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révision

  • Omar m’a tuer: une étrange justice

    Il y a des phrases qui restent définitivement dans les mémoires. Celle-ci en est une: «Omar m’a tuer». Avec cette inscription en lettre de sang sur le mur de sa villa, Ghislaine Marchal est supposée avoir désigné son assassin eu avant de mourir le 23 juin 1991. Le jardinier prénommé Omar fut suspecté, jugé et condamné. L’affaire fit grand bruit et n’a pas fini de défrayer la chronique. Les extraits ci-après sont repris de plusieurs articles du JDD.

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    Catégories : société 1 commentaire