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Mort de Clément Méric: l’autre histoire

Le débat est un ogre. Il s’empare de tout, des morts comme des vivants. Il s’est emparé de Clément Méric le jour même de son coma. Méric, le tendre à la gueule d’ange, qui aurait été assassiné volontairement par un skinhead à Paris au début juin. C’est la story telling officielle, remplie d’émotions et de légitime indignation. De quoi remplir le ventre insatiable de l’ogre.

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Quelques jours plus tard la storia avait changé. Plusieurs témoins ont déclaré avoir vu les Antifa (groupuscule extrémiste auquel appartenait Clément Méric) provoquer les skinheads, et non l’inverse. Ils les ont chauffés et insultés dans le magasin de vêtements où les deux groupes se fournissaient, mais les skins droitistes refusaient le combat. Le groupe de Méric les a attendus dans la rue. Ils ont attrapé les skins et ont initié le combat.

Les antifas sont des sortes de fascistes, mais de gauche. Ils seraient donc plus légitimes. Jean-Noël Cuénod défendait sur son blog l’extrémisme de gauche en arguant de leur idéal malgré leurs excès, de leur philosophie pour plus de justice sociale.

On sait pourtant que l’extrémisme de gauche a semé la terreur et la mort en Europe dans les années 1970-1980. A l’époque il y avait un courant libertaire représentant une gauche intellectuelle, libérale et idéaliste, et moins clivée. Et il y avait les «maos» et autres gauchistes très politisés. On sait que les gauchistes se référaient à des idéologies extrêmes, oppressantes, meurtrières. J’en ai côtoyés dans ces années de sang, car ils se mêlaient souvent aux idéalistes. Je me souviens de leur rigidité, de leur manière de plier l’Histoire et les individus à leur idéologie, de leur volonté de «détordre» ceux qui pensaient faux. La masse étant inculte ils allaient la «cultiver». Ces petits bourgeois nantis prétendaient parler au nom du peuple, comme s’il n’y avait qu’un seul peuple: le leur, leur possession, fruit de leur OPA idéologique.

Leur but était la prise de pouvoir, puis la dictature du prolétariat, et peut-être loin derrière une justice sociale imposée par une oligarchie politique. Mao et Che, leurs héros de l’époque, étaient des autocrates sanguinaires. Fameux héros!... Le paravent de justice sociale leur permettait alors d’échapper au tribunal de l’Histoire. Staline avait envoyé les soldats lutter contre les troupes d’Hitler, merci à eux; les autres il les avait joyeusement mis au goulag ou aux fosses communes, dont en particulier les juifs, comme Hitler le faisait... On connaît aussi les liensclément méric,antifa,skinheads,paris,mort,gauche,hollande,clémentine autain,fascisme,staline,mao,che,hitler,vidéo,ratp, entre ces groupes d’extrême-gauche des années 1970-1980 et le terrorisme international, palestinien en particulier. Quant au Black Bloc actuel, il n’a rien à envier aux groupes fachos d’il y a quelques décennies.


L’émotion, piège à cons

Et puis comment peut-on dire que les fascistes n’ont pas d’idéal? Hitler prônait aussi une justice sociale, même si elle était mêlée de théories terrifiantes aux conséquences dramatiques. Les violents de gauche seraient des intellectuels magnifiques et bons, un peu égarés, et ceux de droite des incultes brutaux? Dommage que Jean-Noël Cuénod se prête, dans sa «correctitude» bobo, à une telle mascarade intellectuelle. Il ne s’agit pas de défendre l’extrême-droite, aussi détestable et limitée politiquement que l’extrême-gauche, mais de renvoyer dos à dos deux extrémismes dont la violence est la principale philosophie.

Donc le parti-pris idéologique et la charge émotionnelle ont d'abord fait de Méric une victime sublime et d’Esteban Morillo un criminel dur, froid, ayant frappé avec l’intention de donner la mort. Et puis on a découvert que le groupe Antifa (en fait d’autres skinheads se battant possiblement pour une suprématie territoriale) n’a pour philosophie que la violence. Il cherchait de longue date à casser du skin. Il avait mis la photo d’Esteban sur son site comme pour préparer un lynchage. Le jour de la vente, quand les deux groupes se sont croisés, on sait que c’est celui de Méric qui a provoqué l’autre.

Et depuis deux jours une vidéo est mentionnée. Celle de la caméra de surveillance de la RAPT sur le lieu de la bagarre. La polémique s’est engagée sur ce que les images montrent. Elles ne sont pas dans le public mais certains journalistes semblent y avoir eu accès, ainsi qu’aux confidences de policiers.

Le minimum montré par les images, selon eux, est qu’il y a eu une bagarre en règle. Esteban a été attaqué par deux antifas puis par Méric. Là les versions divergent: Méric a-t-il frappé en premier par l’arrière? Libération prétend que la caméra ne filmait que les pieds à ras du bitume et qu’on ne peut l’affirmer. Le quotidien cite des agents de la PJ selon lesquels on ne voit pas de visages. Pourtant RTL confirme sa première version et contredit Libé. La caméra a bien filmé des corps et des visages.

clément méric,antifa,skinheads,paris,mort,gauche,hollande,clémentine autain,fascisme,staline,mao,che,hitler,vidéo,ratp,Un autre journaliste, Jacques de Guillebon, de Causeur, confirme la version de RTL:

«... alors qu’Esteban Morillo lutte contre deux assaillants, Clément Méric tente de le frapper par derrière. Morillo se retourne et lui assène deux coups en pleine figure mais, et les images le confirment, c’est sans poing américain.»

