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Ça y est, c’est la fin du féminisme!

Le Nicaragua vient d’adopter une loi qui, sous une intention en apparence louable commence à sonner le glas de l’égalité. Ce pays n’est pas le seul dans ce cas: plusieurs autres pays d’Amérique latine font ou ont fait de même. Et cela pourrait venir en France.

Fem-3.gifVoici le temps des lois de genre

Il s’agit de la loi instaurant un délit de «féminicide», soit le fait de tuer une femme «par des personnes qui sont ou ont été liées à la femme par le sang, le mariage ou les conjoints et ex-conjoints, partenaires et ex-partenaires, entre autres.»

Cela signifie que le meurtre conjugal contre une femme est différent que le meurtre conjugal contre un homme, ou même que tout meurtre d’homme. Il est plus grave de tuer une femme avec laquelle on est ou a été lié, qu’un homme avec lequel on est ou a été lié. Il n’est nulle part question des hommes tués.

En clair, l’homme vaut juridiquement moins que la femme. On est passé ouvertement et légalement à un système de discrimination. On a quitté le mauvais coup Code Napoléon, qui avait mis les femmes mariées en tutelle, pour en arriver à des lois de genre! On est dans une société de plus en plus genrée et discriminante. Cherchez l’erreur...

On peut comprendre qu’il y ait des graduations dans l’appréciation des crimes et dans la sanction qui leur est appliquée. L’homicide involontaire est moins sanctionné que le meurtre, le meurtre que l’assassinat (qui suppose préméditation). La notion de cruauté ou de barbarie aggrave encore l’appréciation du délit.

Mais ces nuances sont applicables de manière égale quel-le-s qu’en soient les auteur-e-s. Dans cette nouvelle loi l’appartenance à un genre déséquilibre l’appréciation du délit.

 

La fin de l'égalité...Fem-1.jpg

Ce qui se passe est que sous l’influence du féminisme la loi devient genrée. Et aucune féministe ne s’oppose à cette disposition. Il semblait que le féminisme voulait l’égalité et la diminution des stéréotypes de genres. On constate clairement que ce n’est pas le cas. La revendication d’égalité n’a plus de sens. Cette idéologie administre la preuve qu’elle est anti-démocratique et anti-hommes.

Il faut bien prendre la mesure de la gravité de ce qui se joue là. Cela n’a l’air de rien en apparence. On se dit: «Oh, ce n’est que quelques hommes qui sont visés, cela ne touche pas l’ensemble de la société». Détrompons-nous. Une brèche s’ouvre dans l’esprit même des lois, censées être gardiennes des valeurs. La justice est pervertie et l’égalité bafouée. Les hommes et les femmes ne sont plus égaux. C’est la fin de l’égalité parce que, à crime égal, la notion de genre l’emporte.

Il n’y a qu’une catégorie de personnes qui justifie une telle différence de traitement: les enfants et les mineurs en général (hors handicap ou autre type de dépendance). Ce qui est normal vu leur statut juridique différent et leur dépendance à l’égard des adultes. Cette loi sur le féminicide signifie donc que les femmes ne sont juridiquement pas égales aux hommes - comme les enfants.

Imaginons qu’une loi contre le racisme stipule que celui-ci serait plus grave s’il s’agit d’africains que d’asiatiques. Ce serait une aberration juridique, culturelle, morale, sociale. Et bien nous sommes entrés dans l’aberration. C’est fait. Nous ne sommes plus dans le principe d’égalité.

L’égalité, la démocratie et la société de liberté s’achèvent sous les coups de boutoir du féminisme. Les hommes et les femmes ne sont désormais plus liés par un contrat juridique et moral d’égalité ou de réciprocité. On peut donc penser que c’est chacun pour soi, et que celui qui empoche le plus a raison hors de toute considération juridique ou morale. La sauvagerie va se déchaîner un peu plus et le couple, déjà en lambeaux, n’aura plus qu’un seul avenir: la soumission des hommes à la justice féministe. Ce qui est totalement exclu.



Fem-4.jpg.. et du féminisme

Et les féministes adeptes des théories gender, où sont-elles? On ne les entend pas. Elles devraient pourtant se lever et donner de la voix contre ce genrisme qui gagne la société. Non. Elles se taisent. Elles ne semblent pas concernées.

On est pourtant ici à un tournant crucial du féminisme: soit on amplifie le genrisme dans tous les domaines, y compris juridique, et le discours contre le patriarcat et ses stéréotypes de genre n’a plus aucun sens. Soit on rejette tout genrisme. Les féministes ne peuvent pas indéfiniment jouer sur tous les tableaux.

Quoi qu’il en soit le patriarcat ne pourra désormais plus servir de prétexte à jouer les victimes puisque le féminisme est clairement une idéologie prédatrice. On peut craindre de plus en plus la violence qui va naître de ces lois, et - il faut insister sur ce point - la sauvagerie dont ce qui reste du couple va être le théâtre.

La seule bonne nouvelle est que ces lois n’annoncent pas seulement la fin de l’égalité: elles signifient également la fin de l’idéologie féministe, auto-détruite par ses propres contradictions. L’idéologie continuera encore quelques temps sur sa lancée, mais son absurdité, ses profondes contradictions, son agressivité genrée et son orientation anti-sociale sont manifestes. Le féminisme est mort, intellectuellement et moralement. Il reste à continuer à le déconstruire socialement, afin de restaurer l’égalité hommes-femmes.

La société a toléré longtemps ce courant antidémocratique en son sein et lui a déroulé le tapis rouge. Le réveil sera dur et la réparation longue.

 

Commentaire sur ce tableau plus bas.

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Catégories : Féminisme 58 commentaires

Commentaires

  • "Cela signifie que le meurtre conjugal contre une femme est différent que le meurtre conjugal contre un homme,"

    Merde à la fin Hommelibre ! Vous entendez souvent parler de meurtres conjugaux contre les hommes? Moi pas. Par contre des femmes, ex femmes, concubines, ex concubines ou copines, bin c'est de plus en plus souvent que cela arrive.
    Mais j'parie que si on en entend autant parler actuellement c'est à cause des médias pas vrai? Parce qu'ils relaient plus souvent ce genre d'infos juste pour attirer le lecteur. Pas vrai ????

    Je regarde les infos dans 3 pays. Suisse, France, Italie. Dans les trois. les meurtres de femmes sont exponentiels. Il ne se passe pas une semaine sans qu'une femme meure par la main de "son homme". Par contre, j'ai jamais entendu qu'un homme avait été tué par sa femme. Alors faut arrêter avec vos délires !!!!
    J'suis pas d'humeur et votre billet a été la goutte qui a fait déborder le vase !

    Bonne soirée à tous ceux qui viendront pleurnicher sur les sort de ces "pauvres hommes" malmenés par des femmes

    p.s : Pour ceux qui voudraient me reprendre. J'ai pas lu le billet plus loin que la phrase que j'ai mentionnée. Pas envie de débattre. De toute façon ya plus de débat ici à ce sujet.

  • En France,les assassinats de femme par leur conjoints sont stables ,et en 2010,32 hommes l'ont été par leur conjointe,soit un peu moins du quart des victimes féminines.

    Les premiers sont très médiatisés,les seconds pratiquement jamais,d’où cette
    impression.

    Et cela pour environ un millier d'homicides par an proportion, pour le moment stable,aussi.

  • Bonsoir Homme Libre
    Je ne dirai qu'une chose sur votre article d'une crasse partialité.
    Je sais où géographiquement se trouve le Nicaragua mais mes connaissances du pays sont pauvres. Je suis allée sur google à la pêche aux infos.
    Vous devriez en faire autant avant de balancer votre "torchon" qui ne vous fait pas du tout honneur.
    Et que dire de votre phrase assassine : cela pourrait arriver en France???
    Vous lisez un mot et vous nous pondez votre "article" du jour.
    C'est du miel pour les machos qui rôdent dans le coin, prêts à balancer les femmes aux orties.
    Pour faire avancer votre cause vous n'hésitez plus à travestir et écrire des contre-vérités.
    Vous adoptez les mêmes armes que les féministes, le mensonge et les statistiques fausses;
    Honte à vous

  • "Il reste à continuer à le déconstruire socialement, afin de restaurer l’égalité hommes-femmes."

    Oui continuons à détruire cette idéologie de femme mal dans sa peau et mal baisée. Même une adolescente de 15 ans est pluys mature intellectuellement qu'une féministe et beaucoup mieux baisée.

    Loredana consultez ce lien ça se passe en Amérique du Nord, mais vu que HL dit que ça pourrait venir en France, je fais confiance aux androgynes féministes.
    http://antifeminismeselonmalthus.blogspot.com/2011/11/la-desacralisation-du-vivant-au-profit.html

  • @madison:
    Le machisme est un mal nécessaire pour contrer le féminisme gynocentré tel qu'il commence à émerger.
    On va dire que c'est un combat à armes égales. Rien ne vous empêche de lutter contre ce mouvement qui détruit le concept d'égalité.
    Avec des amis comme celle-ci vous avez pas besoin d'ennemis. Nous on ne fait que lutter pour notre survie on fait rien de mal.

  • On peut pas non plus tomber dans les clichés de la femme mal baisée et aigrie...

  • C'est chiant de prendre le contre-pied,ou une autre route...ça en énèrve pas mal ^^.
    OK,alors:Les violences ne sont en RIEN spécifiques/uniques/caractéristiques aux femmes !
    Il suffit de lire un rapport INDEPENDANT,sans PROPAGANDE,parce que c'est de la propagande pure et dure,ni PARTI PRIS .

    Elles ne sont pas genrées,donc ! On ne peut pas parler de violence sexistes,donc !
    Violences oui,sexistes vous rêvez.

    De plus;
    Les salauds qui font ça ne le font pas parce qu'elles sont des femmes mais parce qu'ils le peuvent,c'est tout et c'est condamnable aussi.
    Ils ne sont pas animés par une haine des femmes,ils n'attaquent pas les femmes pour tuer une femme,il ne les tuent pas une femme pour leur nature de femme.

    Ce n'est pas comme en Chine ou en Inde,où,là c'est bel et bien le cas,on peut parler de féminicide.

    Par contre vous ça ne vous gêne pas de faire des lois sexistes et je ne vous comprends pas.
    Ou,en fait,si je comprends mais on en revient à la propagande et c'est écoeurant .

