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Procès Khalid: le viol business

Judas s’est fait payé 30 deniers pour trahir Jésus. Il s’en est pendu. Aujourd’hui, la trahison ne fait plus vendre ni pendre. Il y a mieux pour faire de l’argent: mentir et se poser sur le piédestal de la victime.

Menti1.jpgUne caractéristique fréquente dans une fausse accusation est l’énormité de l’accusation. Trop énorme? Pas cohérent? Peu importe, ce qui compte est de jeter l’effroi sur les premiers intervenants: travailleurs sociaux, police, de manière à ce que le dossier se monte et que l’accusatrice soit déjà installée dans le statut de victime quand elle rencontre le juge d’instruction. Après, la machine est lancée, elle ne s’arrête plus.

L’accusatrice de Khalid est pourtant peu cohérente. Entre sa personnalité reconnue: autonome, ayant de l’autorité, prenant beaucoup d’initiatives, et la pauvre petite chose victime par un amour aveugle et incapable de réagir, la distance est longue, longue. Mais on trouve toujours un moyen d’expliquer l’inexplicable. Et puis c’est si gros qu’on ne peut imaginer qu’elle invente. On oublie que les menteuses ne sont quasiment jamais poursuivies, et qu’elles le savent.

Il lui suffit de lire sur le net, dans des livres, ou d’être coachée par des associations sur le comportement type de la victime, et voilà qu’elle adopte ce comportement. Selon les intervenants: travailleurs sociaux, expert psy, elle serait crédible parce qu’elle a toutes les caractéristiques de la personne ayant été abusée sexuellement. Lesquelles? Elle se tord les mains, est imprécise, pleure un peu, se voit moche. Voilà, cela suffit à la rendre crédible au point où les thérapeutes valident ses propos comme s’ils avaient tout vu! Ah, oui, elle n’a pas varié dans ses déclarations, donc c’est vrai. Peut-être, sauf qu’elle a eu des mois pour préparer sa plainte et répéter son rôle. Rappelons-nous que l’affabulatrice du RER B et Madame Badaoui à Outreau avaient été jugées très crédibles.

C’est grave. Très grave. Plus besoin de preuves, de témoins directs, d’attestations médicales répétées, d’éléments matériels que l’accusatrice aurait pu accumuler pendant les 4 ans où elle prétend avoir été battue régulièrement et violée. Surtout dans les circonstances de leur couple, où lui travaillait à Paris et venait la voir près de Dijon un jour par semaine.
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Et puis, jamais un jour d’arrêt de travail, pas de dépression: cela ne tient pas. Quand on sait que l’accusation est extrême, des prétendus actes de barbarie et de cruauté rarissimes.  J’ai hésité à écrire ce qui suit, car c’est inouï, mais je crois que c’est nécessaire. Ames sensible attention. Il l’aurait battue avec un gros barreau de chaise, violée en la sodomisant avec violence, puis aurait uriné sur elle, l’aurait obligée à dormir ensuite dans l’urine. Et au matin, fraîche et pimpante, elle aurait vaqué à ses occupation, rencontré ses collègues de travail,  comme si de rien n’était, souriante, tranquille comme à l’accoutumée… Ce n’est qu’un exemple parmi les accusations délirantes qu’elle a proférées. Aucune femme, jamais, n’aurait pu tenir cela sans qu’il y ait des signes, une dépression. Sa soeur médecin qu’elle voyait très souvent n’a rien remarqué qui l’ait alertée. Ses médecins n’ont rien vu. D’ailleurs elle a refusé l’expertise médico-légale qui aurait pu démontrer des traces anales et les dater s’il y en avait.

Et son amant - oui, car elle avait pris un amant pendant quelques temps. Quelle femme battue à répétition et violée peut avoir encore des rapports sexuels sans problèmes? Son amant donc qui, la voyant nue, ne remarque aucune trace? Aucune terreur à la pénétration? Au contraire, dans des lettres dont j’ai vu la copie mais dont les originaux ont comme de par hasard été volés et donc n’étaient pas au dossier, il lui écrit qu’il ne peut répondre à sa demande de libertinage car il veut plus de sentiments, et qu’il regrette de ne pas l’avoir suffisamment satisfaite. Elle lui avait donc dit qu’elle n’était pas assez satisfaite! Une femme supposée battue comme plâtre, violée avec barbarie, réclame plus de sensations à son amant!

Et puis là, mensonge. Lors du premier procès l’amant reconnaît qu’ils ont fait l’amour dans les toilettes de l’école dont elle est directrice. Mais ce témoignage du premier procès ne peut être repris dans le deuxième, puisque l’appel est comme un nouveau procès. Mais son avocate, et l’avocate de Solidarité Femmes le savent, elles qui étaient déjà au premier procès. Et quand, mardi, on lui demande si elle a déjà fait l’amour dans son école, elle joue la petite fille sage et dit: «Non, jamais, c’est mon lieu de travail.»
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Elle ment donc effrontément. Elle le sait. Les deux avocates le savent. Mais ne disent rien. Complices du mensonge.

Et puis, clé possible de son mensonge, il y a eu cette fête de mariage prévue au pays, les invitations lancées, 5‘000 euros déjà versés par Khalid à sa famille sur les 20‘000 demandés. Et puis Khalid qui se ravise, n’ayant plus confiance en elle à cause en partie du libertinage de sa femme. Mariage traditionnel annulé, humiliation pour la famille de sa femme, qui déclare devant témoin qu’il le paiera cher.

