Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Montréal : la « culpabilité blanche », étendard politique progressiste

Valérie Plante est chef du principal parti d’opposition à Montréal, le Projet Montréal, qui dispose de 17 sièges au Municipal. En face l’Équipe Denis Coderre en détient 32. Autour cinq petites listes plus quatre indépendants disposent au total de 17 sièges.

 

canada,québec,progressiste,valérie plante,minorité,autochtone,discrimination,racisme,white guil,blanc,culpabilité,madonna,clinton,trump,esclavage,montréal,White guilt

Le renouvellement du Conseil Municipal aura lieu en 2017. Valérie Plante a été élue chef de son parti le 4 décembre dernier. Elle vient d’annoncer la couleur: elle ressent de la culpabilité blanche, du white guilt comme on dit là-bas. Et elle annonce que si elle est élue son premier geste sera d’instaurer une politique de recrutement qui donne plus de place à la diversité montréalaise.

Ajoutons qu’elle s’est intéressée à la discrimination systémique que vivent les femmes autochtones du Québec. Elle ne mentionne donc pas les hommes autochtones comme pouvant, du fait de leur origine, être sujet à une discrimination.

On comprend pourquoi: son parti est inféodé aux thèses féministes communautaristes. En effet la présentation de madame Plante sur le site de son parti fait usage du langage épicène: « avec la perspective des inégalités entre les montréalais.es ». La messe est dite.

Cette femme politique est présentée comme une battante enthousiaste et comme une progressiste. Cela a le mérite d’être clair: le « progressisme » montréalais, comme ailleurs est un amalgame de féminisme communautariste et de rejet de sa propre origine blanche. En invoquant une culpabilité blanche elle rétablit d’ailleurs les clivages ethniques et pratique cette fois une forme de discrimination à la mode: la discrimination anti-blanche.

 

 

canada,québec,progressiste,valérie plante,minorité,autochtone,discrimination,racisme,white guil,blanc,culpabilité,madonna,clinton,trump,esclavage,montréal,Prenons la loupe

Il s’agit d’une pratique anormale en démocratie et même d’un déni de démocratie. Celle-ci ne doit différencier personne selon son origine.

Mais regardons les chiffres de plus près. Y a-t-il une discrimination systémique contre les populations autochtones? Cette population au Québec total était de 104 633 âmes en 2015, pour un total de 8 215 000 habitants (1er juillet 2014). La proportion d’autochtones (ci-après: les A) est donc de 1,26%.

Grossissons la loupe. Selon le recensement de Statistique Canada, en ville de Montréal en 2006, la proportion de A était de 0,5%. Que disent les chiffres? En matière de scolarité il y a davantage de personnes A sans aucun diplôme, et moins de diplômés universitaires. Entre les deux les pourcentages sont assez égaux, voire à l’avantage des A.

Le taux d’activité est presque égal et le chômage touche dans l’absolu légèrement plus les A: 11,9% contre 9,2%. Rapporté au nombre total des deux populations, cela donne un résultat insignifiant sur le terrain. En chiffres relativisés au volume total des populations les A sont même favorisés: 11,9% de 0,5% de A font moins de personnes que 9,2% de 99,5% de non-A.

Concernant l’emploi en ville de Montréal, le taux de personnes A varie de 2% à 26% selon les secteurs. Soit dans tous les cas de figure une représentation nettement supérieure à leur représentation numérique. Proportionnellement de 4 fois à 58 fois plus que de non-A.

 

 

canada,québec,progressiste,valérie plante,minorité,autochtone,discrimination,racisme,white guil,blanc,culpabilité,madonna,clinton,trump,esclavage,montréal,Valérie se Plante

On note que les femmes A sont plusieurs fois plus représentées que les hommes A, en particulier dans les métiers peu salissants et peu fatigants comme l’administration et la gestion, alors que les hommes A sont surreprésentés dans le secteur transport et machinerie.

Par contre en matière de revenus les A gagnent en moyenne moins que les non-A. Une analyse plus poussée permettrait de savoir s’il s’agit d’une discrimination ethnique et/ou de genre systémique ou d’une réalité liée aux types d’emplois.

De ces chiffres il ressort qu’à Montréal les A ne sont pas discriminés. Au contraire, en regard de leur proportion, ils sont même avantagés par rapport aux non-A.