    Cette modification du code pénal (à venir,y'a gros à parier) est une PURE CONNERIE et si je me laissait aller comme vous le faites je pourrais aussi dire des trucs gratuits comme "il y a un sale relent de religion là dessous,dans des pays ultra-macho et aux rôles féminins magnifiés pour le côté maternel,il semble normal pour eux de faire un distinguo puisqu'on tue un ventre"

    C'est pas en établissant des distinctions basées sur rien de serieux qu'on approche de l'égalité et qu'on gagne le respect. Et il est temps que vous le compreniez.

    Ou bien on attache ce principe partout,un train percutant une femme serait coupable de féminicide et de violence sexiste,un type tuant un noir pour voler sa voiture serait coupable de meurtre aggravé de "noiricide" etc... Parce que c'est comme ça qu'est votre raisonnement.

  • Ces féministes adeptes du girl powa sont réellement des mal-baisées autrement elles auraient aucun mépris pour les hommes. Donc oui c'est des mal baisées, décérébrées et hystériques.

    Justement vous qui parlez d'égalité, en quoi c'est plus criminel de tuer une femme qu'un homme?
    Surtout qu'il nait plus de filles que de garçons.

  • @Hommelibre
    la soumission des hommes à la justice féministe. Ce qui est totalement exclu.

    Pas dans les balkans. Et ailleurs.

    http://balkans.courriers.info/article18656.html

    « Les tribunaux des femmes sont un lieu pour faire entendre leurs voix, les entendre témoigner, mais aussi pour assumer la responsabilité de la justice, créer un modèle féministe de la justice, stimuler l’étique féministe de responsabilité et de souci, consolider un réseau de solidarité et une construction commune d’une paix équitable ».

  • @Kasilar
    Justement vous qui parlez d'égalité, en quoi c'est plus criminel de tuer une femme qu'un homme?
    Surtout qu'il nait plus de filles que de garçons.

    C'est à moi que vous parlez ?
    Ben je n'ai pas de "plus criminel",tuer c'est mal,homme ou femme,humain ou pas.

    Mais ne vous sentez pas agréssé,le long commentaire ne vous était pas destiné (plutôt à Loredana) il à juste été validé en second à cause de l'entrée d'un mot de passe pour la sécurité.

  • @ Singe:

    J'ignorais pour les Balkans.

    C'est invraisemblable. On ne peut pas avoir deux justices dans un pays. En avoir deux c'est douter délibérément de celle qui est en place et contribuer à désintégrer un pays. Ce tribunal des femmes dans les Balkans n'a pas de pouvoir exécutif mais il dénonce publiquement alors qu'il n'a aucune compétence légale pour juger.

    D'ici à ce que l'on voie un Tribunal des enfants, ou des handicapés, ou de n'importe quelle catégorie. Mettre différentes justices dans différentes catégories c'est bel et bien déconstruire un Etat et revenir à des pratiques de western.


    Je donne ici le lien vers une statistique de l'Office Fédéral de la Statistique en Suisse, période 2000-2004.



    http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/news/publikationen.html?publicationID=2420

    Il y a sur cette page un pdf à télécharger. En page 34, un tableau récapitule de nombre d'homicides domestiques hommes et femmes sur la période: 317 femmes tuées et 159 hommes tués dans le couple, soit 1/3 d'hommes. je vais rajouter le tableau en bas de l'article.


    Je sais que depuis les statistiques ont changé, pour des raisons inexplicables. Actuellement en Suisse il y a un homme pour six femmes victimes d'homicides. J'ai cherché des explications à ce changement de proportions, alors que le nombre global n'a pas varié. Je n'en trouve aucune. Il y a pourtant une étrangeté.

    De toutes façons, oui, il y a des hommes tués par leur femme. Cela ne signifie pas qu'elles veulent tuer parce que c'est un homme. Dans plus de la moitié des meurtres conjugaux l'alcool joue un rôle décisif. On ne tue pas parce que c'est une femme ou parce que c'est un homme, mais parce qu'il y a maladie ou souffrance, et parce qu'à un moment il y a l'opportunité et les moyens (physiques, matériels) de le faire.

    La presse parle surtout des femmes tuées par leur conjoint, peut-être parce qu'il y en a plus - ce qui est indéniable. Cela ne doit pas permettre de voter des lois genrées.

    Les lois liées aux genres sont un abomination. Votre genre vous condamne à l'avance, comme en d'autres circonstances la couleur de la peau ou l'appartenance à une religion. Ces lois sont une dérive de la démocratie.

  • J'ajoute que les lois de genre sont équivalentes à des lois racistes. Qu'il se trouve des personnes pour justifier et défendre cela est grave.

    Le féminisme montre ici la nature de son idéologie: suprémaciste, communautariste, équivalente raciste, élitiste, différencialiste: une idéologie digne des années 1930.

    Il se joue sur un décalage: des femmes subissent des discriminations et de la violence, et c'est en leur nom que le mouvement prétend se battre. Mais les leaders bourgeoises du mouvement ne réclament que des postes à pouvoir. Elles se servent du peuple pour se placer. L'égalité des fonctions dirigeantes ne servira en rien les femmes et les hommes du peuple. Les caissières de supermarchés ne sont pas les copines des grandes bourgeoises riche qui dirigent le mouvement.

  • @Homme libre,

    Bonjour,

    Il faudrait plutôt distinguer entre le féminisme universaliste,autrefois prédominant,celui d'avant les années 1960,et celui dominé par les critères essentialistes ,largement importé et issu d’Amérique du Nord,des USA,dont ils reprend et colporte les préjugés et les haines communautaristes.

    Cette tendance ,n'est pas nouvelle,contrairement à ce qu'elle a voulut faire croire,mais en pleine filiation du romantisme politique avec son mysticisme des origines et de l'esprit des peuples le "Volksgeist",dont la référence à la notion de "volk",conduit dans cette tradition à l'idéologie
    "Völkisch",soit une forme extrême ,ou glissée à l'extrême de communautarisme.

    Dans le jeu spontané (et sans calcul conscient) du soft-power américain,la promotion des critères prédominants à cette époque (les années 60 et 70)de cette culture,renforça et imprima ces critères historiques et contingents à ce mouvement.

    Mais il ne faut pas tout confondre des exigences d'émancipation,celles rattachées à la demande d'une universalité de la justice pour toutes les personnes,quelque soit leur sexe et notamment pour les femmes vivant dans des cultures inégalitaires et spécialement discriminatoires envers elles,sont toujours valables,malgré le détournement vers un nationalisme de sexe un "national-féminisme" que des fanatiques ambitieuses ont opéré,trompant et intoxiquant beaucoup de personnes de bonne foi.

    Cela serait une lourde erreur aussi,en plus de manquer de justice.

    Et ici aussi,l'effort continué de justice,cette tension vers "le mieux" a besoin de toujours veiller à la bonne proportion entre les parties concernées,dans le refus de la chute du droit et la politique dans les maladies de l'absolu.

  • Suite,

    Il faut aussi le comprendre,comme l'effet d'une DYNAMIQUE de surenchère dans le marché concurrentiel des idéologies,pour les places enviées et nécessaires aux ambitieuses de figure de proue des minorités agissantes,tendant à négocier la réduction de leurs nuisances publiques pour des places dans la hiérarchie sociale + (car cela se complète)l'imposition d'un poids croissant de nouveau clergé oppressif et totalisant,cherchant à régenter chaque année un peu plus notre intimité même.

    Face à ces nouvelles religions séculières et à leur manies absolutistes,un nouvel anticléricalisme est nécessaire et même en Europe,vital pour la survie de nos sociétés.

    Dans la schadenfreude de ces activistes,toute dégradation des relations hommes/femmes est bienvenue comme tendant vers la réalisation de leur prophétie auto-réalisante d'apartheid des sexes ,forme rêvée d'un nouveau mode de domination,et expression de leur nihilisme.

  • Pour percevoir les ambiguités d'un certain féminisme anti-universaliste et völkisch dans son rapport avec le nazisme il faut lire le livre paru sous la direction de la regrettée Liliane Kandel en 2004: http://www.odilejacob.fr/catalogue/histoire-et-geopolitique/feminismes-et-nazisme_9782738113696.php

  • Merci Jean-Frédéric. Ces précisions sont utiles pour comprendre ce qui se joue, et qui est aujourd'hui bien au-delà d'une simple critique sociale.

    J'aurais dû écrire "essentialistes" plutôt que "différentialistes" dans mon dernier comm. Il y a une nuance en ce sens que le premier terme est plus absolu et définitif et inducteur d'une suprématie dès lors que l'analyse socio-politique a défini le "mal" (patriarcat) et les acteurs du mal (les hommes). Par effet de contraste, par culture de la victime et par mythologisation l'autre genre devient le salut, le légitime, celui qui doit conduire l'humanité et donner les leçon du nouveau monde (réf: "La femme est l'avenir de l'homme").

    Le féminisme universaliste, produit français, que je nomme aussi réformiste, avait mon soutien. Comme vous le dites la justice, l'égalité de droits et de valeur est le socle sur lequel on peut envisager un monde où égalité, différence, complémentarité, non contrainte, contractualisation des relations, peut se construire.

    On ne peut construire ce monde bienveillant si l'un des deux genres est déjà victime en permanence d'un procès d'intention et que des loi de type raciste sont votées uniquement contre lui.

    Le féminisme actuel est devenu l'obstacle à la réalisation de ce monde. Il met le feu, entretient les clivages.

    D'accord avec vous qu'il ne faut pas emboîter le pas à cette dérive dont vous évoquez l'ambigüité. La justice, la même, doit primer. Il n'est pas non plus inutile d'exprimer des craintes quant à l'avenir des relations hommes-femmes dans une société raciste-genrée anti-homme.

    L'idée de l'anticléricalisme comme résistance au dogme féministe me plaît bien!

    Merci pour les références que vous citez, que j'étudie.

  • Encore une raison supplémentaire pour ne jamais se marier et ne pas entretenir de relations trop longues avec une femme qui se transformera au fil des ans en une féministe de la pire des espèces.
    De toute manière vous trouverez toujours où tremper votre biscuit.