Les jurés ont été partagés, cela semble s’être joué à une voix près, raison pour laquelle il y a réduction de la peine: de 8 ans à 5 ans d’emprisonnement. Mais ça n’est pas logique. Si la supposée barbarie extrême était réelle, cela mériterait 10 ou 12 ans de prison. Pas une réduction. Réduire la peine, c’est comme dire qu’au fond ce n’était peut-être pas si grave, qu’en effet il y a des zones de doute dans ce dossier. Mais une majorité de jurés n’a pas eu le courage d’en tirer les conclusions et d’appliquer totalement le principe du doute. Khalid devait être acquitté. Surtout quand tous les rapports et témoignages sur lui, y compris de sa nouvelle compagne avec qui il vivait avant d’être emprisonné, vont en sens inverse de l’accusation. S’il avait commis ces actes de barbarie, c’est qu’il serait dérangé ou violent compulsivement, et il aurait recommencé avec sa nouvelle compagne. Rien de cela: un homme gentil, doux, un peu réservé. Trop naïf.

Son ex a reçu 15‘000 euro de dommages et intérêts. Le prix du viol. Le prix qui manquait à la dot. Le prix d’une nouvelle virginité: elle sera à nouveau bonne à marier dans sa tradition.

Quand j’ai vu les avocates, celle de Solidarité Femmes en particulier, ne rien dire sur le mensonge de l’amour à l’école, quand j’ai vu les jurés écouter la parole de la femme parce que c’est une femme et douter de celle de Khalid parce que c’est un homme, j’ai réalisé un peu plus combien la peste féministe et ses prédatrices ont gangrené notre société.

Khalid, martyr du féminisme. Innocent croupissant en prison pendant que Solidarité Femmes pavoise et justifie ses subventions.

Ces féministes ont décidé la guerre. Elles l’auront. Que les féministes s’occupent de l’égalité des droits, des chances et des salaires, ok. Mais plus de rien d’autre. Leur arrogance, dégoulinante pendant le procès, présage une période encore plus difficile pour les hommes victimes. Et l’on peut imaginer sans difficultés que de plus en plus d’innocents seront en prison et sacrifiés sur l’autel de la bible féministe.

Bienvenue au Féministan, où les garçons ne peuvent plus pisser debout (à venir dans un prochain billet), où les hommes devront être des toutous, faire signer une décharge avant chaque rapport sexuel, et ne jamais se défendre s’ils sont cognés car ce seront elles qui poseront plainte et qui seront crues. Elles, le féministes de genre, les vautoures surfant sur le mythe de l’homme-salaud et de la femme forcément victime.
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Bienvenue au Féministan, où la libido des hommes sera soigneusement contrôlée par les femmes. Où des millions sont investis dans des campagnes pour les femmes battues, et pas un mot sur les hommes violentés.

Mais il reste de l’espoir: dans le comité de soutien à Khalid, il y avait une majorité de femmes françaises et franco-marocaines. Des femmes libres dans leur tête, n’ayant pas leur langue dans la poche, tout sauf soumises, ayant des relations franches, égales et naturelles avec les hommes sans l’ombre d’une équivoque, sans cette défiance de l’homme qu’un français du comité me décrivait: «Ici, elles sont arrogantes, se méfient des hommes, se prennent la tête pour tout, veulent tout contrôler. Les femmes du comité seront à l’avenir un rempart contre ce féminisme anti-homme, assoiffé de pouvoir sur les hommes, menteur, puritain.»

Et en plus, elles sont belles comme le soleil et ont un coeur grand comme l’Atlas, ou comme la tour Effel.

Et en faisant mes courses à la Coop hier, je parlais et blaguais avec toutes les vendeuses et caissières, jeunes, moins jeunes, et avec chacune il y avait des sourires francs, sans peur, des petits moments de bonheur. Je parlais avec toutes, presque euphorique, comme pour braver le mur entre hommes et femmes que le féminisme de genre a construit, comme pour me réconcilier avec des femmes naturelles, sans prise de tête, sans arrogance. Comme pour sublimer cette sorte de désespoir que je ressens depuis le verdict de Chaumont.

Khalid, je pense à toi dans ta cellule. Je partage ce que tu vis. Je connais trop bien.

Khalid, au-delà même de cette terrible injustice, sans savoir pourquoi, je te sens comme mon frère d’âme. Je suis avec toi, je serai avec toi tout au long de ton calvaire.

 

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Catégories : société 27 commentaires

Commentaires

  • P.S. - oublié un détail croustillant. L'accusatrice prétendait vivre dans la terreur de son mari. Or elle a invité son amant à passer la nuit dans le lit conjugal, au risque d'être vue en sa compagnie par les voisins et amis, parce que le mari était à Paris. Ah, pas mal celle-là: la femme terrorisée qui amène son amant à la maison... Pas vraiment terrorisée. Les femmes maltraitées que j'ai connues et vivant dans une peur réelle n'auraient jamais fait cela. Elles n'osaient même pas amener une copine chez elles.

  • Hommelibre: Je suis étonnée que votre intelligence ne vous permette pas de faire la différence entre des féministes et des connes. Votre colère vous emporte, attention! La langue française devrait faire une diffférence entre celles qui luttent pour leurs droits élémentaires et l'égalité, et celles qui ne visent qu'à écraser les hommes et les placer au-dessous de la femme.

    Vous savez, c'est comme les mouvements des droits civiques noirs. Certaines ailes de certains groupes souhaitaient que le black power détruise les blancs. Faut-il pour autant détester tout le mouvement des droits civiques et jeter Luther King à la poubelle?

    Je comprends votre colère, elle est totalement légitime. J'aime les droits de l'Homme avant ceux des femmes, et jamais je ne verserai dans la diffamation infâme.

    Néanmois, vous jetez ici à la trappe la raison d'être des mouvements féministes.

    En cette seconde, sur cette planète, pour mes soeurs d'Inde, du Yémen, du Soudan et d'ailleurs, en tant que femme, je ne peut être que féministe.

    En cette seconde, sur la planète, pour cet enfant qui meurt de faim, ces irakiens qui sautent aux terrasses des cafés sous le soleil étincellant, en tant qu'humain, je ne peut être qu'humaniste. C'est tout.

