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Suède – agressions sexuelles et migration : une corrélation ?

Je soulevais précédemment la question d’un apartheid anti-hommes, suite à l’annulation du festival suédois du Bråvalla. À cause de quelques hommes, c’est l’ensemble du groupe masculin qui est visé par un ostracisme et une exclusion que l’on croirait repris des anciennes lois raciales états-uniennes.

 

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C’est en soi un nouveau problème de société, et un constat supplémentaire de ce que le féminisme n’est pas un humanisme. Il y a environ 80 ans qu’un groupe n’a pas été accusé et attaqué à ce point dans son ensemble. Le fait qu’un groupe entier puisse être exclu d’un espace public est la posture inverse de la revendication féministe.

La mixité doit-elle prévaloir partout? Je ne suis pas de cet avis. Femmes, hommes, chinois, arabes, irlandais, noirs, blancs, jeunes, vieux, ont le droit de se retrouver entre eux et elles. La mémoire des racines, le besoin de partager des affinités communes, ne sont pas encore du communautarisme ou une défiance culturelle mutuelle.

De plus la généralisation est souvent dangereuse et l’Histoire devrait nous le rappeler. Attribuer une caractéristique négative à l’ensemble d’un groupe à cause de quelques cas est abusif. Cela vaut pour les hommes comme pour les femmes, pour les autochtones comme pour les personnes issues d’une migration.

C’est donc bien l’aspect misandre que je soulignais. Un aspect qui ne suscite aucune réaction collective de désapprobation, alors que l’inverse, soit l’exclusion des femmes, aurait probablement déclenché une polémique nationale en Suède.

 

 

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L’autre aspect, abordé dans des commentaires, est la participation de migrants dans la criminalité suédoise, particulièrement la criminalité à caractère sexuel. Le sujet est sensible car largement exploité politiquement, comme ailleurs en Europe. Les uns chargent les migrants de tous les mots, les autres font silence sur certains problèmes posés par l’adaptation d’une nouvelle population au mode de vie local.

La déclaration de la comédienne Emma Knyckare, publiée hier dans mon précédent billet est étrangement formulée: « Que diriez-vous de mettre en place un festival vraiment sympa où seuls les 'non-hommes' seraient les bienvenus, et de continuer jusqu’à ce que TOUS les hommes aient appris à mieux se comporter? »

Ce mot « TOUS » écrit en majuscule peut signifier deux populations: soit l’ensemble des hommes, faisant porter la charge du délit de quelques-uns sur tous, soit les hommes originaires d’une migration.

À ne pas aborder les problèmes on les amplifie. Au point où chaque délit commis par une personne migrante devient un délit collectif commis par l’ensemble des migrants. Pourquoi? Parce que le silence appelle à une suspicion grandissante dans la population autochtone.

Pourtant là aussi une généralisation est abusive. On ne peut incriminer ni l’ensemble des hommes, ni l’ensemble des migrants, ni l’ensemble d’une quelconque catégorie pour les délits et crimes commis par quelques membres de ce groupe. Les groupes ostracisés, dont les hommes font partie, doivent se rappeler de refuser par principe toute généralisation.

 

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Dans toutes les populations il y a une petite marge de délinquants. On ne peut juger tout le groupe sur cette marge, mais au contraire sur l’ensemble de ce qui fonctionne bien. Une culture ne se définit pas par des failles individuelles mais par des réalisations collectives.

La gestion des flux migratoire est devenue source de conflit en Suède, et les épisodes d’émeutes ont montré que l’intégration de migrants a été mal accompagnée. Mais il semble que la criminalité ait augmenté:

« Quarante ans après que le parlement suédois a décidé à l’unanimité de transformer la Suède autrefois homogène en un pays multiculturel, les crimes violents ont augmenté de 300% et les viols de 1.472%. La Suède est maintenant numéro deux des pays du monde en matière de viols, dépassée seulement par le Lesotho en Afrique australe. »

La prévalence de populations originaires d’une immigration extra-européenne n’est pas validée par ces chiffres faute d’être désignée. La difficulté est que les statistiques ethniques sont interdites en Suède. Mais certains rapport existent néanmoins, ou des déclarations spontanées comme celle de ce policier sur sa page Facebook.