Le discours de Valérie Plante est donc faux, voire mensonger si l’on pense que son parti connaît forcément ces statistiques officielles et non contestées. Il semble que son objectif, derrière ce discours pseudo-humaniste et multiculturaliste, est de gagner le nouvel électorat de l’immigration arabo-musulmane.

Les progressistes (féministes, multiculturalistes, minoritairistes, LGBTQistes, gauchistes, bref tous les victimaires) font de la discrimination – certains disent du néo-racisme – un fond de commerce que rien ne justifie. Seul le sentiment de culpabilité fonde leur corpus théorique et électoraliste, qui vise à donner aux minorités le pouvoir sur les majorités. L’inversion progressiste du monde est en route.

À Montréal comme ailleurs les progressistes sont en réalité, sous couvert de bons sentiments anesthésiants, des anti-démocrates et des captateurs de la démocratie et de ses ressources à leur seul profit.

 

 

canada,québec,progressiste,valérie plante,minorité,autochtone,discrimination,racisme,white guil,blanc,culpabilité,madonna,clinton,trump,esclavage,montréal,Les nouveaux camps

Derrière l’opposition progressiste/conservateurs se dessine une lutte de pouvoir qui n’a rien à voir avec l’humanisme proclamé des premiers. Les progressistes doivent désormais être dénoncés partout où ils dénaturent la démocratie.

La culpabilité blanche n’a pas lieu d’être. Et si c’était le cas, elle devrait être mise en miroir de la culpabilité noire, parce que les rois noirs ont été les premiers à vendre leurs frères comme esclaves aux arabes et aux européens, et parce qu’ils tuent encore des albinos parce qu’ils sont trop blancs.

On peut aussi parler dans le même sens d’une culpabilité brune arabo-musulmane, ainsi que d’une culpabilité jaune japonaise.

L’élection de Donald Trump doit entre autre être comprise comme un refus de la dictature morale progressiste.

Trump qui, comme il le prévoyait, a vu son résultat électoral de novembre conforté par le recomptage des voix, et même accentué dans le Wisconsin. La progressiste écologiste Jill Stein a échoué dans sa démonstration d’une supposée tricherie électorale. Quant à la progressiste Madonna, les hommes attendent toujours qu’elle tienne ses promesses: tailler une pipe à ceux qui ont voté Clinton.

Il faut aujourd’hui démonter le discours progressiste et le montrer pour ce qu’il est: une dictature morale et un autoritarisme politique. La cohésion sociale et la solidarité humaine n’y sont plus réellement représentées.

 

 canada,québec,progressiste,valérie plante,minorité,autochtone,discrimination,racisme,white guil,blanc,culpabilité,madonna,clinton,trump,esclavage,montréal

 

 

 

 

 

Catégories : Féminisme, Philosophie, Politique 21 commentaires

Commentaires

  • Votre blog contre les féministes (ou est-ce carrément contre les femmes ?) me fait penser à celui de Mireille Valette contre les musulmans ou celui de P. Decaillet contre la RTS, le Temps, la Tribune de Genève, etc. etc. ou encore celui d’Hélène Richard-Favre contre ceux qui sont …. contre la Russie ou enfin (si je peux permettre) à mon propre blog où je m’en prend aux populistes.

    A force de vouloir systématiquement frapper les mêmes cibles nous en devenons méchamment redondants, non ?

    En même temps, c’est vrai que nous sommes à priori tous convaincus qu’il est important de dénoncer les travers de ceux (ou celles en ce qui vous concerne) que nous considérons comme néfaste à la bonne marche de notre société mais visiblement nous avons de la peine à en sortir, vous ne trouvez pas ?

  • Je ne comprendrais jamais pourquoi le féminisme se bat pour des inégalités qui restent à prouver ou qui sont insignifiantes alors que d'autres injustices, criantes et nettement plus graves sont juste sous leur yeux.

  • Quand à citer une féministe radicale, c'est un peu tirer sur une ambulance: certaines d'entre elles sont juste démentes.

  • Vincent,

    Je saisis la perche que vous me tendez. Je souhaite d’abord vous dire que cela me fait plaisir de vous lire ici. Notre dernier échange sur votre blog m’avait laissé embarrassé. Vous m’aviez dit ne pas vouloir échanger avec moi, sans que j’en connaisse les raisons. Je n’étais pas refusé, mais du coup je ne suis plus intervenu, avec regret. Je m’en étais ouvert hors ligne avec une personne qui contribue aussi parfois aux blogs.

