Le patron de la formule 1 n’y va pas par quatre chemins. Dans une interview accordée au Times, il affirme que la démocratie n’a pas fait beaucoup de bien à beaucoup de pays, et avoue sa nostalgie pour les régimes dirigés d’une poigne de fer.
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Le patron de la formule 1 n’y va pas par quatre chemins. Dans une interview accordée au Times, il affirme que la démocratie n’a pas fait beaucoup de bien à beaucoup de pays, et avoue sa nostalgie pour les régimes dirigés d’une poigne de fer.