Les statistiques judiciaires en Suisse montrent une surreprésentation carcérale de populations d’origine ethnique non-européenne. Il semble qu’en Suède la situation soit pareille.

 

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Le petit pourcentage de personnes migrantes délinquantes ne doit pas impacter l’ensemble de cette population. La gestion des migrations est une question plus générale que la seule prévention des crimes et délits. Si quelques-uns dans cette population ne respectent pas nos lois il faut s’en prendre à eux et non à l’ensemble.

La question n’est pas liée à une forme de racisme culturel dès lors que l’on analyse les faits au cas par cas, mais cela en devient si l’on généralise. De manière générale, les expatriés (même temporaires comme les touristes) ont tendance à moins respecter le pays qui les accueille que leur propre pays. 

On voit que les personnes d’origine arabo-musulmane, puisque ce sont elles dont il est en général question, ne posent pas plus de problème en Europe dès lors qu’elles y sont venues par des filières légales et sont y installées depuis un certain temps, ou si leur intention d’émigrer définitivement est réelle. On s’adapte plus volontiers au pays si l’on veut y faire sa vie que si l’on ne vient que dans l’esprit de  profiter de certains avantages. 

Les vagues migratoires créent des périodes d’instabilité. L’adaptation des nouveaux venus prend du temps. Je rappelle ici encore que les grandes migrations de masse italiennes vers la France au XIXe-XXe siècle (plus de 4 millions de migrants en un siècle) ont été émaillées de violences, voire de meurtres d’italiens. Les deux tiers sont au final retournés chez eux faute d’avoir trouvé un avenir en France. Ces périodes d’instabilités doivent être réduite au mieux par des exigences et un accompagnement adéquat des flux migratoires.

En Suède, il est probable que l’instabilité produite par les migrations ne soit pas apaisée, pas plus qu’elle ne l’est par exemple en France. Mais concernant ces délits particuliers dénoncés lors du festival Bråvalla il n’est pas plus juste d’accuser l’ensemble des migrants que l’ensemble des hommes.

 

 

 

 

Catégories : Philosophie, Politique, société 7 commentaires

Commentaires

  • Alors vous proposez quoi?
    Si je prenais mon exemple personnel, si je savais qu'en allant à un festival de type Paléo ou Montreux, je prends le risque de me faire violer, je fais quoi?

    La réponse évidente serait: a) je n'y vais pas ou b) je me fais accompagner par une armoire à glace

    Autrement dit, une femme seule ou une bande de copines feraient mieux de rester chez elles. Ainsi l'honneur et l'égo des hommes est préservé et le corps des femmes aussi. L'oeuf de Colomb, en quelque sorte...

  • @ hommelibre

    "le… Un homme de 20 ans qui tentait de s’interposer a même été tabassé."

    les violeurs étaient en groupe et lui seul.

    "Cette année, une jeune fille de 15 ans a été violée pendant un des concerts. Selon le rapport de la police, la jeune fille a été violée au milieu de la foule, devant la scène, et personne n’a réagi, personne n’est intervenu."

    le féminisme a t'il fait perdre en Suède à l'homme son rôle de protecteur de la femme, il n'a déjà plus le rôle de poseur de limite dans l'éducation des enfants, ce n'est plus qu'une mère bis, éjectable à loisir, le rôle de protecteur est dévolu à l'état papa. elle sont devenue égales indépendantes autonomes.

    et comment peut-t'on avoir envie de protéger une femme qui fonctionne comme une féministe suédoise, qui rend les hommes coupables et responsables de tout qui régente tout, quelle se démerde.

    "Les policiers ont dit avoir arrêté et interrogé trois suspects, mais n’ont pas divulgué d’informations sur leur origine ou leur identité, selon le radiodiffuseur suédois SVT. "

    ces suspects il n'y a qu'a bien les passer à tabac, méthode qui a fait ses preuves dans la banlieue de Marseille dans les années soixante dix, ça refroidira les autres.

    d'accuser globalement tous les hommes comme font les féministes ça ne résouts rien, ça nous conforte juste dans notre certitude que ce sont des ordures c'est tout.

