Par avance je présente mes plus vives excuses et mes plus profonds regrets pour ce que je pourrais dire, écrire, faire, penser, omettre de penser, et qui serait susceptible de contrarier l’église de Pierre, le parti de Paul, le club de Jacques, la confrérie de Jean, et tant qu’on y est l’amicale d’Eugénie, la famille Deschiens, madame Michu et monsieur Tintouin.