vous remercie de me poser cette question qui me permet de m'adresser directement à eux. Le père fonctionnel dont je parle, c'est le père qui régule, dans la construction de la psyché de l'enfant, l'action de la mère de cet enfant. Non pas en intervenant sur l'enfant mais sur les attitudes et les dispositions de la mère. Il lui faut, pour cela, se faire entendre d'elle. Or, s'il y a une personne qui sait ce qu'il en est de la surdité potentielle d'une mère, c'est précisément le père de l'enfant qui a quitté cette mère. Si elle lui avait prêté une oreille attentive, ils ne se seraient sans doute pas séparés. On sait par ailleurs que l'enfant a une sensibilité spécifique très grande à l'endroit des pensées de sa mère, qu'il devine littéralement. Le père séparé n'a plus les moyens d'intervenir sur la relation de la mère à son enfant"
http://www.parent-solo.fr/modules/smartsection/item.php?itemid=191
@ Ngabo
la justice familiale est sexiste, ce n'est pas moi qui le dit c'est la commisaire nicole Tricart
http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article92
"Le non-paiement des pensions alimentaires, qui constitue le délit le plus fréquemment reproché aux ex-maris, est condamné dans 90% des cas, dont 24% à de la prison ferme. Mais 11% seulement des non-présentations d’enfants, infraction le plus souvent commise par les ex-épouses, se traduisent par des sanctions pénales, dont 0,47% d’incarcérations. Et huit plaintes sur dix sont classées sans suite. « Cela m’ennuie de le reconnaître, murmure la commissaire Nicole Tricart, mais la grande majorité des professionnels spécialisés dans les affaires de mineurs et de divorce - avocats, juges, experts, policiers - se trouvent être des femmes... »"
@Boo
Bien vu ! Un point pour vous !! MDR MDR !!!!!
(o_~)
Leclerc, je suis assez d'accord avec vos derniers propos, sur les causes de divorce et sur le traitement des divorces. Notamment en Suisse. Sans entrer dans les détails, mes expériences et celles de mes proches le confirment.
Toutefois, je ne crois pas que la solution soit dans une guerre à outrance aux femmes et au féminisme, qui n'est que la conséquence d'un déséquilibre ancestral en faveur des hommes. Une femme n'avait pas le droit, ni de refaire sa vie, ni d'avoir un amant... Un homme c'était possible, beaucoup plus facile.
Il fallait rétablir l'égalité, dans un tas de domaines. Ce qui engendre toutes sortes de déséquilibres. Nous sommes encore dans cette période de mutation, mais c'est par le dialogue et la compréhension fine que nous rétablirons l'équilibre et la compréhension entre les sexes, mais surtout entre les individus.
Parce que le rapport homme-femme, principalement se déroule dans le couple, entre deux individus, et c'est là qu'il faut travailler pour développer des rapports harmonieux, des rapports amoureux, même une fois passés les premiers transports passionnels. Et pas des rapports d'agressivité. Lorsque l'on est devant le juge, c'est déjà un échec. Et l'introduction de procédures amiable set raccourcies ne peut être que positive.
Maintenant il est clair que l'aspect financier, dans cette société, est primordial. Aussi important que l'affectif dans ces histoires sans queue ni tête.
@ Philippe S.
"Ce qui engendre toutes sortes de déséquilibres. Nous sommes encore dans cette période de mutation, mais c'est par le dialogue et la compréhension fine que nous rétablirons l'équilibre et la compréhension entre les sexes"
tout à fait la seule solution est la meilleure entente possible entre les sexes.
@ leclercq
J'avoue n'avoir pas lu votre réponse dans la mesure où cela concerne la France et non pas la Suisse, alors que dans ce domaine précisément, les choses sont quand même quelque peu différentes. En outre, il ne faut pas mélanger le droit pénal et le droit civil.
