Après Toulouse la gauche française enfourche à nouveau ses démons et se trompe de cible. Un exemple: «Plus de questions dérangeantes, plus de réflexions stimulantes, plus de débats utiles, plus de critiques constructives. Rien d’autre qu’un silence général avec une seule voix autorisée, celle du pouvoir, d’un pouvoir réduit à son essence policière» ?
plenel
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Le silence de l’indigné
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Bienvenue à Démagoland
J’entends et lis de nombreux avis sur la catastrophe annoncée du monde en 2012. Dans ce domaine la gauche construit son nid. En France on dirait que les tenants d’une gauche dure se sont mis à faire quelque chose qui ressemble à du Le Pen. Ainsi sur un billet du directeur de Mediapart, Edwy Plenel.
Trois propositions sont à relever dans ce texte.
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L'identité ultime (deuxième partie)
Dans la première partie je propose le constat que le lien entre un individu et le territoire d’où il vient est un lien naturel. Le fait d’être né dans un pays, d’en posséder une pièce d’identité, d’y avoir de nombreux souvenirs, d’en parler la langue, marquent profondément l’identité. C’est l’identité-racine, soit la reconnaissance de qui nous sommes et des fondements territoriaux, culturels et sociaux qui font de nous un individu qui vient de quelque part.
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L'identité ultime (première partie)
J’écoutais Edwy Plenel chez Ruquier cette nuit. J’écoutais sa critique des institutions et de l’hyperprésidence, cette hyperprésidence qui a été à une époque plébiscitée par les français afin que le pays sorte de l’enlisement parlementaire de la 4e République. Sur la fin je l’écoutais sur le racisme et sur la notion d’identité qui fonde le racisme.