  • @hypolithe,faisant partie du bataillon de femmes n'ayant jamais été pour le féminisme du moins pas pour celui des cols bleus qui débuta dès les années 70,je me permets de vous signaler que vos copinages et autres n'arrangent pas forcément l'entente au sein du couple.
    Les hommes et femmes d'antan étaient beaucoup plus subtiles et rusés ne mélangeaient pas les torchons avec les serviettes c'est à dire n'allaient pas se plaindre chez la voisine,la copine et surtout à maman ou papa.Femmes et hommes assumaient leurs différences, savaient tenir leur langue tout en étant égaux dans l'infidélité surtout si l'on sait qu'être fidèle à moins d'être un Saint cela ne fut jamais.Certe il y eut des exceptions faisant dire après 40 ans de mariage ,ah si on avait su que d'occasions manquées et admettons que l'endoctrinement judéo chrétien fit malgré tout beaucoup de crétins qui eux surent à merveille tromper leur femme:faites comme je dis pas comme je fais!tandis que leurs femmes priaient pour d'autres,certains maris s'en occupaient royalement

  • @Homme libre

    Ce que je retiens surtout de votre billet c'est cette phrase :
    "Cette loi sur le féminicide signifie donc que les femmes ne sont juridiquement pas égales aux hommes - comme les enfants."

    Il me semble que vous pointez là sur le noeud du problème.

    Juridiquement la femme n'est pas l'égale de l'homme, puisque le mari est responsable de son épouse, mais l'épouse n'est pas responsable du mari. Par défaut, pour la loi, le chef de famille, c'est seulement l'homme mais ni la femme, ni l'homme et la femme pour 50/50.

    Le noeud du problème c'est que s'il y a égalité de fait entre l'homme et la femme, il n'y a pas égalité de droit.

    D'habitude c'est l'inverse qui se passe : une égalité de droit mais une inégalité de fait. Ainsi si tout le monde a les mêmes droits, cela n'empêche pas qu'il y ait en fait des riches et des pauvres, des bien-portants et des malades.

    Le féminisme, loin de libérer les femmes, et de viser à l'égalité juridique, au sens véritable de les responsabiliser à se prendre en charge par elles-mêmes, ne fait que les maintenir dans l'infantilisme et la minorité : dans l'irresponsabilité juridique.

    Juridiquement, la contrepartie du patriarcat, c'est-à-dire du "pouvoir" ou de l'autorité de l'homme ou du père de famille, c'était la responsabilité juridique, i.e. le devoir de répondre de ceux dont le "patriarche" avait la responsabilité. En clair, par exemple si votre enfant fait une bêtise, la police qui vient frapper à la porte du domicile de l'enfant, s'adresse en priorité au chef de famille, c'est-à-dire au père : c'est le père qui est en première ligne pour répondre de ceux dont il a la charge. La mère, dans ce cas, n'est a priori pas responsabilisée : il n'y a pas égalité des devoirs au niveau des pères et mères : le droit met clairement et effectivement les responsabilités sur le dos du père, censé être le chef de famille par défaut.

    Le droit évite de partager et diluer les responsabilités, même s'il ne peut totalement l'empêcher. Quand il y a plusieurs accusés pour le même crime, chacun d'entre eux accuse les autres et le droit ne peut pas s'appliquer. Le droit ne peut accepter 2 chefs d'une même famille, car l'enjeu du droit est de trouver une personne qui prenne en charge, et sur laquelle appliquer la loi, et pas deux personnes qui se renvoient constamment la balle ou la patate chaude des responsabilités et des devoirs.

    Bref les femmes veulent les droits mais sans les devoirs qui vont de pair avec ces droits. Or accéder à la majorité, être majeur, ou sortir de la minorité ou de l'infantilisation, c'est se prendre en charge et avoir l'autorité sur ceux dont on a la charge. Mais la femme veut sortir de son statut infantile sans se prendre en charge et sans prendre en charge sa progéniture, mais en continuant à être prise en charge par l'homme ou, si cet homme fait défaut, par la "société". La femme peine à endosser les responsabilités et c'est là un déséquilibre sans issue.

    Si la femme se comporte comme un enfant, c'est-à-dire en ayant des droits sans les devoirs qui vont avec, alors il est normal qu'elle reçoit le même genre de traitement correctif réservé d'habitude aux enfants récalcitrants. On ne peut exiger de qui que ce soit d'être responsable de quelqu'un ou quelque chose sans en avoir l'autorité correspondante. On ne peut demander à un responsable de diriger un service sans avoir comme a priori l'exigence pour tous ses subordonnés de suivre les instructions de ce responsable.

    Si donc la femme veut se responsabiliser, il faut en accepter le pendant, à savoir que les hommes, quant à eux, se déresponsabilisent et s'infantilisent, en disant par exemple typiquement : c'est pas moi qui l' ai fait, c'est l'autre. Il faut que les femmes comprennent que si elles veulent l'égalité juridique, il faudra qu'elles endossent beaucoup plus de devoirs et de charges, et acceptent en contrepartie une certaine irresponsabilisation dans le chef des hommes, dont elles devront tolérer de plus en plus le défaussement des responsabilités par rapport à elles et leur progéniture.

    Tout ceci n'empêchera pas que les hommes et les femmes soient différents et que si la femme est un contenu qui a besoin d'une forme, eh bien, cette forme c'est l'homme. Pour comprendre les femmes et leurs comportements culturels ou leur mentalité, les hommes doivent les comparer à ce qu'ils ont eux-mêmes de naturellement plus intime, de même que la meilleure façon pour les femmes de comprendre les hommes et leurs comportements culturels, c'est de les comparer à ce qu'elles ont elles-mêmes naturellement de plus intime.

    L'inverse est aussi valable. Le comportement physique des femmes correspond au comportement mental des hommes et le comportement physique des hommes correspond au comportement mental des femmes. Pour dire les choses de manière très compréhensible mais malheureusement triviale, si les hommes ont des bites et les femmes des vagins, les homme sont (ou se comportent culturellement comme) des vagins et les femmes sont (ou se comportent culturellement comme) des bites. Du moins en régime normal d'appariement du yin et du yang.

  • Les hommes tuent les bébés filles pour ne garder que les bébés garçons. Et on nous serine que la violence féminine prend de l'ampleur.
    Prendre le Nicaragua pays violent envers les femmes pour parler de féminisme occidental!. Les hommes ocidentaux ne sont pas machos mais des pauvres créatures bêlantes.

  • Ce que "j’apprécie" avec les féministes radicales hystériques et leurs alter-ego masculins et misandres qui postent ici, c'est que leur discours de cantonne à l'insulte primaire et à l'étalage de faits de mauvaise foi, déformés et exagérés sans, bien évidemment, le moindre chiffre ou la moindre source à l'appui.

    C'est un peu comme si on se contentait de dire ici que "Les femmes sont toutes des sal*pes manipulatrices qui veulent asservir les sales mâles et leur faire payer les abus de leurs ancêtres".

    Arrêtez d'insulter les gens et d'étaler des inepties teintées de mauvaise foi et de raccourcis puérils (tous les hommes sont des salauds, la violence envers les hommes n'existe pas etc) si vous voulez être crédibles.

    Ce blog n'a jamais cherché à nier les mauvais traitements faits aux femmes, il s'indigne du fait que pour beaucoup de féministes (et d'hommes manipulés) tous les hommes sont des salauds et que les mauvais traitements faits aux hommes sont minimisés, voire passés sous silence.

    D'ailleurs les mêmes féministes radicales se contredisent :
    - Les sexes sont égaux, l'égalité doit être atteinte dans tous les domaines.
    - L'autorité parentale conjointe et la circonscription féminine sont des aberrations, car l'égalité ne peut pas et ne doit pas forcément être atteinte dans tous les domaines.

    - Les hommes qui se disent battus sont des larves qui ne se défendent pas.
    - Si l'homme battu se défend, c'est un salaud violent qui frappe sa femme.
    - Si l'homme battu se plaint, on rigole un bon coup et on lui fait comprendre que c'est une chiffe-molle.

    - Etc etc.

    Y'a pas comme une contradiction dans le discours là ?

  • @Madison
    Pour le Nicaragua c'est vrai,j'ai entendu dire qu'on tuait les femmes à la chaîne,quasiment pour rien,des amusements de gangs visant uniquement les femmes . Même lu un article dans GEO qui en causait il y a un an ou deux.

    Mais en quoi c'est comparable en France,bon sang ?!
    Qui sont les neuneux qui y voient un rapport avec la violence conjugale ?!

    Quand aux créatures bêlantes c'est vous qui vous posez,à croire et accepter tout ce qu'on vous raconte pour peu que ça se dise révolutionnaire et contradictoire avec ce qu'on vous présente comme le système dominant .

  • La question de loi de genre ne se limite pas qu'au Nicaragua, puisque plusieurs pays sud-américain ont adopté la même loi ou sont sur le point de le faire.

  • Il me semble qu'un projet de loi sur le féminicide avait vue le jour en France en 1992 mais il avait était rejeté car il allait contre les valeurs d'égalités du pays.

  • "Il me semble qu'un projet de loi sur le féminicide avait vue le jour en France en 1992 mais il avait était rejeté car il allait contre les valeurs d'égalités du pays."

    Tant mieux :))

  • « Les tribunaux des femmes sont un lieu pour faire entendre leurs voix, les entendre témoigner, mais aussi pour assumer la responsabilité de la justice, créer un modèle féministe de la justice, stimuler l’étique féministe de responsabilité et de souci, consolider un réseau de solidarité et une construction commune d’une paix équitable ».

    Ben je trouverais que c'est une bonne idée le jour où l'on reconnaîtrait les femmes qui mentent de celles qui disent vrai.
    Et là il y a du boulot. En attendant, je pense que si on met les mêmes qui parlent au nom du féminisme dans les tribunaux, c'est réellement la fin de l'homme

  • @Homme libre,

    Bonsoir,

    J'espère que les quelques références,citées,vous aideront.On pourrait y ajouter le remarquable et très fin:

    "Big mother" de Michel Schneider dont la lucidité de thérapeute et de juriste est rafraîchissante.