"et dans ton exemple l'homme quitte sa femme pour une jeunette.
pas courant non plus, les hommes brisent rarement leur foyer pour une amante, les femmes le brisent pour refaire leur vie, c'est dans l'air du temps parait-il
mais n'est-ce pas pire !!!!"
Pas courant que les hommes habités par le démon de midi (certainement encore une fable inventée par les féministes fanatiques!) prennent une jeunette? Ahahah! Je ne vois que ça autour de moi. La quarantaine et hop, on saute les pas. Bien sûr qu'ils ne demandent pas le divorce! Trop lâches pour prendre leurs responsabilités (pension alimentaire, enfants, etc.) Et pour quoi faire? Il y a bobonne à la maison qui s'occupe des enfants, du ménage pendant que monsieur s'offre des galipettes avec la jeunette. Pourquoi s'encombrer de procédures, de tribunal, de juges, d'avocats? Jouir sans entraves, oui! La femme généralement est toujours attachée à son mari et espère qu'il finira par revenir... C'est quand elle comprend qu'il est parti définitivement et qu'elle est en train de se faire gruger dans les grandes largeurs qu'elle met enfin le mari volage devant ses responsabilités et demande le divorce. Toutes des salopes comme disait Bedos!
"Toutefois, je ne crois pas que la solution soit dans une guerre à outrance aux femmes et au féminisme, qui n'est que la conséquence d'un déséquilibre ancestral en faveur des hommes. Une femme n'avait pas le droit, ni de refaire sa vie, ni d'avoir un amant... Un homme c'était possible, beaucoup plus facile."
Eh oui! Mais certaines personnes ne veulent pas perdre leurs privilèges.
Il suffit de voir le rapport prostituées/prostitués. Et encore les prostitués dans la très grande majorité des cas offrent leurs services à des hommes.
@ Johan
"Trop lâches pour prendre leurs responsabilités (pension alimentaire, enfants, etc.) "
on peut retourner ta phrase, assez lucide et honnêtes avec leur famille qu'ils entretiennent autant sinon plus que la mére de famille. pour ne pas la briser pour une histoire de cul passagére. une pension alimentaire ne remplace pas une famille unie donts les deux parents jouent leur rôle. alors tu vois ce n'est pas de la lacheté.
inversement les femmes sonts bien égoistes actuellement de briser des familles
parce qu'il n'y a pas assez de romance dans le couple.
et aprés elles forment des familles dites pudiquement monoparentales avec un éducatif des enfants catastrophique.
"C'est quand elle comprend qu'il est parti définitivement "
parti définitivement alors que les amantes voient trés peu leur amant marié, jamais les weeks-end, ils ne passent qu'en coup de vent pour des cinq à sept, elles sonts tout le temps à les attendre.
Ahlala ce pauvre leclerq toujours aussi à la masse...
Je pense que si la situation serait inversée, soit la femme qui aurait une "histoire de cul passagère" le mec ferait pareil en prenant ses cliques et ses claques et il aurait bien raison... vous savez pour avoir regardé ma mère souffrir alors que mon père s'envoyait en l'air x et y petite pouffe de passage, je peux vous dire que j'ai prié tous les jours pour qu'elle demande le divorce! Quand elle l'a enfin fait j'ai pu à nouveau la respecter! Parce que c'est pas facile de respecter qui que ce soit qui tolère de voir son conjoint la traiter comme une bonne/nounou/cuistot pdt qu'il se vide ailleurs!
Et mon père, j'aurais souhaité un peu d'intégrité de sa part! Qu'au moins il prenne ses responsabilités et se comportent en homme et pas comme un pauvre type!
Et malheureusement... on voit que ça! Les femmes qui ont un amant quittent leurs maris, parce que souvent elles s'attachent et c'est plus que juste une histoire de cul...
Vous pensez que vos bouquins à la con vous donnent toutes les réponses, et certainement une famille unie est un meilleur cadre de vie pour des enfants... mais pas au prix du bonheur des parents, pas au prix du sacrifice de sa dignité!
