Info parue dans le quotidien Ouest-France. Une jeune caennaise de 18 ans vient d’être traduite devant un délégué du Procureur. Elle risque des poursuites ou d’autres sanctions.
Mais qu’a-t-elle fait? Dimanche dernier elle se rend à la police pour y dénoncer un viol qu'elle dit avoir subi. Elle dit avoir subi l’outrage dans la nuit de samedi à dimanche.
Un médecin est chargé de l’examiner. C’est la procédure normale. Le médecin est réticent à confirmer le viol. La jeune femme finit par avouer que la relation était consentie. « Elle avait inventé l'histoire pour justifier le rapport sexuel. »
C’est d’ailleurs fréquemment mentionné: une femme peut dénoncer un viol inventé pour se justifier d’une relation sexuelle pourtant désirée, mais peut-être pas assumée.
Selon l’article:
« Les services de police caennais constatent toutefois qu'ils sont très souvent saisis de plaintes pour des abus inventés. »
Très souvent? À quelle fréquence? En quel proportion?
On ne le saura peut-être jamais. Démontrer une volonté de mentir reste problématique. L’accusatrice n’a peut-être pas toutes ses facultés, ce qui peut être difficile à identifier. Peut-il s’agir d’un malentendu? Je ne le crois pas. On sait très bien si la relation est consentie ou non. On ne peut pas se tromper, ni l’homme ni la femme. S’agit-il d’une vengeance? D’un plan vénal visant à extorquer un dédommagement?
La répétition de ces fausses accusations dans la presse montre qu’on n’est pas devant quelques cas isolés. Mais c’est difficile à quantifier. Comme le nombre exact de viols. En France moins de 2’000 condamnations pour viols sont prononcées par année. Combien pour des fausses accusations?
Pourtant les associations féministes et la ministre du droit des femmes (et pas des hommes?) parlent de 80’000 viols par année. Sans aucune preuve. Elles se basent sur des extrapolations, elles-mêmes fondées sur des enquêtes invérifiables.
Viols, fausses accusations: deux crimes presque symétriques. Deux crimes quasiment non quantifiables.
Images de la culture occidentale du corps: dames aux seins nus dans la peinture européenne (Bosch et Delacroix).
Commentaires
@ hommelibre
voilà à quoi même les exagérations féministes sur le viol, j'ai déjà écrit maintes fois que la définition du viol était absurde. Camille Paglia l'exprime mieux que moi. ces pauvres femmes sont en plein délire. elles ont vraiment besoin d'un contre pouvoir qui leur fasse fermer leur gueule, et ce sont des personnes comme ça qui nous dirigent !!!
"Le crime sexuel : le viol
C”est par son appréhension du viol que le féminisme contem-
porain s”est infligé à lui-même les plus graves dommages. Ce qui
avait commencé par une sensibilisation nécessaire des officiers
de police, des procureurs et des juges envers de véritables vic-
times de viol s*est transformé en un élargissement hallucinant
de la définition du viol, qui a fini par englober toute relation
sexuelle douloureuse ou gênante. Le viol est devenu le crime
suprême, outrepassant toutes les guerres, massacres et désastres
de l°histoire mondiale. La focalisation qu”opèrent les féministes
sur le viol, considéré comme représentatif des relations hommes-
femmes, est irrationnelle et délirante. Dans le futur, cette période
de l*histoire des États-Unis apparaîtra comme un moment de
psychose à grande échelle, comparable à l”époque où l”on brûlait
les sorcières de Salem.
Le viol ne peut être compris indépendamment de la crimi-
nologie générale, que la plupart des féministes ne se sont pas
souciées d”étudier. Je me suis très tôt intéressée aux psychopatho-
logies, en raison notamment de mes propres pulsions agressives
et déviantes de garçon manqué, dans les années cinquante. Deux
ouvrages complets, analytiques et impartiaux que jiai décou-
verts dans mon adolescence m'ont fourni le cadre intellectuel
qui allait me permettre ultérieurement d°aborder les comporte-
ments anormaux: Psychopathia Sexualis (1886), de Richard von
Krafft-Ebing, et Le Suicide (1887), d'Émile Durkheim. Au cours
de mes études et pendant la préparation de mon doctorat, j”ai
réuni des informations sur le viol, l'homosexualité et sur d'autres
sujets controversés que j'ai développés dans Sexual Personae.
En 1975, au moment de la sortie du livre de Susan Brownmiller,
Le Viol, j”en savais assez pour pouvoir dire de sa grille d'analyse
qu”elle faisait gravement fausse route. Ce livre, comme de nom-
breuses autres œuvres féministes bien intentionnées, montre les
limites de la compréhension par la classe moyenne blanche des
états émotionnels extrêmes ou des actes hors norme.
