Cette phrase d’Albert Camus, citée dans l’hebdomadaire Marianne à propos du procès Fofana (le gang des barbares), pose en creux une idée fondamentale.
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Cette phrase d’Albert Camus, citée dans l’hebdomadaire Marianne à propos du procès Fofana (le gang des barbares), pose en creux une idée fondamentale.