On savait que la grande industrie a contribué au féminisme en utilisant les bras des femmes pour faire tourner ses usines et développer le consumérisme que nous connaissons. Aujourd’hui le business fait son beurre des théories de genre qui ont décrété que les filles et les garçons n’ont aucune autre différence entre eux autres que celles que la société aurait décidé.
Les femmes pleurent davantage
Comme si le fait que les hommes allaient et vont à la guerre était un choix sexiste. C’est d’abord une stratégie de survie de l’espèce. Mettez les femmes à la guerre: la mortalité féminine sera si importante qu’elles ne seront plus assez nombreuses pour faire des enfants. Alors qu’un seul homme suffit à féconder de nombreuses femelles. On a moins besoin des mâles. C’est comme ça. L’individu mâle est plus facilement remplaçable que l’individu femelle.
On peut dire qu’aujourd’hui il n’y a pas de guerres et que l’homme a moins besoin d’être un guerrier. Ce n’est pas vrai partout et l’on ne sait pas de quoi sera fait l’avenir. Et puis il n’y a pas que la guerre. Selon mon expérience et les confidences que je reçois de nombreuses femmes, elles aiment les hommes qui assurent. Il peuvent pleurer un peu, c’est touchant, mais il ne faut pas que cela dure. Elles doivent sentir que si elles ont besoin de lui il répond présent et fait front sans s’apitoyer sur lui-même. Elles doivent s’assurer qu’il a assez de testostérone, quoi! Cliché? Peut-être. Ou réalité bio-psychologique.
D’ailleurs les larmes sont un moyen de communication féminin plus que masculin. Les femmes pleurent en moyenne 4 à 8 fois plus que les hommes. C’est en partie dû à une hormone féminine, la prolactine. Mais c’est possiblement aussi un signal relationnel. Les femmes ayant en moyenne 30% de muscles en moins, elles ne peuvent pas forcément rivaliser dans un conflit. Les larmes sont destinées à toucher l’autre, à dévier l’énergie de lutte vers autre chose que le corps musculaire. Alors les hommes qui pleurent trop ne répondent plus aux attentes profondes de bien des femmes. Ils leur prennent leur moyen de communication. Ils se montrent insuffisamment capables de lutter - donc de protéger et d’assurer la sécurité. S’agit-il là encore de clichés? Pas seulement à mon avis. La culture et le corps sont étroitement liés dans la construction des comportements. La plupart des femmes attendent de l’homme qu’il sache ce qu’il veut et qu’il ne soit pas ballotté par ses émotions. C’est peut-être un instinct de femelle monogame qui veut un cadre solide autour de ses petits. Et pourquoi pas?
La neutralité n’est pas neutre
Aujourd’hui quelque idéologues pétries de peur de la différence ont décrété que les différences entre femmes et hommes ne sont que du vent ou qu’un moyen de domination sur les femmes. Comme si les garçons qui jouent avec des épées n’étaient pas aussi capables d’amour et de tendresse. Comme si les pères ne s’étaient jamais extasiés devant leurs enfants. Cela me fait penser à l'idée selon laquelle la maternité est un enfermement et que seule l’indépendance économique permet la libération des femmes. Liberté des femmes, liberté des hommes: les hommes qui travaillent pour nourrir leur famille sont-ils libre de faire ce qu’ils veulent de leur corps et de leur argen? Non.
Une maison de jouet suédoise a décidé de changer de genre pour son nouveau catalogue. Les garçons y sont présentés comme jouant à la poupée sans une fille pour partager ce jeu, et les filles y tiennent des armes factices et sont habillées de T-Shirt bleus. En réalité les jouets ne sont pas plus neutres qu’avant: on a simplement inversé les représentations habituelles et créé un nouveau cliché. On décide de former une nouvlle tendance. On impose cela aux garçons. Ils doivent s’occuper des poupées, faire pipi assis, materner, et les filles vont au travail ou à la guerre. Ce n’est pas neutre. Il n'y a pas de véritable neutralité entre les sexes. La neutralité est un concept intellectuel, une attitude, pas une disposition corporelle. Il faut accepter et respecter la différence. C'est plus exigeant que de tout gommer.
Savoir si les garçons aiment à ce point les poupées ne les intéresse pas. Il faut caresser le public dans le sens du poil pour vendre. Quand les garçons auront majoritairement jeté leur poupée par la fenêtre et piqué la mitraillette de leur soeur, les parents devront racheter d’autres jouets. C’est bon pour le business. Il y a bien sûr des garçons qui aiment jouer à la poupée et des filles qui aiment les jeux virils. Mais alors que l’on présente simplement les jouets sans les associer avec garçons ou filles. Pour ma part je n’ai jamais eu envie de jouer à la poupée. Je n’avais aucun plaisir à ce genre de jouets. Je créais de moi-même des barrages et des fleuves dans les ruisseaux, je construisais des cabanes-maisons, dont une où je recevais à 9 ans ma voisine que j’aimais bien... hum... je n’en dirai pas plus. Par contre j’ai adoré m’occuper de ma fille dès sa naissance.
Les jeux des filles et des garçons ne servent pas simplement à enfermer dans des stéréotypes. Quand les filles jouent à la maman avec une poupée elles mettent en scène un situation qui sera forcément une part de la réalité: ce sont les femmes qui font les bébés, les nourrissent et les soignent au début. Cela n’enferme pas dans des rôles. On sait qu’il y a des femmes capables de tuer sans état d’âme, et des hommes pouvant écouter l’autre avec une grande empathie. Les modes de fonctionnement, quelle que soit la dose de biologie à laquelle ils sont redevables, ne sont pas si étroitement cloisonnés. La théologie de l’indifférenciation est à la sociologie ce que les anges sont à la religion: un mythe du retour à l’androgynat et une expression de la peur de la différence sexuée.