Mais enfin si le jour ou votre femme vous trompe vous préferez faire la lavette... libre à vous... à voir le personnage et votre manque de confiance en vous je serais pas étonnée que vous attendiez patiemment que ça lui sorte du système et qu'elle ait bien pris son pied ailleurs avant de revenir...
@ Boo
"mais pas au prix du bonheur des parents, pas au prix du sacrifice de sa dignité! "
une famille même non unie comme tu dis est toujours un meilleur cadre de vie qu'une famille dite monoparentale.
le divorce est une solution extréme alors qu'il est devenu la norme pour satifaire le bovarysme féminin.
http://www.fredi.org/index.php/Quelques-pistes/Une-idee-dans-l-air-depuis-10-ans.html
Comme d'hab vous êtes ps foutu de réfléchir par vous même... vous êtes vrmt un pauvre type et franchement vous avez dépassé le stade du lourd pathétique! Vous aimez vous relire ou quoi??!!! A répéter les mm âneries qui n'impressionnent que vous et votre minuscule cerveau sous-développé!! Quand vous aurez vécu un peu au lieu de nous asséner vos théories à la noix revenez vous exprimer!
@ Boo
tu a du trouver ce lien très intéressant !!!!
"Vous dites que l'on refuse de voir les dégâts engendrés par le haut taux de divortialité... On a étouffé sciemment le ddébat sur les conséquences. On n'a pas voulu voir ce qui allait à l'encontre du grand dogme de la liberté individuelle. J'ai répertorié tous les articles de la presse féminine sur-tout dans «Elle» et «Marie-Claire» et le discours est unanime: pour être une bonne mère, il faut être heureuse et épanouie. Donc si vous êtes sentimentalement, sexuellement, amoureusement bien, ce n'est pas la peine de vous forcer à quoi que ce soit.
Une attitude qui remonte à une trentaine d'années? A l'origine, il y a la contraception, danns les années soixante. Une fois surmonté le problème des grossesses non désirées, l'attention s'est naturellement reportée sur le couple. Depuis trente ans environ, peut-être un peu plus, nous sommes obnubilés par le couple. A donc été considéré comme progrès tout ce qui permettait à la fois l'authenticité, la sincérité et la qualité de la relation et donc sa liberté de se séparer. C'était en rupture avec les exigences beaucoup plus lourdes de la tradition, et on a eu une impression formidable de libération, de légèreté et d'authenticité dans les sentiments. Nous avons vécu dans un culte du couple et quand je dis «nous», j'entends tout le monde, y compris l'Eglise catholique. Puis un grand tournant a été pris quand ce «couplisme» a viré à une morale uniquement individualiste. Surtout chez les femmes. Elles avaient été plus... je ne veux pas dire opprimées, non... mais beaucoup soumises à l'autorité d'une loi qui les dépassait. Obligées de se consacrer aux enfants, d'obéir, etc. Donc, tout ce qui était libération de la femme a été salué comme un progrès. On s'est voilé la face sur les conséquences à terme."
" C'est justement cette détermination à banaliser le divorce qui commence à courir sur le fil de ceux qui sont les plus directement confrontés à la souffrance. Comme Jean Vallet, directeur du Service de protection de la jeunesse vaudois. Depuis 29 ans qu'il voit défiler des mômes en rupture, il ne peut s'empêcher de constater que leur nombre augmente parallèlement à celui des divorces: 3669 mineurs l'année dernière, dont 65% à 75% vivent séparés d'au moins un de leurs parents. Mais ce chiffre-là, personne n'a envie de l'entendre. Jean Vallet: «J'ai récemment donné une conférence où j'ai dit que le divorce était un important facteur de fragilisation de l'enfant. Vous auriez dû voir mon auditoire! Des fusils à la place des yeux."