    L'oppression des femmes à l'échelle mondiale reste énorme, elle bat tous les records d'oppression par appartenance (je veux dire ici par catégorie, la genre est à mon sens ce qui est le plus discriminé aujourd'hui, plus que l'appartenance religieuse ou la "race").

    Le rendu de ce jugement vient justement d'une société complètement biaisée, qui voit en toute femme une victime et en tout homme un salaud. C'est un féminisme qui ne dessert pas les femmes, il faut le dire, puisqu'il les cantonne à leur place séculaire de victime, les ramène à des "choses" dont on peut faire ce que l'on veut, et paralyse la justice sur cette image. Pour finalement établir une "discrimination positive" complètement foireuse, dans laquelle la justice se torpille et se parjure.

    Homme, femme, pourquoi faudrait-il choisir, cré non d'bon d'la!!
    La souffrance n'a pas de sexe.

  • "comme pour braver le mur entre hommes et femmes que le féminisme de genre a construit". Meuh non!!! Une femme qui passe moins l'aspirateur, qui a plus de temps pour elle et qui est moins fatiguée a plus envie de son homme! Si, si!

    Alors pourquoi ne pas voir le féminisme (je n'y inclus pas les furies dominatrices) comme une passerelle? Genre: "JE T'AIME CAR TU ES MON EGAL". Et pourquoi pas?

  • Je ne sais trop pour la Suisse ou la France mais je peux vous assurer qu'au Québec, il est généralement admis que la justice et l'idéologie féministe forment un couple harmonieux. Or, justice et idéologie sont antinomiques. Lorsque la justice est mise au service d'une idéologie, que ce soit le féminisme ou le National-Socialisme, nous entrons de plein pied dans le domaine peu fréquentable de la tyrannie, comme l'illustre éloquemment le dossier de Khalid. La question qui demeure : comment mettre un terme à cette barbarie ?

  • @ Myriam: j'apprécie vos commentaires. Nous opartageons ce dégoût de la "chosification", sous toutes ses formes. Je parle de féminisme ici car c'est bien une association féministe qui est en cause, et que l'avocate a revendiqué son féminisme à la barre, tout en resservant les chiffres exagérés de la violence conjugale comme pour prouver que Khalid est forcément coupable - coupable d'être un homme.

    Je partage aussi la phrase "JE T'AIME CAR TU ES MON EGAL". Nous sommes en phase.

    Et je pense aussi que la souffrance n'a pas de sexe. Problème: les associations type sos-femmes, solidarité Femmes, Chiennes de garde, et d'autres (même Amnesty s'est focalisée sur les questions féministes et avances des chiffres encore plus exagérés que les autres), affirment que la souffrance n'est que d'un côté, nient l'autre côté, et se revendiquent féministes. C'est bien ce féminisme-là qui est une peste.

    Par contre, dialoguer avec vous, avec Audrey, Pascale, Loredana et d'autres, féministes ou non, dialoguer sur l'égalité, la non-domination, me conviendra toujours. Mais y a-t-il vraiment besoin du féminisme pour cela? N'est-ce pas d'abord un humanisme?

    Je pense de plus en plus que les grandes causes devraient, doivent être l'affaire de tous et toutes. La condition des femmes en Afghanistan, en Indes, entre autres, l'excision, la lapidation, la discrimination, sont des violences qu'aucun humain ne doit accepter, et que nous devrions combattre tou-te-s ensemble, femmes et hommes.

    Amnesty par exemple citait entre 50'000 et 90'000 femmes violées chaque année en France (sur la base des chiffres de l'ENVEFF, encore majorés); or en 2007 il y avait 1770 condamnation pour viol. Je veux bien qu'un certain nombre n'ait pu être démontré, et des plaintes pas déposées, mais le différentiel est de facteur 30 à 50 (il y en aurait 30 à 50 fois plus). On va bientôt faire parler les morts à ce compte...

    Cela, c'est hélas un féminisme agissant, introduit dans les Cours de justice, dans la police, chez les travailleurs sociaux comme je l'ai vu à ce procès. Je veux bien que ce soient des furies et qu'elles ne représentent pas tout le féminisme. J'ai alors un problème d'appellation puisqu'elles se prévalent du féminisme. J'ai écrit féminisme de genre dans mon article parce qu'elle appuient sur la différence de genre, explicitement ou implicitement.

    Il est vrai que ce verdict est une souffrance pour tous ceux qui connaissent de près Khalid et son couple. Et la colère - mesurée - est en effet légitime. Ca me blese depuis hier de le savoir en prison pour 5 ans (moins les remises de peine) parce qu'une association revendiquée féministe et deux avocates revendiquées féministes l'ont enfoncé plus bas que terre, sans rien démontrer, juste parce que c'est un homme, alors que le dossier à été démonté avec une démonstration point par point par son avocat.

    Bien à vous.

  • Oups... sorry pour les fautes...

  • Un très grand merci pour la fondation de Maitre Karim ACHOUI et pour notre excellent avocat Maitre Jean Marc FLORAND, qui a fait un très très bon travail pendant les deux jours de procès, il a montré l'innocence de Khalid et la vraie personnalité de la plaignante et de sa famille que les psychiatres n'ont pas su montrer, il a montré les fausse accusations de la plaignante d'une logique irrépprochable en se basant sur des lois de codes pénales au lieu de citer l'histoire de Romeo et Juliette pour essayer de convaincre les jurés... quelle différence de niveau!!!! Et quel droit on applique en France!!!
    de tel sorte que j'ai senti au moment de plaidoirie que ce n'était pas un procès à la fin c'était une séance d'apprentissage pour la partie civile, la preuve que l'avocat de l'association solidarité femme n'a pas cessé de prendre des notes au moment ou Maitre FLORAND plaide, et certain jurés avaient les larmes aux yeux, tout le monde a cru en l'innocence de Khalid pendant le procès
    Comment imaginer des policiers qui pleurent et des jurés qui déclarent l'acquittement après le jugement en pleurant c'est très dur à accepter... qui vote à la fin les jurés ou quelqu’un d’autre .... Bref j’arrive pas à comprendre...

