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L’aliénation : une idée dingue

Elle fit les beaux jours de Mai 68. Elle fut convoquée régulièrement par Guy Debord et les situationnistes comme je le mentionnais hier. Elle était, paraît-il, le voile invisible de la société de consommation. Elle fut, bien avant cela, utilisée avec quelque succès par Karl Marx.

aliénation,situationnisme,éducation,liberté,debord,marx,L’aliénation était un concept imparable. En effet, si une personne est aliénée, elle ne peut être consciente qu’elle l’est, justement parce qu’elle l’est. Succulent, non? L’aliénation poserait un voile sur la conscience de soi et sur la liberté de choix. Nous serions «agis» de manière invisible par des suggestions, des inductions, des incitations et des influences que nous ne percevrions pas et qui gouverneraient notre vie.

Les prostituées qui ont décidé librement de louer leurs services sexuels ne seraient que des inconscientes, des aliénées qui ne savent pas ce qu’elles font. L’aliénation ferait de nous des esclaves - on ne sait exactement de qui. Du «Système», selon Guy Debord. La personnification d’un système tout-puissant est de nature paranoïaque et fait penser à 1984. On n’a d’ailleurs pas assez exploré ce qu’il y a de parano dans les analyses critiques de la société de cette époque.

Le mot «aliéner» signifie: céder, comme céder un droit de propriété. De là vient l’idée de «rendre étranger» à soi. De cette étrangeté découle la folie. Asile d’aliénés: lieu où l’on garde et soigne des personnes qui ne s’appartiennent plus, dont l’esprit est égaré. La signification politique est certes un peu différente, mais elle court sur la même piste: l’aliénation économique ou mentale est le fait de ne pas posséder sa propre vie, d’être devenu étranger à soi-même.

Le sens politique, comme le sens médical, contient l’idée que le sujet ignore sa propre aliénation. C’est bien pratique: tout ce qu’il dit ou fait devient dès lors une confirmation de son aliénation, même ses dénégations! C’est dingue.

Bien sûr qu’il y des des éléments conditionnants, voire prédéterminants, dans la vie d’un homme ou d’une femme. L’origine géographique, la langue, les croyances religieuses, la classe sociale, les modèles et l’éducation familiale, la culture en général, formatent l’individu. Ce formatage est d’abord une éducation au sens noble du terme: un moyen de comprendre le monde et d’y exister sans y être étranger. 

Dès le moment où l’on décide par soi-même, on doit être considéré comme libre, même si notre éducation nous prépare plus à certains choix qu’à d’autres. Le fait de décider fait de nous des être certes formatés, mais libres de reproduire ou non le formatage reçu.

C'est un changement radical de paradigme par rapport aux décennies qui ont suivi Mai 68.

Dans le nouveau Situationnisme comme je le propose, l’être humain doit être considéré comme fondamentalement libre et non aliéné par le système ou au système. La condition de base n’est pas l’aliénation, elle est la liberté. Que cette liberté soit en partie sous influence et qu’elle grandisse avec le temps n’y change rien.

Que l’on soit athée, de gauche, de droite, djihadiste, chrétien, russe, américain, la condition commune est la liberté présupposée. Liberté d’endosser ou non, de reproduire ou non les outils culturels reçus pour nous construire dans un monde donné, dans un spectacle du monde, dans une «situation» (un contexte, un pattern culturel) spécifique.

Celui qui dit que les humains sont aliénés, se poste en supérieur. C’est lui le tyran, l’aliénant.


Catégories : Philosophie, Politique 25 commentaires

Commentaires

  • Ce débat a eu au moins un avantage : celui de faire sortir Déblogueur du bois. Crypto-marxiste, bobo de luxe hyper-méprisant des masses et donc de l'UDC :
    "Celui qui dit que les humains sont aliénés, se poste en supérieur. C’est lui le tyran, l’aliénant."
    Merci...

