Ce n’est pas nouveau. Mais cela s’installe année après année. Les filles pratiquent sans vergogne la violence de groupe. Contre les garçons ou contre d’autres filles. Dernier incident en date: en France, comme relaté ci-dessous. Cliquer sur l’image de l’article pour l’agrandir.
Je ne cherche pas ici à analyser. C’est juste un constat. Les raisons peuvent être multiples: pauvreté, perte du repère paternel (notre société favorise hélas cette perte), mal-être, modèles malsains. D’autres que moi seront plus spécialistes. Je trouve simplement cela assez choquant. A moins que les féministes ne nous disent que c’est encore une grande victoire pour l’égalité.
Commentaires
Ben oui, les filles semblent avoir enfin décidé de suivre l'exemple des mecs! Et pour être sûres de dépasser les maîtres (spirituels), elles tapent plus fort, plus longtemps et...de manière plus vicieuse, pour la touche féminine en plus! Bienvenue dans un monde de nivèlement égalitaire entre hommes et femmes...par le bas...juste en-dessous de la ceinture! Vous voyez ce que je veux dire?
Bon, il faut dire aussi qu'une pléthore de giffles s'est perdue pendant les années d'éducation de ces doux anges! Ce qu'il leur faut aujourd'hui, c'est donc...Olaf Grossebaf! (http://www.world-art.ru/animation/img/7000/6056/18.jpg)
Egalité non, régression, oui.
Ces charmantes jeunes filles doivent être enfermées dans un couvent à coudre et à tricoter... mais elles seraient encore capables d'utiliser les aiguilles pour se crever les yeux...
Mise à part cela, il est difficile d'inculquer respect, discipline et altruisme quand la société nous renvoie aux jeunes des images de brutalité familiale, de pornographie, de violence urbaine et des faits divers sordides et des slogans porteurs de messages brouillés : NO LIMIT, NO FUTURE...
En effet, nivellement par le bas, et en effet, les images valorisées dans la société sont souvent celles de la violence, qui fascine tellement plus que la gentillesse. Etre gentil est ringard, se traiter de con est tendance. Même les gamins de 6-8 ans s'arrosent copieusement de ces injures faciles, y compris les petites filles. Le déficit d'éducation en amont fait que les images sociales de violences deviennent des modèles, hélas.
Grey, le lien ne fonctionne pas.
Ok Grey, c'est bon, j'ai enlevé la dernière parenthèse qui était inclue dans le lien et j'ai pu voir Grossebaf! Waow, les mouflets ont ka bien se tenir, par Toute-a-tisse (heum, excuser moi Grey, j'ai féminisé: il s'agit bien de Toutatis...)
Ah! Désolée pour le lien défectueux. Je n'ai pas vu que la dernière parenthèse avait été incluse dans l'url. Mais, ce n'est pas ma faute, c'est l'interface qui crée les liens dans les commentaires. Et cela dit, j'adore Astérix! Enfin, surtout les albums d'avant la mort de Goschiny, parce qu'après, c'est devenu un peu n'importe quoi!
Bon, les préparatifs pour les vacances avancent...je pars demain à midi! Youhou!
Demain,
Et que faisons-nous des petites frappes masculines? On les oblige à entrer dans les ordres, à prier, en robe de bure, pour le restant de leur vie? Ce ne serait pas une nouveauté!
Tiens, c'est une idée: on pourrait refiler nos petites racailles (femelles et mâles) à l'Eglise. Après tout, les petits diables, c'est son rayon, non? Comme cela, elle aura une nouvelle raison d'exister!
Grey, bonne idée. Mais il faudra peut-être radjeunir les églises: je propose des moines qui chantent le grégorien habillés en punk, qui parlent le verlan et qui servent des maquedo à la cantine.
Grey, j'aime bien: vous savez rire même sur les sujets sérieux.
@Grey & Hommelibre. L'idée est à creuser car depuis que le chant grégorien en provenance d'un couvent autrichien fait un tabac dans l'America's top ten, je persiste à croire qu'un passage dans les choristes ferait le plus grand bien aux "petites frappes". C'est bien connu la musique adouçit les (vilaines) moeurs.
Blague à part, ce genre de musique est de nature à toucher de profondes et belles émotions, indépendamment de l'aspect religieux. Et toucher le beau en nous peut faire reculer le moche ou transmuter la souffrance qui est parfois derrière la violence, ou développer l'empathie.
Si je peux me permettre "hommelibre", si la musique grégorienne touche de profondes et belles émotions, c'est le simple fait que c'est de la prière ! La musique grégorienne n'est faite que pour soutenir les mots ! Cette musique a été conçue que pour celà.
Amicalement
Salutations
Coucou
Coucou, ce n'est pas la prière qui me dérange. On peut prier sans dieu ni religion. Prier n'a besoin ni de religion ni de croyance. Prier comme une méditation profonde, demander ou rendre grâce à la vie. Et le chant grégorien m'ouvre à cela sans que je comprenne même les mots ou que j'adhère aux croyances.
Bonjour "hommelibre",
Mais je suis alors tout à fait d'accord avec vous !
La prière vient du coeur et de l'âme et il appartient à chacun(e) d'en faire la sienne !
Je voulais juste dire que le chant grégorien (chant latin et monastique) est justement un chemin de prière et qu'il interpelle le monde (la preuve pour vous ) !
Maintenant, bien sûr, chacune et chacun suit son chemin librement.
Ce n'est pas la musique ou le chant en lui-même qui est important, mais son contenu, le but et celles et ceux qui l'interprètent ! Dès lors la question reste ouverte ! Qu'est-ce qui vous attire ! ;-)
Fraternellement et amicalement
Coucou
Coucou, très chaleureux votre mess, merci! A question ouverte, tentative de réponse ouverte.
Ce qui m'attire et m'ouvre intérieurement dans le chant grégorien, c'est je crois d'abord le sentiment de beauté, de très grande beauté. Cette beauté peut contenir la joie, la tristesse, la gravité, différentes émotions humaines qui entrent en résonance et qui s'unifient dans la beauté. Dans ce chant tout peut se vivre sans violence, sans appartenance même à mes propres émotions, comme avec une proximité-distance simultanément.
Cette absence de violence me touche aussi, ouvre un espace de paix en moi. J'ai le sentiment de pouvoir fusionner avec le monde, loin des combats quotidiens. Combats nécessaires pour autant, je ne les refuse pas, la vie demande d'aller au charbon, d'oser, de risquer, d'essayer, de prendre position (quitte à en changer si elle se révèle erronée ou inefficace).
Donc déjà cela dans le grégorien: un grand sentiment d'unité et de paix. Ce qui pour moi est une forme de prière. Peu m'importe dieu ou quelque soit le nom, je n'adhère plus à ce "fatras". Dans les années 70, un livre disait: "Je veux regarder dieu en face". C'est un peu cela, faire l'expérience directe de ce "quelque chose quelque part", mais surtout sans la soumission à une forme religieuse. Libre, libre!
Bien à vous!
Merci de cette belle réponse !
Quant à "vouloir regarder Dieu en face"...................... excusez-moi, mais là, je crois qu'il faut que l'on fasse un peu d'humilité ! Moi aussi je désire "le voir en face" comme beaucoup d'autres d'ailleurs, mais a-t-on le droit de poser nos exigences ainsi à Notre Créateur !?............
Il suffit de regarder les merveilles de la création (nature, mystère de la vie etc....) pour se rendre compte de l'origine !... et tout nous renvoie à LUI.
Amicalement