    Je vous lis régulièrement. Il me semble que nous avons quelques points communs pas si éloignés. Je constate nos désaccords sur bien des points, comme j’imagine vous le faites avec moi. Mais vous, comme moi et d’autres ici, avons des convictions, des engagements même, et nous tentons d’exprimer ou de parfaire notre vision du monde, notre « Weltanschauung ».

    J’en viens au fond. Le premier point est que mon blog n’est pas seulement antiféministe, même si le sujet est récurrent. Plusieurs thèmes me passionnent en plus de relations hommes-femmes, comme la politique, la géopolitique, la construction des idées, l’Histoire, l’art, l’astronomie, la météo et partant le climat, et j’écris sans plan, par séquences. Ces temps il y a beaucoup sur le sujet du féminisme. Je garde toujours un point d’interrogation sur la redondance. Cependant j’ai conscience que ce thème demande du temps pour élaborer un discours qui analyse de manière critique et propose aussi d’autres repères. Mon expérience personnelle a été fondatrice d’une réorientation de ma vie et, comme une de Beauvoir à son époque, je tente un travail de fond sur une idéologie dont les fondamentaux m’apparaissent non seulement erronés mais dangereux et dont je connais certaines des conséquences.

    Sur la première question: « (ou est-ce carrément les femmes?) », merci de l’avoir mise entre parenthèses avec un point d’interrogation. D’autres se permettent des procès d’intention à ce sujet avec une telle violence que je me demande quel est leur problème personnel. Ce n’est pas le cas avec vous. Non, ce ne sont pas « les » femmes. Je ne veux ni me défendre ni me justifier sur ce point, je sais où j’en suis. Si parfois mes formulations semblent impliquer l’ensemble de la gente féminine c’est que le contexte s’y prête pour pousser plus loin le raisonnement apparent des groupes féministes. Parfois c’est aussi par provocation, ou simplement parce que le discours féministe est généralisant et veut parler au nom de toutes.

    Par exemple si je trouve navrante la ennième attaque d’Oser le féminisme contre les Miss France, navrant qu’elles leur disent quasiment ce qu’elles devraient faire ou comment devrait être le concours, ce n’est pas pour prendre le contre-pied et dire que les femmes ne sont que des corps à exposer (même si je suis souvent à contre-courant par principe, pour justement explorer ce que l’on ne voit pas). Mais je ne vais pas le développer ici! J’y viendrai peut-être cependant car derrière cette escarmouche anecdotique sur les Miss il y a aussi des visions du monde.

    Je n’accepte pas plus les injustices faites à des femmes que celles faites à des hommes. Vous écrire cela me fait repenser au billet que j’avais consacré à Oksana Makar.

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2012/03/30/cry-for-oksana.html

    Nous sommes plusieurs sur ce portail à développer certains sujets de manière répétée. J’apprécie d’ailleurs votre honnêteté à vous inclure dans le lot. Il me semble que ces sujets sont larges et ne se suffisent pas d’une seule démonstration ou analyse. Il faut parfois venir et revenir, et encore, pour d’une part continuer à former notre propre pensée, d’autre part pour que notre vision s’épaississe et se nuance. Les éléments d’actualité permettent justement de reprendre un sujet et d’en compléter notre éclairage. En vous lisant sur plusieurs billets je comprends mieux votre point de vue sur le populisme, et c’est un peu en vous lisant (pas seulement vous mais aussi) que j’ai envie d’en parler autrement que par exemple les grands médias et d’en chercher le sens ailleurs que dans la montée des extrêmes.

    Je crois aussi que dans ce blog je continue à former ma propre vision. En plus je constate qu’il sert à d’autres, des hommes qui trouvent à mettre des mots sur des ressentis, et aussi des femmes qui ne s’identifient pas à un discours féministe tellement victimaire qu’il en devient méprisant pour elles. Je pense contribuer, dans ma petite mesure, à ouvrir une parole.

    Aujourd’hui mon billet déborde du seul cadre du féminisme, pour montrer un fait de société en développement, et en mettre en exergue les contradictions.

    Je fais souvent un exercice critique sur mon blog. C’est un choix. Je pourrais donner plus de place à un billet comme le précédent, « Parole de Lau ». Il y a longtemps une blogueuse écrivait régulièrement de jolies histoire sous le titre de blog de La Salamandre. Nous avons aussi Colette sur le blog Espace, instants, qui apporte chaque wee-end une touche de grâce et de poésie. Djemâa contribue aussi à un regard différent et varié.

