Dans le monde entier, dans toutes les cultures, la musique accompagne la vie. Les gammes peuvent être différentes, les sonorités aussi, la musique reste en elle-même un mode d’expression et de communication universel.
Chaque région à ses particularités. Ses instruments également. Mais pourtant dans toutes les musiques on trouve en général les mêmes codes. Le rythme latino, le musette, le raï, sont des musiques de fête. Faire bouger, s’exprimer en liberté, faire la fête ensemble sans programmation.
Certaines musiques sont plus à écouter pour les laisser entrer en soi, d’autres font bouger nos pieds. Mais toutes parlent directement au corps et à l’esprit. Pas besoin de mots. Les grandes émotions s’expriment partout sur des modes presque identiques. Eveiller la joie, ou la tristesse, est dans le monde entier le résultat de mode musicaux assez identiques.
La musique est une communication: entre le musicien et ceux qui l’écoutent, et entre les gens, qui se comprennent dès les premières notes. Elle est une libération des émotions profondes, celles que les mots ne savent pas toujours bien rendre.
Langage universel: d’une certaine manière oui, si l’on accepte que le langage n’est pas toujours précis, mais que l’intention exprimée est perçue par son vis-à-vis.
La musique est souvent lien et fête. Elle est bonheur de partager spontanément, par l’improvisation vocale, par le frappement des main sur une table ou sur des djembés. La fête non programmée, celle, naturelle, qui fait du bien au corps, au coeur et à la tête. La fête et la musique: une grande, une très grande médecine.
Bon, assez causé. Un petit coup de bossa nova?
Commentaires
Ah ! Jobim, Astrud Gilberto qui lance des œillades égrillardes à Stan Getz… Les filles d'Ipanema… On passe directement de l'hiver maudit à l'été enchanté, Hommelibre! Et Eliane Elias est magnifique… Merci.