Selon un autre témoin qui a assisté à la bagarre (un vigile qui avait vu les groupes dans la boutique): «Clément Méric voulait vraiment en découdre. (...) Il semblait vraiment haïr ces gens.»


Que tirer de cela?

L’autre histoire qui émerge peu à peu est celle d’une une agression du groupuscule d’extrême-gauche sur celui d’extrême-droite. Clément Méric, décrit par plusieurs témoins sur place, ne ressemble plus au gentil étudiant à la gueule d’ange. Il ressemble à un acharné violent, à un agresseur dont la philosophie est de casser du skinhead.

La récupération politique, l’émotion de Clémentine Autain affirmant qu’il s’agissait d’un assassinat politique, sont donc hors de propos. Méric, membre d’un groupe violent, est mort pour avoir lui-même déclenché une agression. Mort pour rien.

Que tirer de cela? Rien de nouveau a priori. Ce genre d’affaire émaille la démocratie française et sert de paravent ou de jeux du stade dans les époques troublées où le pouvoir n’a plus de prise sur le réel. Dériver l’attention du bon peuple permet à chaque fois de gagner quelques mois sur un mandat vide de signification et d’actes politiques forts. Où en est la gauche française, autrefois si foisonnante d’intellectuels passionnants et libres dans leur tête, avec de riches réflexions de société? Il semble qu’elle n’ait plus grand chose à dire. Elle est devenue étouffante et intellectuellement malhonnête.

Et pendant ce temps les français oublient qu’aucune politique économique réelle n’est mise en place et qu’aucune réforme d’envergure n’est en vue. Pépère Hollande est bienheureux. La France devrait l’être aussi, non?


Images antifas


Catégories : Politique 40 commentaires

Commentaires

  • Houla mais alors:
    si Meric n'est pas un martyr angélique, si Cahuzac n'est pas honnête , si aucun vainqueur du tour de France n'est pas dopé, si Balladur a été détecté positif aux rétro commissions, si Tapie a acheté plus d'arbitres que de raisonnable, si Servier fait son beurre sur le dos des même pas malades en les tuant, si les femmes ne sont pas eternellement et exclusivement victimes, si.....
    Bref ce qui est rassurant c'est qu'on commence à savoir la vérité cachée derrière les vitrines de la bien pensance, mais avouez que c'est angoissant.

  • Le fait qu'il y ait une connivence d'extrême-gauche avec le centre-gauche est avéré, tout comme il y a une connivence d'extrême-droite avec le centre-droit ( l'idéologue de l'UMP Patrick Buisson). Le problème des extrêmes est qu'ils vont jusqu'au bout des idées de la gauche ou de la droite: quoi d'étonnant s'il y a des morts, quand ce que l'on pense est idéologique? Un extrémiste a tué un autre extrémiste, et c'est tout.

    Cela montre que la démocratie est toujours vivante, mais il ne faut pas pour autant céder au désespoir. Pour quelques échecs, combien de belles et grandes réussites?

    @ hommelibre: certes François HOLLANDE n'est pas Nicolas SARKOZY, il ne claironne pas et n'est pas hyperactif médiatiquement parlant. Si vous voulez connaître sa politique économique, il suffit de voir une de ses interventions (il y en a eu 3 ce me semble). Que des ministres ne se fassent pas recadrer est normal chez lui, car la gauche plus que la droite n'est pas unifiée.
    La réduction du déficit fait partie de ses mesures.

  • Cher Homme libre,

    Votre billet participe de plusieurs entreprises propres à une certaine droite.

    La première consiste à manipuler l'information. Le fait que Méric ait provoqué les skinheads est une non-information. En effet, cet aspect de l'incident était déjà relaté par les médias français, le lendemain même.

    La seconde consiste à faire un agresseur de la victime. Car, jusqu'à la preuve du contraire, c'est Méric qui est décédé des coups qui lui ont été portés, et pas le contraire. Ce qui s'éclaircit aujourd'hui est le déroulement des événements, et non pas leur issue.

    La troisième consiste à oblitérer une idéologie extrémiste, sous couvert d'idéal. Ainsi, lorsque vous affirmez que "Hitler prônait aussi une justice sociale, même si elle était mêlée de théories terrifiantes aux conséquences dramatiques", vous banalisez l'indicible perversité d'un régime dont le bilan ne peut être établi qu'en millions de morts, civils et militaires - et dont se réclament ouvertement de nombreux groupes fachos.

    La quatrième consiste à affubler les extrémistes de gauche du même qualificatif de "fasciste". Historiquement cependant, ce terme trouve son origine dans le mussolinisme qui est évidemment de droite. Pour ces extrémiste de gauche, le qualificatif qui conviendrait serait celui de "gauchos". Et certes, les black blocks ne valent quère mieux, bien qu'ils se réclament d'une mouvance plus anarchiste que gauchiste.

    La dernière consiste à utiliser ou récupérer cet événement tragique pour faire la critique du président français qui, selon vous, ne ferait rien pour soulager l'économie du pays.

