Les députés français votent aujourd’hui une loi spécifique à la violence psychologique dans le couple. Dorénavant, une critique un peu acerbe ou dénigrante - ou vécue comme - telle pourra entraîner l’éviction du domicile conjugal et jusqu’à 3 ans de prison et 75’000 euros d’amende.
Entendons nous bien: les injures et insultes dans le couple sont inacceptables. Une seule gifle est également déjà de trop. Mais une telle loi pose problème.
D’abord elle est ouvertement destinée à protéger les femmes contre les hommes. C’est l’affirmation du gouvernement. Les hommes ne seraient donc pas eux aussi victimes de violence psychologique? Toutes les enquêtes montrent qu’ils en sont davantage victimes que les femmes. Mais ils ne vont pas déposer plainte, et ne sont de toutes façons pas crus.
Et qu’est-ce que la violence psychologique? On y assimile le dénigrement - tu es mal habillé-e, tu es trop gros-se, etc.
Les magistrats français sont globalement contre cette loi:
«Christophe Régnard, président de l'Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire) qualifie la proposition d'instaurer un délit de violence psychologique de "démagogique".
"Ce délit est totalement improuvable, on le voit déjà avec celui de harcèlement sexuel ou moral. Là, on sera dans le huis clos du couple, ce sera la parole de l'un contre celle de l'autre, donc je ne vois pas comment on pourra conclure", a-t-il dit à Reuters.
Christophe Régnard se dit inquiet de possibles dérives car le texte prévoit également la possibilité d'une "ordonnance de protection des victimes" permettant l'éviction du domicile conjugal du conjoint suspecté de "violence psychologique", avant toute conclusion judiciaire.»
Nadine Morano, secrétaire d’Etat à la famille, affirme que "Le juge pourra statuer au regard de lettres, de SMS, de messages répétitifs puisqu'on sait très bien que les violences psychologiques sont faites d'insultes".
Et s’il n’y a rien de cela? «On pourra aussi avoir recours aux témoignages des proches et à des certificats médicaux démontrant l'existence de dépressions nerveuses.»
Les proches sont-ils assez fiables? Et la dépression nerveuse prouve-t-elle sans aucun doute une violence psychologique? Non.
Une femme ou un homme perturbé psychologiquement - borderline, maniaco-dépressif - dont le ressenti est construit sur un vécu subjectif plus que sur la réalité, pourra accuser et lancer la justice contre son-sa conjoint-e sans que l’on ait le début d’un élément de preuve. On est entré de plein pied dans les lois d’exception, celles qui sapent la démocratie et les droits de l’individu. C’est grave. Et dans ce domaine, on peut s’attendre à une forte augmentation des fausses accusations. Pensez, 75’000 euros à gagner! Presque 5 ans de smig. Et comme la stratégie de victimisation féministe bat son plein, ne doutons pas que les hommes vont encore une fois payer le prix fort.
Au détour de l’information, on apprend que sur 80’000 appels au numéro d’urgence des femmes battues, 84% se plaignent de violence psychologiques. Cela ne fait que 14% de violence physique, soit plus de 11’000. Où sont les 300’000 ou 800’000 femmes battues selon les chiffres? Où est le tiers de femmes battues (plusieurs millions supposées) selon d’autres chiffres? Nulle part.
Faut-il déconseiller aux hommes de se mettre en couple et d’avoir des enfants? Ils doivent enregistrer discrètement toutes leurs rencontres avec une femme, même pour une nuit. Ils doivent bannir toute critique et dire oui à tout ou se taire. C’est leur sauvegarde contre l’abattoir judiciaire.
Ci-après, un spot qui parle d’une femme victime de violence psychologique. Tout peut être inversé, car ce discours existe dans les deux sens.
Et puisqu’on parle uniquement des femmes victimes, je remets ici mon poème musical «Tu l’attends encore», qui illustre la situation d’un père victime d’une violence extrême: une fausse accusation.
PS: Une pensée pour Max Göldi qui subit la violence d’Etat en prison à Tripoli.
Commentaires
Quand on voit la façon qu'on les parlementaires de la assemblée national en France de se traiter les envers des autres proche du pugilat sur les sujets qui fâchent, C'est vraiment l'hôpital que se fout de la charité.
D.J
"Les députés français votent aujourd’hui une loi spécifique à la violence psychologique dans le couple. Dorénavant, une critique un peu acerbe ou dénigrante - ou vécue comme - telle pourra entraîner l’éviction du domicile conjugal et jusqu’à 3 ans de prison et 75’000 euros d’amende."
? Ils devront voter une loi qui oblige les régies à mettre des vidéos et micros dans chaque appartement pour récolter les preuves de qui a dit quoi et qui a commencé, qui a fini?!!!!!!!!!!
Sachez qu'on découvre le vrai caractère de son mari ou femme après le mariage......
Quel Ministre a décidé cette loi?
Le Monde est devenu fou!
Au sujet de la première vidéo: imaginez le même scénario, mais le couple marche ensemble derrière une collègue de travail de la femme. La femme du couple exprime les mêmes pensées ... elle est gourde, regarde son gros derrière, elle ferait mieux de s'habiller en fonction de son age, etc.