    Mais voici pour la délectation de toute (tes) la fin du billet d'Anne Topalov
    dans le dernier "Marianne" sur un autre fait divers (mais à effet de jurisprudence)tout à fait symptomatique :la condamnation d'un mari abstinent ,

    "Le tristement célèbre" devoir conjugal" a été pourtant aboli en 1990 pour permettre ,deux ans plus tard,la reconnaissance du "viol conjugal".Une victoire pour les femmes,qui peuvent désormais traduire en justice un mari qui leur imposerait par la force d'avoir des relations sexuelles.
    L'arrêt rendu par la cour d'appel porte donc atteinte à l'un des droits fondamentaux dont bénéficie tout être humain,homme ou femme:celui de disposer de son propre corps.Le mariage n'implique pas la soumission totale au désir de l"autre,ni la perte de la liberté de consentement.Chacun(e) est libre de devenir l'esclave sexuel(le) de son(sa) conjointe,mais un condition:avoir dit oui!"

    Il est à espérer qu'il y ait recours devant la Cour européenne de justice
    pour rupture d'égalité et atteinte grave aux droits de l'Homme.

    Juste un point ,il semble plus approprié d'utiliser le moins possible le mot de genre en substitution de celui de sexe ,car c'est accepter ce qui est avant tout un terme de propagande ,ressemblant presque à ceux de la langue de bois stalinienne avec sa technique d'évacuation du réel,ici la différence biologique qui fait de nous des semblables cependant non identiques .

    Ce serait déjà une émancipation de ne pas parler la langue carcérale des idéologues , cette nouvelle cléricature inquisitrice.

  • "Mais ne vous sentez pas agréssé,le long commentaire ne vous était pas destiné (plutôt à Loredana) il à juste été validé en second à cause de l'entrée d'un mot de passe pour la sécurité"

    Non non je vous en pris, je sors juste d'un débat quelque peu violent et je suis désolé d'avoir été un peu trop cru. C'est à cause d'un féministe radical nommé pierre(tte)

  • @Jean Frédéric :

    Et ce n'est pas pire que ça
    http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/29/1227456-un-homme-condamne-pour-ne-pas-avoir-honore-son-epouse.html

    Triste époque pour la démocratie des hommes, bientôt le fait d'être un homme serait reconnu comme un crime à cause de certains dégénérés mal dans leurs bottes

  • "il n'y a pas égalité des devoirs au niveau des pères et mères : le droit met clairement et effectivement les responsabilités sur le dos du père, censé être le chef de famille par défaut."

    +1000 merci de m'oter les termes de ma bouche. Qu'un(e) féministe ose me dire le contraire avec des sources.

    " le droit met clairement et effectivement les responsabilités sur le dos du père, censé être le chef de famille par défaut. "

    Je pensais que les féministes avaient retiré la mention chef de famille en 2003 ? c'est là où l'on s'aperçoit que le féminisme est une des plus grosses arnaques du siècle. Pour les hommes surtout !

    " On ne peut demander à un responsable de diriger un service sans avoir comme a priori l'exigence pour tous ses subordonnés de suivre les instructions de ce responsable."

    Paradoxalement ça me fait penser aux femmes dans le monde du travail surtout lorsque ses collègues sont exclusivement masculins. Un homme se fait virer pour une raison non valable, il ravale sa fierté et s'en va. Une femme se fait virer même pour incompétence elle est prête à porter plainte contre la boîte pour discrimination sexiste. Je n'ai pas trouvé de source mais je sais que ça se passe comme ça dans certaines boîtes.
    Pour ce qui est du harcèlement les femmes s'en plaignent comme si que l'on devait exclusivement traiter un genre
    Voyez plutôt cette étude qui démontre que presque autant de femmes que d'hommes en sont victimes
    http://www.inrs.fr/inrs-pub/inrs01.nsf/intranetobject-accesparreference/dossier%20harc%C3%A8lement%20moral/$file/visu.html
    Et ce n'est pas une étude faite à la légère puisque c'est un centre d'études

    "Pour le Nicaragua c'est vrai,j'ai entendu dire qu'on tuait les femmes à la chaîne,quasiment pour rien,des amusements de gangs visant uniquement les femmes . Même lu un article dans GEO qui en causait il y a un an ou deux.

    Mais en quoi c'est comparable en France,bon sang ?!
    Qui sont les neuneux qui y voient un rapport avec la violence conjugale ?!"

    Nan mais un meurtre est un meurtre de toute façon. Quand j'entends certaines féministes se plaindre du féminicide comme dit HL alors que ces mêmes personnes ne se plaindraient pas du meurtre d'un homme, j'ai envie de dire elle est où l'égalité dans tout ça ?
    Des femmes sont réellement moins punis que les hommes pour des faits graves.

    @Nom/prenom

    Ca résume exactement ce que je pense du courant féministe actuel. En même temps si les vrais féministes laissent les bourgeoises parler pour elles et se laissent manipuler par leurs paroles de bonne-soeurs, faut pas s'étonner que le féminisme donne l'impression d'une hostilité de l'homme. L'égalité des femmes ne peut pas être un combat éternel, il y a un moment où ce combat va inévitablement trop loin et tend à devenir une idéologie de surévaluation de la femme.
    N'empêche ça fait plus de quatre décennies qu'elles ont réussi à nous entuber et continuent encore et encore.

  • @ Jean-Frédéric

    j'apprécie beaucoup Big mother moi aussi.

    extrait

    " Le pouvoir et ses idéologues ne peu¬vent s'affranchir pleinement d'une perception assez commune aux gens qui les regardent d'en bas : les dominants dominent. Alors, l'une des ficelles les plus grossières mais les plus effi¬caces consiste à représenter le pouvoir comme rébellion, les idées majoritaires partout énoncées comme minoritaires et cen¬surées. On convoque les représentations d'une domination his¬toriquement disparue pour masquer la domination nouvelle et effective. Certes, pour s'exercer, le pouvoir a toujours eu besoin de se masquer quelque peu, mais la distinction entre ceux qui commandent et ceux qui obéissent a été jusqu'ici maintenue et perçue des deux côtés. Maintenant, le rêve du pouvoir est d'être l'opposition, la pose des dominants est de s'inclure dans les dominés. On voit s'étendre ces ridicules : la marginalité de masse, la misère des arrivés, la révolte des établis. Jamais n'est plus profonde l'abjecte passion d'obéir que quand elle prend le masque de la rébellion. Mais rien de tel, pour affermir une domination réelle et actuelle, que de feindre d'en combattre une autre, imaginaire et dépassée. Les grands dévoreurs des fro-mages du conformisme se gavent en plus du dessert de la persé-cution. Ces bien-pensants posent aux mal-disants, littéralement aux maudits. Être dominant, c'est aujourd'hui feindre d'être dans la marge pour mieux édicter la norme ; et être dominé, c'est tenter d'être dans la norme pour ne pas risquer de tomber dans la marge. Mais, à force, on s'agace d'entendre de faux insurgés répéter leurs rengaines sur la famille patriarcale, quand des lois ont donné aux mères l'essentiel de l'autorité parentale ; des féministes de mauvaise foi appeler à se libérer du mâle autoritaire dont on ne voit que de loin en loin de rares sur¬vivants ; des écrivains cherchant audience en combattant la morale sexuelle bourgeoise alors qu'il n'y a plus vraiment de bourgeoisie et que son ancienne morale est partout ; des cri-tiques dénonçant la censure littéraire bien que les seuls livres empêchés ou interdits aient été récemment en France ceux qui portaient atteinte au président Mitterrand ; des sociologues stig-matisant le travail hiérarchisé à l'heure du capitalisme en réseaux. Ainsi encore, le système capitaliste serait conservateur, réactionnaire, patriarcal bien sûr, et fondé sur la répression du désir. La réalité est tout autre : la domination passe aujourd'hui
    par le progrès et le progressisme, la modernisation et l'emprise maternante. L'écrivain Philippe Sollers voudrait que la France, son pouvoir et ses élites soient « moisis », et dénonce, répandus dans les esprits, des relents de vichysme xénophobe, alors que, parfumé au Calvin Klein de « la gauche plurielle », l'encadre¬ment technique, managérial et culturel entonne l'unanime anti-racisme des artistes-citoyens en tournée de promo chez Canal plus. "

    page 254 et 255.

    "Mais, à force, on s'agace d'entendre de faux insurgés répéter leurs rengaines sur la famille patriarcale, quand des lois ont donné aux mères l'essentiel de l'autorité parentale ; des féministes de mauvaise foi appeler à se libérer du mâle autoritaire dont on ne voit que de loin en loin de rares sur¬vivants "

    oui il y a de quoi être agacé. " pierre" devrait méditer sur cette page.

    Ah oui c'est vrai il ne le fera pas puisque je pense michel Schneider comme élisabeth Badinter où yvon Dallaire sont frappeés d'anathéne c'est gens contestant la prêche féministe sonts des hérétiques.

  • Loi du 4 juin 1970 : suppression de la notion de chef de famille au profit de l'autorité conjointe;

  • "l'autorité conjointe"

    et dans les faits contestation de l'autorité du pére par les méres.
    résultat désinvestissement par les péres de leur rôle éducatif.

    résultat aussi catastrophique à l'école, l'école ne sanctionne plus materne les éléves, les éléves se savent protégés par leur méres comme une poule défend ses poussins.

    il y a 4 jours un prof de techno et d'atelier m'a dit les méres sonts des "louves".

    il y a deux semaines le mari d'une instit m'a expliqué la façon de faire de sa femme.

    en début d'année. recadrer les méres sinon elles vous bouffent, un pépin l'année derniére, elle a convoquer la mére et l'éléve, pour la mére son chérubin n'avait évidement rien fait un ange, il a avoué qu'il avait voulu faire une blague.

    le probléme actuellement c'est ça c'est que les méres imposent leur façon d'élever les enfants aux hommes.

