J’entends et lis de nombreux avis sur la catastrophe annoncée du monde en 2012. Dans ce domaine la gauche construit son nid. En France on dirait que les tenants d’une gauche dure se sont mis à faire quelque chose qui ressemble à du Le Pen. Ainsi sur un billet du directeur de Mediapart, Edwy Plenel.
Trois propositions sont à relever dans ce texte.
1. Le déni de la démocratie
Le rappel des révolutions arabes et le livre Indignez-vous servent de prétexte à cette phrase étonnante:
«Qu'attendons-nous pour suivre l'exemple des peuples qui ont pris le risque d'écrire leur histoire plutôt que de continuer à la subir ?»
Que dit-elle? Que comme les pays arabes auxquels elle se réfère nous devrions descendre dans la rue pour changer le pouvoir, la vie et le monde. Elle est complétée par celle-ci:
«Or, tandis que les idéaux démocratiques sont portés, revigorés et réinventés, par des peuples qu'elle a longtemps ignorés ou méprisés, l'Europe semble se résigner à leur déclin.»
Serait-ce que la démocratie n’existe plus en Europe? Serait-ce que celle qui s’installe dans les pays arabes est plus avancée? Voulons-nous revenir à un régime où la religion dicte la politique? Le vote, fréquent à différents niveaux dans nos pays (entreprise, prud’hommes, local, national) ne suffit-il plus? Faut-il élire un nouveau président chaque année? Mettre toute délégation de pouvoir sous la menace de la rue ou d’un vote trop rapproché qui le bloquerait? Il n’y aurait plus aucune initiative prise. Plus de réelle gouvernance. L’incitation à suivre l’exemple arabe est une forme de déni de notre démocratie.
La démocratie représentative n’est pas un système parfait. Mais c’est loin d’être le pire. D’ailleurs, un système où l’indignation suffit est au fond assez paisible. L’indignation, réaction éminemment narcissique dont la vraie révolte est absente. Albert Camus a écrit «L'homme révolté». Il n'aurait jamais écrit: «L'homme indigné».
Indignez-vous, descendez dans la rue même sans projet, le vote ne sert plus à grand chose: voilà bien un discours démagogique. Déplorer un supposé manque de démocratie est d’autant plus intriguant qu’il se produit sur un portail de blogs où la direction enlève du pouvoir aux blogueurs (bien qu’ils paient): pas d’accès aux statistiques, ne serait-ce que pour savoir si ce que l’on écrit intéresse quelqu’un, et impossibilité de supprimer soi-même des commentaires injurieux ou calomniatoires - précisons que la modération exercée par la direction est soit très lente, soit peu enthousiaste. La polémique saignante attire et fait rentrer de l’argent. La morale et la loi passent après. Chacun sa forme de soumission au dieu Money, et chacun sa petite dictature locale...
2. L’échec de l’Europe
C’est très à la mode: l’Europe est en pleine débâcle, elle est foutue.
«Vingt ans après la chute de l'URSS, précédée de celle du Mur de Berlin, l'Europe contemple sa défaite.»
L’Europe est probablement allée trop vite dans l’acceptation de pays qui n’étaient pas prêts. Le souci d’homogénéité à l’échelle du continent, peut-être. Mais elle existe, après des siècles de guerres et de rapports de force et de domination entre les Etats. Elle se donne des règles du jeu économiques. Son existence et le projet encore inabouti qu’elle contient sont des facteurs de nouvel équilibre mondial et de paix. L'Europe a déjà accumulé de grandes victoires: la paix, l'union de peuples et de cultures si différents, une plus grande force dans l'équilibre mondial. Même si cela est encore à perfectionner, même si tout ne fonctionne pas autant que souhaité, même si les politiques lâchent trop de lest face à la finance et ne remplissent pas le rôle d'équilibre privé-public, l'Europe est une victoire sur le passé et sur le monstrueux nationalisme qui l'avait quasiment détruite. Détruisons à nouveau l’Europe, et la guerre sera sur notre sol européen dans quelques décennies.