Punissable ou non?
Des paroles poignantes.......Et dire que cela existe?! J'ai l'impression de vivre dans un nouveau monde!!!!!!!
Patoucha, c'est une députée socialiste et un député UMP qui sont à l'origine de cette loi, soutenue ensuite par Alliot-Marie et par Nadine Morano.
En effet le monde devient fou. Non qu'il faille nier que la violence dans le couple existe et qu'elle est insupportable quand elle dépasse la simple dispute, mais on crée une psychose paranoïaque. Et puis, en effet, qui a commencé, qui a dit quoi? Porte ouverte à tous les abus.
@ D.J.: Oui, les attaques entre camps politiques telles qu'on en voit actuellement sont une vraie violence.
On peut aller plus loin: une séparation est une violence très forte. le dénigrement de l'autre en cas de séparation est fréquent et ne fait pas dans la dentelle. La souffrance d'une séparation ne pourrait-elle tomber sous le coup de la loi? Je pousse le bouchon, oui, mais...
benpal: oui, pile! Et là c'est du quotidien...
Patoucha, oui, hélas, cela existe.
Cette nouvelle création législative présente de bien troublantes ressemblances avec la « politique d'intervention en matière de violence conjugale » adoptée il y a déjà 24 ans par le gouvernement du Québec à la sauvette sans le moindre débat sous la pression des militantes féministes.
http://bilan.usherbrooke.ca/bilan/pages/evenements/3290.html
Il s'agit pourtant de mesures d’exceptions ciblant spécifiquement les hommes en situation de rupture conjugale. Cette politique qui n'est pas une loi fut adoptée à toute vapeur sur la base de 300 000 femmes victimes de violence conjugale chaque année au Québec !
http://www.lapresrupture.qc.ca/SPGLVC.html
Personne en effet ne voulait porter l'odieux d'être publiquement contre la vertu et s'élever contre des mesures répressives destinées à contrer le fléau imaginaire de la violence faite aux femmes, et uniquement aux femmes...
http://www.csulb.edu/~mfiebert/assault.htm
Une simple demande d'accès à l'information permettait aux gens de l'Après-Rupture de dévoiler l'imposture au grand jour.
http://www.lapresrupture.qc.ca/300000.html
Depuis que ce gros mensonge est exposée sur la place publique, aucune mesure n'a été prise pour que les policiers reprennent contact avec la réalité et pour que les juges examinent les faits autrement qu'à travers un prisme idéologique.
L'actuelle « politique d'intervention en matière de violence conjugale » telle qu'appliquée au Québec s’avère être en réalité une formidable machine lorsqu’il s’est question de détruire les familles, un objectif avoué des tenants du féminisme sectaire. Ces mesures arbitraires appliquées sans le moindre discernement sont indignes de toute société qui prétend être fondée sur des principes de droits. Citoyens Français, soyez avisés des pièges dissimulés derrière ce piège législatif.
http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/07/19/hommes-n-emigrez-plus-au-quebec.html
Hermil, le Féministan gagne encore du terrain pour le moment. Mais le décalage d'avec la réalité va un jour éclater. Continuons à y travailler. C'est l'équilibre des relations hommes-femmes qui est en jeu, ainsi que la sécurité des hommes.
Ah nos politiques sonts bien sous la coupe des féministes victimaires, et nos femmes du gouvernement appuient de tout leur pouvoir, à croire que ce sonts toutes d'ardentes féministes morano et consorts !!!
@Patoucha
"Sachez qu'on découvre le vrai caractère de son mari ou femme après le mariage......"
Non, je ne pense pas qu'on le découvre. Mais on espère qu'il/elle changera et/ou on si dit qu'on le/la changera. L'amour est aveugle et l'espoir fait vivre ... et quelques fois mourir
(&-&)
Punaise, et moi qui traite parfois ma femme de Reine des Chieuses, sous la forme d'un compliment dont elle rit et qu'elle apprécie, de l'extérieur cela pourrait donc être très mal interprété ?
Zut alors...
Greg, vous aimez vivre dangereusement... Faites gaffe à vos voisins...
Après le Québec, ça y est, les français s’y mettent !
Le geste est suffisamment rare pour être souligné : dans une belle unanimité, le PS, l’UMP et le gouvernement proposent de créer une nouvelle incrimination pour lutter contre les violences faites aux femmes. » suite sur le site du Monde.fr
http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/02/25/debat-sur-la-violence-psychologique-au-sein-du-couple_1311154_3224.html#ens_id=1271754
Un livre va bientôt sortir au Canada pour dénoncer les mensonges proférés depuis des années par le mouvement ultra féministe (extrémiste, victimaire, dogmatique, ) déviant du féminisme traditionnel lequel féminisme victimaire lance continuellement des campagnes médiatiques contre les violences conjugales mais en stigmatisant (en notant d’infamie) les hommes comme étant les seuls auteurs et responsables des violences conjugales. Alors qu’en réalité les femmes sont tout autant violentes que les hommes. Et où les statistiques dévoilent que les femmes sont plus nombreuses dans les maltraitances des enfants.