"
Il n'est guère difficile d'imaginer pourquoi nous tentons tous de nous voiler la face. D'une part, il suffit à chacun d'ouvrir son carnet d'adres-ses personnelles pour constater que, décidément, les divorcés sont quelques-uns. Et qu'ils n'ont pas forcément très envie d'entendre que la chair de leur chair ne trouve pas cela «extrêmement épanouissant au niveau du vécu». Plus profondément, la banalisation du divorce participe à cette idéologie de la liberté individuelle issue de la Révolution française, renforcée évidemment au travers de l'expérience individualiste des années 70, puis de la philosophie hédoniste qui lui a succédé. D'une certaine façon, l'idée dominante veut que «la famille» soit un concept de vieux débris réactionnaires, alors que «les familles» avec toute la nébuleuse des recompositions à la carte passe pour une idée ouverte, nouvelle, décontractée.... «Nous en arrivons aujour-d'hui à un dogme aberrant, relève encore Gérard Salem. Nous sommes obsédés par l'idée qu'il faut "se protéger", ne pas "s'aliéner"... Mais bon sang, on ne vit pas pour être protégé! Etre dépendant n'est pas une maladie!»"
je suis content d'avoir trouver pour toi un lien intéressant qui te fera méditer.
Je sais pas ds quel monde vous vivez espèce de pauvre tache, mais un parent qui se fait violence pour le bien de ses enfants c'est sûrement pas ce qui est le mieux!!! Parce que c'est une chose de faire bonne figure alors que chaque matin on aimerait ne pas se réveiller, suivre des psychothérapies pour ne pas se sentir comme une merde alors qu'on est traité comme tel, et pleurer tous les soirs en se couchant c'est pas la joie comme vie!!! Et si vous croyez qu'un gamin ne voit pas, ne ressent pas et ne souffre pas de voir un de ses parent souffrir vous vous mettez le doigt dans l'oeil!!!!! Faut vrmt que vous arrêtiez de nous bassiner vos trucs à la con!!!! Vous êtes chiant au possible!!!!! pas de gamins, pas marié, rien vécu, mm pas appris à écrire correctement dans votre propre langue, par contre pour venir souler tt le monde avec vos théories vous êtes le champion!!!!!!! Personne dit que le divorce c'est top, mais parfois il y a pas d'alternatives!!! En fait ce qui vous fait chier c'est que mtn les femmes ont le choix puisqu'elles bossent! Pas comme du temps de ma pauvre grand-mère qui vivait avec un homme qui se permettait mm de ramener ses maitresses sous le toit familial parce que bon... c'est pas comme si elle allait se casser... pour aller ou?????
Mais pour vous c'est juste des petites histoires de culs... la souffrance que ça engendre vous passe au-dessus puisque vous pouvez vous les vider hein!???
pffffffffffffffffffffffff....
"une famille même non unie comme tu dis est toujours un meilleur cadre de vie qu'une famille dite monoparentale".
Purée! ça dépend! Mes enfants, même si on a vécu la galère en famille monoparentale après un divorce très douloureux, me disent encore aujourd'hui que j'ai pris la meilleure décision (ils ne supportaient plus les engueulades perpétuelles)
@ divorcée... si vous avez le plaisir immense de lire parfois les interventions de ce cher leclerq... vous devez savoir qu'en fait ce qu'il attend de vous dans votre qualité de femme, c'est de ne pas gueuler, ne pas être en désaccord avec votre homme qui a sûrement toujours forcément raison (c'est un homme ça va de soi), de prendre sur vous, et de toujours approuver de ce qu'il fait... voilà voilà...
en fait de femmes, leclerq aimerait que nous devenions toutes des poupées gonflables...
@ Boo
incapable de lire correctement ce que j'écris, toujours a exagérer c'est pas de sa faute elle fonctionne comme ça.
@ divorcée
"Purée! ça dépend! Mes enfants, même si on a vécu la galère en famille monoparentale après un divorce très douloureux, me disent encore aujourd'hui que j'ai pris la meilleure décision (ils ne supportaient plus les engueulades perpétuelles)"
évidement dans un cas aussi critique il vaux mieux divorcer. là on est plus dans le bovarysme féminin.
question comment démarraient ces engueulades ?