On peut reprocher à ces nouveaux Etats-Unis d’avoir été trop vite et de ne pas prendre toujours les meilleures décisions - par exemple, comme le proposait Libération il y a quelques semaines, faire de la Banque centrale européenne un organisme de prêt aux pays pour apporter de la concurrence aux marchés. On peut aussi souhaiter, dans l’idée de l’ordo-libéralisme allemand, que les Etats soient de vrais partenaires entre le monde de l’économie et celui du travail. Mais il faut soutenir l'Europe, pas écrire sa défaite et sa nécrologie. Elle tient, malgré les attaques violentes dont elle est l'objet de l'extérieur comme de l'intérieur.
On fustige donc l'Europe et ses dirigeants. Mais, quelle formation politique propose et le projet et les hommes et femmes susceptibles de la faire avancer positivement? La gauche dure est presque soeur jumelle du Front National: souverainisme, constat d’échec de l’Europe, agression intellectuelle contre la démocratie représentative, démagogie. Hollande fait du Sarkozy. Sarkozy a de mauvaises manières. Le FN est détesté. Les Verts ont montrés qu’ils sont des rouges. Et les autres sont peu audibles. Voter pour qui? Faire une révolution pour quoi? Pour la résurrection des morts?
Car dans cette nécrophagie de l’Europe on pourrait presque entendre le fantôme de Staline se relever de son cercueil.
3. Le peuple est un porc
Enfin, on peut lire un soutien immodéré au dissident chinois Liu Xiaobo, condamné à neuf ans de prison pour délit d’opinion. Il avait prôné une «évolution pacifique de la Chine vers la démocratie». Etrange contradiction: on accepte que les pays arabes inventent leur propre démocratie - entre autres en proposant une nouvelle séparation citoyenne des hommes et des femmes et en mettant dieu au pouvoir, mais on n’accepte pas que la Chine invente sa propre forme de démocratie. Valoriser les pays arabes ne mange pas de pain, c’est le succès assuré pour l’orateur démagogique. Dénoncer les anciennes tyrannies du Maghreb est à la mode à gauche, même si l’on passe un peu vite sur le fait que ces tyrannies étaient issues de régimes qui ont été des exemples du «socialisme libérateur».
Liu Xiaobo parle de la philosophie du porc à propos du peuple chinois: «Du porc qui se vautre dans la satisfaction immédiate de ses désirs et de ses envies, de sa seule survie à rebours de tout idéal.» Il suffit donc qu’un seul individu traite un peuple entier de porc pour qu’il devienne un héros de la gauche française. Ben voilà, il suffisait de le dire!...
Que le peuple souhaite d’abord survivre et améliorer ses conditions de vie ne semble pas légitime aux yeux du dissident. Le peuple ne fait pas comme pense le prix Nobel 2010, donc le peuple est un porc. Triste dévaluation du prix Nobel de la paix. Douteuse image de la dissidence. Et dire que l’estimé Vaclav Havel a préfacé son livre. On est vraiment dans la plus grande confusion intellectuelle.
Il semble que la gauche, originellement libertaire, qui devrait être un laboratoire critique de la pensée et de la société dans ses injustices, n’arrive plus à inventer la poudre. Elle ne pense plus. Elle se contente de répéter des poncifs et des clichés, et se satisfait d’un univers qui va de l’indignation narcissique à la résurrection des morts.
Commentaires
Mais alors, John, quel choix entre la gauche dogmatique et la droite arrogante ?
Michel: c'est bien la question!
Je pense que c'est d'une part une question de personnalités solides et audacieuses, indépendantes d'esprit, et d'autre part d'un projet mixte libéral-social. D'une gauche qui accepte le marché sans états d'âme et qui ne ressasse pas ses vieux démons, d'une droite qui comprenne que le bien de chacun est lié au bien de tous.
