Les peoples vivent aussi de vraies histoires et de vrais drames. Il n’y a pas de raison. Être connu ne les prive pas du droit de souffrir eux aussi. Les souffrances du coeur sont, j’imagine, les mêmes selon qu’on est un employé anonyme de banlieue ou star habituée à remplir les espaces potins que lisent les anonymes.