  • @hommelibre,

    Vous écrivez :

    "Que l’on soit athée, de gauche, de droite, djihadiste, chrétien, russe, américain, la condition commune est la liberté présupposée. Liberté d’endosser ou non, de reproduire ou non les outils culturels reçus pour nous construire dans un monde donné, dans un spectacle du monde, dans une «situation» (un contexte, un pattern culturel) spécifique"

    Cela m'interpelle, parce que je suis toujours dans la perspective des jeunes en devenir et qui ne seraient pas dans une situation de départ favorable, où tout ne serait pas à portée.
    Si on habite dans une région montagneuse en Suisse, loin de tout et que la norme serait de faire du ski et de prendre la relève de l'entreprise parentale ( admettons une exploitation agricole ou une menuiserie), on va avoir besoin d'un input extérieur pour choisir une autre voie. Apprendre qu'il existe autre chose. De nos jours, c'est assez simple grâce aux médias. ( "spectacle du monde")
    En Suisse, un enfant montagnard devra davantage se battre, pour pouvoir faire de la danse classique, devenir artiste ou architecte d'intérieur, qu'un petit citadin. Mais il pourra le faire, avec de la volonté et de l'énergie.
    Un jeune habitant dans un pays sous-développé aura un parcours bien plus compliqué, long et exigeant, s'il arrive à apprendre l'existence d'autres modèles, contextes, patterns culturels, justement grâce à une télévision aperçue quelque part.
    Comment appeler cette situation, dans laquelle on est aspiré par un rêve ou un projet et qu'on est tout petit devant la difficulté à réaliser ce projet?
    Ce n'est pas de l'aliénation, ça , c'est sûr.

  • C'est la pire arme contre tout dissident: attribuer la dissidence à une sorte de folie, d'aliénation psychique qui le rend aveugle à la vérité et aux bienfaits d'une d'un pouvoir ou d'une idéologie dictatoriale et dénie ainsi tout sens, même celui d'un déni, à sa position. Si la dissidence n'a pas de sens, inutile donc d'entrer en matière, elle n'existe pas, puisqu'aucun sujet reconnu comme tel ne la propose.
    Il faut reconnaître la psychanalyse sauvage à laquelle le grand public se livre grâce aux innombrables ouvrages de vulgarisation dont il s'autorise, fait largement usage d'un procédé très semblable, notamment de la manière suivante: vous dites que vous détestez les homosexuels; or la détestation est un affect tellement fort qu'il n'a pratiquement pas d'équivalent que l'amour; vous êtes donc attiré par l'homosexualité, probablement un homosexuel refoulé. Et si vous le niez, c'est que vous en êtes inconscient.

  • J'ai vu récemment un film documentaire réalisé par un comédien et son équipe, en Afrique. Ils faisaient tourner un spectacle sur le fait de partir, ou non, et parfois revenir, de la tentation européenne. Beaucoup ne reviennent pas. Ils le savent très bien avant de partir. Une fois, l'un d'eux a été tué par des touaregs dans le Sahara. Les autres ont continué. Est-ce de l'aliénation de croire à un rêve, comme d'autres ont cru à l'Amérique? Je dis>: non, ce n'est est pas.

    Le contexte économique et culturel est différent, et c'est cela qui m'intéresse. Ce n'est pas d'opposer des mondes mais de voir ce qui se dit de fort dans cette quête de l'Eldorado.

    Chacun a le mérite de ses moyens. Cela me semble être un pilier fondamental de la liberté, telle que je la conçois.

    Chacun a le mérite de ses moyens.

    C'est subjectif et je ne suis à la place de personne. Mais l'exigence de vie est la même, partout, quels que soient les moyens. C'est cela que je positive, et que je deviens de plus en plus critique sur de vielles théories qui, comme toutes les reliques, bloquent la fenêtre de l'esprit.

    Non le Système ne doit pas être placé comme si puissant. Que chacun reprenne sa propre puissance là où il le peut et comme il le peut. Si l'intérêt n'était pas la résilience, l'humanité n'aurait pas survécu, broyée par le système. Je constate que ce n'est pas le cas.