Ce n'est pas impossible, cela existe en partie déjà. Mais l'époque est si délétère que la démagogie prend le dessus sur la raison et l'espoir.
Je pense qu'il faut débattre plus, et cliver moins.
Un peu, beaucoup, trop de démagogie. Le problème est de taille car le peuple n'est plus vraiment près aux propos mesurés. Les populations ne veulent plus entendre du discours médian qui est méprisé car il semble ménager la chèvre et le choux. Hors si on donne tout à un camp, l'autre camp déguerpi (le capital). Si l'on donne tout au camp opposé (aux riches), c'est la révolution dans la rue, l'indignation tant vue partout en 2011. Plus personne n'a envie d'entendre des gens qui disent: nous sommes une société de type socio-libérale. Le rêve est brisé à force de magouilles, de chômage, de gens qui tombent au champ des pressions économiques et sur leur lieu de travail où le mobbing devient presque une règle pour garder la tête de la compétition entre entreprises. Travailler plus, exiger plus, rentabiliser plus. C'est cela que Sarkosy voulait dire quand il partait à la conquête de l'Elysée. Jamais de mieux gagner sa vie comme dit sur le terrain du gros mensonge politique ou de mieux gérer l'entreprise en accordant aux employés une respiration plus proche d'un "temps plein" harmonieux que d'un presse-citron infernal. La crise de l'Europe, c'est aussi la crise des délocalisations industrielles vers des pays où les salaires sont moindre et les conditions sociales déplorables. La crise de l'Europe c'est une façon de spéculer qui a perdu tout sens des réalités du terrain avec des salaires et des bonus énormes délivrés aux traders et dirigeants des banques. On ne prête qu'aux riches et les riches n'ont fait qu'emprunter toujours plus aux Etats et à la Banque Centrale Européenne. Pour arriver à quel résultat? L'asphyxie économique et sociale des peuples.
Mon espoir, c'est François Bayrou. Casser les structures de la gauche et de la droite avec un homme neuf prêt à oser ce que les autres n'osent plus: prendre son indépendance vis-à-vis du système financier tout en ayant un sens profond de la justice, de la simple loi humaine du bon sens collectif. Je crois que ce bonhomme méprisé aujourd'hui par nombre de journalistes et de médias, pourrait réussir ce miracle français de redonner un peu de cohésion à la France...et par ricochet à l'Europe toute entière. Je me trompe peut-être. Mais dans le marasme actuel de la gauche et de la droite, cette révolution d'un homme hors sérail politique traditionnel ferait le plus grand bien à ce pays souffrant de sclérose.
Un homme croyant en Dieu de façon non dogmatique et rigide, tel comment je regarde et ressent cet homme bon et honnête qu'est François Bayrou qui a toujours cru qu'il irait au bout de son rêve. Devenir calmement et raisonnablement le Président de tous les Français et Françaises.
Le grand "yaqua" devrait pendre des cours d'économie, le petit il "fautque" devrait prendre des cours d'histoire, en particulier sur l'histoire de l'humanité qui existe depuis des millions d'années et non depuis 12000 ans..
-Nous sommes dans la démagogie depuis que nos politiciens et leurs suces bites n'ont pas compris qu'il fallait transformer nos écoles de fabrication de salariés, par des écoles d'entrepreneurs.
-Nous sommes dans la démagogie en matière de formation et d'éducation.
-Nous sommes dans la démagogie depuis 2012 ans...
-Certains sont dans la démagogie et la haine depuis 1600 ans environ.
-Nous sommes dans la démagogie depuis l'ère industrielle; ils ont "cru" que les énergies fossiles -c'était un don de dieu pour l'éternité...
-Nous sommes dans la démagogie pour plein de raisons, dont une que nous risquons de payer très lourdement: "la fausse liberté" au nom d'un concept aux croyances pouraves.
-Nous sommes dans la démagogie et dans le mensonge au proche orient et ailleurs; mais là, le conflit va être sanglant.
