Loana, triste héroïne de la téléréalité, est-elle une femme battue? Cela expliquerait-il ses troubles et tentatives de suicides? Son histoire est pathétique: croire qu’il suffit d’avoir quelques parcelles de lumière sur soi, de faire l’amour dans une piscine, pour avoir une notoriété durable et donner un sens à sa vie.
Mais revenons sur les déclarations récentes de Loana:
«Loana dit avoir été séquestrée pendant un an et demi par un homme qui la battait. D'après l'ex-lofteuse, l'homme pourrait bientôt être incarcéré...
Difficile de ne pas avoir de peine pour Loana. Après sa surprenante provocation à France Inter - où elle a montré ses seins à Nicolas Rey, l'ex-lofteuse passe aux confessions-choc mais laisse toujours transparaître une authentique détresse. C'est ce soir, dans 50 Minutes Inside, sur TF1, que Loana explique les raisons qui, selon elle, l'ont éloignée des médias pendant trois ans. Elle aurait été séquestrée et maltraitée physiquement par un homme...
D'abord, une incohérence... A une première question de la journaliste de 50 Minutes Inside, Loana répond "J'ai été enfermée pendant trois ans." Puis, elle poursuit son récit, mais en divisant par deux sa période de réclusion à domicile... "Je ne suis pas sortie de chez moi pendant un an et demi. Et j'ai été battue... J'ai pas pris l'ascenseur. Je ne suis pas sortie de chez moi pendant plus de un an et demi. On m'a interdit tout.»
Cette déclaration date de cette année. Son ex-compagnon a été condamné en décembre à 3 mois de prison avec sursis uniquement sur les affirmations de Loana. Mais voyons s’il y a moyen de vérifier ce qu’elle dit: «Je ne suis pas sortie de chez moi pendant un an et demi. Et j'ai été battue... J'ai pas pris l'ascenseur. Je ne suis pas sortie de chez moi pendant plus de un an et demi. On m'a interdit tout.» Elle serait donc restée cloîtrée chez elle de mi 2008 à fin 2009.
C’est faux. La preuve:
1. 27 avril 2009:
Loana devant les objectifs le week-end dernier.
La chanteuse, ex-candidate de l'émission "Loft Story", a fait le déplacement à l'occasion du Festival Jules Verne.
2. 18 mai 2009:
Une Loana fatiguée au festival de Cannes.
Publié le 18 mai 2009 à 16h48
3. 2 avril 2009:
Invitée de la matinale de Cauet sur Virgin Radio, Loana s’est pointée dans un état second. Cauet témoigne.
...
Il paraît qu’on a dû la soutenir pour son entrée sur le plateau.
J’ai pas vu mais on me l’a raconté. En fait, les invités rentrent toujours sous les applaudissements. Mais quand on a vu qu’elle n’allait pas bien, on a décidé de la faire asseoir pendant la pub. Elle n’avait pas l’air en forme.
Propos recueillis par Christophe Carron
Jeudi 02 Avr 2009 - 14:43
Pas un mot sur une quelconque trace de coup, alors que Loana est presque toujours habillée bras nus et grands décolletés.
Voilà donc trois cas où Loana est sortie de chez elle, sans compagnon. On peut ajouter la tentative de suicide de juillet 2009, où elle a été hospitalisée. Si des médecins avaient vu des traces de coups l’affaire aurait été plus loin. Elle avait les moyens de parler. Et surtout elle n’a pas été cloîtrée.
Loana ment. Et la «Justice» n’a visiblement fait aucune investigation, aucune analyse du dossier, aucune instruction réelle. Cette «Justice» n’est plus que le bras agissant du féminisme.
Pour Loana par contre, on sait, suite à sa toute récente tentative de suicide, qu’elle prend un traitement pour les troubles bipolaires. C’est son agent qui l’a révélé: «Elle suit un traitement pour les gens bipolaires pour stabiliser sa dépression et dès qu'elle l'arrête, elle sombre.» Son rapport à la réalité est donc particulièrement perturbé. Soit elle invente de bonne foi mais ce qu’elle dit est faux, soit elle pense plus valorisant de se faire passer pour une victime que pour la malade qu’elle est.
Et pendant ce temps, son compagnon a été condamné.
Cherchez l’erreur...