    On peut et doit certainement, ensuite, parler du contexte économique. Je propose de dépolitiser les choses. La pesanteur du discours politique étouffe la vitalité.

  • @Hommelibre vous nous sortez un terme psychiatrique dont Hitler et son copain Steiner et d'autres associés à Roosvelt auront su tirer avantage pour un monde propre et débarrassé de toute impureté sociale et surtout raciale
    Et nous qui avons ressenti ,vécu cette haine qui subsista jusque dans les années 56 , nous avons soigné par la suite les survivants des années 14-18 qui eux avaient la faculté de devenir vraies bêtes furieuses à chaque pleine lune
    On les médicamentait ,on les attachait car un veilleur de nuit avec 20 patients répartis sur 2 étages et seul avec lui même , devait aussi se sentir protégé des éventuelles crises de démence qui pouvaient survenir en une fraction de seconde!
    Parcontre le terme dingo de nos jours n'est pas de trop si l'on songe au référendum lancé par les détraqués de l'environnement qui réclament à corps et à cris des cornes pour les vaches
    Remarquez le référendum ne stipule pas si les vaches sont à 4 ou deux pattes
    On vit dans un monde de déjantés par trop d'abus de nouvelles technologie dont ils sont dépendants ,ce qui pourrait bien les conduire non pas à l'aliénation mentale mais à Alzheimer beaucoup plus rapidement que nos anciens ou tout simplement à le démence précoce qui peut affecter l'humain dès 40 ans
    Et je peux non sans sourire vous révéler ce qu'un handicapé mental m'a dit ce matin ,un natel j'en veux pas je tiens trop à ma liberté,lui au moins voit clair
    Magnifique journée pour Vous

  • Je me sens extrêmement mal à l'aise avec les commentaires de lovsmeralda."terme psychiatrique dont Hitler et son copain Steiner et d'autres associés à Roosvelt"...
    On va où avec ça ? Les commentaires qui paraissent sur ce blog sont autorisés par le blogueur, ils ont donc son blanc-seing. Pourriez-vous svp Homme Libre nous indiquer ce que vous voulez en publiant - EN PUBLIANT...- ces commentaires peu compréhensibles ? Les handicapées sont des majorettes comme les autres, comme la fameuse couverture de Hara-Kiri ? En fait, vous considérez votre blog comme un nid de coucous ? C'est une réflexion que je me suis faite à partir de vos réponses à mes questions sur ECOPOP, pour être clair. Traiter sur le même plan les droits à la terre suisse l'immigré sauvage et le citoyen d'un pays de vieille civilisation européenne, avec ses droits...un peu coucou tout de même, non ?

  • "Le mot «aliéner» signifie: céder, comme céder un droit de propriété. De là vient l’idée de «rendre étranger» à soi. De cette étrangeté découle la folie. Asile d’aliénés: lieu où l’on garde et soigne des personnes qui ne s’appartiennent plus, dont l’esprit est égaré. La signification politique est certes un peu différente, mais elle court sur la même piste: l’aliénation économique ou mentale est le fait de ne pas posséder sa propre vie, d’être devenu étranger à soi-même."

    "Que l’on soit athée, de gauche, de droite, djihadiste, chrétien, russe, américain, la condition commune est la liberté présupposée. Liberté d’endosser ou non, de reproduire ou non les outils culturels reçus pour nous construire dans un monde donné, dans un spectacle du monde, dans une «situation» (un contexte, un pattern culturel) spécifique."

    Dis comme ça il semblerait que le sont soit aliéné du moment meme ou l'on rejoint un groupe qui pense d'une façon. Je peux être chrétien et être contre les abus de pédophile sur les enfants, je peux être musulman et ne pas cautionner ce que certain font. En fin de compte en adhérant simplement à un parti politique on devient aliéné et par conséquent étranger à soi.