Bayrou est le responsable de la formation des faux culs du centre, qui rejoignent l'UMP en galopant -le cigare au groin....suivez mon regard. Giscard le centriste -au petit cul entre deux chaises, nous a déjà fait le coup en d'autres temps; ils parlent et prêchent comme des socialistes, pour être élu, une fois sur le fauteuil, ils vont là ou ils sont inféodés.Là également, suivez mon regard...Le fric et le pouvoir ..
Si un fervent de la croyance au vieux barbu avait la recette magique, cela se saurait depuis 2012 ans! C'est loin d'être le cas! Il faut arrêter de rêvasser et de raconter du "charabia" pour cerveaux englués dans la guimauve des croyances.
Actuellement il n'y a pas de leader, d’entraîneur avec un projet digne de ce nom. Si c'était le cas, là aussi, cela se saurait.
Nous avons par contre tous les dangers devant nous; rare sont celles et ceux qui disent la réalité. Ils mentent afin d'arriver au pouvoir rien de plus.Ils sont inféodés aux croyances et au monarchies de l'argent.
Le débat en France et aux USA ne fait que commencer. La faillite elle, est bien en route, elle va faire des ravages même en Suisse. Protégez vous avec l'or physique, c'est le moment de charger le bourricot.(l'or physique à baissé, il n'ira guère plus bas.) Surtout,ne pas l'acheter aux banquiers européens, mais à : "http:/www.aucoffre.com"
Si vous ni "croyez" pas, faite le pour vos enfants.
Je garde tous mes commentaires sur le sujet économique,-stratégie politique; ce que j'écris fait partie du travail d'analyse auquel je me livre depuis des années. Je ne m'exprime pas avec des croyances, des sentiments, ou pour le bien paraître, mais uniquement avec du concret. J'ai une vision de l'avenir.Celle-ci n'a aucun rapport avec les diseuses de bonne aventure, les divinités ou l'horoscope pour crétins dépressifs.Cela va de soit...
Nous ne sommes plus en démocratie depuis bien longtemps. Cette démocratie est devenue un simulacre, car imperceptiblement les rênes du pouvoir sont passées dans les mains des milieux d' affaires économique.
Malheureusement, le peuple est devenu complètement dépendant de cela. Vivre aujourd'hui c'est faire partie de ce système économique ou crever à l'écart. Il n'y a aucune démocratie à ce niveaux là. En plus être en dehors du système revient quasi a être hors la loi.
C'est pas l'Europe qui est spécialement en échec, c'est ce système qui a atteint ses limites, plus les ressources de la planète atteignent aussi leurs limites. Le rôle politique est très limité et il se borne a gérer ces symptômes.
Le problème vient de ce que le peuple attend l'impossible de la politique et le politique ne peut que faire des emplâtre sur une jambe de bois et est limité par le mur économique.
La croissance ne peut plus croître, enfin celle dont ont parle usuellement et les solutions de renouvellement ne peuvent passer que par une créativité issue de la population. Peut être serait il temps de faire de la croissance sur d'autre valeurs.
La politique ne peut qu'encourager ou valider des chose qui ont été inventée ailleurs que dans ses milieux
@ aoki vous avez raison!
Pour être créatif il faut une autre éducation que celle qui a cour actuellement dans bien des écoles. Former des perroquets afin qu'ils disent la même chose, pour qu'ils soient tous ou presque des salarié qui -attendent qu'on (le on est un con) leur donne du travail qui se fait de plus en plus rare....
La réforme du système éducatif ce n'est pas plus ou moins de profs ou d'universitaires, mais bien une refonte progressive et rapide pour que les jeunes apprennent à entreprendre par des méthodes créatives qui responsabilisent l'individu.