    "9. Les attentes légitimes de l'homme face à sa partenaire
    Comme tous les hommes, vous êtes prêts à faire beaucoup pour la femme que vous aimez, lui décrocher la lune s'il le faut (même si elle ne le vous demande pas). Si vous voulez vivre heureux avec
    une femme, vous avez des stratégies efficaces à développer, un mode d'emploi à apprendre, être à son écoute... Mais vous avez aussi des droits, des privilèges, des limites à faire respecter. Vous devez apprendre à vous tenir debout lorsque son comportement est inacceptable, qu'elle vous critique sans cesse et cherche à vous con¬trôler en vous imposant sa façon d'éduquer les enfants, de gérer l'argent, la sexualité, les activités sociales, ou veut aussi vous dire comment conduire votre carrière ou votre auto. Vous ne devez jamais user de violence, car vous perdriez votre fierté personnelle et votre estime, mais vous devez utiliser la fermeté, faire preuve d'assertion, vous diront les psychologues, lorsque nécessaire.
    Comme souligné à plusieurs reprises depuis le début de ce livre, l'univers de l'homme est physique et rationnel, son cerveau étant construit pour gérer la réalité objective. Pour vivre avec un homme, la femme doit, d'après Joe Tanenbaum, faire cinq concessions majeures, concessions auxquelles vous êtes en droit de vous atten¬dre. La première de ces concessions est d'accepter de vivre dans un univers physique, qu'elle s'y sente à l'aise ou non, qu'elle ait l'impression ou non que cet univers la rend prisonnière. Elle doit cesser de vouloir «améliorer» l'homme en le forçant à entrer dans son univers subjectif rempli d'émotions, d'intuitions, de spiritua¬lité, de perceptions extrasensorielles, de pressentiments... Elle doit comprendre que l'homme a besoin de ces limites physiques et intel¬lectuelles afin de préserver sa santé mentale. Si tant d'hommes con¬temporains semblent complètement perdus, c'est parce qu'ils essaient de vivre selon les attentes subjectives, donc variables, des femmes plutôt que de se fier à leurs critères personnels objectifs, donc stables."

    extrait d'homme et fier de l'être d'yvon dallaire.


    "sa façon d'éduquer les enfants," cette réalité inacceptable est devenue la norme, alors la sois-disant domination patriarcale vaste foutaise.

    HTTP://WWW.PSYCHASOC.COM/TEXTES/MALE-DOMINANT-!-PERE-CONTESTE-!-N-Y-AURAIT-IL-PAS-D-AUTRES-VOIES

    "Pourtant le refus d’une fonction différente du père que certains veulent confondre avec le rôle sexiste et tyrannique du « père fouettard » n’est-il pas en grande partie responsable de l’effacement des pères, regretté aussi bien par les hommes que par les femmes ?
    L’homme, en effet, se limitant de plus en plus à un rôle maternant, devient souvent aux yeux de l’enfant, le simple auxiliaire d’une maman qui, par ses liens avec l’enfant (neuf mois de gestation…), sa nature (les hormones…), a plus de facilité dans ce domaine. Celle qui, au nom d’une égalité-identité ne voit plus la nécessité de faire appel à l’homme pour être le garant de la loi, ne lui permet pas d’être vraiment écouté par l’enfant qui reste dans la fusion avec la maman perçue « toute puissante ». Il ne faut pas s’étonner alors si celle-ci peut être tentée d’écarter celui qui devient gênant s’il n’est pas assez performant. Ainsi, non seulement il a peu de chance d’être « inter-dicteur » et donc éducateur, mais il risque, devenant inconsistant, d’être évincé et de ne même plus pouvoir jouer le rôle affectif de papa.
    Cette égalité ne satisfait pas les hommes qui ne se retrouvent pas dans le nouveau rôle qu’ils se donnent ou dans lequel les mamans veulent bien les cantonner. Elle ne donne pas davantage satisfaction aux femmes qui sont les premières à se plaindre qu’il n’y a plus d’hommes assez solides avec lesquels se confronter et sur lesquels aussi s’appuyer. "

    à une époque pas si lointaine quand un insolent était puni à l'école, en arrivant à la maison, le pére en rajoutait une dose à la maison, et la mére n'intervenait pas, ça ne la regardait pas. elle n'imposait pas sa façon d'éduquer les enfants au pére contrairement à ce qui se passe aujourd'hui. elle le respectait. maintenant les ado sonts de "petits cons" beau résultats du maternage.

  • Bonjour leclercq,
    Les hommes passent leur temps à dénigrer les femmes. je propose une solution, éviter de vous mettre en couple avec elles puisqu'elles sont à 99,99% infréquentables, vous ne vous en porterez que mieux.
    Vous croyez que pour une femme vivre avec un homme c'est toujours la panacée? vous vous imaginez peut-être que tous les hommes valent la peine que l'on s'nvestissent pour eux? vous êtes des hommes, donc vous êtes bien? que nenni.
    Les hommes bien cela existent mais combien difficile à trouver!!
    A une époque vous étiez tout puissant, car la loi mettaient les femmes en état de débilité à vie. mais cela a changé et vous avez été incapables de prendre le train en marche. et aujourd'hui vous râlez. Les pères doivent être respectés à la maison? mais les mères aussi il me semble; Le respect est valable dans les deux sens.

  • @ madison

    "Les hommes passent leur temps à dénigrer les femmes."

    Ah bon premiére nouvelle d'où tiens tu cette affirmation.

    "elles puisqu'elles sont à 99,99% infréquentables"

    non elles onts surtout besoin d'un contre pouvoir dans le couple. sinon la violence psychologique peut trés vite arrivé, et au fil des années ça peut finir en violence physique.

    "Les hommes bien cela existent mais combien difficile à trouver!! "
    Ah bon c'est quoi un homme bien pour toi.

    qui se plie à tous tes caprices ?

    je te conseille cette excellente lecture.


    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article12

    "car la loi mettaient les femmes en état de débilité à vie."

    la loi c'est bien gentil, mais ce qui compte c'est quand même la réalité.

    "livre de marie Rounet
    " du coté des Hommes"

