En hommage à Blondie, alias Blondesen, alias Per-Pierre Amman, je vous raconte ici une aventure que j’avais toujours tenue secrète, convaincu que personne ne me prendrait au sérieux. Plutôt que d’affronter les sourires narquois et les carquois de flèches à la volée, j’ai gardé mes envolées dans ma poche comme on serre un poing dans un sac en papier contenant les croissants de la veille. Mais le départ de Blondie m’oblige à vous révéler cette expérience presque mystique.