L”ignorance que trahissait le discours féministe sur le viol dans
les années quatre-vingt et quatre-vingt-dix était incroyable. Ma
génération, celle des années soixante, connaissait parfaitement
les grandes œuvres littéraires qui depuis ont été marginalisées
par Faction malavisée des women studies: la connaissance que
nous avions de la criminalité et du mystère qui entoure les causes
de nos actes nous venait principalement de Crime et châtiment de
Dostoïevski, de L”Étranger de Camus et des Bonnes de Genet.
De même, nous avions lu « Le cœur révélateur ›› et « La barrique
d”Amontillado›› de Poe, et nous avions vu des films troublants
comme M le Maudit de Fritz Lang, Psychose d,Alfred Hitchcock
et Le Génie du mal de Richard Fleischer (dont l'intrigue s'ins-
pire de l”affaire de Leopold et Loeb). Le mélodrame outrancier
des féministes, fondé sur l”opposition homme bourreau/femme
victime, était quant à lui l”héritier direct des films à cinq sous
dans lesquels les méchants se tortillaient la moustache d”un air
mauvais et les jeunes filles hurlaient, attachées aux rails. Loin
de ces clichés, ceux qui vénèrerfi et vivent avec les arts voient en
Clytemnestre, en Médée, en Lady Macbeth et en Hedda Gabler
- conspiratrices et dispensatrices de mort à la volonté impla-
cable - les ancêtres de la femme moderne.
Le viol devrait être plus étroitement défini soit comme viol
commis par un inconnu, soit comme intrusion forcée d”actes
sexuels dans un contexte non sexuel - l'environnement profes-
sionnel, par exemple. Cependant, même dans le contexte profes-
sionnel il reste souhaitable de conserver une certaine marge de
tolérance, car des avances sexuelles peuvent aussi y être reçues
sans déplaisir, que ce soit entre des hétérosexuels ou des homo-
sexuels. La séduction fait partie de la vie et il serait bien préfé-
rable de l'encourager plutôt que de la réprimer dans ce monde
anglo-saxon puritain qui est le nôtre. En montant en épingle le
viol d'une façon totalement déraisonnable, les féministes majori-
taires et antipornographie ont finalement abouti à une banalisa-
tion de celui-ci, elles ont porté atteinte à la crédibilité des femmes
et nous ont rendus moins solidaires des authentiques victimes
d”agressions sexuelles violentes.
Tout cela est en grande partie attribuable à ce que j'appelle
le féminisme de la ménagère idéale, dont la vision de la réalité est naïvement béate."
"C”est àla suite d”une conférence houleuse à Brown University
en mars 1992 que j”ai véritablement pu constater la gravité de ce
phénomène de répression culturelle. Répondant à des questions
lors de la réception qui la suivait, j”ai dû être protégée par un
Vigile afro-américain contre plusieurs centaines d”étudiants qui
se pressaient, furieux, autour de moi. Ceux qui mettent en doute
l°existence du politiquement correct n°ont jamais vu les redouta-
bles Gardes rouges en action, comme moi je les ai vus dans toutes
les universités que j°ai fréquentées. Pendant vingt ans, tout débat
sérieux sur des questions sexuelles ou raciales controversées a été
étouffé par un processus d°intimidation directe ou indirecte.
Tout en observant une demi-douzaine de jeunes bourgeoises
blanches chouchoutées, aux joues lisses et rebondies crispées par
la colère, qui me hurlaient à la figure leurs idées sur le viol, je me
suis dit deux choses. La première était que les États-Unis man-
quaient à leurs engagements envers les jeunes filles. Celles que
j°avais devant moi étaient infantiles, émotionnellement et intel-
lectuellement inabouties. La deuxième était que ce n'était pas le
viol qui les faisait hurler. Le viol n'est qu'une manifestation des
abominations et des mystères du corps, que dans leur éducation
on n”évoque jamais, dont on se refuse même à reconnaître l°exis-
tence. Ce fut pour moi une révélation à la manière de William
Blake: tout à coup, j'avais vu la peur et le désespoir de ces êtres
perdus, débarrassés des anciennes croyances mais n”ayant rien
de solide pour les remplacer. Le féminisme avait construit un
enfer sexuel spectral qu*étaient venues peupler ces jeunes filles.
Il constituait la totalité de leur monde culturel, une nouvelle
religion sans dieu animée par la fureur et le fanatisme. Deux
mois plus tard, alors que je me trouvais à Londres, débattant
tranquillement avec des jeunes femmes de l'université de Cam-
bridge posées, cultivées et intelligentes, du même âge que celles
de Brown, ma colère avait redoublé contre le simulacre d”éduca-
tion qui était dispensé par les grande universités américaines.
Ce ne sont pas les femmes elles-mêmes qui contrôlent leur
corps, mais la nature. "
analyse de Catharine MacKinnon et d'Andrea Dworkin.
ça vaut son pesant de cacahuètes.