    Cela fait vraimentbeaucoup en un seul billet...

    Mais la seule chose avec laquelle je suis bien d'accord avec vous est que Méric, quel qu'ait pu être son look, est vraiment mort pour rien.

  • @ Déblogueur:

    Votre commentaire souligne au fond mon propos, puisque vous commencez par dire que je participe à une "certaine droite", expression dont on sait ce qu'elle signifie. Ce que vous écrivez est dans la "droite" ligne des réactions stigmatisantes qui ont immédiatement suivi la mort de ce jeune homme. Stigmatisez, il en restera toujours quelque chose.

    Sur la non-information, je remets la chose en perspective. C'est d'autant plus important que l'info "officielle" a matraqué la thèse de l'agression skinhead pendant plusieurs jours.

    On sait que Méric et son groupe étaient les agresseurs. Qu'il soit ensuite devenu victime et qu'il l'ait payé de sa vie ne change rien à cela. Ce n'est donc pas moi qui ai manipulé l'information. Il a les deux statuts, mais d'abord celui d'agresseur.

    Je n'oblitère en rien l'idéologie fasciste. Mais contrairement à ce que vous dites, il ne suffit pas de compter les morts pour en avoir fait le tour. Il ne suffit pas de prévoir combien on fera de cadavres pour prendre le pouvoir. Il y faut d'autres choses, des thèmes qui parlent aux électeurs. C'est donc vous qui oblitérez l'idéologie fasciste, en n'en prenant que la part la plus douloureuse et hélas la plus inutilisable puisque exclusivement émotionnelle. C'est d'ailleurs un thème sur lequel je reviens ici: l'émotion comme mauvais traitement de l'information.

    Le fascisme a été un mouvement très socialisant. Mussolini était socialiste avant d'être le leader fasciste. Le glissement de l'un à l'autre ne semble pas avoir été une rupture intellectuelle totale. Le fascisme avait des idéaux - pour erronés qu'ils soient - mais qui ont pris, comme le redressement des nations supposé revaloriser la vie des gens et la force politique et économique du pays, de donner du travail à tous, de créer une sorte d'égalité. Le mot fascisme ne peut être réservé aux régimes anciens de type mussolinien ou nazi: les méthodes et le discours de Staline ne dépare en rien de la tendance de son époque, que ce soit par le régime policier, l'antisémitisme, le culte du chef, etc.

    Quant à Hitler il avait une approche socialisante marquée:

    «Le programme national-socialiste prétendait également avoir une dimension sociale, symbolisée par le rouge dans le drapeau nazi, qu'il imposa à l'Allemagne20. D'après les travaux de l'historien Götz Aly, les nazis témoignaient d'un réel souci des classes populaires21 : ils réorganisent les professions, créent des mutuelles et des prestations sociales, luttent contre le chômage, favorisent des loisirs et des fêtes pour les couches populaires, etc. Pour Aly, c'est d'ailleurs là l'une des clés de la popularité du régime. (wiki)»

    Hitler va même plus loin dans un entretien où il cite les liens entre nazisme et marxisme bolchévique:

    «Ce n’est pas l’Allemagne qui va devenir bolchevique mais le bolchevisme qui se transformera en une sorte de national-socialisme. En plus il y a plus de liens qui nous unissent au bolchevisme que d’éléments qui nous en séparent. Il y a par-dessus tout, un vrai sentiment révolutionnaire, qui est vivant partout en Russie sauf là où il y a des Juifs marxistes. J’ai toujours fait la part des choses, et toujours enjoint que les anciens communistes soient admis dans le parti sans délai. Le petit-bourgeois socialiste et le chef syndical ne feront jamais un national-socialiste, mais le militant communiste, oui.»

    http://www.quebecpresse.com/2010/06/27/hitler-ce-socialiste/


    La position anti-capitaliste du nazisme n’est-elle pas inspirée du marxisme?

    Le fascisme est caractérisé par le totalitarisme social, la dictature politique et militaire, la mythologie du chef tout puissant et providentiel, le régime policier, le nationalisme exacerbé, le fait de ne pas tolérer de pensée différente, l'usage banalisé de la violence, le lynchage public de l'adversaire ou la création d'un bouc émissaire pour absorber ses propres contradictions, entre autres. Les régimes qui ont réussi avaient en général toutes ces caractéristiques. Les groupuscules en cause n'ont pas toutes ces caractéristiques mais certaines. Mettre l'image d'un adversaire sur son site pour le désigner à la violence en fait partie à mon avis, comme l'usage de la violence comme seul discours politique.

    La gauche française se crée de toutes pièces des ennemis et stigmatisme à tout va: les riches, les supposés homophobes, les fascistes, etc. Cela est encouragé au plus haut niveau de l’Etat. Le lien est là.

    Sur l’idéologie du groupe Troisième voie, je n’ai pas vu d’appel à la violence. Le discours est celui d’une droite nationaliste, qui se superpose en partie au discours par exemple du Front de gauche: anti sioniste, anti capitaliste, Etat fort, etc.

    N’étant pas nationaliste mais pro-européen, je suis mauvais client pour ces théories.

  • Dès que l’extrême droite parait quelque part les médias soumises à la gauche bien pensante se pressent pour la ridiculiser.