  • Un très grand merci pour la fondation de Maitre Karim ACHOUI et pour notre excellent avocat Maitre Jean Marc FLORAND, qui a fait un très très bon travail pendant les deux jours de procès, il a montré l'innocence de Khalid et la vraie personnalité de la plaignante et de sa famille que les psychiatres n'ont pas su montrer, il a montré les fausse accusations de la plaignante d'une logique irrépprochable en se basant sur des lois de codes pénales au lieu de citer l'histoire de Romeo et Juliette pour essayer de convaincre les jurés... quelle différence de niveau!!!! Et quel droit on applique en France!!!
    de tel sorte que j'ai senti au moment de plaidoirie que ce n'était pas un procès à la fin c'était une séance d'apprentissage pour la partie civile, la preuve que l'avocat de l'association solidarité femme n'a pas cessé de prendre des notes au moment ou Maitre FLORAND plaide, et certain jurés avaient les larmes aux yeux, tout le monde a cru en l'innocence de Khalid pendant le procès
    Comment imaginer des policiers qui pleurent et des jurés qui déclarent l'acquittement après le jugement en pleurant c'est très dur à accepter... qui vote à la fin les jurés ou quelqu’un d’autre .... Bref j’arrive pas à comprendre...

  • @ Myriam

    belle description du féminisme actuel par élisabeth Badinter

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article119

    http://www.pensamientocritico.org/elisbad0105.htm

  • 15'000 euros, le prix du viol dans ce viol-business. C'est aussi le prix de son âme, qu'elle a vendue définitivement à Chaumont.

  • A lire, billet sur les clichés inconscients qui président à un tel procès:

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2009/07/02/victime-de-la-victimisation.html

  • Bravo et merci à hommelibre, apparemment le seul journaliste francophone à rendre compte du dramatique procès Naji.

    Ceci dit, en tant qu'hoministe, je suis 100% d'accord avec Myriam : ce qui se passe n'a rien à voir avec le féminisme. C'est une injustice et une grosse erreur tactique que de s'en prendre ici au féminisme, et c'est un beau cadeau fait à nos adversaires.

    Le sexisme anti-hommes ou misandrie est une idéologie qui existe depuis des siècles, indépendamment du féminisme, avec ses propres théoricien(ne)s et son prore credo : l'infériorité morale des hommes. Les misandres utilisent souvent le féminisme comme un paravent commode, un camouflage, mais ils-elles ne sont pas féministes. Les féministes veulent l'égalité des droits, les misandres veulent détruire les hommes. L'ex de Khalid est manifestement une misandre de choc. Ne confondons pas ce monstre avec les femmes (et les hommes) qui ont lutté pour la contraception, le droit des femmes au vote, au travail, à la sexualité libre.

  • @ Antisthene: Je comprends et je prends. Problème: les prédatrice se réfèrent au féminisme. Comment les appeler? Les usurpatrices?

  • Qui, du côté des bourreaux, c'est-à-dire des avocates, de l'accusatrice, et de ce sadique à voix douce d'avocat général, qui aura enfin un sursaut de conscience pour rétablir la vérité et demander une révision?

    Mais on n'a pas de consc ience chez ces gens-là, pas de sursaut, on dort tranquille en digérant son caviar à 15'000 €, on pourrit de l'intérieur en tentant de préserver les apparences.

    On n'a pas de conscience chez ces gens-là: on n'a qu'un porte-feuille.

  • @hommelibre
    "Problème: les prédatrices se réfèrent au féminisme. Comment les appeler? Les usurpatrices?"

    Et alors ? En quoi es-tu tenu de cautionner leur camouflage ? Il faut les appeler par ce qu'elles sont : des sexistes, des misandres, des pseudo-féministes, des suprémacistes femmes, etc.

  • errata en avance:

    -Un (et pas une) hominisme

    -Les études "genre" et pas genres évidemment.

    -D'autres certainement que je laisse aux bons soins de mon correcteur orthographique attitré ;-)

  • Amis du soir (ou de la nuit) bonsoir!

    Bon, comme d'habitude il y aurait beaucoup de choses à relever. Travaillant beaucoup ces temps (ce qu'on appelle les "vacances" d'étudiant-es) je ne noterai pour l'heure qu'une chose: "les féministes de genre"? Quid est au juste? ;-)

    Il est vrai qu'on peut-être féministe et essentialiste(et donc ne pas adhérer à la théorie du genre), mais je ne vois pas trop ce que vient faire le genre dans un article sur les fausses accusations... ni une appelation "féministe de genre", originale en soit, mais qui n'existe pas à ma connaissance dans les dénominations féministes... Parce qu'être "maternaliste", ou "victimaire", c'est justement plutôt à l'opposé de la théorie du genre...tout comme les stéréotypes (l'homme-salaud, la femme-fragile) que l'on appelera dans cette mouvance "stéréotypes de genre".

    Taper ok, mais taper juste au moins nom de bleu :-)

    "Mais y a-t-il vraiment besoin du féminisme pour cela? N'est-ce pas d'abord un humanisme?"

    Si, comme militer chez greenpeace et, quoique vous en pensiez, chez Amnesty International, etc. Néanmoins pour être efficace il faut se spécialiser (l'écologie, les droits humains, les problèmes des enfants /des vieux/des hommes/des femmes, etc. Les embûches spécifiques rencontrées par les femmes et les hommes ne sont pas forcément les mêmes, d'où le besoin d'un "féminisme", et apparemment aussi d'une "hominisme"!