Le retour de Carry Nation:
Catharine MacKinnon et Andrea Dworkinl
Je suis une pornographe. Depuis ma plus petite enfance, j°ai
toujours perçu le monde comme envahi par le sexe. Je ressen-
tais intimement les rythmes de la nature et la violence des éner-
gies animales. Les objets d'art, tant dans les musées que dans les
églises, me semblaient briller d”une beauté sensuelle. Les autorités
religieuses, scolaires et familiales niaient ou réprimaient ce que
je voyais mais, comme Madonna, je m”en suis tenue à ma vision
païenne. J ”appartiens à cette génération des années soixante qui
a échoué dans sa tentative de pulvériser toutes les normes et tous
les tabous sexuels. Dans mon livre Sexual Personae, j°ai mis en
lumière la sensualité, le voyeurisme, Phomoérotisme et *le sado-
masochisme qui pour moi ont de tout temps existé dans les arts
occidentaux.
Parce que je suis une pornographe, je suis en guerre contre
Catharine MacKinnon et Andrea Dworkin. Ces moralistes obses-
sionnelles, qui forment le couple le plus étrange du féminisme,
incarnent pour moi le retour de Carry Nationz. C”est à leur ini-
tiative qu”ont été rédigées les ordonnances antipornographie de
Minneapolis et d'Indianapolis qui ont été par la suite déclarées
anticonstitutionnelles. Elles ont produit, individuellement et col-
lectivement, une énorme quantité d”écrits allant des confessions
Catharine MacKinnon a été l”une des premières femmes à
réclamer le classement du harcèlement sexuel dans la catégorie
des actes punissables par la loi. Mais son action positive en faveur
des femmes est contrebalancée par la responsabilité qulelle porte
dans le délire qui agite aujourd”hui les mouvements féministes
aux États-Unis autour des questions sexuelles. Le « date rape ›› a
pris les proportions d”une catastrophe cosmique, la menace qu”il
représente ressemble à celle de ces astéroïdes qui menaçaient la
Terre dans les films de science-fiction des années cinquante. On
a canonisé Anita Hill, une yuppie compétente mais moralisatrice
et égocentrique, en faisant d'elle une vierge martyre déshonorée
par l'empereur dépravé - qui n”a jamais porté la main sur elle.
Catharine MacKinnon est un dictateur. Elle espère pouvoir
un jour contempler un monde entièrement contrôlé par l'État
où le danger n'existerait plus. Elle croit que les lois et les régle-
mentations seront le remède à tous les maux humains et qu°elles
parviendront à résoudre une bonne fois pour toutes tous ces
ennuyeux problèmes entre les sexes qui existent depuis cinq mille
ans. Catharine MacKinnon est une juriste habile et pragmatique.
Mais dans son rôle d”idéologue, d'historienne de la culture ou
d”analyste des questions sexuelles, elle est incompétente. On est
étonné de voir qu”une femme d”une intelligence aussi évidente
possède une culture générale aussi restreinte. Elle a les sens
émoussés et les goûts étriqués d”une bureaucrate. Au pays de
Catharine MacKinnon, on travaille beaucoup et on rigole peu.
La littérature, l'art, la musique, le cinéma, la télévision, rien ne
pénètre l°esprit de Catharine MacKinnon sans passer àla mou-
linette du féminisme, qui, ainsi qu'elle se plaît à le rappeler, «lui
a tout appris ››. Voilà le hic. C'est quelqu”un qui, en raison de ses
propres problèmes émotionnels, s'est cristallise sur le féminisme
des années soixante-dix pour ne plus jamais s'en détacher.
Catharine MacKinnon possède un esprit froid, inflexible et
fondamentalement dépourvu d'érudition. C”est une propagan-
diste et une casuiste, qui sait parfaitement bien se saisir de cer-
taines opportunités pour élaborer des arguments percutants à des
fins politiques. Mais elle connaît mal l°histoire des idées et l”his-
toire du monde tandis que son travail de recherche trahit de bien
faibles capacités à évaluer la validité des sources. Elle chante les
louanges exagérées de mauvais auteurs féministes et n'a aucune
notion de psychologie, lacune qui rend ses conclusions sur la
sexualité ridicules. C'est une stalinienne qui croit que l°art doit se
mettre au service de fins politiques et que toutes les voix discor-
dantes sont des ennemis de l”humanité qu'il convient de réduire
au silence. Catharine MacKinnon et Andrea Dworkin sont les
fanatiques, les Zélatrices, les fondamentalistes de la nouvelle reli-
gion féministe. Ce n”est pas par hasard qu”elles ont fait alliance
avec l°extrême droite réactionnaire et antipornographie.