Pour autant l’état de Loana est certainement dramatique, et elle pourrait bien un jour arriver à se suicider. Quoi que l’on pense d’elle, il n’y a pas à en sourire et cela reste un drame.
Dommage qu’elle ait menti et envoyé son ex en prison. Son drame prend un parfum quelque peu nauséabond.
Et à force de campagnes exagérées et mensongères soutenues par des féministes, la violence conjugale est bien devenue une stratégie payante.
PS: La violence politique aussi semble payante: Max Göldi, otage suisse en Libye, en est malgré lui l’enjeu.
Commentaires
A propos de violence conjugale, John, j'ai un vague pressentiment. Nous vivons une époque basée sur le tout matérialisme. La femme s'est libérée non seulement de la tutelle de l'homme. Elle s'est aussi libérer du devoir d'aimer pour acquérir à la place le droit "d'aimer" qui elle veut quand bon lui semble. Hors, le droit d'aimer c'est aussi le droit de baiser (dans tous les sens du terme). Et je me demande sincèrement si nous les hommes ne devenons pas de plus en plus les dindons de la farce, je voulais écrire les dindons de la garce mais j'ai peur d'être attaqué et bouffé tout cru par des com féministes. Réfléchissons. Si vous étiez une jeune femme sûr de ses charmes et de ses atouts, libérée de ses "devoirs conjugaux" grâce à une société qui lui a fait la part belle, le choix de la grande indépendance de son corps et de son esprit, ne seriez-vous pas franchement tenter par faire des hommes de simples objets de consommation, puis rapidement de simples objets bancaires payeurs de pensions alimentaires qui alimenteraient votre revenu et celui de votre nouveau partenaire (car trois salaires dans la marmite valent mieux que deux tu l'auras)? Franchement, sans parano, ça fait peur pour nous les hommes qui aimons la vie, les enfants, la famille. Peut-être si nous idolâtrions un peu moins la garce, style Loana, et aurions plus d'amabilité pour la femme aimante et aimable qui protège sa famille et sa fidélité au couple, sans raillerie ni harcèlement des hommes, sans dénigrement systématique des féministes, nous ne serions pas en train de nous rejeter à chaque fois la faute mutuellement. Les hommes comme les femmes méritent mieux que ça. Et surtout méritent que l'on ne les prenne pas pour des objets de plaisir mais pour des êtres doués de plaisir, de sensualité, de communication saine et franche, de recherche de la communion, d'amour en un mot. On est loin du thème, je crois, avec Loana qui n'a fait que tricher toute sa vie pour arriver là où elle est aujourd'hui. Loana, ma chérie, il est grand temps que tu t'aventures sur le chemin de l'amour et non plus de la manipulation. En ces jours de résurrection, nous attendons la tienne...
Quelle tronche elle a maintenant ! Méconnaissable! Je pense plutôt qu’elle a une tendance à la schizophrénie due (peut-être) à des usages de drogues / médicaments / alcools. Ne croyez-vous pas ?
N’y a-t-il pas eu une expertise psychologique ? Qu’est-ce qu’elle risque si le gars parvient à prouver qu’elle a menti ? Perverse narcissique ?
Lu sur un blog de la TDG :
'If you do that, I'll have to charge you with Sexual assault,' says the woman.
'But I haven't even touched you,' says the game warden.
'That's true, but you have all the equipment. For all I know you could start at any moment.'
MORALE : Elles n'en n'ont guère.
URL :
http://regardsdefemmesmusulmanes.blog.tdg.ch/archive/2010/04/01/never-argue-with-a-woman.html
@pachakmac
Je partage votre commentaire. Quant à moi, depuis belle lurette, j’entends toujours ces femmes (de la quarantaine) dire : « je fais ce que je veux »… « Je décide comme je veux »…
Alors que selon l’éducation de mon temps, nous disions (tant les femmes que les hommes) « je fais ce que je peux » … « je décide comme je peux »… Le mot « peux » étant pris dans tous les sens du terme, surtout à l’inverse de l’impossibilité et de l’impuissance à s’exécuter pour quelque chose. Je me souviens que ma maman disait parfois « La plus belle femme du monde ne peut donner que ce qu’elle a » ou quelque chose de ce genre.
Ouaip!