Ce livre a pour but de remettre les pendules à l’heure et il explique les diverses raisons de ces mensonges. Ces mensonges, nous nous en doutons bien, nous humilient, nous diabolisent,… (nous les homems) et à la fin du compte nous sommes encore plus roulés dans la farine, violés, spoliés (c’est selon) par des lois qui nous roulent encore plus dans la farine, qui nous violent encore plus, et qui nous spolient encore plus de nos enfants et de notre patrimoine....
Le livre en question aura pour titre « 300.000 femmes battues chaque année, l’avez-vous cru ? » ou quelque chose dans ce genre. Il sera disponible en librairie. Je vous donnerai les indications exactes au moment voulu.
Et c’est là qu’intervient Elisabeth Badinter en préfaçant le livre sur deux pages. Soyons certain elle en prendra encore plein la g… de la part de ses ennemies ultra féministes, ça c’est sûr.
Je rends hommage à cette femme courageuse et controversée par une minorité de professionnels de la haine. Mais n’est-ce pas là aussi, la rançon de la gloire ?
Je rends aussi hommage à toutes ces féministes – ainsi qu’à toutes mes amies féministes ♥-- qui oeuvrent avec nous pour plus d’égalité entre les femmes ♥ et les hommes ♥ et lesquelles ne manifestent pas de haine envers les hommes.
La Féminolâtrie gagne encore du terrain pour le moment… C’est un constat. Et n’oublions pas que ce féminisme déviant est promu autant par les hommes que par les femmes.
« Mais le décalage d'avec la réalité va un jour éclater. »
Oui, mais attention au « décalage » effectif !!!
La Belgique a plus de 25 ans de retard sur tout (associations, militants, experts,…) par rapport au Québec.
La Grèce (avec laquelle je suis en relation) est plus de 50 ans en retard par rapport au Québec.
Alors, vous, de France et de Suisse, estimez-vous à combien d’années en retard sur le Québec ?
« Continuons à y travailler. »
Oui, et sans relâche ! Ce que je propose, c’est de travailler avec les Associations du Québec… Et ce, en temps réel ! Ainsi, nous comblerons nos retards.
Qu’en pensez-vous ?
En même temps, si la violence physique des femmes à l'égard d'hommes généralement plus forts qu'elles parait à priori anecdotique, en matière de violence psychique, tout le monde joue à armes égales...
Cette loi - inquisitrice à l'extrême - devrait donc pouvoir être utilisée dans les deux sens ?
La criminalisation de la vie domestique est la conséquence directe de la disparition de la famille (au sens cohérent du terme - celle qui est censée durer pour la vie). A partir du moment où la famille a disparu, seul l'Etat peut protéger l'individu qui est de plus en plus fragilisé. Criminaliser la violence psychologique permettra de rétablir un équilibre entre les hommes et les femmes. J'ai toujours trouvé injuste que l'on criminalise seulement les coups qui laissent des traces, et pas la violence verbale et la violence physique qui ne laisse pas de traces (violence qui conduisent directement aux coups qui laissent des traces). Cette criminalisation permettra de cesser de voir les coups comme partis de nulle part. La violence est une relation.
Bientôt, au Québec, prouter dans le lit conjugal sera un délit.
Moi je trouve très bien que l'on reconnaisse les dommages PROFONDS engendrés par les violences psychologiques au sein des familles: néanmoins, ces violences psychologiques me semblent largement partagées par les deux sexes, et si loi il y a, il faut incontestablement que les deux sexes soient concernés.
Malheureusement, difficile voire impossible à prouver ce qui se passe dans l'intimité...
Et les enfants sont eux aussi durablement amochés lorsque cette forme de mauvais traitement se dirige contre eux.
En principe, on pourrait voir d’un bon très bon œil cette loi réprimant le délit de violences psychologiques.
En effet, sachant que les femmes sont bien plus violentes que les hommes sur le plan psychologique, cette loi protègerait davantage les hommes.
Mais ceci n’est que théorique. Car, en réalité, les hommes ne déposeraient pas plainte contre cette forme de violence psychologique – comme ils ne déposent pas plainte contre les violences physiques qu’ils subissent. La raison est simple et facile à comprendre, sachant qu’ils sont trop souvent les perdants dans situations de séparations / divorces conflictuels.
Jusqu’à présent, dans ces situations conflictuelles, ce sont trop souvent les femmes qui sont gagnantes. Dans ces situations là, il n’y a donc aucune égalité entre les femmes et les hommes. Il s’agit donc de remettre les pendules à l’heure.
CLVPD
Heu, cela n'engage que vous, de prétendre que les femmes sont bien plus violente que les hommes sur le plan psychologique. Les hommes qui traitent leur femme comme une boniche, puis les quittent pour des plus jeunes sont légion, me semble-t-il.
Ouuuuuuuuf...... légensontétranges vous vous aventurez sur un terrain glissant! Attendez vous à faire les frais de la colère de notre pitre leclerq d'un moment à l'autre :)
Bon courage ;)
@légensontétranges: Comment ça, violence psychologique...? A vous lire on dirait que tout à coup le divorce et l'adultère ne seraient plus un signe d'épanouissement et de libération, un droit? La modernité occidentale est en train de s'effondrer.
Mais…non, [légensontétranges] « ça » n’engage pas que moi ( !?) voyons.