    La liberté est reservée uniquement par ceux qui ose penser par eux même avant de penser comme les autres. Penser comme une masse une et indivisible.

  • "Je peux être chrétien et être contre les abus de pédophile sur les enfants, je peux être musulman et ne pas cautionner ce que certain font."
    Voilà une phrase que les xénophiles suisses ne devraient pas oublier. Quand on se laisse envahir par n'importe qui, voilà ce que cela donne...

  • Y a-t-il une seule "aliénation"?
    Nombre de maladies mentales?

    En parlant de "trouble" un/e enfant un peu autiste, par exemple, peut savoir qu'il ne se sent pas bien et peut aller, selon lesquels, à dire clairement ce qu'il ressent. Ce qu'il ne peut pas faire lui-même n'est pas forcément ne pas se contrôler en revanche il ne peut déraciner seul la mauvaise herbe "autiste" en son jardin intérieur. Il lui faut non seulement avoir souvenir du passé traumatisant mais le revivre pour en être débarrassé tout en sachant pourquoi" il y a souffrance qui est la conséquence de trauma/s Il peut alors envisager qu'étant donné le trauma passé il est normal qu'il ressente cette souffrance... ce qui ne serait pas "normal" serait que cette souffrance il ne la ressente pas ce qui revient à dire et c'est pour lui capital en fait qu' il n'est pas plus fou qu'aliéné. S'il fut victime d'une grossesse non désirée il ne pourra changer ce concours de circonstancse mais pour faire un lâcher prise ou faire son deuil (on peut avoir eu envie d'un rapport physique sans penser à avoir un enfant accorder un pardon, tacher de comprendre, etc. )Ces lignes parce que j'au lu ici ou là sur blogs que l'on confond l'inconscient dit freudien avec l'autre, celui de Jung, collectif. Le traitement de l'enfant que je viens de présenter passerait par la cure de la parole (Lacan comme Dolto et nombre de psys finissent toujours par en revenir à Freud): (l'enfant (spécialité de Dolto) parle le psy accompagne suggèrera associations libres sans oublier l'indispensable transfert idem pour l'adulte... L'accès à l'inconscient collectif, lui, réservoir des légendes, contes, épopées croyances du monde entier. Les scientifiques appellent l'inconscient collectif "toile cosmique" et à l'EPFL on planche sur l'âme (mais oui)! qui, aux derniers échos, existerait bel et bien
    Pour en revenir au mot aliénation en parlant de quelqu'un de "dérange" ou "détraqué il arrive que l'on se tape le front pour faire comprendre ou que l'on précise en parlant de cette personne qu'il ou a elle semble avoir quelque chose qui ne "tourne pas rond" dans son "bocal"!

  • Il est bourré même le mercredi maintenant ?

  • @ Géo:

    Je modère, rarement, les propos franchement malveillants. Ainsi j'ai gommé la remarque qui a été faite aujourd'hui, assez déplaisante. Un peu tard mais je ne l'ai pas vue avant.

    Lovsmeralda fait un chemin à elle, reliant des événements avec des parties du passé ou de son passé. Sa logique me prend parfois à défaut mais je tente de la décoder. Elle ne dit rien de malveillant, donc je ne modère pas. J'ai décidé il y a déjà un moment de ne pas rebondir sur tout, il y a trop et c'est trop de temps à consacrer.

    Je vous suggère de faire pareil.

    J'accepte les commentaires, mais je ne suis pas forcément en accord avec tout. C'est le débat. Je ne dis pas toujours "Je suis d'accord" ou "Je ne suis pas d'accord". J'espère qu'un modus vivendi implicite se développe ainsi.

    Je ne sais pas pourquoi la discussion sur Ecopop s'est arrêtée, je vais aller relire.

  • Bon vous savez lovesmeralda on l'aime bien car elle les tâsse bien :P

  • Oui John, lovsmeralda et sa logique unique exaspère plus d'un.
    Et cela l'amuse on dirait.