"When patterns are broken, new worlds emerge". Malheureusement, là, le pattern n'est pas broké. Au contraire, il est alimenté.
Pour le nouveau monde, il faudra revenir demain, ou après-demain...
@ Arthur:
Je ne suis pas compétent pour définir sa pathologie exacte. Mais il lui faudra bien de l'aide pour s'en sortir. Quand à son ex, bonne chance pour lui, on sait que l'engrenage judiciaire dans ces cas peut être une forme de terrorisme moral.
Je connais des femmes qui ne travaillent pas (en chômage) et qui perçoivent 4 ou 5 pensions alimentaires de 4 ou 5 pères différents. Calculez: 250 € x 5 = 1.250 € de rentes de situations.
Sans compter les frais extraordinaires qu’elles peuvent réclamer de temps à autres : 6.000 € !!
C’est bien plus que des congés payés et des primes de fin d’années réunis. Cela s’appelle de la prostitution douce. Oui, nous les hommes nous sommes bien mal barrés avec ce genre de femmes vénales. Mais comment le savoir avant de commencer une relation ? Surtout que les plus futées étudient comment prendre un gars dans ses filets !!!
Il suffit de voir la chute du nombre de mariages. Et d’autre part, avec le danger qui nous guette, par le fait que nous ne sommes pas à l’abri de femmes qui pourraient déposer plainte contre nous, par vengeance… après une rupture… et que l’on perdrait son job / son entreprise… par la passage obligé de la prison… C’est vraiment stressant ! Ça tue l’amour que l’on pourrait avoir pour une femme.
Car, toute femme qui porte plainte contre un gars… pour violence conjugale / viol… elle ne va quand même pas nous dire qu’elle ne l’a pas aimé cet homme violent / violeur… à la passion !!!
La question revient sans cesse : comment se fait-il que la justice se base toujours sur la parole de la femme et ne tient pas compte de la parole de l’homme ?
Que dirait la justice si un homme déposait plainte contre son ex pour l’avoir séquestré durant 3 ans (ou 1 an ½ ?) ? Et pour l’avoir battu durant 3 ans ?
On visionne très bien les choix des clichés présentés par les féministes sexistes, misandres.
Pas de pitié pour les demi-mondaines !
@ Leroy
"Je connais des femmes qui ne travaillent pas (en chômage) et qui perçoivent 4 ou 5 pensions alimentaires de 4 ou 5 pères différents. "
Ah ben... rien que ça... ahahahahahahhahahah!!!
Il suffit de voir la chute du nombre de mariages. Et d’autre part, avec le danger qui nous guette, par le fait que nous ne sommes pas à l’abri de femmes qui pourraient déposer plainte contre nous, par vengeance… après une rupture… et que l’on perdrait son job / son entreprise… par la passage obligé de la prison… C’est vraiment stressant ! Ça tue l’amour que l’on pourrait avoir pour une femme.
Ca va niveau paranoia ça se passe comment?!! Faut devenir homo mon petit père vous aurez pas ces problèmes :)
"Je vais me marier" dit-il à son copain d'enfance. Et son copain lui demande:
"Ah oui? Et contre qui?".
J'ai pigé! C'est un poisson d'avril tardif, et Leroy Arthur est en fait la gonzesse à Leclercq.
Vous êtes démasqués ;-)
:-B
@Pachakamac
"Si vous étiez une jeune femme sûr de ses charmes et de ses atouts, libérée de ses "devoirs conjugaux" grâce à une société qui lui a fait la part belle, le choix de la grande indépendance de son corps et de son esprit, ne seriez-vous pas franchement tenter par faire des hommes de simples objets de consommation, puis rapidement de simples objets bancaires payeurs de pensions alimentaires qui alimenteraient votre revenu et celui de votre nouveau partenaire"
Vous êtes en principe plus modéré dans vos propos. La paranoïa ambiante vous gagnerait-elle?
La vie d'une femme n'est pas statique comme vous semblez le croire, son temps ne s'arrête pas à celui de "jeune femme". Celle que vous décrivez me semble irréelle, un pure fantasme.
@hommelibre
Ca fait un peu flicaillon votre billet, mais ceci n'engage qu moi...
:-B
Non Pascale, ce n'est pas un poisson d'avril tardif mais bien une blague pascale.
