Un transfuge de l’armée ukrainienne confirme la possible implication d’un Su-25 dans le crash du Boeing malais en Ukraine. Selon la Commission d’enquête russe relatée par Le Temps:
«Les enquêteurs sont parvenus à entrer en contact hier soir avec un militaire ukrainien qui confirme avoir quitté de son plein gré son unité et est venu sur le territoire russe».
«Selon ce témoin, l’avion de ligne Boeing-777 du vol MH-17 pourrait avoir été abattu le 17 juillet par un avion militaire Su-25 des forces armées ukrainiennes, piloté par le capitaine Volochine».
Le témoin a été soumis au détecteur de mensonges. Selon le communiqué de l’AFP il a vu l’avion décoller avec des missiles air-air R-60.
«Le témoin a immédiatement remarqué qu’au retour de l’avion sur l’aérodrome, les missiles étaient absents et il a alors distinctement entendu les mots du pilote Volochine à un autre soldat: Il – l’avion – s’est trouvé au mauvais endroit au mauvais moment».
Depuis le crash on sait que Moscou a été accusé d’avoir fourni aux résistants du Donbass des missiles sol-air. L’avion civil aurait, selon Washington, été abattu par un tel missile. Rappelons ici que les accusations contre Moscou et contre les résistants n’ont jamais été confirmée, ni par des éléments factuels ni par des témoins, alors que la zone était et est encore sous haute surveillance par satellites, par avions-radars et par des drones. Aucun témoin, personne n'ayant vu la fumée blanche du missile sur 10 km, et pas d'image des satellites ou des avions radars. Etrange.
Moscou avait déjà proposé de fournir aux enquêteurs internationaux ses propres éléments d’enquête. Les enquêteurs avaient décliné l’offre pour des raisons non explicitées. Kiev avait aussi confisqué, immédiatement après le crash, les enregistrements de la conversation entre son contrôle aérien et le Boeing. En novembre ces enregistrements n’avaient toujours pas été remis aux enquêteurs néerlandais. Depuis le drame Moscou n’a eu de cesse de demander les données satellites de Washington, sans succès. Selon Moscou ces données seraient compromettantes pour Kiev et pour les lanceurs de sanctions, «car il est impossible qu'ils n'aient pas vu ce qui s'est passé là-bas ce jour-là».
Autre chose dont la presse a peu parlé: le Boeing de Malaysia Airlines transportait un grand spécialiste du Sida et d’Ebola, Glenn Thomas. Il est mort dans l’accident. Glenn Thomas était consultant pour l’OMS. A ce titre il avait en mains le dossier de l’hôpital de Kenema, en Sierra Leone. Cet hôpital effectuait des recherches pour le compte entre autres de l’Université américaine de Tulane. Les recherches portaient sur Ebola. Cet hôpital avait été attaqué par la population locale en juillet après que les personnes venues se faire dépister en étaient ressortis malades. Le ministre de la Santé de Sierra Leone à depuis ordonné la fermeture du centre.
Il est difficile de trouver des informations plus précises et vérifiables. Aucune enquête officielle n’a été diligentée sur cet hôpital et sur ses activités. Toutefois un programme de recherche initié par un consortium d’entreprises et soutenu par le gouvernement américain était en place en Afrique de l’ouest depuis plusieurs années.
Ce consortium est connu et l’un de ses relais en Afrique est bien l’hôpital de Kenema. Que s’est-il exactement passé à Kenema? Le saurons-nous un jour? Le crash du Boeing a-t-il servi à éliminer un enquêteur intègre qui en savait trop sur Ebola?
On voit que le crash peut alimenter nos imaginaires. Je ne suis pas amateur de complots mais ici, entre le refus américain de donner les informations des satellites, le refus de Kiev de livrer les propos échangés par son contrôle aérien avec le Boeing, par la présence de cet enquêteur dans l’avion, entre autres, il y a pour le moins un étrange faisceau de circonstances.
Commentaires
On se demande en effet comment Ebola est passé de son foyer traditionnel autour précisément de la rivière Ebola, vers le Congo, pour surgir en Sierra Leone. Cela dit, on peut faire le pari que dans chaque avion qui vole il y a au moins une personne importante qui pourrait avoir fait ceci ou cela...
La question s'était posée aussi avec le Boeing des Korean air lines 007 (sic).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vol_007_Korean_Air_Lines (qui donne une version américaine de l'événement, donc passablement mensongère)
1.- Les pilotes de la KAL devaient obligatoirement faire partie de la CIA coréenne
2. Ils ont continué de suivre une route totalement erronée malgré les incitations des contrôleurs aériens (non mentionné sur Wiki). La route qu'ils suivaient survolaient TROIS bases secrètes soviétiques.
3. Les soviétiques procédaient à l'essai d'un nouveau missile ce jour-là
4. Un avion américain bourré de capteurs suivait le vol du KAL 007 mais bien en dehors des zones soviétiques...
5. L'Europe était déchirée sur la question des Pershing. Les manifs pacifisters étaient très fortes et leur slogan était : "plutôt rouges que morts"...
6. Les Soviétiques n'avaient aucun choix. Ne pas abattre le KAL 007 aurasit été un aveu d'impuissance totale...
7. En induisant ce clash, la CIA, américaine celle-là, a provoqué l'arrêt immédiat du mouvement pacifique en Europe et l'installation sans problème des Pershing. Ne jamais sous-estimer les Américains US...
8. Et ils se sont aussi débarrassé d'un sénateur (américain) gênant, mais ça, c'était juste un bonus, à mon avis...
Monsieur,
Comme vous me semblez sans parti pris et capable d'analyser des événements sans tenir compte de la propagande, mais en vous basant sur des faits et des témoignages dignes de foi, je vous soumets les documents suivants que je ne retrouve dans aucun média (journaux nationaux, radio, tv):
http://www.presstv.ir/detail/2013/12/18/340605/congress-cites-911-bush-coverup/
http://www.voltairenet.org/article186182.html
http://www.reopen911.info/11-septembre/la-torture-au-service-de-la-version-officielle-du-11-septembre/
Merci de votre attention et continuez à proposer de analyses pertinentes.
PS: je n'ai aucune intention de polémiquer. Les documents parlent d'eux-mêmes et je n'ai aucun commentaire à faire.
L'œuvre de la C.I.A. ... dévoilée au grand jour.
Le problème est que beaucoup présentent Poutine comme le rempart contre l'hyper-capitalisme US, sauf que :
"35 % de la richesse nationale est entre les mains de seulement 110 personnes, des proches du président russe. La Russie dispose de réserves financières, mais n'a pas su se moderniser durant les dix dernières années..."
http://geographie.blog.lemonde.fr/2014/12/19/russian-disease-ou-la-maladie-du-sovietisme-de-la-crise-economique-qui-frappe-la-russie-et-de-ses-origines/#xtor=RSS-32280322
"beaucoup présentent Poutine comme le rempart contre l'hyper-capitalisme US"
Jamais entendu parler de ça. Des références !