  • @Homme libre en effet l'aliénation est une idée dingue mais n'est-elle pas la base même du système actuel ? les votations en font partie puisque les abstentionnistes qui sont souvent opposés et ce pour de très bonnes raisons car en toutes connaissances de causes ne sont jamais pris en compte
    On l'a vu lors de fusion de communes ou ceux qui étaient contre rient de bon cœur en voyant les résultats mais ce qui par contre est intéressant c'est de constater que cette forme d'aliénation collective aura été le facteur déclenchant au sein de nombreuses co-propriétés ou chaque propriétaire à repris son indépendance
    Le zodiaque compte 12 signes dont le dernier le poisson mais à l'inverse de l'animal ,l'humain déteste vivre en vase clos
    C'est sans doute ce qui a conduit le Confesseur de la Rhubarbe bien connu pour son gout d'aliéner ses victimes à l'Ordre des décérébré de ses propres délires de sociopathe
    Et quand on a regardé la dernière émission de Cash Investigation ,la dictature des gadgets virtuels il faut croire que la Secte de la Rhubarbe a encore de beaux jours à venir
    La psychopathie en fait partie et regardez bien les visages fermés des responsables de Nokia ou autres quand on leur pose des question ,car ce déni face à la vérité est une caractéristique d'un monde qui ne rêve que de briser la liberté chez tous les humains
    Comme un ordi ou un natel ne répondant plus à la victime tombée dans les griffes d'un escroc aux sentiments et ayant compris comment jouer avec ses émotions à elle il va de soi car l'écran de fumée est bien plus opaque que la fumée d'une cigarette qui elle laisse voir celui qui parle ce qui prouve bien que l'aliénation mentale à laquelle tous les internautes ou iphonistes et ipadistes sont conviés est bien plus dangereuse que le tabac
    magnifique journée pour Vous

  • "J'accepte les commentaires, mais je ne suis pas forcément en accord avec tout. C'est le débat. Je ne dis pas toujours "Je suis d'accord" ou "Je ne suis pas d'accord""
    Bien évidemment. Mais il serait peut-être bon de demander des éclaircissements lorsque c'est incompréhensible. Et la personne visée par mon commentaire est parfaitement capable d'écrire des choses qui tiennent la route. C'est peut-être beaucoup vous demander, mais les commentaires font partie du blog. Ceux qui les ferment prêchent dans le désert. On finit par bien savoir où ils veulent en venir rien qu'au titre : faites le test avec Philippe Barraud, par exemple. Et comme ils ne veulent pas que vous participiez à leur débat...

  • Pierre Janet, autrefois, psychiatre, a publié une étude concernant la situation d'une personne atteinte mentalement.
    Mais atteinte mentalement du point de vue de qui?
    Mystique, cette Marie-Madeleine. Nom réel ou choisi par Janet.
    En début d'ouvrage, il demandait aux lecteurs en premier lieu le respect.
    Puis expliquait que dans la vie, le monde sociétal courant Marie-Madeleine est une personne "dérangée mais qu'au couvent cette même femme aurait été extrêmement écoutée. suivie... religieusement.

    Pierre Janet est celui qui vient juste avant Freud. Freud, à la Salpêtriére, à Paris, voit travailler Charcot qui hypnotise certains patients en parvenant sous hypnose à donner l'ordre à un paralytique de se lever et de marcher ce que le paralytique effectue sans le moindre problème tout en ne tenant plus debout au moment où Charcot le réveille. Ce fut ce qui encouragea Freud à substituer à l'hypnotisme le transfert vu la dépendance absolue du sujet hypnotisé. On devrait toujours se dire que de notre point de vue on peut trouver un comportement anormal mais que le vécu de la personne, son enfance, grossesse de sa mère, entente des parents, leur situation socio-économique, etc., peut en partie expliquer le pourquoi d'un comportement vu de l'extérieur "anormal" en parlant en langage courant d'aliénation.