    "où les garçons ne peuvent plus pisser debout "

    Celle là on en a déjà parlé. Bien que ce sujet ne relève pas à mon sens d'assez d'importance pour me réveiller toutes les nuits à l'idée de mettre au monde un mâle à qui devoir apprendre à uriner debout sans en mettre sur ses chaussures et/ou son pantalon, je ne vois toujours pas ce qu'il y a d'inhumain à ne pas le lui apprendre...parce qu'il y a un monde entre l'interdiction et le fait d'être forcé je crois. Et puis peut-être une petite envie de voir si "naturellement"(et sûrement aidé par l'exemple des petits camarades) cela lui viendrait ou non). Enfin pas de quoi castrer personne évidemment. Pour sûr que Papa le lui apprendra dans le dos de Maman, histoire de la voir criser un coup à la vue de son expérience sociologique ruinée.

    "je parlais avec toutes, presque euphorique, comme pour braver le mur entre hommes et femmes que le féminisme de genre a construit"

    Vous pouvez toujours venir blaguer avec moi tout en faisant les soldes, malgré ma conviction en l'aspect construit du genre je ne mords absolument pas et puis j'aime bien vous imaginer euphorique dans un champ plein de vendeuses comme un papillon au début du printemps :-) mais chut, je ne dirai pas où, déjà assez de monde dans les magasins ces temps!

    Plus sérieusement, le genre personne ne connaît en dehors des cercles "initiés" (surtout les cercles d'initiées en fait), et tout le monde le réfute plus ou moins (des "études genres? Mais genre quoi?" et s'ensuit une explication de trois heures pour tenter de dire ce que l'on étudie en fait dans la vie, en tentant l'anglais "gender studies"... généralement je simplifie en disant que je fais de la sociologie c'est plus court), même dans des cercles proches des "initiés", donc vous en grossissez à mon avis très largement l'influence! Un petit sondage tdg sur l'"instinct maternel" et qui y croit vous soulagerait à mons avis très rapidement, quoique avec plus d'adhérentes à la théorie du genre, il y aurait certainement plus de gardes partagées. D'où, à mon sens, un soulagement trompeur.

    Pour une fois j'approuve assez le dernier commentaire d'Antistheme,mais je me méfie quand même, depuis que j'ai appris que trop répéter que les tâches domestiques étaient effectuées dans leur très large majorité par des femmes (arrangements de couples pour vous, autres pour moi) était de la "misandrie"...

    ;-)

  • Recette de Viol à la marocaine à la moutarde dijonnaise.

    En 2 clics sur Google regardez les deux articles et la similitudes des deux et celui de khalid, c'est culturelle ? !!
    La culture marocaine est en souffrance.
    Justice française et marocaine même combat !!

    Voici un article intéressant trouvé sur Actualité et Journal du maroc:
    http://www.portaildumaroc.com/modules/news/article.php?storyid=5404

    _*Abdelllatif et Jamila (Cour d’appel de Casablanca)*_
    _*Pour séquestration et viol ayant entraîné dépucelage, Abdellatif a été condamné à six ans de réclusion criminelle*_

    et le 2eme article :

    http://www.aujourdhui.ma/societe-details5820.html
    _*
    Abdelkader et samira ( Cour d’appel d’Agadir)
    toujours une histoire d'IVG
    la Cour a condamné Abdelkader à trois ans de réclusion criminelle. *_

    Y'a de quoi péter un câble.

  • Et voilà des clichés du plus bel effet:

    "Samira, âgée de vingt-deux ans est célibataire et sans profession. Sa relation avec Abdelkader n’était pas la première, elle avait d’autres relations avec d’autres jeunes comme cela a été révélé par les témoins. Bref, elle est une fille frivole."

    Un bel exemple de la boue qui peut-être remuée dans un procès de viol par la défense, une belle démonstration pour le post "la fille facile".

  • @ Audrey

    Je n'ai jamais dit "fille facile, frivole, homme salaud, etc...

    Je constate que ce phénomène est toujours d'actualité, en mutation et se generalise au dela des frontieres. le fait de transformer des relations amoureuses en viol. Alors les solutions sont toujour les meme, c'est soit le mariage forcé, le bagne ou la légion etrangere. c'est triste mais c'est comme ca, cela n'a pas evoluer, et rien n'est fait pour changer les mentalités.

    C'est faits ne sont pas nouveaux, 8 cas sur 10 d'apres le consulat du maroc en belgique.

    Loin de moi l'idée de trainer dans la boue qui que ce soit, et la defense a bien au contraire fait l'eloge de la plaignante : son instruction, son inteligence, ses reponsabilités, son indépendance financiere, etc... mais il y a un hic ! Elle culpabilise encore plus d'avoir raté son projet familiale, c'est un echec, une faillite, ....retour à la case départ. Alors il faut bien le laver son honneur....pitoyable.

    Bien a vous.

  • Bonjour ash

    en fait je reprenais les mots de l'article que vous citiez qui, pour le coup, remuait à tour de bras des stéréotypes éculés. Cela ne change rien au fait qu'il y ait peut-être eu erreur, mais cela montre que pour discréditer les accusations de viol l'argument de la "fille facile" est toujours invoqué par les avocats de la défense, comme si le fait d'entretenir plusieurs relations en même temps voulait forcément dire que l'on était ouverte à tous en fait.

    M'étonnerait que la défense (partie de l'accusé donc) ait fait l'éloge de la plaignante pour défendre leur client, ou alors il y a effectivement un problème.

    Après je pense effectivement que plus les relations hors mariage pour les femmes sont mal vues, plus on risque ce genre de cas effectivement. Il y a en tous cas matière à réfléchir sur la question.