En fait, « ça » représente plus de 37 associations internationales, plus de 10.000 hommes violés de leurs droits fondamentaux, spoliés de leurs enfants et de leurs patrimoines.
Et « ça » représente aussi les statistiques officielles des USA, du Québec, du Royaume Uni, et de France ; les seuls pays capables de mener des enquêtes scientifiques de qualités en non pas des enquêtes biaisées, connues de tous, ici, sauf de vous.
Il eut été préférable, dans ce débat, de poser des questions au lieu de polémiquer sur le sujet concerné.
À mon sens, les débats sont destinés à échanger des idées et des informations. Mais les polémiques sont stériles.
Primo, les chiffres publiés par les maisons d'hébergement sont tout à fait fictif puisque rien ne permet à qui que ce soit de les consulter, inclus les Agence de Santé qui les subventionnent. Non seulement les maisons d'hébergement logent-elles sous des adresses civiques clandestines, mais leurs agendas sont secrets sous prétexte de protéger l'identité des femmes hébergées. L'enquête du vérificateur général du Québec l'an dernier a démontré que plusieurs de ces maisons étaient souvent vides, alors qu'elles continuent de recevoir plein montant du gouvernement.
Donc, l'âge des pensionnaire...pffffttt!
Deuxio, toutes les campagnes de propagande de ces maisons prouvent , puisu'elles continuent de parler du nombre de victimes qui ne diminue pas, que tous les milliards$ investis ont été des fonds perdus...Bref, les campagens sont efficaces et on veut plus d'argent, ou alors le nombre de victimes ne diminue pas et cessons de subventionner un systême qui n'a aucune utilité.
Il sera très important que les hommes portent plainte à la police dès qu'ils sont victimes de violence psychologique ou verbale.
Toutes les enquêtes sérieuses à propos de violence conjugale montrent que ce sont les femmes qui sont les expertes de ce genre de violence. Les féministes victimaires de France ont gagné une loi qui sera, si les hommes la comprennent bien et l'utilisent, une hache à deux tranchants. (S) Un responsable d'une association québécoise d’aide aux hommes
Il est clair que si je n'aimais pas vivre dangereusement, je ne partagerais pas ma vie avec MA Reine des Chieuses à mes côtés...
Les violences morales sont différentes des conflits "normaux", critiques et reproches d'un couple "sain". Elles relèvent du pathologique car la victime est niée, humiliée, insultée jour après jour, sur tout ce qu'elle est, ce qu'elle croit, veut, fait, choisit, espère… Travail, relations , physique, sexualité, cuisine, famille, tout, y compris le sacré, est sali par le harceleur. C'est une déconstruction en profondeur, une perte d'identité progressive qui s'inscrit sur la durée, et fait entrer le couple dans une dimension pathologique puisque, à force, la victime accepte l'inacceptable, se perd soi-même et s'isole. Ce ne sont pas quelques mots durs, comme vous le dites en plaisantant. Le divorce devient, lui aussi "pathologique" et comporte beaucoup de stéréotypes que les magistrats, jusqu'ici, ne sont pas capables d'entendre ou ne veulent pas entendre en France. Vu le temps qu'un JAF passe sur un dossier de divorce, je crains que la loi ne change pas grand-chose… si ce n'est, esprons-le, d'ouvrir les yeux de certains, et de faire parler du harcèlement moral dans la sphère conjugale. Ce sera déjà ça. Mais il est vrai qu'apporter des preuves est extrêmement difficile et qu'on peut craindre que cette accusation ne devienne un phénomène de "mode" dangereux.Comme on pu l'être les fausses accusations d'attouchements sur les enfants par des mères qui donneraient presque honte d'être une femme !
(enfin, toutes les études montrent que les victimes sont dans la grande majorité des femmes… Je suis abasourdie qu'on prétende le contraire…)
@ Boo
hommelibre à écrit ça, tu l'oublie bien vite !!!!!
"Raaaahhhh.... Moi je crois que c'est l'amour fou entre Boo et Leclercq, pour s'envoyer autant de noms d'oiseaux qui font, d'évidence, un tremplin pour les débats.
Mais dites, les chouchous, pourriez pas une fois vous expliquer calmement sur vos différents en disant "Je" et non pas "Tu", ou en posant calmement vos désaccords? Parce que sinon je vais devoir tirer des oreilles..."
@ isa:
Vous écrivez: "(enfin, toutes les études montrent que les victimes sont dans la grande majorité des femmes… Je suis abasourdie qu'on prétende le contraire…)"
C'est une bonne chose d'être abasourdie, c'est le début de la prise de conscience de la vérité, une vérité qui dérange...
Toutes les études? Je n'en citerai qu'une parmi d'autres, celle parue dans lExpress en 2005:
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/famille/la-verite-sur-les-violences-conjugales_485479.html
A lire attentivement, et si besoin mettre des lunettes de soleil pour ne pas abimer votre rétine quand vos yeux s'ouvriront...
Les propos de CLVDP tonnent comme un éclair lumineux dans un ciel assombrie par l'obscurantisme idéologique du « politiquement correct ».
Bravo !
