Le proviseur menacé se retire : la France bascule-t-elle ?
Pour avoir demandé à une jeune étudiante de retirer don voile dans l’établissement scolaire, le proviseur du lycée Maurice Ravel a été accusé faussement sur les rézos et menacé de mort. Il est le prochain sur la liste des assassins, alors il se retire. Il ne veut pas subir un sort qui se banalise.
Aucun des chemins du lycée n’était plus sûr pour lui. L’ennemi est dans l’ombre, il est nombreux. Ce responsable prend une retraite anticipée. L’administration reconnaît le problème du bout des lèvres. Mais cette fois une plainte pour dénonciation calomnieuse est déposée contre la jeune femme.
Les témoignages de plus en plus précis s’accumulent sur la dérive de l’éducation nationale. Des profs ont peur. D’autres parlent, parfois masqués pour ne pas être reconnus. Ils doivent se censurer sur les thèmes qui ne plaisent pas aux nouveaux faiseurs de lois, issus de l’immigration du sud.
S’attaquer à l’école c’est attaquer la transmission, la formation de la pensée, le creuset de la langue. Faute de réelle volonté politique il devient difficile de mater cette sédition.
Gabriel Attal, premier ministre, dénonce un entrisme islamiste. Cet entrisme est porteur d’une rupture. Il faudra bien l’affronter pourtant, faute de quoi il y aura bientôt deux France.
La peur d’être taxés de raciste inhibe les décideurs, alors qu’en face ils se lâchent sans vergogne contre le mauvais blanc. L’antiracisme est leur cheval de Troie. Leur nombre les rend audacieux.
Mais on marche sur la tête. La provocation mise en scène par la lycéenne vient à bout de l’autorité! Qui l’a poussée? Qui tire les ficelles? Quel est le but?
Les multiples témoignages sur la violence instillée par ces écumeurs de quartier révèlent, peut-être, un basculement d’influence. L’influence islamiste, jihadiste, a pris le dessus dans de nombreux territoires français, et continue à s’étendre.
Ou un basculement dans une sorte de guerre civile qui n’avoue pas son nom. Les élèves considèrent eux que l’affaire a pris des proportions anormales.
« C’est juste l’histoire d’un prof qui a engueulé une élève, ça ne devrait pas dépasser ce cadre. »
Incident gonflé? Ils précisent encore:
« Au début, on a tous entendu que le proviseur l’avait giflée [l’élève qui refusait de retirer son voile]. Mais au fur et à mesure des discussions, on a compris que ce n’était pas ce qui s’était passé. »
La jeune femme a donc menti. La victimisation est passée par là. Son mensonge fait des dégâts: au lycée Maurice Ravel la peur règne et la retraite sonne.
Commentaires
Les français n'ont toujours pas compris et ne veulent pas comprendre que la cause du terrorisme jihadiste, et non musulman, est leur morgue invétérée envers tout ce qui n'est pas français et l'Islam en particulier qu'ils sont incapables de comprendre parce qu'il est différent donc haissable. Leur pratique est celle du pansement sur une jambe de bois, jamais d'attaquer les causes, par ignorance. Ajouter à cela le mensonge, les diaboliques réseaux sociaux et, maintenant l'IA ! L'air de Davos souffle de plus en plus fort . . .
M. Wohlwend, votre dhimmitude est vraiment sans limite !
Jusqu'à l'inversion accusatoire.
Donc ce serait la morgue des Français envers les musulmans qui serait la cause du terrorisme islamique !
La France ne s'est-elle pas encore assez couchée devant l'Islam ?
Et le terrorisme islamique envers d'autres musulmans, c'est aussi la faute des Blancs occidentaux ?
Finalement, il vaut mieux qu'on impose aux élèves de d'école obligatoire et post obligatoire de porter un uniforme comme en Grande Bretagne et dans plusieurs états des USA.
N'est-ce pas que cela résoudrait le problème de la tentation d'exhiber ses préférences idéologiques par l'emballage d'apparat.
Enfant, je l'avais porté puis à l'adolescente au gymnasium. Cela ne m'avait pas handicapée pour faire mes études. L'uniforme résout aussi le problème économique des familles pauvres. Les enfants de familles riches ne peuvent plus se prévaloir de leur statut de manière aussi ostentatoire.
C'est l'uniforme de l'apprentis. C'est tout! C'était bon marché pour la famille puisqu'on le portait tous les jours pendant plusieurs années d'école. Facile à trouver dans le commerce ou le commander à l'école même qui en détenait une certaine réserve dans plusieurs tailles.
Réussir ou échouer n'est plus plus dû au vestimentaire.
Nous étions 12 nationalités dans des classes de 30 environ et personne ne s'en était plaint. Ni les parents.
Sans ce genre d'entrave stupide, on était plus disponible pour apprendre et pour développer som intelligence.. En tant que petit individu en devenir, cela semble primordial.
C'est vrai, l'uniforme aiderait beaucoup les chefs d'établissement à régler le problème du voile islamique. Mais l'offensive islamiste dans les écoles est multiple. Elle s'en prend aux professeurs qui apprennent aux élèves la liberté d'expression (les caricatures), qui montrent des œuvres d'art interdites par l'Islam, qui demandent aux filles de se baigner dans les piscines, qui enseignent l'évolution darwinienne de l'humanité, etc. Ces enseignants sont menacés par ces élèves ou par leur famille. Ils ont peur et préfèrent s'abstenir ou démissionner, comme ce proviseur. Le problème est donc beaucoup plus vaste car il se situe au niveau de l’État qui est trop faible et se cache derrière les discours en laissant ses enseignants se débrouiller seuls. Cette lâcheté est la porte ouverte à notre soumission.
Monsieur Tissot,
Perseverare diabolicum !