Mères, pères, n’encouragez pas trop vos garçons à pleurer: je ne suis pas certain que vous leur rendez service.
Commentaires
"Savoir si les garçons aiment à ce point les poupées ne les intéresse pas."
Pour le savoir, il faut du moins leur en proposer, ce qui ne s'est guère fait jusqu'ici (du moins au niveau commercial).
On peut penser aussi que QUELQUES garçons choisiront des poupées, ce qui est leur droit et n'est pas dramatique. Et aussi que certains garçons choisiront A LA FOIS les poupées et les camions, ce qui l'est encore moins.
Donc, sauf s'il y a coercition des dits garçons (ce dont on est très loin), je ne vois que des raisons de me réjouir de cette évolution des moeurs commerciales. C'est enfin la dimension affective-parentale des garçons qui est reconnue (et de l'autre côté la dimension agressive des filles qui n'est plus niée).
En outre, je ne comprends pas comment on peut à la fois militer pour la reconnaissance du rôle du père, et déplorer que cette dimension affective-parentale soit mise en route dès l'enfance (c'est-à-dire chez les futurs pères) au niveau des jeux.
"Comme si le fait que les hommes allaient et vont à la guerre était un choix sexiste. C’est d’abord une stratégie de survie de l’espèce. Mettez les femmes à la guerre:"
ce n'est pas si simple à la guerre la force physique est prépondérante, et l'homme a deux fois plus de force physique en haut du corps qu'une femme.
donc une femme n'a rien à faire à la guerre, les films et la réalité sont deux choses différentes.
" la reconnaissance du rôle du père,""et déplorer que cette dimension affective-parentale soit mise en route dès l'enfance"
le rôle du pére n'est pas d'être une mére bis", quel intêret de développer cette dimension affective. aucune, la nécessité serais plutôt de restaurer sa vrai fonction de pére.
http://www.homme-culture-identite.com/article-aldo-naouri-contre-la-tyrannie-des-meres-108528284.html
il faut restaurer le pére comme chef de la famille.
""Savoir si les garçons aiment à ce point les poupées ne les intéresse pas."
Pour le savoir, il faut du moins leur en proposer, ce qui ne s'est guère fait jusqu'ici "
si ça c'est fait au niveau chercheurs !!!!
leurs études ne seraient pas sérieuses !!!
http://aimeles.over-blog.com/article-la-theorie-du-genre-expulsee-de-norvege-le-paradoxe-de-l-egalite-norvegienne-111930986.html
Ben la reconnaissance du rôle du père c'est pas l'indifférenciation avec celui de la mère! Ancestralement j'entends. Le père est celui qui inculque les limites, qui prépare à la dureté de la vie. La mère est celle qui donne le sein, qui réconforte.
Il y a des différences inéluctables entre hommes et femmes (hormonales, organiques, musculaires etc.), de là découlent des comportements différenciés, amplifiés par une socialisation qui se veut canalisatrice. Qu'il y ait des déviants n'est pas un problème, mais il faut que la majorité puisse avoir des repères pour se construire. Ce truc en Suède c'est de la déconstruction. De la compensation égalitariste.
Nous avons forcément un rapport différent à la maternité; à la sexualité. L'homme est celui qui pénètre, qui conquiert, qui courtise, qui ensemence, qui est actif. La femme est celle qui est pénétrée, qui est conquise, qui sélectionne celui qu'elle juge suffisamment rassurant pour s'offrir à lui, car c'est elle qui va porter en elle le fruit de leur union.
De nombreuses femmes ont une très grande peur du viol, ça ne concerne que très peu d'hommes.
Il ne faut pas nier ou vouloir gommer ces différences, au contraire il faut leur permettre de s'exprimer pour créer de l'interdépendance et des relations harmonieuses plutôt que concurrentielles.
Si on essaye de contrebalancer ces différences très jeune, il ait probable que les garçons ne voudront plus pénétrer, mais se faire pénétrer. Quand aux filles elles voudront pénétrer artificiellement avec un gode ou des doigts.
Voila le fond du problème, on en revient toujours aux mêmes histoires. On sait très bien que ceux qui ont des attirances homosexuelles trop fortes finissent par les exprimer. Pas besoin de jouets indifférenciés. Le problème c'est qu'il s'agit d'une minorité, et on va perturber la majorité au nom d'une minorité qui se veut désormais normative.
Je dis que c'est une bonne chose que le petit garçon ait la possibilité d'exprimer son potentiel de père dès son très jeune âge.
Je ne vois pas en quoi cela conduirait à confondre condition paternelle et condition maternelle. Jusqu'à nouvel ordre, les pères AUSSI MAIS A LEUR MANIERE tiennent les enfants dans leurs bras, les bercent, leur parlent, les soignent, etc.
L'idée que les pères doivent rester loin des enfants, physiquement et affectivement, est une création de la misandrie bourgeoise du 19e siècle, relayée et amplifiée par la misandrie victimaire de notre époque (qui, elle, affirme carrément que les pères sont des parents nuisibles).
Cette misandrie est assez forte, inutile de lui apporter du renfort.
"AUSSI MAIS A LEUR MANIERE tiennent les enfants dans leurs bras, les bercent, leur parlent, les soignent"
ça c'est secondaire, ce n'est pas l'urgence actuellement ce qui est primordial c'est qu'ils jouent leur fonction de pére et ce n'est pas en jouant avec des poupées tout petits qu'ils seronts comfirmés plus tard dans leur rôle de chef de famille.
