L’épidémie de choléra montre une sérieuse accalmie au Zimbabwe. L’argent des donateurs américains et européens a permis de remettre en marche une grande partie du système sanitaire du pays. Les employés des ONG se donnent sans compter depuis des mois.
Cette réduction de l’épidémie n’est pas due aux efforts du pouvoir zimbabwéen, qui n’avait rien fait pour enrayer la propagation de la maladie. Elle est due aux fond venant de pays à population blanche.
Mais il ne semble pas que Monsieur le Président-Dictateur-Sanguinaire en soit satisfait. Alors qu’une commission européenne se rend à Harare pour entreprendre des pourparler de coopération avec le pays, Robert Mugabe fait la une en déclarant qu’il n’avait pas besoin de ces sales blancs.
Il a déjà utilisé les fermiers blancs il y a quelques années, les faisant fuir ou tuer. Aujourd’hui il continue à insulter les blancs tout en acceptant leur argent.
Tristesse pour la population du Zimbabwe. Qu’il faut continuer à aider malgré ce sale dictateur, tant elle est dans le dénuement.
Commentaires
Pas besoin d'aller au Zimbabwe pour se faire traiter de "sales blancs" !
A Genève, des citoyens suisses font aussi l'objet d'insultes racistes et de violences de la part de noirs, souvent jeunes, qui pensent que le monde leurs appartient et que tout leurs est dû sous prétexte que leurs ancêtres ont été les victimes de l'esclavage...
Hélas, ces suisses ne déposent jamais plainte à la police...
Le racisme est universel et n'est pas l'apanage des européens envers les africains. M. Mugabe nous en fait la démonstration. Son problème c'est qu'il est en train génocider son propre peuple, à vouloir redistribuer les terres à ses partisans, il a porté à la faillite son pays. Les populations sont obligés d'émigrer dans les pays voisins et aussi en Afrique du Sud.
A l'Assemblée onusienne ont va continuer d'user de faux-semblants. Beaucoup de ces tyrans africains profitent et instrumentalisent le passé colonial des Européens. Ils savent où cela fait mal. Ils blessent leurs peuples et les maintiennent dans une sorte de naïveté antiblanche afin d'asseoir encore plus leur pouvoir. C'est horrible. Ces gens n'ont pas leurs places à l'ONU mais dans des géôles pour grands carnassiers, grands bandits, grands mafieux planétaires. Hélas, mille fois hélas, les Occidentaux se sont arrangés avec eux pour profiter des matières premières et des richesses africaines. Nous sommes tous coupables de ce monstre qui est en train de nous bouffer. Y a-t-il un espoir de changer ce monde? Oui. A une condition. Que celles et ceux qui viennent vivre chez nous participent au dialogue démocratique, qu'ils cessent de rechercher le ghetto que nous ne voulons pas leurs offrir. Nous avons à partager avec tous. Et construire un autre monde demande une énergie collective colossale. En avant!
"Ces gens n'ont pas leurs places à l'ONU "
L'ONU? une vraie mascarade et, comme dirait de Gaule, c'est quoi ce "machin"?!