    Maintenant que la Vérité sur l'identité réelle de l'agresseur est connue, pourquoi Diable ne se mettent-ils en quatre pour délibérer et juger celui qui doit l'être à juste titre ?

    Méric est mort, c'est certain, mais il l'a bien cherchée cette mort-là.

  • @ HL: je dois préciser ce que j'entends par "une certaine droite"... Celle-ci se trouve dans les rangs de ceux qui, déçus par le pouvoir ou le fait de l'avoir perdu, sont tentés par des alliances (idéologiques, parlementaires ou pratiques) avec les mouvances de la droite dure ou fascisante. En Suisse, cette droite s'incarne dans l'UDC et le MCG qui précisément prônent le culte du chef "tout puissant et providentiel" - et tous ceux qui leur tournent autour. En France, on peut parler du Front National et de tous ceux qui se situent dans les mouvances de la droite fascisante à la française avec ses caractéristiques antisémites, colonialistes et racistes.

    Par ailleurs, évoquer les tendances "socialisantes" ou anticapitalistes du nazisme relève précisément de ce que je vous reproche: une information partielle, tendant à banaliser l'indicible. Car l'anticapitalisme des nazis visait avant tout les Juifs et ce qu'Hitler appelait "la juiverie internationale". Quant au réel "souci des classes populaires" manifesté par le régime hitlérien, il se fondait évidemment sur l'exclusion des êtres, races ou classes prétendûment "inférieurs", à l'instar de la démocratie athénienne qui fonctionnait grâce à l'esclavage...

    Par des arguments que vous cherchez à rendre objectifs par des références historiques partielles ou tronquées, vous ne faites en réalité qu'apporter de l'eau au moulin des droitistes plus ou moins obscurs.

    La gauche française est certes en manque de penseurs... mais faut-il rappeler qu'elle est au pouvoir par le résultat des urnes? Et quel est le rapport avec Méric, sinon l'amalgame bien pratique que vous faites et qui n'a rien, mais strictement rien à voir?

    Quant aux propos de l'ineffable Dumistrescu, voulant nous faire croire que Méric "a bien cherché cette mort-là", il reflètent avant tout la bassesse de leur auteur et ne peux que déplorer que vous ayaz jugé bon de les publier tels quels.

    Salutations.

  • Cher Déblogueur,

    Cette fois ci je vous tire mon chapeau ! Votre argumentation est limpide et irréfutable. Un vrai déblogueur, quoi !

    J'ai eu l'occasion aussi de vous lire chez Dominique Jordan. Je suppose que vous avez constaté que dans ce lieu, la raison paraît à certaines personnes inaccessible.

  • c'est d'autant plus beau que c'est inutile , mais bien écrit ne profite jamais, chapeau pour votre patience , cependant je ne vous suivrai pas sur tous les pavés fussent-ils de bonnes intentions ,bête à Bourdieu mais plus près de Badiou que de ces disciples , nous nous écharperions sur la démocratie occidentale.
    P.S. J'ai un rapport contradictoire avec les Etats-Unis , Jazz -cinéma -littérature sciences de base , cela m'a pris un certain temps pour comprendre que j'adorais les américains qui adoraient les européens notamment ceux avec qui j'ai bossés
    et qui me trouvaient "liberal"

  • mon commentaire s'adressait à Debloguer, inutile de le préciser , j'ai remarqué qu'il s'est "courageusement" promené sur les Dechetteries Libertés sans se pincer les narines , et rien que pour cela et malgré son Pseudo , je lui trouve un petit courage.

  • @ Déblogueur:

    Je ne me sens pas concerné par cette «certaine droite». Dans mon histoire j’ai eu des affinités avec la gauche quand elle représentait la liberté intellectuelle, l’innovation des analyses. J’ai réalisé que nombre de thèmes de la gauches ne sont pas des marques de fabrique. La solidarité, par exemple, est ou devrait être un concept non politique. Je sais ce que la société doit historiquement à la gauche. Mais le clivage aujourd’hui se réduit selon moi à plus de responsabilité individuelle à droite, plus d’emprise de l’Etat à gauche. L’équilibre entre les deux est fluctuant. D’ailleurs il n’y a plus de démarcation nette. Chaque ancien camp est bourré de contradictions et tente de lancer encore des anathèmes. Mais sans effet réel.

    Le temps d’une gauche créative est révolu, il s’est même inversé. L’étonnant aujourd’hui est le procès d’intention permanent fait à tous ceux qui ne parlent pas comme Harlem Désir ou Caroline Fourest. J’ai une franche détestation pour ces ayatollahs qui désignent notre appartenance rien qu’aux mots que nous utilisons. Le langage est piégé, la pensée, la libre analyse sont otages des présupposés qui sont comme des cristallisations mortifères. Rien que pour cela j’aime parfois prendre le contrepied de la pensée convenue et hélas dominante.