"D’ailleurs les larmes sont un moyen de communication féminin plus que masculin. Les femmes pleurent en moyenne 4 à 8 fois plus que les hommes. C’est en partie dû à une hormone féminine, la prolactine. Mais c’est possiblement aussi un signal relationnel. Les femmes ayant en moyenne 30% de muscles en moins, elles ne peuvent pas forcément rivaliser dans un conflit."
celles qui n'utilise pas ce signal relationnel mais veulent l'affrontement, alors quelles assument et en subbissent les conséquences comme les hommes au lieu de ne pas assumer et de voiloir continuer à passer pour des victimes, on ne peut pas être co-responsable d'une violence physique et être une victime ça ne va pas ensemble !!!!
" la misandrie victimaire de notre époque (qui, elle, affirme carrément que les pères sont des parents nuisibles)."
moquons nous de ce que pense cette lie du monde occidental et ne devenons pas des mére bis pour leur plaire redevenons les chefs de familles donts les familles onts besoin.
"Une maison de jouet suédoise a décidé de changer de genre pour son nouveau catalogue. Les garçons y sont présentés comme jouant à la poupée sans une fille pour partager ce jeu, et les filles y tiennent des armes factices et sont habillées de T-Shirt bleus."
ces imbéciles de suédois n'onts pas encore compris pourquoi leurs voisins les norvégiens onts viré les idéologues gender !!!!
et les femmes plus grandes ironts à la guerre aussi comme dans les films d'idiots de cinéastes post-modernes.
" je ne vois que des raisons de me réjouir de cette évolution des moeurs commerciales. C'est enfin la dimension affective-parentale des garçons qui est reconnue (et de l'autre côté la dimension agressive des filles qui n'est plus niée)."
Personnellement je me réjouirais de l'"évolution" des moeurs le jour où les médias parleront autant de la cause masculiste que de la cause féministe. Le jour où il y aura autant de garçons qui réussissent à l'école que de filles. Le jour où je pourrais mettre une râclée à une femme qui m'aurait agressé. Le jour où les femmes arrêteront de mettre des tenues aguichantes et mettront les mêmes tenues que les hommes. Le jour où il y aura autant de femmes que d'hommes en prison pour les mêmes raisons. Le jour où l'on arrêtera de donner raison aux femmes pour à peu près tout et n'importe quoi. Le jour où les femmes arrêteront de gémir...
Voilà autant dire qu'il y a du boulot si vous voulez être reconnue comme nos égales, autrement c'est du pipeau.
Sinon inverser des rôles traditionnelles ou sociales, issues de la biologie ... c'est basculer sur un autre cliché pour info, la gynocentrie ou le matriarcat ce qui est contraire à la lutte pour l'égalité des sexes.
Donc OUI la théorie du genre est dangereuse pour la société.
Ah et j'oubliais le jour où les hommes auront autant d'association que les femmes :
AFEMCI Association de Femmes Euro-Méditerranéenne Contre les Intégrismes
AFFM Association Française des Femmes Médecins: ce sont les femmes médecins, la science est-elle une question de sexe ? Organisation sexiste.
AFD Alliance des Femmes pour la Démocratie
ASFAD Association de Solidarité avec les Femmes Algériennes Démocrates
AVFT Association européenne contre les Violences Faites aux Femmes au Travail
CAMS Commission pour l’Abolition des Mutilations Sexuelles
CLEF Coordination française pour le Lobby Européen des Femmes
CNIDFF : Centre National d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles
CFCV : Collectif Féministe Contre le Viol
CNFF : Conseil National des Femmes Françaises
ECVF : Elu/es Contre les Violences faites aux Femmes
FNSF : Fédération Nationale Solidarité Femmes
Femmes Solidaires
Fondation Jean et Jeanne SCELLES
Les Mariannes de la diversité
Mouvement Jeunes Femmes
Mouvement du Nid
NPNS : Mouvement Ni Putes Ni Soumises
MFPF : Mouvement Français pour le Planning Familial
Regards de Femmes France
UEF : Union Européenne Féminine
Vivent les femmes
Voix de Femmes
Zonta Clubs de France
" les pères AUSSI MAIS A LEUR MANIERE tiennent les enfants dans leurs bras, les bercent, leur parlent, les soignent, etc. "
Pour info les hommes qui de ce type ont une carence de testostérone, ce qui veut dire qu'ils n'ont pas ou très peu de virilité, car biologiquement c'est à la femme de remplir ce rôle depuis la création de l'humanité. D'ailleurs la science a démontré que l'homme qui avait tendance à s'occuper des nourrissons perdait de sa testostérone. Pour ma part je refuse de perdre ma virilité au nom de l'égoîsme et de la vénalité de certaines femmes. Si une femme ne veut pas s'occuper de son gosse alors elle n'en fait tout simplement pas !
"L'idée que les pères doivent rester loin des enfants, physiquement et affectivement, est une création de la misandrie bourgeoise du 19e siècle, relayée et amplifiée par la misandrie victimaire de notre époque (qui, elle, affirme carrément que les pères sont des parents nuisibles)."
Archi faux, d'ailleurs on pourrait prendre le problème à l'envers : l'idée que les femmes doivent s'éloigner du foyer, de leur mari et de leurs enfants est une création du capitalisme qui veut asservir les femmes. Je ne connais que très peu de femmes assez intelligentes pour ne pas céder à la consommation, la lecture de magazines féminin futiles et d'écouter et approuver la diarrhée verbale des politiques et des médias. D'ailleurs asservir l'homme à la femme économiquement qui est un parfait pantin pour l'oligarchie permet à ce dernier de ne pas s'attaquer aux réels problèmes de l'existence.
Surtout pas Antisthene, le petit garçon n'exploite pas son potentiel de père en jouant tout le temps avec un poupon à le materner; il joue celui de la mère. Un poupon c'est une poupée représentant un bébé, pas un enfant à qui on apprend à faire du vélo.