  • @Monsieur Dumitrescu je vous énerve dieu que je me sens davantage unique ce qui ferait rire une ancienne instit qui dirait l'éducation garçon manqué et l'unicité recherchée par l'enseignement scolaire de l'époque et de notre canton aura tout de même porté ses fruits !
    Excellente journée soleil pour Vous

  • Je ne suis pas seul à l'être, lovsmeralda.
    Depuis l'Argentine, on vous demande de lire, avant de vous prononcer sur des sujets qui vous dépassent largement.
    Ronald Fries, vous connaissez certainement ?

    Géo, John (hommelibre), moi et bien d'autres, nous exprimons tous à votre égard une sorte de tolérance, mais je suppose qu'elle aussi a des limites.

    Vous les dépasserez aisément, certainement.

  • @lovsmeralda,
    Je vous avais priée de ne plus m'adresser de commentaires, d'aucune sorte.
    Je ne veut et ne peut "jouer" à vos petits jeux enfantins.

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    @Monsieur Dumitrescu je vous énerve dieu que je me sens davantage unique ce qui ferait rire une ancienne instit qui dirait l'éducation garçon manqué et l'unicité recherchée par l'enseignement scolaire de l'époque et de notre canton aura tout de même porté ses fruits !
    Excellente journée soleil pour Vous

    Écrit par : lovsmeralda | 06 novembre 2014


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    Pour la toute dernière fois, je vous prie d'arrêter de tenter de communiquer avec moi.

    Toute bonne journée (pluie) pour vous /rire/MDR/LOL !!!

  • Je suis bien d'accord avec vous, Géo, car j'aime la rhubarbe autant que vous. Et je sais comme vous le savez aussi bien que moi que rien n'est plus charmant qu'une rhubarbe quand on sait la prendre par le bon côté.

    Quand nous étions enfants vous et moi, il y a de cela des lustres et dans lampadaires, nous n'hésitions pas à courir la cambrousse et le guilledou avec nos compères de Vufflens-la-ville, qui à l'époque était encore juste à côté d'Épalinge. Nous n'étions pas aliénés comme les demandeurs d'asile d'aujourd'hui, qui ne trouveraient plus le nord avec leur smartphones et leurs iphones. Mais que voulez-vous, quand on a perdu le nord, c'est qu'on est un peu à l'ouest.

    Tout ça pour vous dire que je vous souhaite un joyeux 72ème anniversaire, mon cher Géo, avec tout plein de bonheur, d'amour et que les autobus arrivent enfin à l'heure dans votre living-room.

  • Mais c'est quoi ces conneries ?

  • @ Tarik Les féministes d'autrefois pas forcément croulantes ou "antihommes" aujourd'hui n'aiment pas et n'apprécient pas le mot "connerie"!

    Tarik, devinez pourquoi?

    En attirant votre attention sur le fait que seuls les auteurs et responsables des blogs décident de qui est pertinent et "courtois"... qui sera publié ou non.

  • Oui, mais euh, m'ame la maîtresse, j'ai dit "Conneries", pas "Connerie". C'est pas la même chose...

  • @ Tarik


    Il peut y en avoir plusieurs...

    d'une part et puis vous n'avez pas indiqué à qui vous vous adressez

    Alors comme c'est déjà sous pseudonyme... ni vu ni connu... sans doute?!

  • Il peut y en avoir plusieurs en effet. C'est même souvent le cas, car, je ne sais pas si vous l'avez remarqué, mais dans la vie, et dans l'existence prise en général non moins que dans ses particularités, les conneries s'enchaînent souvent les unes les autres, telle une ronde folle et joyeuse d'enfants tressautant derrière un joueur de flûte. Si bien que la première connerie commise est comme un appel pétulant aux suivantes, qui s'empressent d'accourir, et déboulent pour la plus grande joie des petits et des grands. N'y a-t-il pas là comme une allégorie merveilleuse et pénétrante de notre politique cantonale et genevoise ? Je vous laisse méditer à cette profonde question.

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