Deux ou trois choses de Koh-Lanta.
En général je regarde quelques minutes puis je zappe vers autre chose. Pourtant mardi dernier j’ai regardé plus longuement l’émission phare de TF1. J’y ai constaté trois choses intéressantes.
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Deux ou trois choses de Koh-Lanta.
En général je regarde quelques minutes puis je zappe vers autre chose. Pourtant mardi dernier j’ai regardé plus longuement l’émission phare de TF1. J’y ai constaté trois choses intéressantes.
Depuis le temps qu’on le martèle sur tous les médias, vous commenciez peut-être à y croire? Certaines femmes ont-elles développé de bonne foi un complexe victimaire sur la base de ce mythe? Je reviens plus en détail sur ce sujet chaud.
Elles doivent être trop moches pour faire carrière à Hollywood. Aucun producteur n’a voulu d’elles contre un rôle dans un film. Et Weinstein, pas trop regardant sur l’exposition des chairs hollywoodiennes, est hors service.
D’un côté le site de la Confédération helvétique tord une bonne fois le cou à cette pure invention: il n’y a pas de discrimination salariale liée au sexe entre les fonctionnaires.
Qu’elle est séduisante cette photo du scandale. L’enfant est bien visible, en rouge, effondré dans les bras de sa mère, bien en noir. Le rouge et le noir. Le flou participe à l’esthétique. C’est un tableau. Presque une pietà, sauf qu’ici c’est l’enfant qui pleure et non la mère. La photo, déjà culte, montre son garçon blotti contre elle, qui garde une attitude calme et digne.
Le 21e siècle va tourner au vinaigre. La destruction de l’État de droit est en cours. Partisans de la charia, féministes radicales, minorités racisées, réseaux sociaux: le camp dit progressiste se déchaîne contre le fondement de la démocratie. La guerre politique et culturelle pourrait emporter même les modérés.
Le 19:30 de la télévision romande commentait hier les cent ans de la section femmes du Parti socialiste suisse. Avec une interview de la Conseillère fédérale Simonetta Sommaruga, et des chiffres sur la possible discrimination salariale vécue par les suissesses (vidéo sous le billet).
Anciennement, si l’on voulait être accepté dans un groupe, on devait faire preuve de ses compétences, ou de sa volonté d’intégration. Aujourd’hui il suffit de se dire discriminé pour voir une nuée d’angelots en faire une affaire politique.
Surgie sur le ballon comme un diable à ressort, Amandine Henry a marqué samedi un superbe but contre l’Autriche lors de l'Euro 2017. Un corner tiré au deuxième poteau, une tête puissante et précise et la joueuse des Bleues sauvait son équipe (vidéo ci-dessous).
Il y avait un manque. Le clitoris est insuffisamment traité dans la plupart des manuels de Sciences Naturelles: dessin incomplet, nom manquant, organe carrément absent. Selon un petit groupe d’enseignants c’est une discrimination.
Les belles journées de mars ont fait sortir un groupe de joueurs de pétanque pas loin de chez moi. Je suis moi-même un joueur très moyen mais j’aime ce sport. Je me suis approché d’eux pour les regarder.
Récemment sur l’émission C dans l’air, le directeur de l’Express, Christophe Barbier, critiquait la proposition de Jean-Luc Mélenchon: celui-ci ne pourrait pas renflouer les caisses de l’État en augmentant les salaires féminins au niveau des salaires masculins.
C’était début novembre. Le déneigement égalitariste rose-vert connaissait ses premiers coups de balai sur la neige précoce. Il était supposé améliorer la vie des femmes. Raté. Que s’est-il passé?
Suite au billet précédent, un autre document va nous intéresser. L’enquête commentée hier, sur laquelle s’appuie le Bureau genevois de l’égalité, est partielle. Elle ne prend pas toutes les formes d’implication dans la famille ou le couple.
La Tribune de Genève de ce jour rend compte d’une enquête sur la répartition des tâches domestiques. Sous un titre assez malheureux: « Les hommes rechignent au ménage et à l’éducation ».
Les lois sur l’égalité professionnelle offrent parfois des variations selon le sexe. Car la loi tient compte des caractéristiques naturelles des sexes. Ce qui produit une discrimination, si évidente que personne ne la conteste.
Une lettre de mon correspondant français revient sur la parité en politique. Il interpelle l’auteur d’un article du magazine Marianne, qui suppute que Nathalie Kosciusko-Morizet profitera de la journée de la femme pour annoncer sa candidature au primaires, et rappelle qu’il y a peu de candidates à droite.
Du moins n’en parle-t-on pas comme d’un délit. On ne voit pas le Parquet intervenir, ni les ligues de défenses de la superégalité oussque tout le monde est pareil et radieux. La volonté de fabriquer le meilleur des mondes semble sélective.
En Suède des féministes ont lancé une campagne inattendue. Leur sympathie pour les migrants est particulière puisqu’elles demandent aux hommes européens: « S’il vous plaît ne nous protégez pas si nous sommes violées par des immigrants ».
Pour la première fois depuis longtemps je trouve un réel fond à un discours féministe. Il s’agit du féminisme évolutionniste, défendu par Peggy Sastre dans sont récent livre « La domination masculine n’existe pas ».