Il n'y a pas besoin d'apprentissage pour serrer affectivement son enfant dans les bras, ça vient tout naturellement le moment venu.
Ce dont il est question c'est la construction identitaire de l'enfant à travers un rôle. Si l'enfant prend à coeur son rôle maternant auprès du poupon (ce qui est plus que probable quand un enfant joue et se fait des scénarios); il se projettera alors dans une maternité, ce qui est IMPOSSIBLE pour lui.
Alors plus tard il y aura ceux qui se maquilleront, arrivé à l'adolescence (ils auront continué sur leur lancée en jouant à la poupée auparavant).
Et les plus tenaces qui voudront carrément changer de sexe.
Voila ce qu'on nous prépare. Voila comment on veut déséquilibrer dès le plus jeune age de pauvres enfants qui n'ont rien demandé, à cause de cinglés à qui on accorde tout.
@ Didier
"Il n'y a pas besoin d'apprentissage pour serrer affectivement son enfant dans les bras, ça vient tout naturellement le moment venu."
Bien sûr que non. Ca vient aux pères qui ont eux-mêmes été serrés par leurs pères quand ils étaient enfants (mais je veux bien admettre que ça, c'est plus important que la poupée, encore que ce ne soit pas contradictoire).
Un garçon qui s'occupe d'un poupon ne joue pas un rôle maternant, il joue un rôle paternant, tout simplement, il "paterne", il fait sa "construction identitaire" d'homme. Vous n'avez pas lu Christiane Olivier ?
Ca s"appelle "jouer au papa". Et dire que jouer au papa conduit à la féminisation, voire au désir de changer de sexe... non, franchement c'est complètement farfelu.
Il est tout de même curieux que vous prétendiez défendre la ca cause des hommes et des pères, et qu'en même temps vous défendiez l'idée que l'éducation de l'enfant est le domaine des femmes et des mères exclusivement. C'est tout de même un postulat de base de la misandrie (et des juges qui privent les pères divorcés de leurs enfants). Vous ne vous sentez pas un peu en contradiction ?
" l'éducation de l'enfant est le domaine des femmes et des mères exclusivement."
Ce n'est pas nous qui le disions, mais la biologie. La nature a voulu que l'homme assume la chasse, la défense du clan ainsi que la protection de la famille. La mère mets au monde un môme, possède des mamelles pour allaiter ce dernier et ne possède pas de force physique de base, pour éviter justement de faire mal au rejeton.
C'est la nature qui est faite ainsi, et vouloir changer les critères c'est jouer à Dieu, or vous n'êtes que des humains pareils à nous tous qui avez simplement renié votre dimension naturelle.
Pourtant la théorie du genre a beaucoup servi à Madame Vidall pour justifier un égalitarisme forcené et par conséquent lutter contre les différences qui pour elle sont du fait du patriarcat.
Ca vous ne le dites pas, sans doute parce que celà arrange vos petites affaires.
@ Prometheus
Vous souscrivez donc à l'élimination des pères de la sphère domestique, éducative, affective, etc. Vous êtes un misandre de la pire espèce, c'est bien ce qui me semblait.
Je n'arrive d'ailleurs pas à voir précisément en quoi c'est égalitaire que l'homme materne pouponne le bambin, pendant que Môdame lit son journal sur le fauteuil fatiguée de sa journée de travail.
Si l'on s'en tient à l'égalité des sexes, la femme doit aussi materner le gosse, sinon dites le tout de suite que vous voulez un état matriarcal qui à l'instar de la misogynie de la société patriarcale tant décriée par les féministes, on basculerait de fait dans une misandrie, puisque société matriarcale.
Donc vous venez vous-même de prouver outre ce catalogue que la théorie du genre peut servir à la misandrie, c'est à dire enfermer votre homme aux fourneaux, à la serpillère et à materner les chiards.
Difficile d'accorder de la crédibilité à vouloir lutter contre la misandrie en défendant une théorie qui leur ouvre une large brêche
Mais attendez deux secondes Antisthene là. Quelle est votre définition de l'éducation de l'enfant? parce que là j'ai l'impression qu'on se comprend pas. Vous m'avez pas lu? "Le père est celui qui inculque les limites, qui prépare à la dureté de la vie. La mère est celle qui donne le sein, qui réconforte."
Après on peu faire toutes les nuances qu'on veut, faire un peu bouger le curseur en fonction des situations; mais il faut fondamentalement qu'il y ait ce repères parentaux bien distincts. Transgresser ça ce n'est pas faire sa construction identitaire d'homme, c'est se comporter comme des femmes misandres ont dicté que les hommes soient.
A aucun moment je n'ai défendu ce que vous dites. Au contraire, je tiens à la réaffirmation du rôle de chacun. Contrairement à ce qui pousserait justement certaines personnes misandres à nier celui du père, ou à vouloir le redéfinir. Il ne faudrait plus de fessées, de gifles, plus d'autorité virile, plus de limites, plus de rôle paternel. Il faudrait un père qui materne, qui passe son temps à cajoler, qui ne soit plus craint d'une certaine manière, et donc à qui on risquerait de désobéir. Symboliquement il disparait.
Je conçois que le rôle paternel (le vrai) a l'air comme ça plus ingrat que celui de la mère; pourtant il est autant nécessaire. Ce n'est pas parce que des juges féministes ont décidés qu'un homme ne devait plus éduquer son enfant en homme qu'il faut céder. Alors quoi demain s'ils décident qu'on doit mettre un tutu, il faudra qu'on s'exécute?
Antisthène,
L'identité masculine est en débat, tant mieux. Je suis convaincu que les rôles traditionnels stricts n'étaient pas aussi cloisonnés qu'on l'imagine, sauf peut-être dans des périodes très militarisées ou au 19e siècle en effet. Il faudrait creuser davantage.