    "mais j'ai su très vite que la maison était à la femme, le monde exté¬rieur à l'homme. Pas à n'importe quelle femme de la maisonnée. A la maîtresse. A ma mère chez moi. A ma grand-mère chez elle, et non à ma grand-tante, sa sœur, qui vivait avec elle depuis toujours.
    J'habitais chez ma mère, tout me le disait. Armoires, placards, organisation et déroule¬ment de l'ordre étaient à elle. Si petit et si lourd de tâches que fût le royaume, il lui appartenait en exclusivité. Père et enfants y étaient tolérés, gracieusement, à condition, tou¬tefois, de respecter ses règles à elle — telle chose était là et pas là, mes affaires devaient être rangées et non semées partout, je devais me tenir tranquille, plier mon pyjama et ainsi de suite. J'habitais chez elle, mais autrement que ne l'aurait perçu un garçon de mon âge, car j'étais en puissance d'occuper un jour une place similaire, non dans ma maison d'enfance mais dans celle qui un jour serait mienne. J'étais princesse en puissance de devenir reine. J'avais une envie cuisante de tout ce qui m'était interdit : fouiller dans les tiroirs, sous les piles de linge, dans les papiers de famille, les sacs à main, la vaisselle. Quand ma grand-mère mourut, puis ma mère, et dernièrement la dernière aïeule de la famille, la tante Jeanne, ce fut moi qui débarrassai, triai, choisis ce qu'il fallait donner au brocanteur et ce qu'il fallait garder. Malgré le chagrin, surtout dans la maison de mes parents, j'eus une volupté incroyable à faire cela. Revanche sur des ordres domestiques auxquels il me fut interdit de toucher, satisfaction d'une vieille curiosité retenue depuis longtemps.
    Quand les hommes étaient au travail, quand le dimanche mon père était en train de courir la campagne, mon grand-père en train d'attendre la touche de la carpe au bord de la rivière, les femmes jouissaient de leur bien.
    Moi aussi, mais le mien était minuscule : un des deux tiroirs de l'armoire — l'autre était à ma sœur —, la moitié du grand tiroir du bas, et une caisse glissée sous une table — elle contenait mes jouets, mes « choses », et je devais la tenir dans un ordre strict. C'était tout. Le reste était à ma mère.
    Y compris les enfants. C'est elle qui pre¬nait les décisions nous concernant, qui dirigeait l'habillement, refusait ou donnait son autori-sation pour une sortie, une promenade, don¬nait une gifle ou une volée suivant l'impor¬tance du manquement. C'est elle qui touchait l'argent des vendanges et en restait la gérante exclusive — mon père ne savait même pas à combien se montait le pécule.
    C'est ma mère qui distribuait le goûter, je veux dire l'accompagnement du pain. Cela n'allait pas sans pleurnicheries de ma part, récriminations, insistance. Je n'étais pas docile comme certaines de mes copines. Quand je désirais quelque chose, je le demandais jusqu'à ce que j'obtienne soit une gifle, soit la capitu-lation de ma mère. C'est toujours d'elle qu'il fallait faire le siège. Moi, je savais qu'un jour dans le futur il y
    avait, déjà prévue, une semblable place de pouvoir, mais un garçon de mon âge ? Après avoir été chez sa mère, il serait chez sa femme. Il n'est pas sûr qu'il ne le sût pas, confusé¬ment, déjà.
    Aujourd'hui encore, j'ai le sentiment
    — profond, chevillé, physique — que four¬
    neaux, réserves de linge, espaces divers
    m'appartiennent et c'est avec soulagement que
    je renvoie tout le monde, après les repas, pour
    faire cuisine nette.
    J'ai en tête des moments de grande puis¬sance quand, aux jours de canicule, mon époux, mes fils, les brus et les enfants dorment ou lisent sous les chênes et que je fais mon train. J'étends le linge, je pose les écrans trans¬lucides entre moi et le paysage.
    C'est un moment où la pensée marche for-tement, où je rumine des mots, des émotions, où j'essaie de saisir, car le geste efficace libère l'esprit, ce qui s'agite en moi.
    C'est vrai aujourd'hui comme au temps où cette maison n'avait aucun confort. Rien n'allégeait les nécessités de la vie. J'étais allée chercher l'eau en bas de la colline et les seaux étaient lourds. J'avais lavé le linge à la main. Mais la vaisselle séchait au soleil sur le muret de pierres et j'étais souveraine. Mes hommes
    — mari et fils — étaient chez moi comme
    autrefois mon père habitait chez ma mère.
    Tous étaient du seuil et de l'errance comme
    ces garçons qui rôdaient tandis que nous étions ancrées sur le trottoir. Nous fermions la porte. Ils n'avaient pas de chez-eux. Us devraient le trouver.
    Dans le cœur brûlant de l'été, je voyais par¬tir mes fils vers la crête avec leur attirail de pêche. Ou alors ils allaient arpenter le ruisseau. Ou bien ils grimperaient dans le chêne avec des livres. La plate-forme aérienne inconfor¬table et dangereuse serait leur maison fragile et provisoire en attendant d'autres maisons aussi fragiles et provisoires.
    Un bureau fut le « chez-eux » des hommes quand c'était possible et dans un certain milieu. Sinon une remise, un jardin potager, comme mon beau-père, lorsqu'il se chamaillait avec sa femme, avait le recours du jardin. Mon père eut son garage de mécanicien. Il y gar¬dait une partie de ses affaires de chasse, long¬temps il y éleva ses chiens. Quand il fut à la retraite, ma mère lui abandonna un petit bahut. Comme elle nous avait octroyé les tiroirs de l'armoire, elle lui définit un espace. Il cher¬chait bien à mordre sur la maison, mais quelle guerre ! Il installait dans un coin d'une vitrine du buffet une pince d'écrevisse particuliè¬rement grosse qui lui rappelait une pêche mira¬culeuse, la tête d'un loup qu'il avait lui-même naturalisée et vernie, quelque oiseau empaillé, mais il ne devait pas exagérer. Ces dépouilles — il disait : « mes souvenirs » — étaient
    seulement tolérées et non point aimées : ce qui avait trempé dans le formol « puait » et la huppe était un « nid à poussière ».
    Il n'aurait pas ouvert l'armoire pour y cher¬cher ce dont il avait besoin. S'il demandait qu'on lui donne un mouchoir ou des chaus¬settes, ce n'était pas pour se faire servir mais parce qu'il était entendu qu'il allait mettre du désordre en cherchant intempestivement. Si jamais — par extraordinaire — ma mère entendait le bruit de l'armoire : « Qu'est-ce que tu veux ? » criait-elle. Et quand il répon¬dait : « Mon cache-nez gris », « Un tricot de peau », elle s'empressait : « Attends. Je te le donne. Tu me dérangerais tout. »
    Souvent, je l'ai entendue raconter à ses amies — et toutes renchérissaient — qu'il demandait « même un mouchoir ». La vérité était autre. Une interdiction tacite de ma mère l'empêchait de se servir lui-même, plus forte qu'un tour de clé. Pour les papiers officiels aussi il devait demander.
    Les armoires avec leur jeu au carré des piles de linge furent longtemps les secrétaires et les coffres-forts des femmes les plus humbles. On trouvait de tout dans le dédale des plis impec-cables et que n'ai-je pas trouvé en fouillant avec délices dans ces armoires interdites par les maîtresses de maison à ma curiosité d'enfant.
    Photographies, livrets de famille, carnets de comptes, enveloppes bien rangées où était réparti l'argent mensuel, trimestriel ou annuel,
    des calepins où étaient inscrites les dates de naissance, de décès, de mariage de toute la parenté, des lettres, des contrats de mariage, des livrets militaires, des boîtes à bijoux conte-nant des médailles du travail ternies, des chaînes d'argent devenu noir, des faire-part de deuil, des images pieuses, des certificats d'études et ces sortes de diplômes que l'on donnait à l'occasion du baptême ou de la com-munion solennelle, des économies secrètes, j'ai trouvé tout cela en débarrassant ces maisons qui n'étaient pas miennes.
    Le linge l'avait gardé. Aussi bien était-il lui-même un papier de famille.
    La femme avait la haute autorité. Elle savait où entrer exactement la main sans rien déran-ger, les « bons du Trésor », la photographie en militaire d'un père ou d'un frère, le contrat pour l'électricité avec la « Sorgue et Tarn », le carnet de la mutuelle. C'était son bien.
    Mon père, curieusement, était sans rien. Son portefeuille lui-même était dans l'armoire. A cause de son métier, il n'avait en poche qu'un petit porte-monnaie ordinaire patiné de l'inévi-table cambouis. Son chez-lui n'était pas fixe. Il était dans un rayon étroit de quelques dizaines de kilomètres, une déambulation vers la montagne ou la mer, le bord des rivières et des torrents. Il y transportait son mobilier de cartouches, d'hameçons, de cannes, de boîtes.
    Je me suis souvent demandé si, après son
    veuvage, il lui était venu ce prurit de curio¬sité, l'envie de fouiller, comme je le ferais, de tout ouvrir, de tout lire.
    Sûrement pas, car il me téléphonait : « Je ne sais pas où sont mes Damart... mes cale¬çons longs... mes polos d'été... où sont ces pantoufles toutes neuves qu'elle avait mises de côté ? » Il me semblait entendre ma mère : « Oh ! toi, tu ne trouverais pas de l'eau dans la mer ! »
    Quand j'arrivais, je voyais bien qu'il n'avait pas cherché. Il se contentait d'ouvrir la porte et de regarder, retenu à la frontière de ce qui n'était pas son domaine par un interdit que n'avait pas effacé la mort.
    Parfois, exceptionnellement, il lui était arrivé de se trouver à la maison, un dimanche avec femme et filles, mère et tante. Un dimanche, par exemple où une pluie diluvienne empêchait tout projet de chasse ou de pêche.
    Au milieu des voix croisées qui parlaient de choses incompréhensibles, de points de tricot, de roux de sauce, d'un chiffre brodé, de la fille Estival qui portait ceci ou se peignait comme cela, de Lilette pas sérieuse, il marquait son impatience en levant les yeux au ciel, en regar-dant par la fenêtre si le temps s'améliorait, s'il pourrait enfin « aller faire un tour », c'est-à-dire partir chez lui, dehors.
    Quand il était parti, nous étions soulagées."

    la réalité c'était ça j'ai du mal à voir dans cet écrit lucide d'une femme de coeur la mise en état de débilité des femmes.

    mon arriére grand mére disait (morte à 83 ans en 1962), c'est la femme qui fait où défait une maison !!! à méditer elle parlait d'une entreprise agricole.

    "mais les mères aussi il me semble" mais cite moi des cas concrets et généraux où la femme n'est pas respectée dans le couple, parce que ce que je t'ai cité est général dans l'éducation des enfants actuellement ce n'est pas des cas particuliers.

    et ce qui se passe c'est bien de l'irrespect du rôle des péres pas autre chose.

    en plus les campagnes contre la violence conjugale en faisant comprendre aux femmes que quoiquelles fassent ce sonts elles les victimes favorisent l'irrespect quelles onts des hommes dans le couple. et l'irrespect entraine l'éjection du pére de son rôle éducatif, le délitement du couple.
    d'ailleurs c'est peut-être ce que veulent les féministes, le pouvoir des femmes dans le couple.

    une mésaventure semblable est arrivée à un de mes amis, sa femme par provocation en le poussant à bout lui à brûlé un billet de 100 Frs devant le nez il lui a donné une gifle n'a pas su faire preuve d'assertion de fermeté.
    résultat, elle lui a dit ne recommence pas sinon je porte plainte pour violence conjugale. depuis il ne sait plus quoi faire, elle est dans l'irrespect constant envers lui même devant des invités.

  • @ madison

    tu disais quoi.

    "A une époque vous étiez tout puissant, car la loi mettaient les femmes en état de débilité à vie"

    genre soumission des femmes à des millénaires de patriarcat.

    "2. Les tentatives abusives d'enracinement historique du féminisme



    Ceux qui se servent du levier de l'Histoire pour appuyer leurs thèses, comme Françoise Héritier, en prétendant enraciner leur savoir dans des millénaires dont ils n'ont aucune autre connaissance que par le biais de leurs lectures me font penser à ceux qui lisent la bible en lui donnant une interprétation contemporaine sans rien savoir des conditions technologiques, sociales (public), psychologiques (privé), géographiques, domiciliaires, sanitaires, alimentaires, médicales, scolaires, religieuses, atmosphériques, etc., etc., qui prévalaient à l'époque. Juger les hommes de la Grèce antique à l'aulne des théories féministes contemporaines c'est comme leur reprocher de ne pas voyager en avion. La connaissance est tout autre chose que la théorisation. Héritier est une théoricienne intéressante en ceci qu'elle propose une vision de l'humanité apparaissant comme utopie à réaliser. Mais l'intérêt scientifique s'émousse quand on réalise qu'elle répond à un agenda : le désir d'une réingénierie sociale apparemment profitable aux femmes. Bref, elle ne fait rien de plus qu'un évangélisateur avec une posture prétendument scientifique. Elle sort du champ de la science pour entrer dans la politique. Claude Lévi-Strauss n'a pas fait ça ; et s'il l'a fait, il avait chaque fois la prudence d'annoncer qu'il était conscient de l'écart qu'il se permettait. Ainsi donc, quand une sociologue, anthropologue ou psychologue se pose en féministe on est en droit de se demander si on n'a pas affaire à une politique ou une prédicatrice.



    Le féminisme que nous connaissons n'est pas plus vieux que nous. Il s'enracine dans la mémoire collective de l'après Deuxième Guerre mondiale où les femmes ont vécu une situation sociale qu'aucune autre époque n'a connue. Nos technologies les ont libérées de toutes les tâches astreignantes et consacrées reines du foyer avec la possibilité de jouir sexuellement à loisir, sans devoir enfanter, par la distribution de moyens de contraception de masse abordables. Si les femmes ont envahi le marché du travail, ce n'est pas tant parce qu'elles étaient des esclaves serviles voulant se libérer des hommes qu'à cause de l'ennui mortel qu'elles éprouvaient dans une économie de désir saturé. Peut-on comparer cette situation à toute autre époque où les impératifs sexuels de l'enfantement et une économie de besoins régissaient l'ensemble des rapports sociaux ? Comment Françoise Héritier peut-elle comparer des époques si antinomiques ? Comment peut-elle gloser sur les réalités sociales d'un matriarcat ou d'un patriarcat s'étendant sur des millénaires du haut de ses 77 ans ? Elle a succédé à Lévi-Strauss mais je constate qu'elle dérive dans un féminisme qui trahit son maître, un homme de terrain qui théorisait à partir du vécu concret avec les tribus dans lesquelles il s'intégrait avant de se permettre d'en parler. Lévi-Strauss n'a eu de cesse de montrer l'égalité de la valeur humaine indépendamment des cultures étudiées. Il reconnaissant la valeur de chacune d'elles et de son organisation, qu'elle soit matriarcale ou patriarcale. Son œuvre ne portait aucun jugement de valeur en faveur de l'une ou l'autre ; son point de vue n'était pas teinté de masculisme. Il observait et témoignait. (Écouter son témoignage sur le comportement de Simone de Beauvoir [3])



    Le monde de Françoise Héritier commence avec elle et le féminisme qu'elle avance. Pas avant. Penser le monde en terme de féminisme sur une terre hostile dangereuse et où la force de l'homme garantissait la survie de sa femme et de sa famille est d'un ridicule consommé qui ne montre que l'ignorance d'une « scientifique » née de la dernière pluie idéologique. Le féminisme ne peut parler que des femmes. Et c'est là tout son problème. Comment voulez-vous tenir un discours universel en ne parlant que des gens de votre propre sexe ? Les féministes militantes n'ont pas compris qu'elles s'aveuglent avec une idéologie borgne. Les grands esprits féminins comme Thérèse d'Avila ou Hannah Arendt n'ont pas de sexe. Leur réflexion est valide pour l'humanité entière. Le féminisme ne peut se les accaparer."

    http://leblogdenash.over-blog.com/article-comment-structurer-s-a-reflexion-sur-le-feminisme-88359916.html

  • Bonjour Leclercq,
    Un homme bien?
    C'est celui qui salue déjà son interlocuteur et qui ne tutoies systématiquement sans connaitre la personne qu'il a devant lui;
    Bonne journée

  • @ madison

    je comprends qu'avec des critéres aussi sélectif des hommes bien il n'y en ai pas beaucoup.

    il est vrai que la mode actuelle pour le choix du conjoint est à l'exigence.
    on le voit dans les annonces des sites de rencontre.
    le conjoint doit répondre a un certain nombre de critéres., "je le vaux bien" comme on fait son marché, et s'il ne correspond pas on le jette.