    Vous mentionnez le MCG et l’UDC comme prônant le culte du chef tout-puissant et providentiel. Je n’ai pas le sentiment de cela pour l’UDC actuelle, bien plus proche à mon avis d’une philosophie patriotique que nationaliste et autoritaire. Après on peut penser ce que l’on veut du patriotisme. C’est marrant que voir que les cultures locales sont si prisées quand la gauche les défend, comme être breton, être antillais, être indien d’Amazonie, etc, et si mal vues quand c’est la droite qui les défend. Cherchez l’erreur. Marrant aussi comme le communautarisme est angélique quand il est défendu par la gauche (communautarisme musulman, homosexuel) et diabolique quand il est défendu par la droite. Là encore cherchez l’erreur. Cela donne envie d’être de droite, rien que pour emmerder le monde convenu de la bourgeoisie intellectuelle et paresseuse, et timorée, de gauche. Mais à part la liberté individuelle, la responsabilité de soi, la libre entreprise, je ne sais pas ce que c’est être de droite. Si c’est ça, je suis de droite. Je suis libéral parce que c’est la liberté. Mais je suis aussi pour un Etat qui puisse arbitrer, pour des règles du jeu social, pour ne pas laisser sur le bord de la route ceux qui sont tombés. Alors suis-je de gauche? En fait je m’en fous et notre époque n’a pas encore réinventé la politique ni trouvé les nouveaux paradigmes correspondant à un monde complexe et multipolaire, tel qu’Edgar Morin le décrit et propose les balbutiements d’un langage pour dire ce monde. Il est vrai que souvent je prend le contrepied des réactions téléphonées et trop bienpensentes pour être réfléchies. Je l’assume. J’espère même faire oeuvre utile dans ce domaine et contribuer à libérer la pensée.

    Votre appréciation sur le risque de banaliser l’indicible est totalement hors de propos. Ce n’est que votre avis, pas une réalité. D’ailleurs je suis ouvert au débat, s’il y a des choses à dire, mais dites les! Pourquoi ne dites vous rien qui compléterait mon propos? Votre posture est d’une inefficacité crasse. Vous n’argumentez en rien, vous ne précisez pas en quoi une information partielle (que chacun peut compléter ici ou ailleurs) banaliserait l’indicible. Sur bientôt 3000 billets que j’ai écrit, vous ne trouverez rien qui laisse à penser que je banalise la Shoah. J’ai trouvé inacceptable par exemple la proposition du MCG de parquer les SDF. Je m’étais exprimé ici très clairement. Sur les quelques fois où j’ai exprimé des intentions de vote sur tel ou tel sujet, il me semble que je n’ai quasiment jamais été dans le sens des recommandation de l’UDC ou du MCG. Il est même possible que je sois plus souvent superposé au PS qu’au PLR. Horreur... :-).

    Votre analyse de la banalisation de l’indicible est un peu courte. Elle manque singulièrement d’arguments. De plus cataloguer la politique de l’homme providentiel à droite est cocasse, quand on voit comment Hollande a joué à fond sur ce registre! Royal aussi jouait sur ce même registre. Depuis Mitterrand c’est à gauche qu’en France on tient le discours de l’homme providentiel. C’est un constat que vous aurez l’honnêteté de partager, je l’espère.

    Mais à coup sûr, Clémentine Autain clamant que Méric est mort assassiné, ou Harlen Désir diffusant un communiqué titré:

    «Militant agressé : un ignoble crime de haine, une meurtrissure pour toute la République.
    Harlem Désir, Premier secrétaire du Parti socialiste»

    ou Ayrault rendant un hommage appuyé à Méric, oui, le pouvoir est engagé dans une récupération politique que l’enquête tend à invalider. Ce qui rend mon propos très cohérent, malgré vos dénégations.

  • Tiens, je vous mets en entier le communiqué de Harlem Désir paru sous le titre que je mentionne plus haut. Un bijou ce communiqué! Plus faux-cul et dégoulinant d'affect c'est difficile. Pétain n'aurait pas fait mieux, question langage. C'est ça, exactement ça la mort de la pensée.

    A Harlem Désir, le Champignac d'Honneur du XXIe siècle.


    "Militant agressé : un ignoble crime de haine, une meurtrissure pour toute la République.
    Harlem Désir, Premier secrétaire du Parti socialiste


    C'est avec stupéfaction et indignation que j'apprends l'agression lâche et violente dont a été victime un jeune militant de gauche à Paris hier soir.

    Cet ignoble crime de haine, commis selon les premiers éléments de l'enquête par un groupuscule d'extrême-droite, est absolument inacceptable.

    C'est toute la République qui est meurtrie lorsqu'un jeune homme est lynché, en pleine rue, par des individus aux méthodes fascisantes.

    Je forme le voeu que les auteurs de ce crime odieux soient rapidement retrouvés et sanctionnés le plus sévèrement par la justice. Je renouvelle le soutien du Parti socialiste à la dissolution des groupes d'extrême-droite ultra-violents.

    Au nom des Socialistes, et en mon nom personnel, j'adresse ma solidarité la plus émue à la famille, aux amis et camarades de Clément et les assure de notre soutien. Le Parti Socialiste appelle au rassemblement qui aura lieu ce soir à Paris."

  • @ Deblogueur

    La réalité vous dérange à ce point ?

    Moi, contrairement à vous, je ne parle pas dans votre dos, je vous prends frontalement à partie ...