@ lesgensontetranges:
"Les hommes qui traitent leur femme comme une boniche, puis les quittent pour des plus jeunes sont légion, me semble-t-il." Je ne sais pas, avez-vous une statistique ou est-ce un préjugé dans l'air du temps?
Et au fait, combien de femmes traitent leur homme de nul, d'insatisfaisant, de trop ceci et pas assez cela?
@ Greg:
Si c'est votre reine, je m'incline...
Merci, Hermil LeBel :-)
Et merci aux autres...
Vous les femmes, ici présentes, si vous êtes mères… je souhaite que le ciel vous préserve des atrocités… que nous les hommes, pères de familles, subissons – en masse -- depuis plus de 30 ans… sans que l’on ne s’inquiète de notre sort, ni celui de nos enfants.
Et lorsque viendra votre tour… vous vous plaindrez aussi que personne ne s’inquiète de vous ni de vos enfants. Mais ça peut changer…
Sachez, qu’actuellement il y a de plus en plus de femmes qui sont privées (comme les hommes) de leurs enfants, et cela, en raison du retour du balancier et du mimétisme humain génétiquement programmé.
En effet, selon des observations récentes, il y aurait actuellement 60 % de pères et 40 % de mères privés de vivre avec leurs enfants et devant payer des pensions alimentaires lourdes à payer (plus d’1/3 de leurs revenus) voire impossibles à payer au risque de se retrouver à la rue.
Selon un constat général, il y a aussi de plus en plus de femmes à la rue, SDF. Il en est de même pour des ados de moins de 21 ans.
Nous arriverons donc à une égalité – 50/50 -- en non droits et en violations de droits fondamentaux (50/50) tant pour les femmes que pour les hommes. Sans oublier, bien sûr, les violations des Conventions sensées protéger les droits de l’Enfant.
Voilà, en ce début du XXIème siècle, où nous en sommes arrivés en nous faisant -- depuis plus de 30 ans (les années 70) -- une guerre d’idéologie et de genre selon que l’on soit femme ou bien homme, par des attitudes misandres et misogynes.
C’est un cadeau empoisonné qui est réservé aux enfants de demain. Honte aux égoïstes inconscientes qui ont transformé un idéal féminin en perversité féminine ayant comme finalité les privilèges et la domination sur l’homme.
Le sujet, ici, sur la violence conjugale, est très important à cerner. Il ne semble pas du tout appréhendé dans sa globalité par les responsables politiques et judicaires.
En effet, les décideurs politiques ne semblent pas se référer aux enquêtes officielles sur la question « Violence » alors que cette violence n’est pas que conjugale mais bien multiforme.
Il est grand temps de s’attaquer à la violence, mais il est malaisé de s’y prendre de cette manière là.
De plus les décideurs politiques semblent avoir fait le choix de ne se référer qu’aux campagnes médiatiques, axées sur les seuls faits de violences conjugales commis exclusivement par les hommes sans s’inquiéter de la réalité où les femmes sont autant violentes que les hommes. Sans s’inquiéter, non plus, que les femmes sont plus nombreuses à maltraiter les enfants.
Il semble aussi exister un manque de communication de la part du gouvernement.
Combien de temps faudra-t-il encore pour que ces décideurs soient conscients des réalités ?
Et comment se fait-il que la Justice soit encore incapable, à ce jour, de faire face à ses obligations ? Alors qu’il existe un aussi grand nombre d’associations de parents victimes des décisions judiciaires, après rupture conjugale ?
Comment se fait-il qu’autant de gens n’arrivent pas à s’inquiéter du fait que ça peut AUSSI leur arriver ?
Pour terminer, le fait de vouloir endiguer la violence psychologique (en la rendant illicite, par une loi) est la meilleure idée qui soit venue à l’esprit du Législateur.
Pour la bonne raison que toute forme de violence débute par le mental. Et, trop longtemps, l’on a ignoré le degré de gravité de la violence psychologique. En fait, elle fait bien plus de dégâts sur la santé que toutes les autres formes de violences, à part le meurtre.
Il est de plus en plus certain que la violence psychologique – trop longtemps négligée – est de la plus haute intensité sur l’échelle d’intensité. La violence psychologique devait se situer, sur l’échelle d’intensité, juste en dessous du meurtre.
En tant que citoyen, il est de notre devoir de réagir le mieux possible et autant que possible.
Dans Libération d'hier, un titre en première page exprime clairement contre qui cette loi est faite: "Une loi contre les maris qui harcèlent". La messe est dite.
Alors, aux hommes de l'utiliser pour se protéger des femmes violentes? Si on les croit. Il faudra clairement qu'ils enregistrent tout, aient des témoins, qu'ils développent une stratégie de défense, tant il est vrai qu'il en faut des tonnes pour qu'un homme soit entendu quand il n'en faut que des grammes pour qu'une femme soit entendue.
Et la judiciarisation de la vie privée continue. 1984 gagne du terrain.
Et à mon avis ce n'est pas une solution. L'éducation est une solution: apprendre à nos enfants, filles et garçons, à être respectés et à s'en aller dès qu'il y a injures ou gifles. C'est à ce compte que cela s'arrêtera.