Certaines culture ou certains milieux ont probablement exagéré la différenciation des rôles au point d'en faire une séparation stricte. C'est réducteur pour les hommes comme pour les femmes. Les femmes ont hérité du soin comme les hommes de la guerre (c'est d'ailleurs une partie du discours misandre actuel: les hommes sont des faiseurs de guerre, les femmes des faiseuses de paix).
Donc je pense que les rôle traditionnels étaient moins cloisonnés que ce que l'on imagine aujourd'hui. Personnellement je ne pourrais pas me mouler dans un rôle trop délimité et trop strictement défini. Je suis multiple et je le revendique. Mais cela ne m'as pas toujours servi. Si plus jeune j'avais osé développer une vraie autorité d'homme, je sais que j'aurais mené certains conflits et certaines situations très différemment. Et que je n'aurais pas subi certaines attaques ou ma tendresse naturelle faisait de moi une proie peu dangereuse.
J'ai évolué sur l'expression de l'affectivité. Aujourd'hui en effet je pense que les garçons ne doivent pas trop être attendus dans leur affectivité. Je ne veux pas dire qu'ils n'en faut pas (je serais en totale contradiction avec moi-même) mais qu'il y a un dosage à trouver, et qu'une part d'apprentissage de la rétention n'est pas inutile.
Les larmes c'est l'immédiateté, la satisfaction instantanée d'un pathos, le soulagement symptomatique. Elles sont par nature en dehors du temps. Les femmes ont une notion du temps très liée à leur fécondité et à leur cycle, elles ont toujours un regard plus loin que l'instant. L'homme n'a pas cela, il apprend ce regard plus loin par la fixation d'objectifs et d'attitudes. Les larmes aveuglent sur le "plus loin". Donc: il me semble préférable de ne pas en faire trop de ce point de vue, et de ne pas alimenter la théorie (théorie féminine et féministe) qui dit que les hommes doivent pleurer. Ils pleurent de toutes façons, me semble-t-ils. Mais leur apprentissage est peut-être de gérer cela autrement que par la satisfaction instantanée de ce besoin.
@ Leclercq: je ne partage pas le point de vue de faire de l'homme le chef de famille. La capitainerie d'un navire peut être partagée juridiquement. Par contre je suis pour la répartition des tâches dans le couple, sans rejeter l'ancienne répartition complètement mais en la faisant évoluer pour que les hommes trouvent aussi leur compte dans une société qui laisse plus de place aux besoins et souhaits individuels.
les Suédois ont un temps de retard,les jouets étaient tous que ce soit pour garçon ou fille .Ont-il envie d'imiter les jeux Nathan ?les premiers d'ailleurs à avoir su intéresser les humains à autre chose que leur nombril ou leur sexe ce qui semble de plus en plus le cas .Eux ont le temps d'inspecter le règne de la sexualité on ne peut décemment pas demander conseils à des gens qui vivent les 3/4 de l'année dans l'obscurité d'étre à cent pour cent logiques .Ils règnent en maitre dans les Polars quand au reste c'est pure fiction laquelle trouva porte ouverte sur l'occident grâce au groupe ABBA et à l'Eurovision
@ Didier
"Le père est celui qui inculque les limites, qui prépare à la dureté de la vie. La mère est celle qui donne le sein, qui réconforte."
Je confirme : c'est très exactement ce raisonnement que font les JAF quand ils confient l'enfant à la mère. La mère "réconforte", donc il faut qu'elle soit près de l'enfant tous les jours. Le père "inculque les limites", mais ça ça peut se faire de manière ponctuelle, au cours des visites.
Je continue de m'étonner d'une conception aussi unilatérale. Vous ne pouvez pas dire : "Le bon père est celui qui inculque les limites ET qui donne son affection" ? Je ne vois aucune incompatibilité entre les deux.
@ Hommelibre
D'accord, il ne faut pas en faire trop. Mais UN catalogue qui propose des jouets décalés, ça me paraît tout sauf "trop" !
"la théorie (théorie féminine et féministe) qui dit que les hommes doivent pleurer."
Sur le sujet, je ne connais que deux théories :
- des thérapeutes, des personnes de bon sens, des féministes et des hoministes qui disent que les hommes ONT LE DROIT de pleurer (sans y mettre d'obligation, évidemment)
- des misandres, qui affirment que les hommes SONT INCAPABLES de pleurer, et les méprisent à cause de cela.
". Le père "inculque les limites", mais ça ça peut se faire de manière ponctuelle, au cours des visites.
les JAF onts faux, les hommes qui voient leurs enfants 4 jours par mois maternent ne donnent pas de limites.
ils ne sonts plus investis de cette fonction par la mére. et ils n'en onts pas envie.
@ hommelibre
"je ne partage pas le point de vue de faire de l'homme le chef de famille."
oui et on s'en rends compte maintenant c'était le soutien de la société à sa fonction de pére, sans ce soutien il est plus difficile pour la mére d'investir le pére de sa fonction, quand le pére donne les limites à l'enfant elle dit on va en parler aprés, ce faisant elle ne le respecte pas dans sa fonction de pére, dans sa parole, si elle veut en parler aprés c'est pour imposer aux péres leur façon à elles d'éduquer les enfants !!! donc de les materner d'en faire des mére bis avec tous les dégats qui vonts avec, les péres sonts d'autant plus éjectables puisque ils ne sonts que des substituts de la mére, et une femme ne peut qu'avoir envie de quitter un homme quelle ne respecte pas, qui en plus n'est pas un contre pouvoir pour elles (les lois qui luttent contre la violence conjugale faites en femmes) leur résultat est surtout de faire tout ce qu'il faut avec leur excés, leur partialité leur manque d'objectivité, pour enlever le contre pouvoir aux femmes dans le couple et par la même de saper la fonction de pére dans les familles.