  • @ Briand: merci du compliment... Mon nom de plume en ces lieux n'empêche pas le gestionnaire de déchets en chef de savoir exactement qui je suis, ayant moi-même tenu un blog (un peu comme on tient un débit de poison), fermé pour cause de lassitude et d'ennui. Je ne me contente aujourd'hui que de réagir aux sottises des autres, les miennes n'ayant finalement qu'un intérêt limité, voire nul.

    @ HL: la "gauche créative" n'a jamais existé sauf peut-être dans l'esprit fertile de Pascal Holenweg, pour qui il existerait un moment fugace, au moment des révolutions, durant lequel la création serait possible en toute liberté avant récupération. Quant à la droite "créative"... Vous avez dit "droite créative"? Cherchez l'erreur, tout comme Desproges cherchait l'intrus entre "tumeur, métastase, Schwartzenberg et espoir".

    On peut discutailler à l'infini afin de déterminer si le MCG ou l'UDC font ou ne font pas partie de la mouvance des droites obscurément fascisantes, sous des dehors de patriotisme de nains de jardin, de choppes de bière et de sauscisses grillées. En ce qui me concerne, la réponse est clairement oui, ne serait-ce qu'à considérer leur manière de communiquer (affiches, slogans, etc).

    Et votre évocation de l'indicible horreur du régime nazi est totalement dans le propos dans la mesure où vous l'utilisez de manière partiale et partielle, pour soutenir la thèse que, finalement, Méric est mort sous les coups d'un agresseur ayant été agressé et qui, en conséquence, en deviendrait donc la victime. Rappelez-vous, les juifs accusés de voler le pain des allemands, les tziganes et les homosexuels de polluer une société vouée aux aryens...

    Mais bon, comme dit le proverbe, on ne saurait faire boire l'âne qui n'a pas soif. Et je note votre assourdissant silence relativement à la bassesse, par ailleurs démontrée à de nombreuses reprises, de l'ineffable Dumitrescu.

    Tout cela ne m'empêchera pas de passer une excellente semaine, et c'est tout ce que je vous souhaite également.

  • Comme exercice de parfaite mauvaise foi de gauche, difficile de faire mieux que Déblogueur. On a les images d'un Méric agressant par derrière un skinhead, mais c'est lui la victime du méchant fasciste. Tout cela habillé du classique mépris du grand bourgeois de gauche pour le bon sens populaire, qui voit les agresseurs là où ils sont...
    Les grands bourgeois de gauche sont au pouvoir en France, Déblogueur, et la démonstration de leur totale incompétence devrait vous rendre plus prudent et circonspect dans vos affirmations. Argumenter, ce n'est pas déverser des tombereaux d'injures sur ceux qui ne sont pas dupes de vos acrobaties rhétoriques destinées à faire passer le vrai pour du faux...

  • Ahhh ... ce Déblogueur ... encore un lâche !

  • Tout comme Méric, Déblogueur attaque par derrière ... la preuve que c'est contagieux ...

    Malheureusement pour lui j'ai eu fait du Sport en Pro ... alors je suis tenu de ne pas me bagarrer, sans quoi ...

  • Et ben voilà, Déblogueur, fallait le dire... Vous veniez juste troller et jeter quelques injures, en toute fraternité avec votre copain bipolaire ou borderline Briand - qui brille de moins en moins dans ses sautes d'humeurs et sa violence verbale ordurière.

    L'âne Br-hi-han, chef des déjections puantes sur mon blog, serait un copain à vous. Vous vous fendez de ronds de jambes devant ce malade de service qui est comme un chien enragé: tendez-lui la main il vient ensuite vous mordre. Je ris tranquillement.

    Non, vous n'avez rien démontré. Parler d'un aspect du nazisme, comme on peut lire un article partiel sur l'Allemagne de Hitler sous la plume d'un historien, ne cautionne en rien les horreurs de ce régime. C'est déraisonnable et malhonnête de comparer le fait de parler de l'agression des antifa sur les skins (agression reconnue aujourd'hui, sur quoi on doit simplement remettre les pendules à l'heure même si je ne partage pas les orientations politiques des skins) et les propos des nazis sur les tziganes et autres. C'est même tordu. Vous avez perdu le sens de la mesure. Ah, non: vous vous amusez à troller.

    Vous lancez vous-même une discussion sur l'UDC mais vous l'arrêtez dès que je vous contredis. Je ne suis pas UDC mais je m'informe et l'UDC ne correspond pas aux stigmatisations que vous en faites. C'est tout. De même le PS n'est pas un parti fasciste. Mais que penser des antifa qui appellent ouvertement à la violence et désignent l'ennemi à lyncher?

    Je vous ai cité Harlem Désir: qu'avez-vous à me citer? Si je me trompe sur l'UDC démontrez-moi le contraire par des documents de ce parti. Mais si vous ne voulez pas soutenir une discussion que vous avez vous-même lancée, ne commencez pas.

    Bref je crois que je perds mon temps avec vous. Un troll n'est qu'un troll, et vos arguments n'en sont pas.

    Dernier point avant de clore avec vous: je ne me souviens pas qui vous êtes. Je ne garde pas une liste des personnes. Et je m'en fiche.

    Je vous laisse à vos insultes ainsi que celles de Briand. Gardez vos déjections et vos hommes providentiels, cela semble vous aller si bien.

  • Et bien, voici qui clarifie la raison des injures.

    Voyons si Briand a du courage.