Catharine MacKinnon est une WASP typique qui élabore
méticuleusement de vastes et rigides constructions verbeuses
en faisant fi de Porganique, du sensuel et du visuel. C'est une
puritaine du xxre siècle dont l”éducation - son père était un
juge austère du Minnesota, sa mère une républicaine épiscopa-
lienne et conservatrice - semble tout droit sortie d”un roman de
Hawthorne. Sa culture protestante, étroite, raide et désincarnée
la prédisposait tout particulièrement à être séduite par Andrea
Dworkin, dont la nature décomplexée a eu au départ un effet
libérateur. Le remarquable manque de psychologie de Catharine
MacKinnon l'a attirée vers l”émotivité bouillonnante d'Andrea
Dworkin et vers sa judaïté auto-analytique et autocritique. En
retour, Catharine MacKinnon, représentante de la troisième
génération de WASP privilégiées admises à fréquenter le Smith
College, permettait à Andrea Dworkin de satisfaire son grand
désir d”intégration à l'establishment, qui apparaît comme un
thème récurrent dans ses écrits.
Andrea Dworkin, tout comme Kate Millett, est parvenue à
transformer une vulgaire histoire d”instabilité mentale en un
grand opéra féministe. Elle se vante publiquement des multiples
viols, agressions, sévices, dépressions et traumatismes persistants
qu”elle a subis, comme si son incapacité à faire face àla vie devait
bien plus être attribuée au patriarcat qu'à elle-même. Elle pré-
tend toujours clamer la vérité, même la plus crue, mais jamais elle
ne parle de son problème le plus évident: ses troubles alimen-
taires. C”est donc une hypocrite. Sa prose outrancière, geignarde
et solipsiste est infantile par son côté braillard et son manque de
rigueur. Ciest ce qui a séduit Catharine MacKinnon, elle qui avait
été élevée dans un protestantisme effroyablement sérieux qui
traite les enfants comme des adultes miniatures. La prose imper-
sonnelle de Catharine MacKinnon est aride, blanchie, desséchée.
Son style nord-américain, témoignant d”une fixation au stade
anal, mesquin et tatillon, a trouvé son contrepoids dans l'oralité
furieuse et indifférenciée d'Andrea Dworkin, qui déverse avec
la plus grande facilité des seaux entiers de bouillon de poule
assaisonné de rancune.
Andrea Dworkin, si prompte à se vautrer dans le malheur,
correspond à un «type» que vingt-deux ans d'enseignement
m*ont appris à connaître. Je l'appelle «l'éternelle enrhumée››.
Je l°imagine enfant, en colonie de vacances: c”était la petite fille
grassouillette, maladroite et geignarde qui renversait toujours
son lait, laissait tomber sa sucette dans la poussière, avait des
crampes en promenade, un caillou dans sa chaussure, une abeille
dans les cheveux. À l'université, ce genre d”étudiante - blême,
bilieuse et mal fagotée - est malade de l'automne au printemps.
Elle tousse et renifle au visage de tout le monde, elle n”a jamais
de mouchoirs en papier et assiste aux cours avec un rouleau de
papier toilette sur les genoux. C*est la hantise du professeur,
qu°elle ne cesse de harceler: enfant boudeur et désagréable, elle
n°a jamais obtenu de sa mère le moindre encouragement, elle
fait donc tout ce qu”elle peut pour attirer l'attention. Andrea
Dworkin s”est emparée du féminisme comme d”un masque pour
dissimuler Pamertume dont l°a emplie cette histoire familiale
banale et ennuyeuse.
Catharine MacKinnon et Andrea Dworkin forment désormais
un duo populaire, comme Stone et Charden, Simon et Garfunkel,
ou Ronald et Nancy Reagan. Catharine MacKinnon, avec ses
traits émaciés et durcis, ressemble à ces méchantes gargouilles qui
peuplent le gothique américain. Échevelée comme une sorcière,
elle ressemble àAgnes Moorehead dans le rôle de la pionnière un
peu cinglée mais irréductible qui se bat contre des extraterrestres
dans un épisode de La Quatrième Dimension. Elle peut aussi
prendre des airs de Charlotte Diesel, l'infirmière en chef sadique
et prêcheuse qui tire les ficelles dans Le Grand Frisson, de Mel
Brooks.
Andrea Dworkin, elle, a quelque chose du personnage de
Large Marge, dans le film Pee-wee's Big Adventure, ce fantôme
de camionneuse qui revient sans cesse hanter les lieux de son
accident. Je vois bien Catharine MacKinnon et Andrea Dwor-
kin faire un film de copines dans le style de Thelma et Louise.
Leurs personnages: Radine et Prodigue, l”inaccessible et puri-
taine « Gibson girl ›› du début du xxfl siècle, pleine d”assurance, et
son dibbouk, âme damnée furibarde et masochiste. Elles seraient
parfaites aussi dans les rôles principaux d”un docu-fiction qui
montrerait John Edgar Hoover, chef du FBI efféminé et refoulé,
et son compagnon de toujours, Clyde Tolson, en train de placer
des micros dans des chambres dihôtel et de fourrer leur nez dans
les affaires de tout le monde.