Alors, bonnes fêtes de Pâque / Pâques, à l'équipe d'HL et à ses fidèles lectrices et lecteurs. :-)
Pascale, j'assume: je fais ici le boulot que la justice et la police n'ont pas fait: VE-RI-FIER. Ils en avaient les moyens, mais la loyauté parasite qui s'est installée envers les femmes qui se présentent comme victimes fonctionne. Sans dire que toute les femmes sont devenues dangereuses pour les hommes (vous savez que ce n'est pas mon point de vue) des histoires comme celles-ci montrent que la méfiance des hommes n'est pas une simple paranoïa.
Je ne crois pas que les hommes qui s'expriment sur ces sujets sont forcément parano. Ils se demandent simplement: qui sera le prochain dans cette loterie où quelques pourcents des femmes foutent en l'air la vie d'hommes sans état d'âme.
Des hommes foutent aussi en l'air la vie de femme. Mais là on parle du cas des hommes cibles d'accusations non vérifiées.
Cela dit pour ma part je ne généralise pas: les femmes dans leur majorité ont envie de partager sur la durée dans une relation fiable.
Vous savez Pascale, flicaillon ne me dérange pas. J'enseigne depuis des années à mes étudiants de vérifier. J'y travaille pour moi-même. Ce n'est pas toujours possible, mais il faut tenter de le faire autant que possible, ou au moins se poser les bonnes questions, surtout quand l'émotionnel est autant sollicité.
Car c'est quand-même spectaculaire cette histoire: Loana affirme avoir été cloîtrée, et le flip collectif sur la femme battue est tel aujourd'hui, on en voit partout, qu'on n'ose plus vérifier. Alors qu'une simple recherche sur le net me permet de démontrer le mensonge. C'est plus que surréaliste. C'est déraisonnable. Et pourtant ça marche, et un mec s'est fait condamner sur de telles affirmations si facilement démontables. Un mec qui a certes le sursis, mais qui est vu socialement comme un salaud, un cogneur, pas loin du violeur, et que tous ceux qui les connaissaient voient aujourd'hui comme cela.
C'est un système qui s'est mis en place, cultivé, alimenté, systématiquement exagéré, qui rapporte, qui casse, qui tue moralement quand il ne pousse pas au suicide.
Alors je veux bien être flicaillon quand je vois cela et quand je vois que ceux qui sont payés pour vérifier ne le font pas et sont devenu des amplificateurs sans cervelle.
Si la justice faisait son travail je n'aurais pas besoin d'être un flicaillon.
Oups... sorry pour les fautes... je vais corriger.
Bon d'accord, mais franchement, s'il y a des cas qui valent la peine d'être mentionnés, celui de Loana... Elle a toujours semblé être opportuniste et à la rue et être entourée de personnes du genre. Je trouve tout cela très peu étonnant donc. Et je m'étonne par contre du fait qu'un type puisse être surpris de se retrouver dans la mouise en frayant avec une donzelle pareille...
Joyeuses Pâques ;-)
:-B
Au Québec, les gars n'osent même plus draguer les filles ! Un livre récent vient de sortir.
D'autre part, si on se fait insulter en tant que Journaliste d'investigations ou reporter ou auteur de recherches, des mépris et des insultes proviennent toujours de la part de féministes sexistes, misandres, sans jamais vouloir répondre sur le fond des sujets et sans jamais citer leurs sources.
Vous savez Pascale, "flicaillon" ça me choque. Pour moi, par vos mépris et insultes, vous n'êtes plus du tout crédible . Dès aujourd'hui je vous boy cotte.
Pascale, l'intérêt de ce cas est qu'elle est connue et que ses affirmations peuvent être démontées.
Il y a peut-être un autre message à souligner: quand un homme a le sentiment, la simple impression, ou constate que son amie pète un plomb, est dépressive chronique, borderline, bipolaire, en fait beaucoup, pique des colères sans raison apparente, etc, il devrait peut-être faire très vite ses valises... après avoir pris la précaution de garder tout ce qui pourrait le disculper et si besoin enregistrer des propos de la dame qui valorisent le couple. Surtout, il ne doit rien jeter: lettres, photos, petits mots, et faire déjà une liste de témoins au cas où...
La parano a parfois des raisons d'être...