  • Après la condamnation ( correctionnel, partie civile féministe, incompétence du tribunal soulevé par l'accusation etc... )disparue, même avec sursis et l'acquitement évité de justesse ( une vielle dame a relancé les débat avec force refusant l'acquitement ) la meute de haine continue : la rumeur partout, les dégradations véhicules, les violations de domiciles, les filatures ostensibles ( localisation par GPS )partout où vous allez ( commerces, mairies, voisins ...), les listes noires ( administrations, transports milieu médical etc...); le tout depuis plus de 30 ans et sur tout le territoire
    Impossible à vôtre tour de porter plainte : classements, affaires étouffées
    Nous voiçi au quebec où l'on pourrit la vie des indésirables pour les faire quitter le pays
    Même les proches en font les frais
    Eviter les dentistes qui cassent les dents ( "je vais vous montrer comment on élimine la vermine" ), les hôpitaux où l'on handicap à vie : la liste est rès longue
    je n'ai ,même pas raconté l'histoire qui est édifiante ; même le bon sens ne l'a pas emporté
    J'oubliais : je suis de race noire

  • @ Audrey:

    Les féministes de genre signifie ici celles qui utilisent le clivage de genre - dont hommes-bourreaux femmes-victimes - pour seul argument. Il n’était que d’entendre son avocate utiliser les mythes de la gentille princesse sans défense et le vilain Prince charmant cachant en réalité un ogre. Elles utilisent les clichés explicites ou implicites de genre pour argumenter leur manque d’arguments. Le genre vient au secours d’une accusation incohérente, et bien sûr on n’imagine pas une pôvre petite fille mentir face au vilain monsieur.

    La victimisation est un argument de la politique des genres, contrairement à ce que vous dites. Car la victimisation est forcément d’un côté et pas de l’autre - toutes les campagnes féministes sur la violence conjugale le démontrent.

    Les problèmes de couple hommes-femmes sont des questions des deux genres, car à part quelques fous et quelques folles, les conflits mal gérés sont souvent co-induits ou co-alimentés. Et il serait tellement plus crédible et honnête de parler des deux ensemble plutôt que de faire une guerre des chiffres dont il est démontré par de nombreuses études qu’ils sont abusifs. Pourquoi des chiffres abusifs? Pour criminaliser un genre contre l’autre.

    «mettre au monde un mâle à qui devoir apprendre à uriner debout sans en mettre sur ses chaussures et/ou son pantalon» Raaaahhh... Audrey, un garçon ou un homme ne sont pas constamment à faire attention à où ils urinent. Nous ne sommes pas des gros sales par définition. Je me fiche d’uriner assis ou debout (la nuit c’est assis pour ne pas trop me réveiller), cela dépend d’abord de mon confort du moment. Mais en faire une théorie contre la domination masculine, bonjour le délire! Laissons les hommes pisser debout, c’est jouissif, naturel, pratique.

    «Vous pouvez toujours venir blaguer avec moi tout en faisant les soldes, malgré ma conviction en l'aspect construit du genre je ne mords absolument pas et puis j'aime bien vous imaginer euphorique dans un champ plein de vendeuses comme un papillon au début du printemps :-) mais chut, je ne dirai pas où, déjà assez de monde dans les magasins ces temps!»

    Ne me tentez pas Audrey, sinon je vous vous proposer un rendez-vous chez Zara ou H&M, ou n’importe où nous puissions rire et deviser sans soucis. Vous verrez que mon papillon comme vous dites saura vous faire passer un délicieux moment sans équivoque (à moins que... mais cela c’est une autre histoire... l’association d’un doux sauvage freelance et d’une universitaire cadrée est peut-être contre nature... rires, bien sûr).

    «Plus sérieusement, le genre personne ne connaît en dehors des cercles "initiés"»: oui, certes, mais il suffit à quelques initiées avocates de citer des chiffres bidouillés devant un jury pour le convaincre que les femmes sont décidément de pôvres Cosettes qu’il faut impérativement protéger vu qu’elles sont - si on les suit - gravement handicapées...

  • "Les féministes de genre signifie ici celles qui utilisent le clivage de genre - dont hommes-bourreaux femmes-victimes - pour seul argument.[...]Elles utilisent les clichés explicites ou implicites de genre pour argumenter leur manque d’arguments."

    Oui donc c'est bien ce que je disais. J'ignore si le terme de "féministe du genre" provient des milieux hoministes mais il faut dans ce cas très clairement dire qu'il s'agit de féministes différentialistes, puisque s'appuyant sur des stéréotypes, et non d'adhérente à la théorie du genre, donc d'une construction sociale des personnalités sexuées, ce qui n'a évidemment rien à voir avec la victimisation. Avec la théorie du genre, comme je l'ai déjà souligné, on peut travailler aussi sur l'aspect construit des stéréotypes sur le masculin.
    C'est moins courant il faut l'avouer, mais vu la proportion d'hommes qui se livrent à ces études cela n'a rien d'étonnant.

    "Laissons les hommes pisser debout, c’est jouissif, naturel, pratique."

    Mais je n'en fais pas une théorie de la domination masculine, pas plus que de la saleté, mais vous remarquerez qu'il est rarement naturel qu'un petit garçon le fasse très proprement, ça n'avait rien d'une attaque anti-homme, quoique la chose puisse poser des problèmes de lunettes;-) Si c'est naturel il y viendra tout seul, donc pas besoin de le lui apprendre. J'y vois plus avec malice qu'avec dogmatisme en fait, pour une fois hein!