Catharine MacKinnon et Andrea Dworkin détestent la por-
nographie parce qu”elle représente tout ce qu'elles ne com-
prennent pas et ne peuvent contrôler dans le fonctionnement
de leur propre corps. Le féminisme actuel, méfiant vis-à-vis de la
science et orienté par le constructivisme social, refuse de prendre
en compte la nature. Il ne peut donc comprendre la sexualité, qui
part du corps et qui est alimentée par des pulsions instinctives.
La première erreur que commettent Catharine MacKinnon et
Andrea Dworkin consiste à mettre en équation la pornographie
et la société, qu'elles définissent donc de façon simpliste comme
patriarcale et oppressive. En réalité, la pornographie, qui éclate
au grand jour dans les périodes où la liberté personnelle est assu-
rée, nous montre les sombres vérités de la nature, qui demeurent
cachées sous les artifices de la civilisation. La pornographie n”est
que désir charnel, elle représente cette réalité animale qui est en
nous et qui ne sera jamais entièrement domestiquée par l'amour.
Le désir charnel est élémentaire, agressif et asocial. La pornogra-
phie nous permet d'explorer notre identité la plus profonde et
la plus refoulée.
La position de Catharine MacKinnon et d'Andrea Dworkin
sur la pornographie est ridicule. «Pornographie égale discri-
mination sexuelle ››, ont-elles déclaré dans leur ordonnance de
Minneapolis. Dans un de leurs manifestes, elles définissent la
pornographie comme «littérature de la haine ››. « La plupart des
femmes détestent la pornographie; toute pornographie déteste
les femmes ››, prétendent-elles. Par cette déclaration, Catharine
MacKinnon et Andrea Dworkin avouent une étonnante igno-
rance des anciennes pratiques religieuses pornographiques des
sociétés non occidentales, ainsi que de la place de la culture gay
dans nos propres sociétés. En condamnant sans appel la fellation
comme une pratique répugnante et violente, Andrea Dworkin a
dû faire sortir plus d'un homme de ses gonds.
Catharine MacKinnon et Andrea Dworkin sont des mar-
chandes de victimes, des chasseuses d'ambulances, des fanatiques
de Patrocité. Catharine MacKinnon entame chaque débat en
s”appuyant sur des prémisses massives et incertaines comme la
«domination masculine» ou la
suite
ou la misogynie, tandis qu”Andrea
Dworkin enchaîne les rappels faciles à la Shoah dès que tombe
un soutien-gorge. Parmi leurs déclarations préférées: Les por-
nographes, comme les nazis et le Ku Klux Klan, encouragent à
la haine et à la violence. Quiconque est capable d”écrire une
pareille phrase ne connaît rien ni à la pornographie ni au nazisme.
La pornographie n”est à l'origine ni du viol ni de la violence,
qui sont apparus des milliers d'années avant elle. Le viol et la
violence se produisent non pas parce que la société est dominée
par le patriarcat, mais au contraire parce qu'elle ne connaît plus
aucune forme de contrainte. Catharine MacKinnon et Andrea
Dworkin, comme la plupart des féministes d”aujourd”hui, ne
connaissent rien à la criminologie ou aux psychopathologies et
par conséquent elles n°ont ni vision contextuelle ni compréhen-
sion de l”abominable et sanglante histoire de l'humanité, de ses
désastres et de ses triomphes.
Dans le monde d'aujourd”hui dominé par la technologie, les
feux de la sexualité doivent être alimentés. C”est pourquoi la
pornographie doit continuer de jouer un rôle central dans notre
vie culturelle. La pornographie est une arène païenne dans
laquelle s'expriment la beauté, la vitalité et la brutalité, avec
toute la force archaïque de la nature. Elle doit violer chaque loi,
offenser toute moralité. La pornographie représente la liberté
absolue de l'imagination, ainsi que la concevaient les poètes
romantiques. En prétendant que l'assurance d°une hypothétique
sécurité physique dans la rue doit prévaloir sur le principe démo-
cratique de la liberté d”expression, Catharine MacKinnon s”ar-
roge la même autorité que les commissaires politiques de l”Union
soviétique. Elle lobotomiserait volontiers tout le village dans le
but de le sauver.
Le féminisme éclairé du xxi siècle embrassera toutes les
formes de sexualité et se détournera des délires, des tartuferies,
de la pruderie et de l”hostilité systématique envers les hommes
dont témoigne la brigade de Catharine MacKinnon et d'Andrea
Dworkin. Les femmes ne sauront jamais vraiment qui elles sont si
elles ne laissent pas les hommes être des hommes. Débarrassons-
nous donc du féminisme des infirmeries, qui accueille comme dans
un hôpital psychiatrique des cohortes entières de larmoyantes,
d'anorexiques, de boulimiques, de dépressives, de victimes de
viol et de survivantes à l'inceste. Le féminisme est devenu une
sorte de bac à légumes dans lequel des bandes de pleureuses opi-
niâtres peuvent indifféremment entreposer toutes leurs névroses
pourrissantes.