Lord Acton, sur cette question je ne suis pas d'accord avec vous. L'éclatement de la famille et la perte de prégnance des valeurs familiales ne doivent pas être remplacés par la toute puissance de l'Etat. Aux individus de reprendre leur vie en main et de poser leurs limites. On les assiste tellement, on victimise tellement en donnant tant de valeur aux victimes, que cela ne motive plus à se défendre soi-même.
La judiciarisation de la vie privée est un fascisme rampant et une destruction progressive des capacités individuelles de survie et de vie.
perso je suis pour. je crois par les faits que la femme a vécu davantage l'oppression sur le plan social et sur le plan conjugal que l'homme. il y a certainement davantage de femmes battues que d'homme battus et de femme qu'on empêche de vivre que d'hommes qu'on empêche de vivre. dès que la femme a un enfant elle doit rentrer dans un moule ou elle est stigmatisée. les hommes ne vivent pas celà. tout le monde sait qu'un homme qui affiche ses conquêtes c'est normal, si c'est une femme c'est une salope. etc etc etc....
@ foix: la loi est discriminante et devra être sérieusement corrigée, ou alors on admet que les genres ne sont plus égaux devant la loi.
Voici un communiqué émanant du groupe d'étude sur les sexisme (France):
"Communiqué concernant la
« Proposition de loi renforçant la protection des victimes et la prévention
et la répression des violences faites aux femmes »,
adoptée par l’Assemblée nationale en première lecture le 25 février 2010
Le GES (Groupe d’études sur les sexismes) constate que la proposition de loi contient plusieurs dispositions discriminatoires en fonction du sexe :
- dans son intitulé, qui restreint son application au violences « faites aux femmes », et en exclut de fait les hommes victimes ;
- dans plusieurs de ses articles (10 bis A, 10 bis B, 11A, 13, 14, 14 bis) qui, selon les cas,
* comme l’intitulé, restreignent son application au violences « faites aux femmes »
* réservent le bénéfice de mesures de prévention ou de soutien aux « femmes », et en excluent de fait les hommes victimes ;
* réservent des possibilités d’intervention aux « associations de défense des droits des femmes », et en excluent de fait les associations de pères, les associations d’hommes victimes, les associations antisexistes, les associations masculines, etc.
Réaffirmant que les victimes des deux sexes ont droit au même titre à la considération et à la protection de la société, le GES proteste contre ce parti-pris.
Il demande aux parlementaires qui conduiront les lectures suivantes de procéder à la rectification de toutes les dispositions discriminatoires."
En ce qui concerne votre point de vue, avez-vous lu les études fouillées depuis 2005? La violence est bien plus partagée qu'on ne l'imagine dans les croyances populaires. Simplement les hommes se taisent. S'il est vrai que les blessures infligées aux femmes battues sont souvent plus sérieuses que celles infligées aux hommes battus. la proportion des agressions et de 40-60 en France selon l'Office National de la Délinquance, 50-59 au Canada, etc.
Quand aux violences psychologiques, objet de la nouvelle loi, elles sont largement réparties des deux côtés. Un homme empêché de vivre, contrôlé, surveillé? Assez fréquent.
Les femmes ont été exclues du corps social par le Code Napoléon, et c'était injuste. Il fallait corriger cela.
Quand au fait d'entrer dans un moule, cela concerne les hommes comme les femmes. L'homme qui se marie et devient père entre aussi dans un moule, l'aspect le plus fréquent de ce moule étant le rôle de pourvoyeur.
Le fait d'afficher ses conquêtes est-il si bien vu pour un homme? Faites l'essai autour de vous, vous verrez si les gens trouvent cela si formidable. Dans mon entourage cela ne passe pas vraiment bien. Et dans ce domaine la différence vient de ce que les femmes portaient les enfants. Mais aujourd'hui, nombre de femmes et de célébrités revendiquent des "scores" à faire pâlir la plupart des hommes.
Les idées reçues ne sont pas des faits.
c'est le sujet du moment.
http://www.lepost.fr/article/2010/02/03/1922338_il-faut-que-les-garcons-comprennent-qu-on-n-a-pas-le-droit-de-taper-une-fille.html
http://www.lepost.fr/article/2010/02/25/1959344_violences-conjugales-il-avait-bu-et-m-a-etranglee-jusqu-a-ce-que-je-perde-connaissance.html
ce forum n'a pas encore reçu de commentaire pertinent, il faudra que je prenne le temps de le faire comme dans les autres.
http://www.lepost.fr/article/2010/02/25/1959393_les-chiffres-sont-effroyables-la-violence-faite-aux-femmes-declaree-grande-cause-nationale-pour-l-annee-2010.html
Enfin... ça bouge !!! Allons-nous rattraper nos 50 ans de retard sur le Québec ?
Le GES (Groupe d’études sur les sexismes)fait un travail de Titan. Bravo ! Allez, les parents violés et spoliés, A L'ACTION !!!
"tout le monde sait qu'un homme qui affiche ses conquêtes c'est normal, si c'est une femme c'est une salope. etc etc etc...."
Encore un préjugé de plus... décidément (!?!)
Vivement la parution du livre quiébecois "300.000 femmes battues chaque année, l’avez-vous cru ?" +- vers le 15 mars :-)
"ce forum n'a pas encore reçu de commentaire pertinent, il faudra que je prenne le temps de le faire comme dans les autres."