    Tiens, je cite des femmes! Je vous fais une confidence: mes meilleures amis sont des femmes. Avec elles nous parlons de tout, pas seulement de relations hommes-femmes.

    J’ai fait un peu long. Je termine avec votre question finale: aurions-nous de la peine à sortir de nos sujets de prédilections? Ah… mais, au fond, faut-il en sortir? Ne sommes-nous pas là pour creuser ce par quoi nous nous sentons concernés? Pour moi le blog a pris nettement une autre fonction que celle de raconter une humeur. Il est un lieu de réflexion et d’échange. Alors, au final, je pense que ce sont les personnes qui nous lisent qui doivent de temps en temps en sortir, si elles ont pour le moment assez d’informations de notre part. Et puis, je pense quand-même que je varie pas mal les sujets si l'on prend sur trois ou six mois par exemple, ainsi que les styles.

    Cela dit je vous ai vu parler de sport sans mentionner le populisme, et j’y lisais aussi votre manière de voir, donc…

    :-)

    Bien à vous.

  • Le féminisme qui se battait pour obtenir le droit de vote, des salaires à travail égal égaux non calculés à partir du sexe des gens
    la contraception, l'avortement non criminalisé ("en aucun cas forme de contraception" et "ne devenait pas le devenir", je parle pour la Suisse). Présentée telle la présente IVG nous n'aurions jamais obtenu ce que nous revendiquions soit la décriminalisation de l'avortement et, bien entendu, n'en déplaise au Vatican, la pratique librement choisie d'une forme ou d'une autre de contraception. Planning familiaux, crèches, etc. Toutes revendications acquises "sur le papier" chacune ayant à consolider ces acquis.
    Ce féminisme n'est plus et, anciennes militantes des années septante, nous ne reconnaissons pas féministe/s ce (et celles) qui s'en réclament aujourd'hui.
    .
    Femmes mariées et mères de famille, nombreuses, nous n'étions en aucun cas anti hommes et, loin s'en faut, "forcément" lesbiennes.

  • Je vous comprends et je prends ce que vous dites Myriam, il y a eu un féminisme utile. Même si je suis plus nuancé que vous sur les anciennes militantes. J'avais je crois déjà mentionné le discours très politique et anti-hommes de certaines idéologues des années 1960. Mais les exemples que vous donnez sont prenables.

    Pour ma part je considère toujours que ce qu'on nomme le patriarcat était simplement un système d'organisation par répartition des tâches et des pouvoirs. Le féminisme a fait élargir le champ d'implication des femmes dans la société. L'époque s'y prêtait, ainsi que le mode général de vie et la technologie. Cela dit cette extension a aussi reçu l'approbation des gommes, de manière assez large me semble-t-il.

  • ...pas des "gommes"... l'approbation des hommes!!!
    :-)

  • Il y eut peut-être des militantes pas franches qui cachaient leur jeu mais ma mère alors responsable du service de presse du Comptoir Suisse à Lausanne où se tenaient dans une salle proche de son bureau les rencontres des responsables du féminisme d'alors (je n'en faisais pas encore partie, je ne vins qu'à la fin) me disait qu'en les entendant elle se tordait de rire car ces maîtresses femmes dès qu'arrivaient leurs époux n'étaient plus que des "oui" ou des "non" ou des "bien sûr" mon chéri"!

    Ce que je redoute, hommelibre, c'est qu'un jour les hommes et les femmes ne puissent plus d'aimer.
    S'aimer d'amour avec un grand A pour amour s'entend.

  • Cher hommelibre,

    - « mon blog n’est pas seulement antiféministe »

    - « ... des femmes qui ne s’identifient pas à un discours féministe tellement victimaire qu’il en devient méprisant pour elles. Je pense contribuer, dans ma petite mesure, à ouvrir une parole. »

    En somme, si je vous comprends bien, ce que vous dites, c'est que ... vous méprisez les femmes féministes, ... et les autres femmes.

    Ou, si vous préférez, vous méprisez ces femmes là ... à cause du mépris que les autres ont d'elles lorsqu'elles s'affirment féministes.

    Ce qui revient à dire ...

    ... Entre choisir de ... partager avec ces femmes les sentimenets qu'elles éprouvent, ... vous préférez partager le mépris de ceux qui les méprisent.