La pornographie permet au corps de s'exprimer dans une gloire
païenne, dans toute la plénitude épanouie et désordonnée de la
chair. En faisant de l”homme un ennemi, le féminisme éloigne
les femmes de leur propre corps. Catharine MacKinnon ne parle
jamais de la femme en tant que mère, amante ou prostituée. Les
films pornographiques sadomasochistes sont pour cette puritaine
l”image même des feux de l'enfer. Elle fait commerce d°histoires
abominables, d'images hallucinées de mort et de démembrements,
ce qui montre bien qu°elle ne connaît pas le grand dieu Diony-
sos et sa terrible dualité. C”est en nous qu'habitent les démons.
Catharine MacKinnon et Andrea Dworkin, colportant partout
leur discours malsain, vivent dans le déni, et ce qu”elles refusent,
c'est la vie elle-même, dans toute sa grandeur et dans tout son
désordre Tâchons donc de faire savoir àla Chapelière folle et à
son loir grassouillet qu”il serait grand temps qu”elle cessent de
vouloir toujours organiser les thes des autres.
le féminisme actuel est à l'image de ces deux tarées.
''une femme peut dénoncer un viol inventé pour se justifier d’une relation sexuelle pourtant désirée, mais peut-être pas assumée''...
--> c'est normal, cela en raison du ''droit des femmes'' institué spécialement pour elle à inventer toutes sortes de fausses accusations !
Moi-même, en Belgique, en 1994, je fus expulsé de mon foyer sous les fausses accusations de mon épouse ; et, à 50 ans, j'ai perdu ma famille, mes enfants, mon emploi, et tous mes biens... car, sans domicile, on ne peut plus travailler.
SDF à partir du mois de janvier 1994 jusqu'à la fin de l'année, j'ai pu apprécier cette ''justice'' digne d'un ''État Voyou'', c'est à dire d'un État sans droit'' où les fausses accusations sont considérées, par les juges, comme étant des vérités judiciaires...
Cher hommelibre,
- « C’est où, Caen ? »
Ah! Une question sans réponse !
- « Très souvent? À quelle fréquence? En quel proportion? »
- « On ne le saura peut-être jamais »
Et là ! Une question avec sa réponse !
- « On sait très bien si la relation est consentie ou non. »
Oh! Une réponse sans question ! A votre service, hommelibre. Rien qui ne me fasse plus plaisir que de vous dépanner.
Alors, si "on sait" très bien ce que vous affirmez, ... comment "sait-on" si "la relation" est ... _forcée_ ... ou non ?
Ou est-ce que c'est ... moins ou plus ... problématique, que de savoir si c'est .. "consenti" ?
Parce que, comment le savoir, ... sans le sentir ... soi-même ?
D'ailleurs, jusqu'à quelle distance, le sent-on bien ?
Et jusqu'à quelle distance ... le sent-on ... vraiment bien ?
Parce que c'est bien une question de distance, n'est-ce pas ?
Ou de force ? Ou peut-être de temps ? Ou peut-être le temps qu'il fait ? Ou de moeurs ?
Et si c'est quelque chose ... qui se sent, ... est-ce que ça ne dépend pas alors, par exemple, ... de ce que la "jeune caennaise de 18 ans" a ... "senti", ... elle aussi ?
Ou faut-il croire alors que "la relation est consentie" si ... une femme "sent" quelque chose ? Même juste un tout petit peu ?
- « On ne peut pas se tromper, ni l’homme ni la femme. »
Vous croyez ? C'est prouvé, avec des vrais preuves ?
- « Selon l’article: ... »
Oui ? Celui que vous avez cité, et dans lequel il y a le mot ... "toutefois" ?
Vérifions cet article, des fois que mes sens me disent autre chose que ce que je crois voir et comprendre ...
... "Les cas avérés de viol restent des affaires très délicates à traiter, et lourdes de conséquences psychologiques pour les victimes. Les services de police caennais constatent toutefois qu'ils sont très souvent saisis de plaintes pour des abus inventés."
Ainsi, ce dont l'article fait état, ce sont ... "Les cas avérés de viol".
... "C’est d’ailleurs fréquemment mentionné: une femme peut dénoncer un viol inventé".
Non, hommelibre. Ni l'article, ni les "services de police caennais" n'affirment cela. C'est vous-même qui l'affirmez. Mais c'est pas un exploit, vous savez, parce que ...
... Un homme peut _aussi_ dénoncer un viol inventé.
Et même qu'un homme peut aussi inventer une dénonciation de viol inventé.
D'ailleurs, TOUT est possible en matière de ... dénonciation, c'est juste une question de facultés, ou si vous préférez ... d'imagination.