Difficile de faire du copier/coller quand on est pas entouré par des échanges réalistes ou pas, pertinents ou pas, intelligents ou moins !! Pff...
(=-=)
@ Femmes…
Avec la parution de ce livre québécois "300.000 femmes battues chaque année, l’avez-vous cru ?" on aura encore plus de quoi copier/coller sur tout ce qui bouge !
Croyez-moi ! En l’achetant, vous aiderez cette association (sans but lucratif) à lutter contre ce génocide social.
Avis aux femmes telles que Loredana : Si vous avez des enfants, vous aurez froid dans le dos en lisant ce livre, car les femmes ne sont pas épargnées non plus, dans ce génocide social, où la justice familialiste est devenue incapable de faire face à ses responsabilités. Le tsunami SAP / PAS arrive en Europe. Tenez le vous pour dit. :-)
Il faudra que je dispose rapidement d'un exemplaire dès parution pour en parler ici.
Je me permet de dédier ce poème à Henri.
Papa d'un petit bout de chou qu'il ne voit grandir.
Sali par une femme n'ayant plus besoin de lui,car elle est jeune, belle et séjourne légalement en Suisse grâce à lui...lui, de trop dans sa vie maintenant.
J'espère simplement que Henri ne lâche pas prise, noyé par trop de larmes...
Mireille,
Votre mot me fait penser à Philippe, dans le même cas que Henri, et qui en plus est l'objet d'une fausse accusation. Je n'ai plus de nouvelles de lui depuis 4 mois, et j'ai des craintes pour lui.
Je pense aussi à d'autres dans des situations proches.
Toutes les injustices concernant les hommes et les femmes doivent être combattues ensemble.
Mireille, votre mot me fait penser – AUSSI -- à des milliers de pères (et depuis +- 3 ans, aussi de mères, mais en moindre nombre) qui sont dans le même cas que Henri, et qui plus est… font -- TOUS et TOUTES -- l'objet de fausses accusations tolérées par la justice. Une justice arbitraire qui se base sur des mensonges.
Oui, il est grand temps que toutes les injustices concernant les hommes et les femmes soient combattues ensemble.
@hommelibre , CLVDP,
Oui il est temps de réagir...
surtout lorsque les accusations reposent sur les seules paroles de la mère (du père dans certains cas, mais je crois plus rares) et lorsque l'enfant ne porte aucune trace de violence et n'accuse jamais...
Lorsque la situation DEVRAIT éveiller l'attention de la justice (personne d'origine étrangère bénéficiant d'un titre de séjour par mariage, trop grande différence d'âge etc...)une enquête très sérieuse devrait être menée.
Citée comme témoin à décharge dans un cas d'accusation de viol sur une enfant, j'ai été choquée de constater que le psy chargé d'enquêter et "témoin à charge" n'a pas hésité à mentir devant le juge, prétendant avoir eu un entretien de 45 minutes avec moi alors que je n'avais eu qu'un bref contact téléphonique avec son assistant!
Aujourd'hui, la petite est ado.
Et culpabilise gravement, se sentant coupable du sort de l'homme accusé alors, qu'elle voyait comme son "pépé".
Condamné à 3 ans 1/2 de prison ferme et expulsion de la Suisse- les accusations portaient (selon les dires exclusifs de la mère) sur: sodomie, pénétration, violences.
Les rapports médicaux n'avaient rien constatés de semblable. La petite, âgée de 6 ans 1/2 à l'époque, n'avait jamais accusé cet homme, si ce n'est "de lui avoir donné une claque sur les fesses parce qu'elle sautait sur le lit".
La réalité sordide est que la mère n'avait pas accepté un reproche de cet homme au sujet des amants qu'elle ramenaient à la maison alors que sa fille était présente.(il lui avait conseillé d'aller à l'hôtel plutôt que de recevoir des hommes chez elle)
Malheureusement, certains vrais abuseurs s'en sortent, d'autres, accusés abusivement, voient leur vie détruite.
Car on ne se remet pas d'une telle accusation. Le regard de la société n'oublie pas.
Une nouvelle loi s'applique dès aujourd'hui en France: tout justiciable peut soumettre une loi au Conseil Constitutionnel pour demander un examen de sa conformité constitutionnelle.
Des avocat l'utilisent dès aujourd'hui sur la garde à vue:
http://fr.news.yahoo.com/4/20100301/tts-france-justice-garde-vue-ca02f96.html
Il faut que des français utilisent cette disposition contre la lois sur les violences psychologiques. Comme elle est annoncée pour protéger les femmes contre les hommes, elle établit deux catégories de citoyens, les hommes et les femmes n'étant plus égaux devant la loi.
A vous de jouer, les correspondants français.
Oui, Mireille Luiset, des exemples de votre témoignage, c'est par millions qu'il y en a... c’est pour alimenter la machine à Broyer les hommes, au profit d'une Industrie du "Divorce conflictuel"... jusqu’où ça ira ?
Et depuis quelques années, en Europe, de plus en plus de femmes passent par la même machine à Broyer. Sans oublier les enfants qui trinquent… jusqu’où ça ira ?