"Par contre je suis pour la répartition des tâches dans le couple,"
mais elle y est déjà
les hommes onts une 1/2 heure de temps libre par jour. pourquoi donnerais t'ils cette demi-heure à aider les femmes à traquer le moindre brin de poussiére, à repasser le moindre chiffon à surmaterner les gosses.
les femmes elles n'onts pas l'intention je pense de plus s'investir dans ces taches
http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/ref/FHPARIT12g_D3tachesd.pdf
Bricolage, jardinage, soins aux animaux
371 : Gros travaux de construction : maçonnerie,
plomberie,menuiserie, charpente, carrelage…
372 : Aménagement et décoration de la maison
(petits travaux)
373 : Entretien et réparation d’objets, d’appareils
374 : Réparations et travaux d’entretien relatifs
aux voitures, 2 roues et bateaux
382 : Jardinage
383 : S’occuper des animaux domestiques :
animaux de basse-cour et autres animaux
à usage productifs
384 : S’occuper des animaux de compagnie
385 : Promener le chien, sortir un animal de
compagnie
672 : Programme, installation, réparation
d’ordinateurs
ça serait déjà fait,
"Lorsqu’un seul des deux conjoints travaille, le temps
consacré aux tâches domestiques par celui qui ne travaille pas n’est pas le même selon qu’il
s’agit de la femme ou de l’homme : la durée totale de travail domestique est de 4 heures chez
les hommes ne travaillant pas, soit un tiers de moins que les femmes inactives en couple."
intéressant, c'est là qu'on voit la maniaquerie du ménage féminin, peut-être qu'aussi elle ne savent faire que ça,et les hommes fonts autre chose que des taches ménagéres quelles ne fonts pas elles. alors pourquoi se plaignent t'elles d'inégalité dans ce domaine, ce doit être le bourrage de crâne sur les taches ménagéres.
mon épouse constate que la maniaquerie dans les taches ménagéres et le surmaternage des enfants est différent suivant les génération les mamies clientes de mon épouse disent toutes clairement que leurs filles sonts maniaques du ménage. certaines onts donné leur petit chien à leur mére parce qu'il perdait des poils, ça salit l'intérieur immaculé comme dans un magazine de déco, pour faire bien devant les copines.
"Au final, les femmes seules consacrent 43 minutes de plus
aux tâches ménagères que les hommes seuls." !!!!
et puis aussi la valeur ajoutée des taches n'est pas la même la fatigue non plus.
une heure de plombier c'est 30 € mini HT une jeune fille garde d'enfant, où une femme de ménage c'est nettement moins.
et cette différence n'est pas prise en compte dans les enquêtes, et pourtant s'il faut sous traiter ces taches ça coutera pas la même somme.
pourquoi les hommes sous traiterait'il des taches qu'ils effectuent à forte valeur ajoutée, pour faire plus de ménage inutile pour faire plaisir au dogme de la répartition des taches ménagéres.
http://e2sd12.free.fr/civil/civilA.html
"Les père et mère exercent en commun l'autorité parentale."
rien ne différencie plus les fonctions différentes du pére et de la mére.
on confond égalité de droit des parents (sous couvert d'égalité donc d'indifférenciation), avec fonctions éducatives identiques, donc plus de soutien de la société au rôle du pére, et comment la mére peut elle mettre le pére dans sa fonction de pére et le respecter dans cette fonction puisqu'on lui affirme que les deux fonctions sonts identique du point de vue autorité ce qui est faux, comment peut-elle ne pas contester l'autorité de l'homme qui est différente de la sienne, puisqu'elle est est confortée dans sa toute puissance de mére par la loi. surtou quelle a bien intégrer qu'en couple il fallait dialoguer mais là elle confond dialogue et contestation de la fonction de pére contestation qui se double d'irrespect.
et puis chef de famille veut dire
puissance paternelle et ne concerne que les enfants.
l'autorité absolue du mari sur la femme s'appelait « puissance maritale »). ça c'est autre chose.
http://www.fmcp.org/presse/scandaldo.htm
"En revanche, s’il n’est pas aimé et que son autorité est intérieurement déniée par la mère - même si elle ne le manifeste pas ouvertement, il peut être présent tous les jours, il est absent quand même car il ne peut pas remplir sa fonction paternelle."
"
F.A. : L’évolution de nos sociétés pousse les pères vers le maternage. On a vu apparaître les papas poule. Est ce positif ou négatif pour le développement de l’enfant ?
Dr A.N. : Il n’y a, à priori, aucun obstacle à ce que le père partage les tâches maternelles. Le danger, c’est qu’il devienne une mère bis (...) L’évolution des moeurs lui permet aujourd’hui de croire qu’il peut le faire en devenant une mère de remplacement. Mais s’il le devient, où l’enfant trouvera-t-il cet autre pôle, inverse à celui de la mère, qui lui permettrait de se situer entre les deux et de faire son chemin?"
http://www.aldonaouri.com/livres/FAMILLE_CHRETIENNE_22_OCTOBRE_2011.pdf
"Le retrait du pouvoir au père a livré l'enfant à la
puissance aliénante de la mère, qui refuse de plus
enplusouvertementde« partager »sonpetit.La« coparentalité
», qui est un leurre, ne veut plus différencier
les parents."
"Qu'est devenu le père, qui était le garant de cette
notion de « limite » ?
C est toute la question1 Dons Lessmg, une
grande féministe et prix Nobel de littérature decla
rait «Nous avons obtenu pas mal d égalité [ ] Mais
qu est-il arrive aux hommes ? Des femmes stupides
ignorantes et méchantes peuvent déprécier les
hommes les plus doux, les plus gentils et les plus
intelligents qui soient, et personne ne proteste
Eux-mêmes semblent si avachis qu ils ne répliquent
même pas II est temps qu'ils s'y mettent»
http://www.aldonaouri.com/textes/Lafamille.pdf
"Ce ‘progrès’ forgé dans des intentions louables a ouvert une crise inattendue.