- « Démontrer une volonté de mentir reste problématique. »
Oui. Surtout pour sa lancer dans une entreprise qui n'a pas de ... "sens" ?
Peut-être faut-il se contenter de ... spéculer, ... de fantasmer, ... de faire très peur, ... ou de rassurer les autres dans leurs ... doutes ... très incertains ? Ou dans leurs croyances ... "invérifiables" ?
D'ailleurs ... je crois me souvenir (mais je ne suis sûr de rien vous savez) ... une expression intéressante que vous avez employée, pas pour un cas de viol "inventé", mais pour un cas de viol ... "avéré" ...
... "dénaturer la réalité"
( http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2016/07/08/agression-sexuelle-a-manheim-la-parole-falsifiee-277513.html )
- « L’accusatrice n’a peut-être pas toutes ses facultés, ce qui peut être difficile à identifier. »
Parce que c'est difficile à voir, ou difficile à prouver ?
- « S’agit-il d’une vengeance? D’un plan vénal visant à extorquer un dédommagement? »
Ah ben, je croyais que c'est une problème de facultés.
- « La répétition de ces fausses accusations dans la presse montre qu’on n’est pas devant quelques cas isolés. Mais c’est difficile à quantifier. Comme le nombre exact de viols. »
Mais puisqu'il s'agit d'un cas psychiatrique ? C'est donc qu'elle a eu des visions ! C'était pas un vrai viol ! Elle l'a reconnu !
- « En France moins de 2’000 condamnations pour viols sont prononcées par année. »
- « Combien pour des fausses accusations? »
Ah! Cette fois c'est une bonne réponse, suivie de la question qu'il faut associer !
Mais est-ce une bonne ou une mauvaise question ?
Et si pour aller avec la réponse, une meilleure question serait ... Combien de condamnations non-prononcées pour des viols ?
Ou bien ... Combien d'acquittements prononcés pour des ... vrais viols ?
D'ailleurs, est-ce que les ... _fausses_ "condamnations" existent ? Pour pouvoir se poser la question ... "M'enfin ... pourquoi personne les compte pas ?" .
- « Pourtant les associations féministes et la ministre du droit des femmes (et pas des hommes?) parlent de 80’000 viols par année. »
- « Sans aucune preuve. »
Pourquoi aurait-elles besoin de ... preuve ? Pour convaincre qui ? Qui doit les croire ? Vous-même vous les croyez ? Elles (ou ils ?) ne sont pas toujours crédibles, vous savez.
Parce que les féministes ne disent pas toujours la vérité. D'ailleurs, elles ne disent pas si ce sont des _vrais_ ou des _faux_ viols.
- « Elles se basent sur des extrapolations, ..."
Des extrapolations de quoi ?
- « ... elles-mêmes fondées sur des enquêtes invérifiables. »
Ben oui. C'est fait pour. C'est parce que c'est justement des ... _statistiques_. Vous devriez le savoir! Vous les utilisez tout le temps.
- « Viols, fausses accusations: deux crimes presque symétriques. Deux crimes quasiment non quantifiables. »
"Symétriques" dans quel sens ? Celui des faux viols ? Ou celui des vraies accusations ?
Où se niche donc la vertu au sein de la ''justice'' lorsqu'il y a une accusation de viol ?
Y-a-t-il une preuve irréfutable du viol ? Oui ? ou Non ?
Si oui, la condamnation est de rigueur...l'on peut donc condamner l'auteur de cet acte criminel...
Si non, c'est-à-dire s'il n'y a pas de preuve tangible, la relaxe est de mise...
Mais... l'on sait que des femmes, par vengeance, ou pour tout autres raisons,... et pour créer du tort à un amant qui se débine... dépose plainte contre lui pour viol...
Et l'on connaît pas mal de condamnations (pour viol) pour ces fausses accusations... et l'on connaît... aussi +- les raisons de ces condamnations sans preuve tangible ! C'est bien ça la justice contemporaine...
La question qui risque de rester sans réponse : pourquoi des juges condamnent-ils des innocents, accusés faussement ? Pourquoi les accusés n'ont-ils pas le droit à être entendu ? Pourquoi ne bénéficient-ils pas du contradictoire ? en tant que droits fondamentaux ? Pourquoi tant d'injustices ?
Pour ceux et celles qui s'intéressent aux fausses allégations d'agressions sexuelles !
Ça peut servir ! Enquêtes au Québec.
Université de Montréal / L’enquête policière en matière de fausses allégations d’agression sexuelle: analyse des représentations sociales et des pratiques professionnelles / Par Dominique Baril / École de Criminologie / Facultés des arts et des sciences
https://papyrus.bib.umontreal.ca/xmlui/bitstream/handle/1866/5093/MémoireDB-Version%20Juin.pdf;jsessionid=1BC712A7817333639CBF08CFE0542C10?sequence=1
@ Chuck:
« … comment "sait-on" si "la relation" est ... _forcée_ ... ou non ? »
On le sait intimement parce que le consentement est une disposition consciente dont la lisibilité est associées aux mots, aux expressions du visage, à la disponibilité tactile et sexuelle. De même le refus de consentement est aussi une disposition consciente.