  • "Cette année, une jeune fille de 15 ans a été violée pendant un des concerts. Selon le rapport de la police, la jeune fille a été violée au milieu de la foule, devant la scène, et personne n’a réagi, personne n’est intervenu."

    peut-être si des hommes étaient intervenus pour défendre les femmes ils auraient peut-être pas été considérés comme défenseurs des femmes mais comme agresseurs racistes de gentils étrangers !!!

    comme ça arrive chez nous avec notre justice bobo.

    "Par Paul Agression dans le métro de Lille : «Personne ne m'a aidée»
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/04/25/01016-20140425ARTFIG00048-agression-dans-le-metro-de-lille-personne-ne-m-a-aidee.php?pagination=4

    Emiste - 26/04/2014 - 20:46 - Signaler un abus Ça fait réfléchir quand même.

    AFP: "Trois voyageurs ayant attaqué un maghrébin dans un train sont passés en comparution immédiate pour coups et blessures à caractère raciste. Touche pas à mon pote et le MRAP se sont immédiatement portés partie civile ainsi que la CGT/Sud SNCF.
    Les trois hommes auraient prétendu que le jeune homme importunait une passagère dans le compartiment et qu´ils ont voulu le neutraliser.
    Monsieur Valls s´est dit profondément choqués par cet incident".

    il faut y réfléchir à deux fois avant de défendre une passagére importunée, sos racisme et le MRAP veillent

    Par Ludo1963 - 25/04/2014 - 07:40 - Signaler un abus L agresseur est un marocain

    Je précise pour les bien pensants J habite Roubaix, j ai des amis arabes. Je ne suis pas raciste et ne vote pas FN. On apprend ce matin dans le Figaro que l agresseur est un marocain (pas maghrébin mais marocain donc pas de nationalité française ) et "connu des services de police" . Dans le métro à Lille on voit tous les jours ce genre de racaille insulter des blondes devant les gens habitués.
    Si une personne intervient elle a intérêt à avoir un couteau sinon elle se prend un tesson de bouteille dans la gorge . Si la racaille est éventrée je fais confiance à la justice de Taubira pour que le méchant blanc prenne 10 ans de taule . Ce type à un sentiment d impunité scandaleux .

    Par walküre - 24/04/2014 - 19:42 - Signaler un abus Intervenir

    c'est se voir inquiété par la suite par la racaille elle-même qui portera plainte et qui sera entendue par les institutions. Comme le droit de la légitime défense est une usine à gaz prompte à protéger les bandits, mieux vaut passer son chemin. Car il faut réfléchir à cette fumeuse règle de la réponse proportionnée. Si vous assommez le voyou sans parapluie avec votre parapluie, vous devenez immédiatement coupable. Voilà ce qu'on pensé les gens indifférents du métro de Lille.
    Il faut savoir quelle société on veut. Celle qui protège la racaille, ou celle qui protège la victime.

    Par LeditGaga - 24/04/2014 - 18:42 - Signaler un abus Pas d'accord !

    La justice étant devenue ce qu'elle est à l'ère taubira, il n'est pas question d'intervenir pour porter secours à quiconque, vous vous retrouverez directement en garde à vue avec "menottes, fouille à corps et autres humiliations" et, pour peu que vous ayez "esquinté" le tortionnaire de la victime, vous écoperez fatalement de prison ferme... qu'on se le dise ! Les spectateurs de cette agression n'avaient pas d'autre choix que de... s'écraser, c'est évident !

    bien vu ces commentaires, attention de ne pas avoir une réponse sois disant disproportionnée par rapport à l'attaque du tortionnaire envers sa victime !!!
    en plus de ça le féminisme a tout fait pour castrer les hommes, se moquer de la virilité ne mettant plus en avant la qualité de l'homme viril de protéger les femmes, ce qui se passe notre société féminisée la bien cherché, et ce sont les femmes qui trinquent, et dans les officines féministes constats toujours déconnectés de la réalité.