Des millions de citoyens, de par le monde civilisé, dénoncent et dénoncent encore depuis des décennies... jusqu’où ça ira ?
Aujourd’hui, en France, en raison d’une campagne contre la violence conjugale, basée sur des affirmations biaisées, des lois vont détruire encore plus des familles… jusqu’où ça ira ?
J’ai froid dans le dos de savoir que les femmes, dès aujourd’hui, ont plus de pouvoir (cette nouvelle loi sur la violence psychologique) et elles ont plus d’argent qui s'offre à elles (toutes les aides sociales et les majorations monétaires liées à la monoparentalité + les allocations familiales majorées + les rentes alimentaires). Avez-vous aussi remarqué que la « Justice » est basée sur deux choses : Le Pouvoir et l’Argent. Dès lors que vous possédez les deux, rien ne peut vous arriver… jusqu’où ça ira ?
UN LIVRE-CHOC QUI DÉNONCE LE FÉMINISME QUÉBÉCOIS DÉVIANT…lequel frappe l’Europe depuis plusieurs années.
Je suis heureuse de vous annoncer la parution du livre « 300 000 FEMMES BATTUES Y AVEZ-VOUS CRU? » paru aux éditions Café Crème. Nous aurons un lancement à Montréal dans les prochaines semaines. Vous serez mis au courant de la date.
Nous sommes 7 co-auteurs, donc 7 chapitres. Un chapitre qui ne lassera personne indifférent, c’est celui de Jean-Pierre Gagnon et Jean Claude Boucher, sur le délire des chiffres et leur métamorphose, falsification sans plus. Une décennie plus tard, l’inventrice de ces chiffres diaboliques, admet qu’ils n’avaient aucune valeur scientifique. Nous vous démontrons comment ces chiffres ont atteint notre société.
Dans mon chapitre vous y trouverez bien des sujets qui vous intéresseront, ma perception d’un certain féministe, et que voulons-nous aujourd’hui des hommes? Dévalorisation et la négation du droit des pères; L’ADN des pères fraudés, l’autonomie vs la pension alimentaire à vie, pour vous donner que ces quelques titres.
Vous pourrez vous procurer ce livre-choc dans toutes les bonnes librairies dans les prochains jours ou en le commandant à partir des liens suivants :
Au Québec
http://www.renaud-bray.com/Livres_Produit.aspx?id=1070933&def=300000+femmes+battues%2cCOLLECTIF%2c9782923644196
http://www.archambault.ca/qmi/search/ExtendedSearchResults.jsp?searchType=ALL&searchType=ALL&erpId=ACH&searchMode=simple&searchInput=300000+FEMMES+BATTUES
En Europe
www.librairieduquebec.fr
direction@librairieduquebec.fr
+33 1 43 54 49 02 •
BONNE LECTURE!
(s) Lise Bilodeau
Le livre est sorti en librairie « 300 000 FEMMES BATTUES Y AVEZ-VOUS CRU? » et paru aux éditions Café Crème.
Auteurs : Collectif Cible Grand public - Format : 352 pages, 6 po x 9 po (couverture souple) Prix : 24 ,95 $ - ISBN : 978-2-923644-19-6
LES AUTEURS, solidement documentés, François Brooks, Georges Dupuy, Jean-Claude Boucher, Jean-Pierre Gagnon, Lise Bilodeau, Bob Lérétik et Jean-Philippe Trottier sont parvenus à vous livrer des messages musclés. Une lecture dérangeante...
Le Québec est à l'avant-garde mondiale d'un mouvement qui a transformé la base de notre tissu social. Plus rien ne subsiste de ce qui jadis constituait la structure de la famille. De toute l'histoire de l'humanité, jamais une société n'a traversé une si profonde mutation en si peu de temps. Un groupe d'auteurs analysent cette « réussite » et osent en dévoiler les dessous tabous.
DES FAITS TROUBLANTS
• La famille est étatisée. De la naissance à la mort, toutes les étapes de la vie ont été confisquées par l'État. En droit conjugal, au Québec, la femme jouit d'une immunité judiciaire alors que la présomption d'innocence ne s'applique pas à l'homme.
• La condition masculine et les écueils du féminisme sont des sujets tabous dans la quasi totalité de nos médias. Plusieurs journalistes ont été lynchés pour avoir osé en parler.
• Le féminisme s'est transformé en une idéologie agressivement angélique qui récupère inconsciemment l'innocence toute-puissante de la Vierge Marie du catholicisme d'antan.
• Le gouvernement du Québec a propagé de fausses statistiques, dégageant des sommes colossales pour aider des femmes battues inexistantes en diabolisant l'homme québécois.
• La majorité des diplômés universitaires sont des femmes. Aucun moyen d'équilibrer cette inégalité n'est entrepris. Pire, on prétend que ce « progrès » doit continuer à s'accentuer alors que d'ici 2012, le Québec fera face à la plus grave crise démographique de son histoire avec 700 000 postes à combler.
Vous allez découvrir une autre vision de la réalité sur la domination… autre que masculine.
Bonne lecture
(s) Michel Willekens
la réalité de la violence féminine.
http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/la-violence-feminine-partie-ii-75915