D’abord parce que la démocratie à 2 membres s’est révélée impossible à mettre en place.
Quand on divise 2 par 2, il est impossible de dégager une majorité à la loi de laquelle se
soumettrait l’ensemble.
Ensuite parce que les 2 membres du couple sont dans une asymétrie totale qu’on a
délibérément ignorée : ils ne revêtent pas la même importance pour l’enfant.
La grossesse donne à la mère un avantage incontestable. Pendant sa gestation en elle, le foetus
emmagasine dans son cerveau sensoriel des sensations qui, après la naissance, la lui feront
reconnaître de toutes sortes de façon entre toutes les femmes. Il reconnaît en effet son odeur,
sa voix, sa manière de toucher, de bouger. Et, bien que son cerveau oculaire n’ait enregistré
que l’obscurité utérine, il lui suffit de 8 heures en sa présence pour la reconnaître sur photo.
Le père, lui, reste longtemps un étranger pour l’enfant. Et même quand il en devient un
familier, il ne peut occuper sa place que s’il est investi à cette place par la mère de l’enfant.
Ces informations, qui ont diffusé, ont eu leur effet au milieu des revendications féministes et
de la haine du père – et de tout ce qui pouvait ressembler à une quelconque autorité – qui a
suivi mai 1968.
Le tout à une époque où la lutte politique à un niveau mondial entre les deux blocs pilotes
était au plus haut point, faisant le lit de l’individualisme qui a été favorisé par la levée des
tabous sexuels.
En à peine une décennie, on verra la divortialité se multiplier de façon considérable et le
nombre de femmes seules avec enfant pendre une allure exponentielle. On passera de 79 000
en 1979 à 2 350 000 en 2003 !"
@ Antisthene
"Le père "inculque les limites", mais ça ça peut se faire de manière ponctuelle, au cours des visites."
Ben dans ce cas là, la mère qui réconforte aussi, ça peut se faire de manière ponctuelle au cours des visites. J'ai l'impression que vous avez si bien intégré les valeurs féminines, que vous ne vous rendez même plus compte de l'utilité des valeurs masculines.
Certains JAF sont sexistes apparemment, il ne faut pas les prendre comme mètre-étalon.
Biensur que le père donne de l'affection, mais pas de la même manière et généralement beaucoup moins. Sinon il ne prépare plus l'enfant à la dureté de la vie. Je vous l'ai dit il s'agit des grandes lignes, après on peut faire toutes les nuances qu'on veut.
Je vous ai donné ma conception des rôles parentaux du père et de la mère en essayant d'être le plus clair possible. Quels devraient-ils être selon vous?
Défendez-vous vraiment la différence éducative entre père et mère, ou vous aussi tel les féministes êtes pour une indifférenciation?
@ Didier
Si vous me lisiez un peu mieux, vous comprendriez mieux. "Le père "inculque les limites", mais ça ça peut se faire de manière ponctuelle, au cours des visites." est un raisonnement que je prête aux JAF, ce n'est pas le mien.
Il se trouve que vous employez souvent des expressions qui recoupent les croyances de ces JAF (ou des misandres en général), par exemple : "le père donne de l'affection, mais pas de la même manière et généralement beaucoup moins". Le père donnerait "beaucoup moins d'affection" !!! C'est assez ahurissant de lire ça sous la plume de quelqu'un qui prétend défendre les pères ! (C'est peut-être de la maladresse, mais alors surveillez-vous).
Ma conception ? Effectivement, les (bons) pères et les (bonnes) mères font tout différemment, mais ce que font les uns et les autres a la même valeur, la même importance, la même nécessité. Les (bons) pères donnent A LEUR MANIERE autant d'affection que les mères, et elle est tout aussi indispensable. Les (bonnes) mères posent A LEUR MANIERE autant de limites que les pères (d'ailleurs si les limites ne sont posées que par un seul parent, elles ne sont ni reconnues ni respectées par l'enfant).
La différence réside dans la manière d'être, la manière de faire, et non dans la sectorisation sexuée des tâches.
ils vonts même^plus loin en suéde ils sonts dans le hen le neutre !!!
http://www.lougris.com/article-on-veut-couper-les-couilles-des-mecs-en-suedes-110414059.html
Aujourd'hui les cruches et les mal baisées du monde entier se sont unis pour casser de l'homme . Oui vous aurez compris violence faites aux femmes ... par les mêmes qui justement défendent bec et ongle la théorie du genre.
En attendant le gouvernement (en crise ?) va racler les fonds de tiroir pour se coucher devant ses chères féministes misandres
http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/France/Un-plan-global-contre-les-violences-faites-aux-femmes-_NG_-2012-11-25-880083
Ah l'égalité quand ça avantage les femmes :/
@ Prométheus-Kasilar: j'ai effacé votre dernier comm. Vous savez pourquoi, je pense...
"(d'ailleurs si les limites ne sont posées que par un seul parent, elles ne sont ni reconnues ni respectées par l'enfant)."
bizarre comme phrase moi, ça donne l'impression que les deux parents sonts interchangeables où qu'ils sonts identiques ce qui est faux, un enfant a besoin d'un pére et d'une mére vivant ensemble. et leur fonction ne sonts pas identiques.
""En revanche, s’il n’est pas aimé et que son autorité est intérieurement déniée par la mère - même si elle ne le manifeste pas ouvertement, il peut être présent tous les jours, il est absent quand même car il ne peut pas remplir sa fonction paternelle."
le pére est quand même le référent pour poser des limites.
on voit bien les catastrophes
éducatives des familles monoparentales, si les méres posaient aussi bien les limites que les péres ces ado ne seraient pas en manque de péres en manque de limites.