    Question magasins il est étonnant de voir comme vous brûlez, bon c'est vrai qu'à Genève, si l'on met de côté la rue du Rhône et ses boutiques "hype" c'est assez vite fait ;-) Je profite de cette intermède "vendeuse" pour faire remarquer qu'il est hallucinant de voir le nombre d'hommes qui ne connaissent pas leur taille de vêtement et se pointent tout candide devant une vendeuse avec la question à 1000 francs: "dites-moi mademoiselle c'est quoi ma taille?". Serait-ce à croire que les hommes n'achètent jamais leurs vêtements eux-mêmes?Ca fait un peu cliché je vous l'accorde, mais pour une fois c'est une réalité de terrain comme on dit:-)

    Enfin, pour en revenir au genre, étaler quelques chiffres statistiques ne veut pas dire que l'on se réfère au genre, ou que l'on a même connaissance de ce terme. En approfondissant peut-être un peu plus les choses je crois qu'on peut justement éviter d'en faire une guerre ouverte des sexes, en regardant les réalités qui se cachent derrière et leur origine. Comprendre, qui n'est pas forcément égal à excuser, est certainement le meilleur moyen de ne pas diaboliser.

  • @ Audrey,

    je profite du passage devant un camping avec huit filles (... gnark gnark... wifi) pour vous lire, et j'ai des points d'accord avec vous, mais j'y reviens demain, cela mérite débat et précisions.

    Sur la taille des vêtements, j'ai toujours fait des surprises à mes compagnes, des petits cadeaux vestimentaires. Gonflé, mais cela a toujours été pile poil à leur goût et à leur taille. Raaahhh, c'était la séquence "Je suis bon, excellent même"...

    (:o))

  • Oui un certain "ego trip" aujourd'hui ;-) mais c'est vrai que ça fait du bien des fois!

  • Avez-vous déjà été ému par un film ?

    Mme Hzz l’actrice principale du film « Qui est la victime ? » avait tous les ingrédients nécessaires pour monter son film (l’histoire, les acteurs, le scénario, la mise en scène, la réalisation):

    C’est l’histoire d’une jeune fille D.H adolescente qui vivait dans une famille où tout est interdit, sortir, avoir des amis,…, il y avait des directives claires; travailler à l’école et le ménage à la maison, l’enfant pour cette famille est un produit commercial, qui doit rapporter de l’argent. D.H pouvait pourtant un peu respirer pendant les vacances au Maroc (les seules vacances qu’elle pouvait avoir), là elle avait la possibilité de rencontrer des cousins, au début ce n’était qu’un petit jeu, des petits fleurtes, après c’est transformé en un jeu de séduction, et c’était aléatoire, tout dépend avec qui elle était, jusqu’à ce qu’elle rencontre Khalid, un cousin, plutôt tendre, qui ne pense pas seulement au sex, D.H tenta tout pour le séduire, Khalid a fini par craquer, et tomba amoureux. Malgré la distance; D.H était installée en France, Khalid au Maroc, et malgré les parents de la jeune fille; ils sont loin d’être ouvert à ce genre de relation. Elle a réussi à le convaincre à tout laisser tomber pour elle; son pays, son travail, sa famille, et il alla la rejoindre. Il a commencé une nouvelle vie à zéro, et il ne pensait qu’à une seul chose c’est travailler pour être à la hauteur, petit à petit, le jeune homme commença à faire ces preuves, avoir une vie, des amis, ce qui dérangea fortement la jeune fille, elle commença à avoir peur (possessive qu’elle est, elle le voulait que pour elle toute seule), et elle pensa à plus l’attacher, et le lier par un autre moyen que l’amour; le mariage -ce mariage n’était pas une concrétisation de l’amour, c’était plutôt une prison, et elle c’est la directrice- Que dire des parents ? Est ce réellement un problème pour elle ? Elle avait déjà menti à ses parents, et ça a toujours marché, c’est un mensonge comme un autre, et elle est capable de mentir, et de manipuler son amoureux, pour qu’il accepte de jouer le jeu, donc ils ont rien dit aux parents, c’était un mariage en cachette. Après ce fameux mariage, D.H est tombé dans une nouvelle situation, une femme mariée, ces rapports avec son amoureux deviennent normaux et légaux, ce n’est plus de l’interdit, or c’est l’interdit qui l’a toujours excité et fantasmé. Elle n’a pas trainé et elle trouva vite la solution; des aventures extraconjugales, surtout avec des hommes mariés. Coup de théâtre, un des ses amants craqua et tomba amoureux de la jeune fille, téléphona à son mari pour s’expliquer. Un autre choc pour Khalid, déjà avec le mariage en cachette c’était dur et que dire de la trahison? D.H trouva encore le moyen de calmer Khalid, et le convaincre que ce n’était qu’une erreur, et c’est lui qu’elle aime, et ce qu’elle avait fait c’est à cause du calvaire qu’elle avait vécu avec ses parents, et aussi des viols qu’elle avait subis, et parfois elle se contrôle pas, ce qu’elle fait et malgré elle. Elle joua la victime, et elle la fit bien. Il faut dire qu’elle est convaincante, avec sa manière de parler, personne ne lui résiste. Khalid à ce moment là avait un autre sentiment, c’était de la pitié. Et il décida de l’aider, de rester avec qu’elle, et lui proposa de consulter un psy, en fin de compte c’est sa cousine, et c’est de son devoir de le faire, c’est comme ça qu’il vu les choses. Trois paramètres ont joué en faveur de D.H « L’Amour, la Pitié, Le Devoir ».

    Tout va bien pour D.H, Khalid est dans la poche.