@ Boo
"Et si vous croyez qu'un gamin ne voit pas, ne ressent pas et ne souffre pas de voir un de ses parent souffrir vous vous mettez le doigt dans l'oeil!!!!! Faut vrmt que vous arrêtiez de nous bassiner vos trucs à la con!!!!
mes trucs à la con, merci c'est sympa, toujours aussi inculte à ce que je vois chére Boo
"Or, cette relation, l'enfant en est issu, il l'observe, la soigne, y puise son énergie. Et la tension l'empêche d'évoluer, puisqu'il s'abîme à trouver des stratégies censées ramener ses deux parents ensemble. C'est pathétique de voir cet espoir que les enfants gardent des années durant.» "
médite cette phrase ça te fera du bien.
"Gérard Salem n'est pas seul à tenir ce langage. Prenez Maurice Hürni. Le psychiatre et sexologue lausannois, auteur de nombreux travaux sur le couple et thérapeute au centre Pro Familia, énonce des convictions que personne n'a très envie d'entendre: «Le divorce a été un acquis précieux pour la liberté individuelle, mais il est devenu une caricature de lui-même, une monstruosité humiliante et destructrice.»
De la dynamite pure. Quoi? Voilà des analystes censés soigner les bobos de nos âmes, payés pour nous cajoler dans le sens du poil, qui se permettent de dire qu'avec nos 38% de couples destinés à divorcer, nous fonçons la tête dans le mur?
Maurice Hürni n'a pas toujours pensé en termes aussi violents. Quand il s'est formé à la thérapie de couple, dans les années 80, il a appris, comme le voulait l'air du temps, que mieux valait un divorce réussi qu'une mauvaise entente constat qui garde sa pertinence, mais revient «à choisir entre la peste et le choléra» comme il le relève aujourd'hui. Il s'agissait alors de valoriser l'épanouissement personnel et si celui-ci fleurissait mieux hors du couple, tant pis, séparons-nous, cela vaut mieux pour tout le monde et, par ricochet, pour l'enfant aussi. Facile, rassurant, déculpabilisant."
"Facile, rassurant, déculpabilisant."
ça aussi c'est à méditer !!!!
Vous êtes tellement stupide que je crois que vous comprenez mm pas ce que vous lisez... :/
Vous feriez peur si vous étiez moins stupide... grace à dieu vos dégâts se limitent à la toile qui doit faire les frais de votre bêtise sans fin...
Je vous souhaite bien du bonheur en tout cas... je vois que le simple fait de vous relire vous procure une joie incroyable... malgré le fait que vous ne trouviez personne qui partage vos "idées" vous semblez content de vous... c'est bien... on dit souvent que les imbéciles sont heureux de peu de choses...
Bonne nuit.
@ Boo
" Depuis 29 ans qu'il voit défiler des mômes en rupture, il ne peut s'empêcher de constater que leur nombre augmente parallèlement à celui des divorces: 3669 mineurs l'année dernière, dont 65% à 75% vivent séparés d'au moins un de leurs parents. Mais ce chiffre-là, personne n'a envie de l'entendre. Jean Vallet: «J'ai récemment donné une conférence où j'ai dit que le divorce était un important facteur de fragilisation de l'enfant. Vous auriez dû voir mon auditoire! Des fusils à la place des yeux."
tu a la même ouverture d'esprit que l'auditoire de ce monsieur.
" grace à dieu vos dégâts se limitent à la toile qui doit faire les frais de votre bêtise sans fin..."
tu appelle dégats de dénonçer la propagande mensongére du féminisme, la dictature de la bien pensance. enfin tout ce qui dévie du bourrage de crâne médiatique qui te sert de pensée.
Bonjou, je signe car je trouve cela très important. bonne chance pour votre cause !
C'est vrai que cela fait longtemps que vous vous battez pour l'intelligence, HL. Sincères félicitations...