    les citoyens vont finir par faire des milices d’autodéfense, le bloc identitaire a commencé à Lille évidement ça ne plait pas aux bobos

    • Home ACTUALITE Société

    o Par lefigaro.fr
    o Mis à jour le 25/04/2014 à 11:06
    o Publié le 25/04/2014 à 08:24

    VIDÉO - La jeune femme agressée sexuellement mercredi soir raconte ces trente minutes de cauchemar sans qu'un passager ne lui vienne en aide. L'agresseur a été condamné à 18 mois de prison.
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    «Je lui ai dit ‘écoute, je suis une mère de quatre enfants, fais-moi pas de mal'. Il a rien voulu savoir». La jeune femme agressée sexuellement mercredi soir dans le métro de Lille raconte sur RTL son calvaire sous le regard indifférent des autres voyageurs. «Personne ne m'a aidée. Je me suis défendue toute seule», lâche-t-elle dans un sanglot.
    Il était 22h30 ce mercredi quand la femme de 29 ans entre dans une station de métro située au sud de Lille afin de regagner son domicile, à Tourcoing. Abdelnour B., un Marocain de 19 ans, la repère. «Dès qu'il m'a vue, il est venu vers moi directement. Il avait une bouteille, il sentait l'alcool, il a commencé à me bloquer ... il m'a touchée!», raconte la jeune femme, très émue. «J'avais peur. Il m'a dit que j'étais une pute, qu'il allait appeler son cousin, qu'ils allaient me violer à plusieurs... il faisait des gestes bizarres avec la bouteille de vodka».
    Le jeune homme ne lâche pas sa proie. «J'ai crié à l'aide, j'ai demandé du secours». Mais les autres passagers, qui attendent eux aussi le métro, ne disent rien. «Je me suis mise près d'un homme, il n'a rien voulu savoir. Il ne m'a pas aidée». L'agresseur suit sa victime dans la rame. Les autres voyageurs préfèrent eux entrer dans la voiture suivante. «Les gens sont partis dans l'autre rame tout au fond. Ils m'ont laissée toute seule et ils me regardaient me faire agresser!», dénonce-t-elle. «Il y avait beaucoup de gens, je suis une femme, c'est un homme, ils auraient dû me défendre, ou l'écarter... C'est tout ce que je demandais, je ne demandais pas autre chose, juste qu'on me donne un coup de main.»
    Les autres passagers pourraient être poursuivis
    La jeune femme prend la fuite à la station suivante, mais son cauchemar se poursuit. Elle ne parvient pas à semer son agresseur, qui la suit dans la rue. Elle décide d'«arrêter des voitures à contresens». Trois véhicules poursuivent leur chemin. Le quatrième, conduit par un jeune homme de 18 ans, s'arrête. «La femme hurlait et s'est mise en travers de la route. J'ai freiné pour ne pas la renverser. Elle était si terrorisée qu'elle est montée dans la voiture par ma portière côté conducteur alors que j'étais au volant…», a témoigné le conducteur auprès des enquêteurs. Une bagarre s'en suit entre le conducteur et l'agresseur, qui parvient à sortir la jeune femme de la voiture. Les agents de sécurité du métro interviennent alors et arrêtent l'homme. L'agression aura duré près de 30 minutes.
    L'affaire a été jugée jeudi après-midi par le tribunal de Lille. Le jeune Marocain a expliqué s'être «disputé avec sa copine» et «avoir bu» ce soir-là. «Je demande pardon à cette dame. Je n'avais jamais commis ce genre de faits auparavant», a-t-il répété plusieurs fois. Son avocate a dressé le portrait d'«un jeune un peu paumé qui n'a pas les mêmes repères socio-éducatifs, qui pensait draguer et n'a pas supporté que sa victime lui résiste», relate La Voix du Nord, qui a suivi l'audience. Ces arguments n'ont pas convaincu le juge, qui a condamné le jeune homme à 18 mois de prison ferme avec mandat de dépot, assorti d'une interdiction de séjour en France durant deux ans et une inscription au fichier des délinquants sexuels. L'homme avait deux mentions sur son casier judiciaire, dont une pour faits de violence.
    Lors des réquisitions, le procureur a fustigé l'attitude des autres voyageurs. «En tant que représentant du ministère public, je suis inquiet de ce visage d'une société où on est capable de prendre une autre rame en laissant seule une femme face à son agresseur. Il est là l'effroi aujourd'hui... Se dire que dans notre société, on ne pourra pas compter sur la collectivité». Le procureur a demandé aux policiers de mener une enquête distincte pour déterminer si les autres passagers, qui n'ont pas appelé les secours, peuvent être poursuivis pour non-assistance à personne en danger. À Lille, le métro est entièrement automatisé, et seule l'alerte des voyageurs peut permettre une intervention rapide des équipes de sécurité. Plus de 1000 caméras de vidéosurveillance sont réparties sur le réseau, mais le PC sécurité de la société Transpole n'a que 30 écrans pour retransmettre les images en temps réel.
    La jeune femme n'a elle pas eu la force de suivre les débats. Arrivée en salle d'audience au début du procès, elle s'est enfuie en pleurant après avoir croisé le regard de son agresseur.