    @ Briand: confirmez-vous que vous venez de m'adresser hors blog le message courriel que voici:


    "hommelibre,
    Un nouveau message vient de vous être envoyé à partir du blog Les hommes libres :

    Nom : briand

    Email : briand47@gmail.com

    Message :

    "pire que Borderline, j'ai de bonnes raisons de penser que vous n'êtes pas innocent."

    Bien cordialement,

    L'équipe Blog.tdg.ch
    Blog.tdg.ch"

  • le vrai courage consiste comme je l'ai fait pour Madame Richard Favre comme je l'ai fait pour Corto de leur proposer une rencontre et d'échanger de vives voix nos arguments.
    C'est vous Goetelen qui à la suite d'échanges parfaitement courtois qui vous vous vautrez dans l'insulte et la médiocrité , révélant par ce fait votre véritable personnalité à l'origine selon moi de votre haine de tous les mouvements de libération de la femme.
    suis-je assez clair?

  • Vouloir discréditer des arguments par des accusations: "Vous trollez" "vous insultez" ne fait que mettre en évidence le peu de moyens dont dispose la personne qui utilise ce genre de dérobades.

  • Messieurs,

    Etes-vous en train de vous défier pour un duel, ou une mêlée généralisée ?
    J'espère mal comprendre les sous-entendus - le jeu n'en vaut vraiment pas la chandelle !
    Vous n'allez pas rejouer la scène de bagarre parisienne, n'est-ce pas !

    La passion politique est une belle réalité, la liberté d'expression sa fidèle compagne dans nos contrées.
    Certes, la bagarre a un côté libérateur, mais fait-elle avancer le schmilblick ?
    Après, on sait juste qui est le plus fort physiquement, on peut compter les morts et les blessés et dire : "C'est pas moi qui ai commencé." ou " J'ai pas fait exprès."
    Et après ?

    Retournons à nos claviers.

  • Briand:

    1. vous évitez de répondre à ma question précédente. Je la maintiens.

    2. j'ai rapidement regardé vos interventions sur mon blog. C'est vous qui m'avez agressé initialement, et l'on peut même se souvenir du pourquoi:

    "sans rire je vous ai effectivement fait un procès d'intention, votre omniscience le côté prophète autoproclamé ou gourou dans votre site professionnel sont à l'origine du mot que je vous ai adressé.
je ne vous connais pas , je n'ai pas eu recours à vos soins, je vous lis cela est suffisant.
    Écrit par : briand | 05 septembre 2012

    Le Narcissisme compulsif de Pomme libre : fruit flétri au-bas d'un arbre mort asphyxié de certitudes morbides qui étale sa prose en singeant " les bonnes feuilles de " Je suis Partout" véritable traité de Zoologie crapuleuse ,témoin d'une époque où le pathos tentait de prendre définitivement le dessus sur le Natura .
Autres temps et mêmes mœurs, mêmes" héros " grotesques.
    Écrit par : briand | 09 décembre 2012"

    Par la suite, en effet, je vous ai répliqué sur le même ton. Et je le ferai chaque fois que vous m'insulterez. Mais avant vous ne trouverez aucune insulte de ma part contre vous. Vous m'avez une fois reproché de laisser passer des commentaires défavorables à l'islam. Dois-je vous rappeler vos commentaires quasiment antisémites?

    3. Je n'ai pas lu dans nos échanges hors-blog de proposition à discuter face à face de votre part; si vous en avez trace je veux bien la voir. D'ailleurs pourquoi? Les blogs sont déjà un lieu de débat.

    4. Prétendre ne pas comprendre mon combat par rapport au féminisme et affirmer que je hais les femmes est de la parfaite mauvaise foi.


    Bon, aurez-vous le courage de répondre à ma question?

  • Ah ben, Calendula, je suis retourné à mon clavier... :-)

  • Amiel:

    quels arguments? Je lis des affirmations et des insultes à mon égard, mais pas d'argument réel.

  • je ne retire strictement aucun commentaire sur votre blog, si vous souhaitez rétablir vos finances en m'intendant un procès en diffamation, alors ajoutez également que par Mail, je vous ai indiqué sur quels sites se trouvent sans aucune réaction de votre part des commentaires faisant référence à vos actes de pédophlie.et qui s'y trouvent encore.
    Là dessus salut , je vous laisse à vos ombres anonymes , je crois que vous avez mon adresse pour le reste.

  • Toujours la même lâcheté: vous ne répondez pas vraiment, même si c'est un demi-aveu de votre part. Et vous en rajoutez une couche. Etes-vous seulement malade ou aussi une vraie merde? Etant donné que je n'ai jamais dû faire face à une telle accusation, vous reproduisez une calomnie ou une diffamation. C'est enregistré.

    Je vous laisse à vos beuveries et à votre délire. Et mieux vaut pour vous que l'on ne se rencontre jamais.

  • mecmen: pour un clown qui reste le cul vissé sur sa chaise devant son écran, vous utilisez beaucoup le mot lâcheté.

  • @ Dumitrescu: vous répondre serait s'abaisser et se mettre à votre niveau. Je pourrais vous provoquer en duel... Mais à quoi bon, finalement. Vous êtes vain et inutile.

    @ Geo: toujours le même... Tout en finesse.