  • J'ai lu le premier commentaire d'un blogueur surpris qu'on prenne en compte la violence féminine contre les hommes... Moi, c'est simple : ma mère a tué mon père. Elle a mis une vingtaine d'années pour ça, chaque jour, à coup d'insultes, d'humiliations et de brimades diverses. Son coeur n'a pas tenu. Elle vit toujours, elle, en forme.
    J'ai circulé pendant des années comme visiteur médical. Je ne peux pas compter le nombre de foyers où j'ai assisté à des humiliations venant de la mère envers le père : "toi, tu n'y connais rien, tu es nul, tu n'as jamais rien compris..."J'ai même entendu souvent des allusions au sexe : "tu n'assures pas, tu ne vaux rien", etc...Et toujours la même scène : le mari bredouillant honteux, n'osant pas répondre. Il n'y a guère que dans certains milieux islamistes que j'ai assisté à de claires violences du mari envers sa femme.
    Ce que raconte le lobby féministe n'est qu'un tas de mensonges, de chiffres truqués destinés à détruire le masculin purement et simplement. Comme par hasard, on ne les entend pas au sujet des islamistes. Comme c'est bizarre...

  • Très cher Leclercq,
    Apparemment vous n'avez guère l'habitude des bonnes manières. Dire bonjour et vouvoyerc'est au-dessus de vos moyens intellectuels?
    Ne chezchez pas à noyer le poisson en parlant de site de rencontre et d'exigences.
    Rassurez vous également, je ne prends pas le site de Homme Libre pour un site de rencontre et je ne vous aurais jamais demandé un rencard demain soir, si vous m'aviez simplement répondu en me disant bonjour et en me vouvoyant;
    On gagne beaucoup plus le respect de quelqu'un avec soit un peu de bonne humeur et zeste de convenances.
    Et donc un homme bien c'est un homme qui connait les règles du savoir-vivre, même s'il n'a pas un cursus scolaire élevé ou un bagage professionnel impressionnant ses bonnes manières lui ouvriront plus facilement le coeur d'une dame qu'un énarque grossier et puant.
    Bonne nuit

  • @ bonjour madison.

    " Dire bonjour et vouvoyerc'est au-dessus de vos moyens intellectuels?


    qu'est que les moyens intecllectuels à faire là dedans rien.

    vous constaterz madison que peu de réponses contiennent ce bonjour qui vous permet de reconnaitre un homme bien.

  • @HommeLibre: " J'ajoute que les lois de genre sont équivalentes à des lois racistes". Bien vu, je vous rejoins complètement.

    Dans cette optique, il faudrait alors en Suisse aussi s'indigner contre:

    -L'absence d'un congé paternité équivalent à celui de la femme
    -L'absence de l'obligation de servir à l'armée pour les femmes
    -Même si cela ne relève pas d'un loi mais est tacitement accepté et même justifié par une importante frange de la gent masculine, la pratique d'un salaire inférieur en moyenne de 30% pour les femmes à poste égal pour un homme (je parle des salaires calculés au pro rata de 100%).
    -Le droit des homosexuels au mariage (puisque cela ne doit pas reposer sur le genre).
    Et au delà des lois écrites, s'indigner contre d'autres nombreuses coutumes qui participent aussi d'une forme de loi (je pense notamment aux tâches ménagères).
    A ce sujet, je salue le nouveau projet d'autorité parentale conjointe automatique des 2 parents sur les enfants. La loi actuelle, rétrograde, confiant toute autorité prioritairement à la mère pour les enfants hors mariage ou de parents divorcés, prive de ses droits élémentaires les pères et réduit la femme à son rôle de mère. C'est une loi fondamentalement sexiste envers les deux sexes. Je m'étonne encore qu'il n'y ait pas eu plus de grabuge à ce sujet. Y aurait-il eu consensus muet?
    Au plaisir de vous lire sur ces sujets.

  • @ Myriam

    " la pratique d'un salaire inférieur en moyenne de 30% pour les femmes à poste égal pour un homme (je parle des salaires calculés au pro rata de 100%)."

    tant que ça en Suisse en France, les critéres non mesurables (expérience effective rendement au travail ) + la discrimination c'est 5 à 10 % .

    (je pense notamment aux tâches ménagères).

    pourquoi donner tant d'importance aux taches ménagéres, c'est quand même le temps contraint qui compte.

    dans les enquêtes ce temps contraint se révêle équivalent pour l'homme et la femme dans le couple et encore les gros travaux dans les maisons ne sonts pas comptés dans les enquêtes. et ils sonts faits principalement par l'homme.
    oui il y a ségrégation des taches dans le couple et alors, la majorité des femmes n'onts pas la constitution physique pour faire certains travaux, ni l'envie d'ailleurs.

    "L'absence d'un congé paternité équivalent à celui de la femme"

    les hommes c'est de reconnaisance de leur rôle de pére qu'ils onts besoin pas de congé paternité pour jouer les méres bis.

  • @ Philippe-cho1

    merçi de dire la vérité.

    à quand une enquête sincére qui révélera, l'amplitude de la violence psychologique subie par les hommes.

    en réalité le but des féministes n'est pas de lutter contre la violence conjugales, mais de casser le contre pouvoir des femmes dans le couple par des lois qui protégent uniquement les femmes, en judiciarisant tout et n'importe quoi, en brisant l'harmonie des couples par de la propagande mensongére. sur la violence conjugale, les taches ménagéres, les sois-disants inégalités salariales.

  • @leclercq
    "en réalité le but des féministes n'est pas de lutter contre la violence conjugales, mais de casser le contre pouvoir des femmes dans le couple par des lois qui protégent uniquement les femmes, en judiciarisant tout et n'importe quoi, en brisant l'harmonie des couples par de la propagande mensongére. sur la violence conjugale, les taches ménagéres, les sois-disants inégalités salariales."

    Je doute que ce soit vraiment ça,à la façon d'un complot,et à part quelques exceptions pour lesquelles c'est le cas,c'est encore les droits et le respect de la femme qui les motivent à mon avis mais il leur est inconcevable de remettre un point en cause tellement ils sont persuadés d'être dans le côté juste et révolutionnaire des choses en toute circonstance,ce qui n'est pas le cas.

  • Vu le nombre d'infemmes par lequel vous êtes cernés, je crois qu'il ne vous plus que ça les mecs :
    http://www.youtube.com/watch?v=-r8-woE-r-I

  • @ nemo

    oui c'est vrai ce que tu dis mon analyse ne s'applique qu'aux prétresses.

    les autres récitent le prêche comme des paroles d'évangile sans se poser la moindre question, ça a été énoncé donc c'est vrai.

    en réalité ce n'est que du commérage à haut niveau.

    "

    mensonges exagération mauvaise foi. et lers responsables d'enquêtes trahissent la déontologie de leur métier.

    http://justice.pa-pa.normandie.over-blog.com/article-31512256.html

    "Les recherches « scientifiques » sur les « violences conjugales », sur les « tâches ménagères », sur les « inégalités de salaire », sont-elles vraiment des recherches et à plus fortes raisons scientifiques quand ceux qui les font sont des partisans d’une idéologie et ont déjà les réponses avant de les avoir cherchées ? "

    j'ai un ami sur lyon récemment qui se battait pour avoir la garde alternée de ses enfants, la juge des affaires familiales était féministe, donc sa partialité était admise.

    étonnant non, il me semble pourtant que l'impartialité fait parti de la déontologie de ce métier.

    bon il a eu la garde alternée en payant une pension équivalente à une garde normale, son ex femme a vendu son accord.

    et je suis déçu que Soral n'est pas été à la hauteur

    egaliteetreconciliation.fr/Alain-Soral-interviewe-par-Robert-Menard-sur-Sud-Radio-9338.html

    Le 25, Alain Soral était invité par Robert Ménard sur Sud radio à un débat de 17 minutes (une opportunité dont nous aimerions bien bénéficier !) sur le thème La France est-elle sexiste ? Certes, il a réussi à placer quelques vérités bien venues, mais sa prestation demeure décevante. C’est l’ocasion d’analyser les faiblesses et les limites d’un positionnement étroitement antiféministe.

    Ce qu’il a dit, et notre commentaire :

    - les campagnes anti-"violences contre les femmes" sont un moyen de détourner l’attention des vrais problèmes comme la crise économique, la pauvreté, etc. (très mauvais : ce n’est parce qu’il y a la crise qu’on ne doit plus parler d’autre chose ; les violences sont un vrai et grave problème, qu’il donne l’impression de mépriser) ;

    - il s’agit en fait de campagnes de culpabilisation des hommes, de guerre des sexes (très juste)

    - les chiffres concernant les femmes victimes sont biaisés, surévalués (souvent juste, mais alors il faut donner ses propres chiffres) ;

    - citation : "Il y a des violences contre les hommes dont on ne parle pas, surtout psychologiques" (c’est cela le plus important, mais il l’expédie en une phrase ; l’expression "homme battu" n’a été employée qu’une fois, par une intervenante hostile ! Enfin, les violences contre les hommes sont tout aussi physiiques que les autres) ;

    Ce qu’il faut dire dans un tel contexte :

    1) exprimer sa solidarité avec les femmes victimes ;

    2) expliquer que les hommes sont tout aussi gravement victimes, et en nombre égal. S’appuyer sur quelques chiffres simples, venant d’organismes reconnus (ONDRP)

    3) critiquer les campagnes non sur leur principe, mais sur leur contenu, à savoir qu’elles ne reconnaissent pas les hommes victimes, et en cela les discriminent.