    Lille : agression sexuelle dans le métro, pas de réaction des passagers
    http://www.atlantico.fr/pepites/lille-agression-sexuelle-dans-metro-pas-reaction-passagers-1052709.html

    La jeune femme de 30 ans, qui a été attaquée ce mardi soir, n'a été secourue par aucun usager du métro - avant qu'un automobiliste ne finisse par intervenir.
    Faits-divers
    Publié le 24 Avril 2014 - Mis à jour le 2 Février 2015

    L'agression s'est notamment déroulée au niveau de la station de métro CHR Oscar-Lambret. Crédit Jérémy Jännick / Wikimedia Commons
    C'est une stupéfiante histoire qui a été jugée ce jeudi par le parquet de Lille. Un homme de 29 ans a, selon la Voix du Nord, été condamné à 18 mois de prison ferme suite à l'agression sexuelle d'une femme de 30 ans, ce mardi soir, dans le métro lillois.
    La victime a d'abord été verbalement attaquée par un individu visiblement éméché, sur un quai de métro du centre-ville, avant que celui-ci n'essaie de l'embrasser de force. Une fois entré dans la rame, l'agresseur a continué de l'insulter puis tenté de l'attaquer avec une bouteille de vodka. Le cauchemar s'est poursuivi pour la jeune femme lorsqu'elle sort de la rame, à la station CHR Oscar-Lambret, où elle est cette fois victime d'attouchements à la poitrine et dans le bas du dos, avant qu'un automobiliste n'intervienne pour mettre fin à l'agression, aidé par des vigiles de l'hôpital.
    Car, entre-temps, personne n'était effectivement intervenu pour aider la victime : les caméras de vidéosurveillance qui ont capté la scène sont formelles. Pendant une demi-heure, et ce jusqu'à l'intervention de cet automobiliste, aucun usager n'a cherché à neutraliser l'agresseur, qui a reconnu ce jeudi avoir voulu dragué la jeune femme. "Le Figaro" note de son côté que la question de la "non-assistance à personne en danger" se pose, pour "une dizaine de personnes" selon un commandant de la DDSP59 (Direction départementale de la sécurité publique du Nord).
    sabaku

    j'habite la même ville que la victime de cette agression, et prend le métro matin et soir.
    c'est sur que parfois c'est assez chaud, et la seule présence policière est celle qui accompagne parfois les controleur.
    c'est triste a dire mais , même si le dire comme ça parait monstrueux je comprend parfaitement que personne ne se soit mis entre l'agresseur et la victime ( apres ils auraient pu apeller la police evidement)
    je me suis fait agressé dans ce métro il y a quelques années : voulant me voler mon portable mon agresseur a sorti un couteau, et dans un reflexe j'ai attrapé son bras et lui ai claqué dans la barre centrale de la rame de métro.
    résultat : j'ai du payer les frais médicaux et c'est moi qui ai été considéré comme le méchant, pourtant le juge avait la video ou on voyait clairement que j'avais un couteau face a moi, mais on m'as rétorqué qu'il ne fallait pas se faire justice soit même.
    j'aurais du soi disant appeler la police aussi, au risque de me faire planter en même temps? que peut-on faire dans un pays comme ça?
    Le 25/04/2014 à 17:37"