    Ce qui revient à dire ...

    ... votre blog n'est effectivement pas seulement antiféministe, ... mais aussi ... _misogyne_.

    http://cnrtl.fr/definition/misogyne

    Mais comme tous les goûts sont dans la nature, je n'ai aucun doute que certaines femmes ... aiment ça.

    Est-ce que je me trompe ou est-ce que je me trompe ?

  • Chuck,

    vous êtes le maître du sophisme.

    Vous ne me comprenez pas bien, vous inventez des choses que je ne dis pas, et vous vous trompez tout en vous trompant. Votre animal totem serait-il l'éléphant?
    Je ne méprise pas les féministes, ce serait de peu d'intérêt: je déconstruis leur idéologie, et si possible je leur flanque une raclée intellectuelle.

    ... là, j'espère vous avoir donné du grain (de moutarde) à moudre.

    ):-)

  • Discrimination! Le mot fatidique, passe partout, des personnes qui se retournent contre les pays qui les ont accueillis. C'est ce qu'on appelle le "multiculturalisme"......

    Valérie Plante, sujette au complexe d'infériorité?

  • Cher hommelibre,

    - « Je ne méprise pas les féministes, ce serait de peu d'intérêt: je déconstruis leur idéologie, et si possible je leur flanque une raclée intellectuelle. »

    Hoouuu pla la la la !

    Joli dérapage islamiste décontrôlé dans la zone de tir de Mireille Labelette !

    Vous voulez pas la video mettre sur ioutoube pour voir sa réaction, après les raclées féministes d'hier ? Pour voir si elle est une vraie féministe comme elle l'a dit ?

  • Chuck-troll.

  • Bonjour Hommelibre et dire que le série Québecoise ,La petite vie est à l'origine du sac poubelle taxé
    On ne peut pas vraiment dire que le recyclage ait été porteur d'emplois et l'article le confirme bel et bien
    Encore une politicienne scientifique qui prend ses rêves pour la réalité
    Dommage qu'il y en ait autant en Suisse
    On n'est pas sorti de l'auberge des progressistes comportementalistes, nombrilistes qui marchent en reculant vers le progrès ,dirait -on /rire
    Très belle journée

  • Bonjour Lovejoie,

    J'aime bien votre description: " ... qui marchent en reculant vers le progrès".
    Il y a de ça...
    :-)

    Bonne journée aussi.

  • A partir du moment où l’idée de départ (soit avant que je réalise que je ne faisais pas mieux) était une provocation motivée par une certaine incompréhension de ma part quant à la pertinence de votre combat, je vous remercie d’avoir pris le temps de me répondre de manière si pertinente Homme Libre.

    D’autant que vous l’avez fait avec classe et fairplay et ne serait-ce qu’en fonction de ça (mais aussi à la qualité de votre écriture) je me dis que je n’aurais peut-être pas du obtempérer à la recommandation d’une amie ex-blogueuse qui me conseillait de me tenir le plus loin de vous possible. Il aurait été certainement plus sage de ma part de faire mes propres expériences et c’est pourquoi, je tiens ici à m’excuser de vous avoir, en son temps, carrément snobé.

    Quant à nos combats respectifs, peut-être aurais-je un jour le temps de vous expliquer ce qui me choque parfois dans vos propos et par ailleurs, je me réjouis d’accueillir vos commentaires sous mes propres digressions.

    Bonne fin de journée et belle fêtes de fin d’année

    Vincent

  • @Hommelibre je vous remercie !

  • Vincent,

    Merci pour votre réponse. Votre sincérité me va droit au coeur – mais de cette sincérité je ne doutais pas. Nous nous trompons quelque fois, même pour des raisons qui nous semblent bonnes. Je ne fais pas mieux parfois. Il n'y a pas de jugement.

    Avec plaisir et sans urgence maintenant que la communication est rétablie, je viendrai causer sur votre blog si je pense avoir quelque chose à dire, et vous accueillerai toujours ici quand vous le jugerez bon.

    Belles fêtes à vous aussi.

  • On est en plein esprit de Noël. Un ange passe, aurait dit Gérard de Villiers...

  • Cher hommelibre,

    - « Chuck-troll. »

    Râh que! Chuck'n'Troll ! Yeaaééé ! ;-)

  • @ Géo:

    https://www.youtube.com/watch?v=EwV15brk7Fc

    :-)
    ........

Les commentaires sont fermés.