Les enquêteurs sont sous le choc. Dans une récente enquête, « Un homme en couple sur cinq confie avoir été victime d’une forme de violence conjugale, depuis le début de la pandémie. »
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Les enquêteurs sont sous le choc. Dans une récente enquête, « Un homme en couple sur cinq confie avoir été victime d’une forme de violence conjugale, depuis le début de la pandémie. »
On ne sait plus à quel saint se vouer. C’est le monde à l’envers. Vous avez peut-être déjà lu le slogan « On te croit » sur des pancartes de féministes. Celles-ci donnent leur soutien a priori, sans enquête ni procès, aux femmes qui accusent un homme de violences sexuelles ou conjugale.
Les hommes sont plus violents que les femmes. Ce constat malheureux devrait nous rappeler qu’hommes et femmes ne sont pas égaux. Les différences physiques sont un élément majeur de la violence de couple.
Hier un ami me demandait pourquoi, dans mon dernier billet, donner tant d’importance à un fait anecdotique, soit à cette touriste australienne empêchée d’allaiter en plein air à Disneyland.
Le Grenelle des violences conjugales s’annonce fou, fou, fou! Première folie: la généralisation. Dans la presse écrite, sur les plateaux de télé, tout le monde dit: les femmes. Pas des femmes, mais les femmes, donc toutes les femmes.
Une fake news récurrente est parue dans Le Matin en ligne. Le journal cite Me Lorella Bertani. L’avocate féministe genevoise semble sûre d’elle: « La violence conjugale tue plus de femmes que le tabac, l’alcool et la route ». Vérification.
Le chiffre est choquant. Pourtant il émane des services de l’État. Comment est-ce possible? 43 % de victimes masculines dans les années 2000, et 51% en Écosse à la même période? Le stéréotype veut que les hommes ne se plaignent pas, et ils sont de toutes façons plus forts (en moyenne).
Le président aborde son discours avec solennité. Il dit que la honte doit changer de camp. Il dit même que c’est une honte nationale. Puis il égrène quelques prénoms: Sophie, Anna, Emilie, Fatima, mortes comme 120 autres.
Une étude dévoile ce jour en France certaines caractéristiques des victimes et des auteurs de violences domestiques. Auteurs s’entend ici au féminin comme au masculin. Voyons ce que disent les enquêtes de victimisation.
De nouveaux chiffres en Suisse le démontrent. Les hommes ne sont pas auteurs de 98% des violences domestiques, comme le prétendent les associations féministes. Ils sont aussi victimes. Dans des proportions très importantes depuis des années.
« Quand j’écoutais les réponses j’étais intérieurement terrorisée qu’on était rendus collectivement à penser ça de nos maris, à penser que les hommes de nos vies sont tous violents. ( … ) Comment il se fait que collectivement nous pensions ça ? »
Dans la vidéo qui accompagne le précédent billet quelques passages méritent d’être gravés dans le marbre. Telle cette déclaration ci-dessus, exprimée par la journaliste que l’on voit au début réaliser un micro-trottoir.
Selon la vidéo du site de l’Etat à Genève, 38 % des femmes et 25 % des hommes seraient victimes de violence domestique au cours de leur vie. Ces chiffres sont impressionnants. 1/4 des hommes et 2/5 des femmes, cela tient de l’épidémie massive. Cependant un petit calcul montre une réalité très différente derrière l’effet d’annonce.
Ce pourrait être le jeu des sept erreurs. Chacun fera son propre calcul. Il suffit de comparer les images. On constate les différences entre la réalité et la pub. La publicité raconte ce qu’elle veut. Y compris la pub sur les femmes battues. Elle n’est surtout pas réaliste, elle ne présente pas une information objective: elle doit faire croire à ce qu’elle montre.
Les autorités genevoises ont fait connaître de nouvelles statistiques concernant la violence domestique. Elle sont présentées en hausse pour 2013, après quatre années de baisse. Les chiffres ont été publiés hier par la Tribune de Genève.
En sortant avec force du cadre privé cette affaire devient un sujet de dissertation. Selon un autre angle d’analyse il s'agit typiquement de violence conjugale. Le dénigrement, le rabaissement commis par la Trierweiler est une violence psychologique, aggravée par sa large médiatisation. Jeter en pâture la vie intime de son ex-compagnon, quel qu’ait été son comportement, est un viol moral.
- Mais non!
- Mais si!
- Tu exagères.
- Du tout.
- Je ne te crois pas.
- Je m’en fiche.
Un des piliers du projet de loi en discussion en France (voir ici) est l’amende qu’un juge pourra infliger en cas de non-présentation d’enfant. Le montant sera adapté aux circonstances. Le plafond est fixé à 10’000 euros.
Depuis aujourd’hui les députés français étudient un nouveau projet de loi sur la famille. Un projet presque miraculeux après les folies du genre et du mariage gay. Le moins que l’on puisse dire est que la majorité socialiste semble revenue à la raison. Mais les attaques des réactionnaires radicales-féministes permettront-elles la mise en place d’une loi bienveillante?
En conclusion temporaire, je propose deux pistes pour contrer la mise en accusation systémique des hommes. La première piste assimile le féminisme à un système de penser binaire proche de la pathologie par la disproportion de la posture victimaire en regard des correctifs sociaux légitimes. La colère de ces femmes et de ceux qui, comme les LGBT, se soumettent à leur idéologie, peut davantage être assimilée à celle des Gorgones, êtres malfaisants de la mythologie grecque.
J’ai déjà parlé ici des Antigones qui s’opposaient à la vulgarité et au délire des Femen. J’ai même soutenu. Et aujourd’hui, horreur, malheur... En mal de visibilité elles ont fait un petit happening dans les sous-sols des Halles à Paris.