On le sent parce que l’on est dans la situation, un homme sait vite si une femme est d’accord, et une femme si un homme est d’accord. En général. Il peut y avoir des personnes incapables de lire les comportements.
Question de distance? Oui en partie. La distance de la rencontre, la réduction de la distance pendant la « cour »; je prends, il y a quelques chose à voir avec la distance. Plus la distance est réduite et plus la possibilité d’un contact physique est proche. On peut à ce moment voir et sentir l’attitude des deux partenaires et savoir si le consentement, même tacite, est perceptible ou non. Et on peut toujours corriger le tir. Si par exemple un homme interprète un signe de manière erronée, qu’il pense recevoir un oui alors que c’est un non, il y a toujours la possibilité de lui faire comprendre sa méprise dans les secondes qui suivent. Idem pour une femme.
Ensuite, le temps, oui, qui est celui de l’apprivoisement mutuel – ou non. L’apprivoisement, la connaissance mutuelle, améliore la lisibilité du consentement. Mais parfois, l’évolution des moeurs fait passer au-dessus de ces préalables. On se rencontre et on couche le soir même. Eh bien, sans non explicite et répété au besoin, je considère qu’il y a consentement par défaut, si aucun des deux partenaires ne se dégage de l’autre et si, au contraire, des signes d’envie sont montrés de manière assez continue pour être repérables.
– La jeune caennaise a finalement admis qu’elle était consentante. Pourquoi avoir posé plainte et être allée à la police? Parce qu’elle aurait eu un doute sur son propre consentement pendant la relation? Si c’était vrai cela devrait se gérer au moment du rapport, pas quelques heures ou jours après. Je propose cette règle de conduite, qui me paraît évidente, afin que chacun soit clair et responsable.
– Là je ne vous comprends pas:
... C’est d’ailleurs fréquemment mentionné: une femme peut dénoncer un viol inventé ». Non, hommelibre. Ni l'article, ni les "services de police caennais" n'affirment cela. »
Cette partie de texte se réfère à la problématique de manière plus générale, pas spécifiquement à cette affaire de Caen. Comment le savoir? Parce que « fréquemment » ne figure pas dans l’article. Il est donc une appréciation plus générale émise par moi-même selon ma propre expertise.
Mais quand la police dit, selon l’article:
« Les services de police caennais constatent toutefois qu'ils sont très souvent saisis de plaintes pour des abus inventés. »
elle confirme le fait que les fausses allégations de viol ou d’agression sexuelle sont fréquentes. Le fait qu’une femme invente un viol pour se justifier d’une relation désirée mais pas assumée est ajouté par moi. J’en parlais déjà ici:
http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2014/10/22/geneve-condamnee-pour-une-fausse-accusation-de-viol-260994.html
– « L’accusatrice n’a peut-être pas toutes ses facultés, ce qui peut être difficile à identifier. »
Parce que c'est difficile à voir, ou difficile à prouver ? »
Les deux, à voir sauf si l’on est spécialiste, et à prouver.
– « S’agit-il d’une vengeance? D’un plan vénal visant à extorquer un dédommagement? »
Ah ben, je croyais que c'est une problème de facultés.
Chuck… j’explore les raisons possibles, et il y en a plusieurs!
– Combien de condamnations non-prononcées pour des viols ?
Question absurde car laissant ouvert toute appréciation subjective et non objective, quand il n’y a pas en plus un biais politique. Je pourrais d’ailleurs y répondre en demandant: Combien de condamnations prononcées alors que l’accusé est innocent?
– « Combien d’acquittements prononcés pour des … vrais … viols?
La question est tout aussi absurde puisque la réponse est inquantifiable, et de toutes façons, comme il est dit, mieux vaut un coupable en liberté qu’un innocent en prison. Si c’est un vrai viol, la victime n’obtiendra pas toujours justice, et elle devra vivre avec cela.
Mais vous savez, on se redresse d’un viol, comme on se redresse d’une fausse accusation qui a détruit sa vie. Et l’innocent accusé faussement n’obtient pas toujours justice, il doit faire avec les dégâts et recommencer à vivre.
– « Pourquoi aurait-elles besoin de ... preuve ? Pour convaincre qui ? »
Elles doivent quand-même convaincre les politique de leurs verser des subventions qui les nourrissent. C’est le viol business. Je dis qu’il existe et j’espère qu’un jour le scandale des chiffres manipulés éclatera au grand jour.
– Presque symétriques dans le sens où le crime traite de viol et qu’une fausse accusation produit généralement des dégâts intimes et sociaux très grave. Je dis qu’une fausse accusation est un viol moral.