    TSAM

    Bien sûr qu'il est possible d'intervenir , mais pas dans le cadre de la loi française qui exige une "réponse proportionnée à l'agression " ...
    On ne calme pas ce loubard de vingt ans alcoolisé avec des mots ou en le poussant gentiment .
    Devant le risque de se faire blesser à l'arme blanche ou de passer devant un juge , la France et ses français démissionnent .
    Le 25/04/2014 à 17:09
    Alerter Répondre
    Avatar
    Gaulois

    Bien sur que c'est monstrueux, mais ne perdez pas de vue que si vous intervenez, vous risquez de vous faire agresser à votre tour par un type de 20 ans en pleine forme, que si vous le blessez il peut parfaitement vous traduire devant les tribunaux, et que on a déjà vu des cas où la victime et l'agresseur se sont retournés contre celui qui venait aider...
    C'est facile de juger les autres bien au chaud dans son cabinet de procureur, avec deux gendarmes devant la porte...mais seul dans le métro?


    et en plus quelle était la proportion de racaille à 22h30 dans ce métro risquant d'aider l'agresseur.

    notre société est féminisée et en plus il y a le déni de la réalité, on en subit les conséquences. nos chères féministes veulent faire des campagnes des collectifs anti-harcèlement de rue etc et il ne faut surtout pas dire que ce genre de problèmes vient en majorité des immigrés et de leur non intégration ce serait du racisme, pauvre fille !!!

    voilà le résultat de la féminisation de la société que vous avez mise en place, de la justice laxiste qui protège le bourreau qui est une victime incomprise.

    et quel est votre solution devant le résultat devant ce que vous avez mis en place a part d'accuser globalement tous les hommes !!!
    lomdespy

    Je suis un jour venu à l'aide d'une personne agressée en rue.
    Bilan : une côte cassée, plusieurs convocations administratives après une longue déposition, des menaces de mort et des soucis avec mon assurance.
    La prochaine fois, je détournerai les yeux en me disant que la police est payée pour s'occuper de ça.
    Le 25/04/2014 à 14:27"

    belle réalité !!!

    ça va finir comme ça

    grouk

    En Argentine c'est le contraire, ce qui inquiète son gouvernement : lynchages de jeunes délinquants par la populace excédée par l'insécurité.

    Olivier123456

    Tous ceux qui ont oeuvré pour casser le respect, à commencer par les soixante-huitards puis ceraint tièdes de droite et aujourd'hui les bobos sont responsables de cette situation. A partir du moment où l'on a perdu le respect du maire, du curé, de l'instituteur puis des policiers eux-mêmes, on est tombé dans le chacun pour soi, ce dont les délinquants ont aussitôt profité.
    Le 25/04/2014 à 12:13

    Elise33

    Plusieurs analyses et on se retrouve dans le politiquement correct, donc difficile d'être dans les rails. D'abord l'agresseur, marocain, la jeune femme d'origine étrangère (entendu sa façon de parler ?) Pourquoi cette femme et pas une autre ? ensuite pourquoi les voyageurs ne sont ils intervenus ? peur de l'agresseur ?peur de règlements de compte entre personnes proches ? dans ce cas, le je m'enfoutisme "qu'ils règlent leurs affaires entre eux" ? et une constatation, la situation française est encore plus grave qu'on ne le dit, on ne fait plus confiance du tout à des personnes étrangères (est ce un gros mot) ? a force de non dit on en arrive à des situations comme celles ci.
    Le 25/04/2014 à 12:07

    cette explication est pas mal, femme d'origine étrangère !!!
    "qu'ils règlent leurs affaires entre eux"
    notre société féminisée n'a rien fait pour intégrer les étrangers ce sont des victimes donc les sous chiens les laissent se démerder entre eux, si ces gens là étaient intégrés, si la justice ne défendait pas les voyous, il n'y aurait pas cette insécurité et les sous chiens aurait défendu une femme d'origine étrangère.

    laisser insulter quotidiennement les français par la racaille voilà où on arrive.