    @ HL: vous me paraissez bien susceptible... Car je ne vous ai insulté en rien et n'ai fait qu'engager avec vous un débat contradictoire. Apparemment, vous ne supportez pas de l'être (contredit)... Et comme beaucoup, dès que vous l'êtes, vous excluez et disqualifiez... Donc je passe mon chemin et vous laisse à vos idées obscures, nébuleuses et rétrogrades.

    Bon weekend à tous.

  • @ Déblogueur

    Vous auriez du vous abstenir de me répondre bien avant ... ou alors de venir me chercher ...

  • Déblogueur écrit :

    "Donc je passe mon chemin et vous laisse à vos idées obscures, nébuleuses et rétrogrades."

    Bon, je l'avoue... un tel alignement de éclaté de rire.

  • C'est cosmique... En effet, on est dans l'astronomie, là.

    Mais enfin, Déblogueur, ne vous faites pas plus bête que vous l'êtes, et ne nous prenez pas pour des idiots. Votre petite phrase reprenant l'insulte de Briand:

    "...Mon nom de plume en ces lieux n'empêche pas le gestionnaire de déchets en chef..."

    "gestionnaire de déchets" était sans doute un compliment... Oh, quel malentendu!!!
    :-)

  • J'ai désigné Déblogueur comme promeneur solitaire sur les Déchetteries Libertés cela concernait un site ou le contradicteur devient très vite "un abruti-un connard- un fasciste rouge, etc.
    Cela ne concerne pas votre site mais probablement un site ami, petit rapporteur comme Mireille Valette de Dreuzz. info office de propagande de l'extrême droite américaine.
    ä cette fin j'ai donné quelques exemples de sentiments contradictoires sur les Etats-Unis.que Débloggeur probablement partage
    IN Fine Deblogueur n'a en rien insulté vos écrits , bien plus grave il a contre-argumenté avec talent vos propos "monomanaiques"

  • @ HL: je crois que vous vous êtes senti visé par ma petite phrase relative au "gestionnaire de déchets en chef"... Briand désignait Décaillet et son "Libertés"... Je l'approuve s'agissant de la déchetterie. Le "gestionnaire de déchets en chef" visait en réalité JFM, responsable de la rubrique des blogs TDG et grand ordonnateur des déchets publiés. Il sait qui je suis et nous nous somme rencontrés à deux ou trois reprises.

    Sur le reste, je ne débattrai plis avec vous.

    SVP ce message est presonnel, et je vous saurais gré de ne pas le publier dans les commentaires de votre blog. Merci.

  • "...sur les Déchetteries Libertés..."

    Je dirais plutôt: « Le blog ***** et ***** »

  • @ Amiel: vos choses qui ne sentent pas bon, vous allez les déposer là où il se doit. Pas ici.

  • "@ Amiel: vos choses qui ne sentent pas bon, vous allez les déposer là où il se doit. Pas ici."

    A court d'arguments encore..

  • @ Déblogueur: votre connivence avec Briand va jusque dans l'heure d'envoi de vos commentaires. C'est magique! Quant à savoir à qui s'adressait la petite phrase, je vous trouve beaucoup de duplicité. Comprenez qu'après un échange de propos tronqués, de mise en cause non étayée, je reste réservé quant à votre sincérité. Et je ne me mettrai certainement pas en cause sans de solides arguments. Considérez cela comme un refus de la contradiction, si cela vous plaît. En vérité c'est autre chose: pour qu'une contradiction soit réelle et non simplement excluante et stigmatisante, ou qu'un jeu de pouvoir, il faut qu'elle soit portée à son terme. Or vos propos ne sont qu'une suite d'avortements intellectuels. Ceux et celles qui savent me mettre en cause savent aussi qu'il faut argumenter avec sérieux, et ils ou elles attendent la même chose de moi. Ils sont investis dans l'échange, ils ne viennent pas échanger simplement par ennui ou désoeuvrement.

    "Vous ne débattrez plus avec moi". Parce que c'était un débat? Vous avec lancé une idée que vous n'avez ni développée ni approfondie, malgré ma demande et mes propres développements. Non, il n'y a eu de votre part ni vrai débat ni argumentation étayée.

    Si cela vous a suffit, grand bien vous fasse. Cela a-t-il comblé votre ennui et votre lassitude? Tant mieux pour vous. Moi cela ne me suffit pas. Mais no soucy, je vous survivrai.... :-)))

  • Ce n'est pas un argument Amiel. Je n'ai pas à argumenter sur cela. Seulement à dire ma limite de tolérance.

    Et à lire vos commentaire, dire qu'il n'y a pas d'arguments, c'est l'hôpital qui se fout de la charité.!
    :-) Mais bon, il y a parfois un charme dans le minimalisme.


    On en rediscutera peut-être quand vous aurez élevé votre niveau d'exigence de de verbalisation.

  • S'il faudrait chasser mon commentaire parce qu'il ne sent pas bon, alors cela fait longtemps que vous auriez du y passer.. hein?

    Concernant mon manque d'argumentation, svp, hommelibre, il n'y pas besoin de s'attarder chez-vous. Je laisse cela au Déblogueur.

    *************

  • très bonne chanson qui résume parfaitement l'affaire :

    http://www.youtube.com/watch?v=B1HQYRGKNQ8

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