Les formations bidons sont majoritaires en France,en Europe et dans le monde. Combien de personnes en sorte avec le super slogan: "il me faut un stage" ou encore "il me faut un CDD" ou enfin, j'ai un CDI mais ça ne paye pas! Qu'elle médiocrité c'est lamentable.Je ne parle pas des gens qui déclarent attendre qu'on leur donne du travail...Qui "on" ?
Créer un statut pour entreprendre, tout le monde peut le faire. C'est la suite le plus important et là, les chiffres sont éloquents bien peu en final passent le cap des trois ans.
Il y a pourtant bien des créneaux d'activités ou il manque du monde bien formé, et ou, il y a matière à créer des PMI et PME. Le statut d'indépendant dans les services par exemple, il y a de quoi faire! Bref, ce n'est pas l'activité ou plutôt le besoin qui manque, mais la volonté politique. La difficulté est que l'éducation de celles et ceux qui sont à des postes à responsabilité est elle aussi, médiocre pour une partie.
@HOMMELIBRE ,MERCI POUR VOS BONS VOEUX QUI ME VONT DROIT AU COEUR ET QUE J'AI PU TROUVER SUR LE SITE DE MARIE-JEANNE ,SITE LIE A L'AUTISME
TOUTE BELLE ANNEE 2012 POUR VOUS AUSSI
Bonne année Lovsmeralda!!Je vous biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiise!! Smack...
Tout est relatif, mais il y a du vrai...
La cigale et la foumi !!!!!>
> > > > >
> > > > >
> > > > > La cigale et la fourmi
> > > > > Version allemande et version française
> > > > >
> > > > > *VERSION ALLEMANDE *
> > > > >
> > > > > Une fourmi travaille dur tout l'été dans la canicule.
> > > > >
> > > > > Elle construit sa maison et prépare ses provisions pour l'hiver.
> > > > >
> > > > > La cigale pense que la fourmi est stupide, elle rit, danse et joue.
> > > > >
> > > > > Une fois l'hiver venu, la fourmi est au chaud et bien nourrie.
> > > > >
> > > > > La cigale grelottante de froid n'a ni nourriture ni abri, et meurt de froid.
> > > > >
> > > > > FIN.
> > > > > ________________________________________________
> > > > >
> > > > > *VERSION FRANCAISE*
> > > > >
> > > > > La fourmi travaille dur tout l'été dans la canicule.
> > > > >
> > > > > Elle construit sa maison et prépare ses provisions pour l'hiver.
> > > > >
> > > > > La cigale pense que la fourmi est stupide, elle rit, danse et joue tout l'été.
> > > > >
> > > > > Une fois l'hiver venu, la fourmi est au chaud et bien nourrie.
> > > > >
> > > > > La cigale grelottante de froid organise une conférence de presse et demande pourquoi
> > > > > la fourmi a le droit d'être au chaud et bien nourrie tandis que les autres, moins chanceux
> > > > > comme elle, ont froid et faim.
> > > > >
> > > > > La télévision organise des émissions en direct qui montrent la cigale grelottante de froid
> > > > > et qui passent des extraits vidéo de la fourmi bien au chaud dans sa maison confortable
> > > > > avec une table pleine de provisions.
> > > > >
> > > > > Les Français sont frappés que, dans un pays si riche, on laisse souffrir cette pauvre cigale
> > > > > tandis que d'autres vivent dans l'abondance.
> > > > >
> > > > > Les associations contre la pauvreté manifestent devant la maison de la fourmi.
> > > > >
> > > > > Les journalistes organisent des interviews, demandant pourquoi la fourmi est devenue
> > > > > riche sur le dos de la cigale et interpellent le gouvernement pour augmenter les impôts
> > > > > de la fourmi afin qu'elle paie 'sa juste part'.
> > > > >
> > > > > La CGT , Le Parti Communiste, la Ligue Communiste Révolutionnaire, les Verts, le Modem,
> > > > > la Nouvelle Gauche, la Nouvelle Droite, le Juste Centre, organisent seat-in et manifestations
> > > > > devant la maison de la fourmi.