    ...ce qui permet de répondre à la question posée par l’affirmative : oui, la France est sexiste... à l’encontre des hommes.

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?rubrique76

  • suite cette analyse est pas mal non plus.

    ". Les femmes souffrent véritablement mais l'origine de leur problème est ailleurs



    Le hic c'est que, comme ces femmes ne sont pas pour autant libérées de la conception des enfants, et que la démographie québécoise est aux antipodes de celle de la chine du XXe siècle, elles se retrouvent à supporter une surcharge cumulant tâches professionnelles et familiales. Si bien qu'elles portent la société à bout de bras pendant que le Québec, ayant l'un des plus bas taux de natalité en Occident, voit s'effriter sa culture traditionnelle à un rythme inquiétant, obligés que nous sommes d'ouvrir grandes nos portes à l'immigration afin de maintenir une population suffisante de travailleurs servant à payer une dette nationale sans cesse croissante. Le pire c'est que les femmes hypnotisées par le discours militant n'arrivent pas à voir qu'elles sont les artisanes de leur propre malheur. En rupture d'identité historique, familiale et nationale, elles se raccrochent à un idéal qui les a flouées paradoxalement en leur faisant croire en une nouvelle identité exaltante de travailleuses serviles dans un système économique qui courre à la ruine. Pire, elles se renfrognent toujours davantage contre l'homme, désigné d'office comme la source principale de tous leurs problèmes, et, complémentairement, on a vu surgir un mouvement symétrique de masculisme revendicateur emboîtant le pas dans la même voie. Henri Laborit a montré dans le film Mon oncle d'Amérique la dynamique opérationnelle de cette lutte inefficace qui maintient pourtant l'équilibre dans une situation de stress où deux rats sont mis en cage sans pouvoir échapper à l'environnement hostile. Le Pouvoir en place qui exploite outrageusement la force de travail du couple a su manœuvrer habilement les femmes des classes moyennes et inférieures pour que les énergies négatives suscitées par leur asservissement à la société de consommation bouclent dans le couple et reste ainsi dans la sphère privée. Au bout du compte, les couples sont stressés par l'environnement psychosocial et on leur fait croire que c'est le conjoint qui en est responsable. Ainsi donc, plutôt que se révolter contre le Système qui les exploite, les conjoints luttent l'un contre l'autre alors que la classe dominante s'enrichit à leurs dépens. Avez-vous remarqué que plus on s'élève dans la hiérarchie sociale, moins le féminisme est présent dans le discours féminin ? Ce n'est pas la belle femme séduisante dont l'apparence seule fait tomber les dollars qui s'inquiète de l'infériorité de son sexe mais la pauvre ouvrière de la classe moyenne qui doit vendre sa force de travail parce qu'elle ne dispose pas du capital beauté qui pourrait lui garantir une vie facile ? Même Simone de Beauvoir, bourgeoise accomplie, avoue n'avoir jamais souffert d'être femme et n'a rien à reprocher personnellement au genre masculin.



    Le féminisme est un mouvement de diversion qui va probablement s'effondrer en même temps que le Pouvoir économique qui l'a mis en place. Déjà on voit poindre le bout du tunnel alors que l'effondrement éminent de l'économie mondiale nous ouvre les yeux sur le mécanisme d'endettement national pour lequel on avait besoin de la force de travail massive des femmes engagées à le soutenir et dont on s'est servi pour apprivoiser les hommes récalcitrants traditionnellement plus difficiles à soumettre que les femmes. "

    http://leblogdenash.over-blog.com/article-comment-structurer-s-a-reflexion-sur-le-feminisme-88359916.html

  • liens lucides.

    http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2008-08-22/violences-conjugales-a-qui-la-faute/1597/0/268422

    http://www.lien-social.com/spip.php?article212&id_groupe=5


    le cas des PN "L’éducation peut jouer un rôle très important, en permettant aux individus de prendre une mesure des effets dramatiques que la violence peut avoir. De ce point de vue, il faudrait peut-être commencer par faire comprendre aux jeunes l’existence de limites, et leur montrer comment ces limites font partie de la condition humaine. "

    qui donne les limites aux jeunes le péres, je pense que des PN il y en aura de plus en plus, vu que le pére est éjecté de son rôle dans les familles où éjectés toiut court divorces.
    ( HTTP://WWW.PSYCHASOC.COM/TEXTES/MALE-DOMINANT-!-PERE-CONTESTE-!-N-Y-AURAIT-IL-PAS-D-AUTRES-VOIES

    "Pourtant le refus d’une fonction différente du père que certains veulent confondre avec le rôle sexiste et tyrannique du « père fouettard » n’est-il pas en grande partie responsable de l’effacement des pères, regretté aussi bien par les hommes que par les femmes ?
    L’homme, en effet, se limitant de plus en plus à un rôle maternant, devient souvent aux yeux de l’enfant, le simple auxiliaire d’une maman qui, par ses liens avec l’enfant (neuf mois de gestation…), sa nature (les hormones…), a plus de facilité dans ce domaine. Celle qui, au nom d’une égalité-identité ne voit plus la nécessité de faire appel à l’homme pour être le garant de la loi, ne lui permet pas d’être vraiment écouté par l’enfant qui reste dans la fusion avec la maman perçue « toute puissante ». Il ne faut pas s’étonner alors si celle-ci peut être tentée d’écarter celui qui devient gênant s’il n’est pas assez performant. Ainsi, non seulement il a peu de chance d’être « inter-dicteur » et donc éducateur, mais il risque, devenant inconsistant, d’être évincé et de ne même plus pouvoir jouer le rôle affectif de papa.
    Cette égalité ne satisfait pas les hommes qui ne se retrouvent pas dans le nouveau rôle qu’ils se donnent ou dans lequel les mamans veulent bien les cantonner. Elle ne donne pas davantage satisfaction aux femmes qui sont les premières à se plaindre qu’il n’y a plus d’hommes assez solides avec lesquels se confronter et sur lesquels aussi s’appuyer. )

    "Pourtant certaines politiques publiques, mises en place récemment, tentent justement de répondre à cette problématique ?
    Je crois que la tentative de résoudre le problème de la violence par une pénalisation toujours plus dure et plus violente des auteurs d’actes de violence n’est pas une réponse adéquate"

  • RHOOooooooooooooooooo RHoooooooooo MDRMDRRRRMDRRRRRRRRRRRRRRRR¨

  • @ Patoucha

    "RHOOooooooooooooooooo RHoooooooooo MDRMDRRRRMDRRRRRRRRRRRRRRRR"

    par rapport à quoi MDR je vois pas ?

  • suite

    "De leur côté les mères pourront sortir des conséquences nocives et dérégulées d’une décision à long terme qu’elles prennent seules, obligeant leur conjoint à une variété de réactions difficile à vivre, qui va du refus de la paternité imposée, à le voir se transformer en bon copain des enfants de peur « d’être jeté » et de ne plus les voir en cas de séparation, ce qui ne l’incite pas à assumer une autorité mais donne l’impression à la mère d’avoir un enfant de plus à charge ou de vivre avec un homme faux fuyant à la docilité feinte, hostile et contraignante."

    http://leblogdenash.over-blog.com/article-l-anachronie-fran-aise-1-la-contraception-et-la-paternite-86397441.html

  • Leclerc, ne cherche pas à comprendre la réponse de Patoucha, parce que c'est le genre de réponse qu'on donne quand on ne sait pas quoi dire et qu'on a l'air couillon.

  • Patricia, construis tes phrases correctement, en français pour qu'on te comprenne. Ensuite, ton lien pue le stéréotype misandre à plein nez...

  • "J'ai pas lu le billet plus loin que la phrase que j'ai mentionnée. Pas envie de débattre. De toute façon ya plus de débat ici à ce sujet."

    Effectivement, là on voit très bien le fin mot de l'histoire, tout est dit, ce n'est qu'une énième moutonne qui se complait dans sa haine des hommes et qui n'a surtout pas envie de sortir de son monde. Ne surtout pas lire ce qui pourrait faire changer d'avis, ce qui pourrait être dangereux pour l'idéologie féministe.... La mauvaise foi est omniprésente chez ces personnes, occupées à vomir sur la gent masculine.

  • @ John (cher homonyme):

    Naaannn, c'est un mouvement d'humeur. Je connais la dame, charmante. C'est elle qui m'a fait avoir le déclic pour écrire mon roman paru ce printemps. Elle est très sympa, mais là ça l'a pas fait. On a appris à se connaître, elle est cash, mais elle n'est pas dans la haine des hommes. Rassurez-vous Loredana est une chouette femme qui apprécie les hommes.

  • tolérance mutuelle, c'est le mot clé. N'empêche qu'on ne peut pas nier l'importance de l'existence masculine et ses prérogatives dans la vie. Évidemment on ne fait pas comme dans le monde arabe, mais en adoptant ça, on limite les dégâts, d'ailleurs on connaît parfaitement le Nicaragua.

  • Hommelibre,

    Vous êtes choqué par cette loi? Je suis étonné. L'idéologie féministe est pourrie à la base. L'idéologie du genre ou du hommes tous bourreaux, femmes toutes victimes, ne sont que les têtes d'une hydre monstrueuse. Pensez-vous que l'affiche des Femen est une aberration?

    Le féminisme n'est pas la lutte pour l'égalité, mais la lutte pour la femme. Vous vous souvenez peut-être des phrases sur la parité que j'ai retranscrit?
    On voit ici l'essence du féminisme.

    Ceux et celles qui croient lutter pour l'égalité entre les sexes sont manipulés par les misandres. Il n'est pas étonnant que les Pussy Riots aient été sévèrement condamnés; ils ne sont pas cons, en Russie...

    Après tout, une femme sur 10 subit des violences...

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