    Marc 54

    Il y a 40 ans, tout le monde aurait réagit. Que c'est il passé depuis les années 70/80 ?
    L'immigration est montée en flèche, la délinquance aussi et les associations anti-racistes ont fait passer le message que les immigrés étaient intouchables.
    Les gens ne sont pas naturellement lâches, on les a poussé à se replier sur eux même et ne plus réagir devant ce qui les scandalise.
    Je m'attends à être une fois de plus censuré pour avoir dit des évidences.
    Le 25/04/2014 à 11:51

  • Si les hommes sont interdits au concert, je propose que les artistes hommes soient aussi interdits. On verra bien ce qui subsiste de ce concert. Le problème dans tout ça hommelibre c'est que dans le paradigme feministe, il ne peut exister de sexisme ou de discrimination à l'encontre des hommes, puisque ceux ci sont dominants, et les femmes dominées selon les féministes . On peut donc dire absolument tout le mal qu'on veut des hommes et les exclure autant qu'on veut ce sera toujours considéré comme un un acte libérateur des femmes, emancipateur et pas comme du sexisme....c'est pareil pour les noirs, black lives matter pourra insulter les blancs, ce ne sera jamais vu comme du racisme puisqu'un noir, par nature, ne peut pas être raciste dans le paradigme de ces gens. Concernant la question des migrants en Suède un YouTuber Suedois d'origine croate fait des vidéos assez intéressantes, tapez "Angry Foreigner" sur youtube.

  • La revendication féministe des années 70 était sociale.
    La personne de Simone Veil en est l'incarnation.
    Pour elle ce n'était pas tant que le corps de la femme lui appartient, à propos de l'IVG, mais le problème des "faiseuses d'anges" responsables de tant de mortes en cours d'avortements clandestins.

    Simone de Beauvoir voyait différemment.

    Depuis, les revendications droit de vote, salaires féminins améliorés, contraception et travail féminin garantie de liberté: "je reste avec mon mari parce que je ne veux pas retourner chez mes parents et que je me retrouverais sur le trottoir, sans même parler des enfants" montre à quel point les hommes mariés, avant le travail des femmes, risquaient d'être floués, leurrés.

    Les revendications légitimes ont été acquises et du point de vue des féministes honnêtes de l'époque en question l'acquis sur le papier devrait désormais petit à petit l'être dans les faits: en "réalité"!

    La démarche, désormais, serait individuelle.
    Le militantisme étant désormais du passé.

    Ce qui se passe aujourd'hui, dit féminisme, ne l'est pas.
    Ne l'a jamais été.

    Il faut aussi prendre garde.
    La presse, à la longue, ne prend pas la peine de redire par écrit exactement ce que furent les propos de S. Veil à propos de l'avortement.
    En fait, elle avait insisté sur le fait que l'avortement ne doit intervenir que s'il n'y a pas d'autre solution et que la situation est tragique.

    On note, de même, que la presse à propos de Macron parle du président "jupitérien".

    Or...Emmanuel Macron n'a jamais prétendu vouloir être un président jupitérien ou être Jupiter! mais que l'Etat, selon lui, serait "jupitérien" et qu'il gouvernerait par ordonnances... ce que les

  • Fin du message non publié... ce que les Français appelés à voter n'ignoraient pas.

  • En plus court; tout cela relève d'une manipulation mentale. Il faut faire en sorte de séparer les hommes (occidentaux) des femmes!

    Et pourquoi; pour organiser et faciliter l'intégration des migrants et leurs pratiques de l'islam.

    C'est tout bête!

    Il semble que plus "c'est gros" et moins les gens-populations n'y croient, donc c'est un -boulevard- qu'on offre à la politique UE d'intégration forcée.

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