> > > > >
> > > > > Les fonctionnaires décident de faire une grève de solidarité de 59 minutes par jour pour une
> > > > > durée illimitée.
> > > > >
> > > > > Un philosophe à la mode écrit un livre démontrant les liens de la fourmi avec les tortionnaires d'Auschwitz.
> > > > >
> > > > > En
réponse aux sondages, le gouvernement rédige une loi sur l'égalité
économique et une loi (rétroactive à l'été) d'anti-discrimination.
> > > > >
> > > > > Les impôts de la fourmi sont augmentés et la fourmi reçoit aussi une amende Pour ne pas
> > > > > avoir embauché la cigale comme aide.
> > > > >
> > > > > La maison de la fourmi est préemptée par les autorités car la fourmi n'a pas assez d'argent
> > > > > pour payer son amende et ses impôts.
> > > > >
> > > > > La fourmi quitte la France pour s'installer en Suisse où elle contribue à la richesse
> > > > > économique.
> > > > >
> > > > > La télévision fait un reportage sur la cigale maintenant engraissée.
> > > > >
> > > > > Elle est en train de finir les dernières provisions de la fourmi bien que le printemps soit
> > > > > encore loin.
> > > > >
> > > > > Des rassemblements d'artistes et d'écrivains de gauche, se tiennent régulièrement dans
> > > > > la maison de la fourmi.
> > > > >
> > > > > Le chanteur Renaud compose la chanson 'Fourmi, barre-toi!'...
> > > > >
> > > > > L'ancienne maison de la fourmi, devenue logement social pour la cigale, se détériore car
> > > > > cette dernière n'a rien fait pour l'entretenir.
> > > > >
> > > > > Des reproches sont faits au gouvernement pour le manque de moyens.
> > > > >
> > > > > Une commission d'enquête est mise en place, ce qui coûtera 10 millions d'euros.
> > > > >
> > > > > La cigale meurt d'une overdose.
> > > > >
> > > > > Libération et L'Humanité commentent l'échec du gouvernement à redresser sérieusement
> > > > > le problème des inégalités sociales.
> > > > >
> > > > > La maison est squattée par un gang de cafards immigrés.
> > > > >
> > > > > Les cafards organisent un trafic de marijuana et terrorisent la communauté...
> > > > >
> > > > > Le gouvernement se félicite de la diversité multiculturelle de la France.
> > > > >
> > > > > FIN
@PIERRE NOEL, UN GRAND MERCI POUR VOS BONS VOEUX ET LES BIZZZZ, J'EN PROFITE POUR VOUS EN RETOURNER UNE PLEINE CUVEE 2012 FAITE DE JOIES ET UNE SANTE A DECROCHER LA LUNE ET LES ETOILES
«Du porc qui se vautre dans la satisfaction immédiate de ses désirs et de ses envies, de sa seule survie à rebours de tout idéal.»
Vous savez je pense exactement la même chose des peuples en Europe. Détaillons le pourquoi du comment. Les désirs sont les boîtes de nuits, jeux de hasards, alcool, jeux-vidéos, facebook, divers gadgets : console, PC, moto,... tout ce qui occupe le citoyen lambda et le conditionne dans sa pseudo-liberté.
Par ailleurs les politiciens sont des cibles faciles pour les citoyens, mais ils agissent depuis des siècles pour des gens dont on entendra jamais parler dans les médias : franc-maçons, sectes ... qui ont inventé les ingrédients divisant les peuples : féminisme empêchant les pays en voie de développement de s'émanciper : l'écologie pendant qu'eux sont responsables de plus du quart de la pollution mondiale. Quand à l'économie, la mondialisation est responsable de tout ce marasme.
Je regrette que chaque pays ne soit pas capable de s'assumer, sans prendre un autre pays comme exemple. le modèle américain entre autre qui par sa culture néo-libérale a détruit toute harmonie, amour, personnalité des autres pays.