    Cependant, il y a des accidents de parcourt, elle tomba enceinte pour la deuxième fois, impossible pour elle de garder le bébé, cette fois ci elle en parla à Khalid, qu’est ce qu’ils vont dire ces parents ? Comment ils peuvent accepter ça ? Il fallait trouver une solution, Khalid ne pouvait que la suivre, il était dépassé par les événements. D.H avait fait toutes les démarches, ça devient une habitude pour elle. Et elle avorta.
    Deuxième accident c’est une voisine qui décida de téléphoner aux parents de D.H, pour dénoncer le Mariage de D.H, par vengeance, tout simplement parce que Khalid était le copain de son mari avec qui elle avait de graves problèmes. C’est ce coup de téléphone qui va changer toute la stratégie de D.H, tout est tombé dans l’eau.
    Malheureusement, les parent ont mal réagi, D.H a vécu après ça dans l’enfer, elle a était traitée de pute, de trainé, de chienne, souvent frappé. Mais comme toujours D.H trouva la solution magique qu’elle maitrise super bien, MENTIR, tout mettre sur le dos de Khalid.
    Le problème s’est vite transformé en problème familial, la famille de D.H a demandé de l’argent beaucoup d’argent plus l’organisation d’un mariage financé par les parents de Khalid, ce que Khalid a refusé en première temps. Les parents de Khalid vont finir par accepter et entamèrent la préparation de ce mariage de ce Mariage. Mais la sœur de D.H qui est médecin après l’avoir examiné à la demande des parents et avait constaté que sa sœur n’était plus vierge s’est introduite dans cette affaire, en attaquant Khalid à son domicile. La sœur O.H a essayé de frapper D.H, Khalid a essayé de l’empêcher et la défendre, ils se sont battus. O.H en profita et porta plainte contre Khalid –Khalid par respect aux secret familial à préféré de ne pas se défendre dans cette affaire, il s’est sacrifié-. Khalid a été jugé de payer 600 €, ce verdict n’a pas plu à O.H, qui voulait plus, d’où l’acharnement.

    D.H n’avait plus le choix, la virginité c’est plus qu’un crime pour ses parents, et on s’en fou de son Mariage civile qu’on ne reconnaît pas. Khalid a couché avec elle avant le mariage religieux donc il l’a violé. D.H décida d’aller dans ce sens. La porte de sortie pour elle vis-à-vis ses parents, vis-à-vis la société c’était écraser Khalid. D.H Divorce avec Khalid s’était la première étape pour se débarrasser de lui.

    D.H a bien construit sa mise en scène, elle savait qu’avec son intelligence et la naïveté de Khalid elle a un grand avenage, elle connaît les points faibles de Khalid et tout les petit détails, qu’elle avait exploités avec perfection. Elle a bien profité de la situation de Khalid, le faite que Khalid vient du Maroc, et ce n’est pas un Français d’origine Français, et elle, elle est directrice d’école, conseillère communale, donc plus crédible. Elle savait pertinemment qu’elle pouvait sensibiliser les gens par rapport à cette situation. Elle a donc pu mobiliser des gens autours d’elle surtout l’« association solidarité femme », qui ne voyait en elle qu’une victime, elle les a aveuglés, de telle sorte qu’ils ont laissé passer pas mal de contradictions dans ces dires, et ces accusations. Cette association l’a beaucoup aidé, coaché, et elle s’est même portée partie civile pour elle.

    Khalid s’est retrouvé tout seul contre une équipe de professionnel, l’association solidarité femme, des gendarmes, des psychologues, …, même son premier avocat a été acheté. Ils ont rien laissé au hasard. Après trois ans d’instructions, Le juge d’instruction a décidé de renvoyer Khalid aux assises, malgré les contradictions dans le dossier, et l’absence de preuves.

    En cour d’assise Tout allait dans le sens voulu par la défonce de la plaignante, une juge partiale, un procureur acharné, des témoins fabriqués, des psychologues incompétents, comment ces gens peuvent exercer dans ce pays? Bref, on a présenté sur un plateau aux jurés un violeur par tout les moyens.
    La Cours et le jury réunis, déclarent Khalid NAJI coupable des crimes de viols, condamnent Khalid NAJI à la peine de HUIT ANS (8 ans) d’emprisonnement, plus un suivi socio-judiciaire de TROIS ANS (3 ans), avec une peine encourue par lui à DEUX ANS (2 ans) d’emprisonnement en cas de d’inobservation des obligations qui lui sont imposée.
    Et la Cour, statuant seule, sans le concours du jury

    Condamne Khalid NAJI à payer à son ex-épouse les sommes de :
    -QUINZE MILLE EUROS (15 000 €) à titre de dommages et intérêt,
    -MILLE EUROS (1 000 €) au titre de l’article 375 du code de procédure pénale,

    Condamne Khalid NAJI à payer à l’association Solidarité Femmes les sommes de :
    -TROIS MILLE EUROS (3 000 €) à titre de dommages et intérêt,
    -MILLE EUROS (1 000 €) au titre de l’article 375 du code de procédure pénale.

    Khalid a fait appel et obtient seulement une réduction de peine, malgré le doute, et les témoins démontés par la défonce des Khalid « La gendarmette, le médecin légiste, l’ex voisine, la famille de D.H », après ce jugement tout le monde été en pleur y compris les policiers, même les jurés était choqués.

    FIN

    Je suis sorti de la salle du cinéma avec les larmes aux yeux, ému comme tous les gens qui ont assisté avec moi à ce film. Quelle Histoire !!! Quel professionnalisme !!! L’actrice principale a super bien joué les rôles des victimes, avec sa manière de raconter les choses, sa manière de pleurer, ses gestuelles, elle te rend impliqué dans son histoire sans te rendre compte. La première victime (Mes parents sont des monstres, je ne suis qu’une banque pour eux, on est souvent brutalisé et frappé, mes petites sœurs et moi, on peut rien dire rien) faire- La deuxième victime (Mon ex-mari est un monstre, il m’a frappé, il ma violé, oui j’avais un amant, mais j’étais obligé, c’est à cause de mon ex-mari).

    Je ne peux que dire BRAVO à cette actrice, qui nous a donner une leçon, à nous tous. La justice peut être injuste, tout est possible, on peut monter un dossier contre qui que ce soit, et le juger injustement. Ca fait peur !!!

    Que pouvons-nous faire? Ce n’est pas que l’affaire de Khalid, c’est l’affaire de tout un chacun soucieux de vivre dans un monde de paix, de justice, et de prospérité. Si non, ça sera la loi de la jungle « Qui mange qui ».

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