"Il se trouve que vous employez souvent des expressions qui recoupent les croyances de ces JAF (ou des misandres en général), par exemple : "le père donne de l'affection, mais pas de la même manière et généralement beaucoup moins". Le père donnerait "beaucoup moins d'affection" !!! C'est assez ahurissant de lire ça sous la plume de quelqu'un qui prétend défendre les pères ! (C'est peut-être de la maladresse, mais alors surveillez-vous)."
c'est quoi ce délire il ne faut pas écrire que les péres donnent moins d'affection que les méres de peur de déplaire aux JAF. oui ils donnent de l'affection moins et pas de la même maniére et alors ce n'est pas leur fonction, surtou a l'adolescence leur fonction est de donner des limites à un âge c'est plus important que de donner de l'affection, on est pas devant une JAF toute puissante partiale ici on est dans un blog
@ Antisthene
""Le père "inculque les limites", mais ça ça peut se faire de manière ponctuelle, au cours des visites." est un raisonnement que je prête aux JAF, ce n'est pas le mien. "
Ce n'est pas le votre, pourtant vous vous réjouissez que les hommes doivent changer leur comportement en jouant avec un poupon. Donc vous validez les décisions sexistes des JAF. Les hommes devrait changer pour rattraper les femmes, dont le rôle est considéré comme supérieur.
Ce n'est pas de la maladresse que d'affirmer que les hommes donnent nettement moins d'affection que les femmes, juste un constat réaliste. Les hommes sont effectivement moins tendre que les femmes, sauf les folles justement (par rapport à ce que j'ai dit plus haut). L'affection, la tendresse, les bisous, les calins relèvent bel et bien des valeurs féminines, ça veut pas dire que les hommes ne peuvent pas être tendre de temps en temps.
C'est vous qui ne me lisez pas bien, contrairement à certains JAF, moi je ne considère pas que seul l'affection compte pour l'épanouissement de l'enfant.
Ce n'est pas être misandre que de reconnaitre les limites d'un modèle parental masculin, comme ce n'est pas être misogyne que de reconnaitre les limites d'un modèle parental féminin. Nous avons besoin des deux, et chacun dans leur rôle. Ce n'est pas parce qu'il y a des exceptions qui ont marché, qu'il faut généraliser ça.
Je vous l'ai dit, il y a sectorisation sexuée des taches; car il y a des différences sexuelles innées, pas l'inverse. Les hommes ont généralement des plus grosses mains, c'est plus pratique pour mettre des baffes à un jeune turbulent; les femmes ont en général un voix plus douce, c'est plus pratique pour apaiser par les mots etc...
Je crois que ce que vous défendez relève du féminisme paradoxal. Il se calque sur les valeurs féminines la plupart du temps, en qualifiant de misandrie, tout ce qui peut empêcher les hommes d'égaler les femmes sur ce terrain là; en travestissant l'identité masculine.
A l'inverse on trouve aussi certaines comme Natacha Polony, qui a l'air de considérer que les valeurs masculines sont supérieures aux valeurs féminines, et naturellement déplore la féminisation des hommes; tout en affirmant que "les femmes n'ont pas forcément à se reconnaitre dans des modèles féminins, on peut se reconnaitre dans des modèles masculins".
@hommelibre
J'attends juste un article sur la soi disant violence faite aux femmes, dont Grollande veut se faire le chevalier servant "avec les deniers du bon petit peuple, ma petite dame, avec vos deniers"
Il est temps de faire un nettoyage de printemps et dégager toute cette gauche qui pollue la France
Au fait Didier, merci d'avoir fait tomber le masque de cette Natacha Polony sur un autre blog.
En fait ses amies féministes la traitent de collabo au patriarcat, tandisqu'elle a encore un pied dans le féminisme en gommant les différences.
Je préfère encore Elisabeth Badinter qui au moins ne fait pas dans l'indifférenctiation sexuel, voir son oeuvre XY de l'identité mâle.
@ Didier
"Les hommes sont effectivement moins tendre que les femmes"
"L'affection, la tendresse, les bisous, les calins relèvent bel et bien des valeurs féminines"
"Les hommes ont généralement des plus grosses mains, c'est plus pratique pour mettre des baffes à un jeune turbulent"
Décidément, dès que vous prenez la plume, c'est pour exprimer des idées paterphobes ou misandres. Soit vous êtes un troll, soit un misandre inconscient (comme le dénommé Prométheus, encore plus caricatural). Quoi qu'il en soit, j'en reste là.
"comme le dénommé Prométheus, encore plus caricatural"
Euh non je ne fait pas dans la caricature, je me suis exprimé de la façon la plus logique qui soit.
Ce n'est tout de même pas de ma faute si mes commentaires vous échappent et que vous n'arrivez pas à y répondre autrement que par un procès d'intention.
C'est ça les débats, on est pas toujours d'accord, faut s'y faire, sinon c'est pas du tout drôle
En effet restons en là, parce que t'as l'air à court d'arguments
Prometheus: Calmez-vous un peu. Je ne suis pas aux ordres. N'oubliez pas que je vous ai rouvert ma porte sans vous faire plus confiance pour autant et que comme Antisthène je n'exclus toujours pas que vous soyez un troll missionné pour alourdir mon blog. Et je pense aussi que vous êtes assez caricatural.
Au fait vous vous trompez singulièrement d'analyse à propos de Natacha Polovny.
Je crois qu'Antisthene habite tout simplement Bisounoursland. Je ne vois pas d'autre explication rationnelle. On est dans le déni de réalité. A moins de cotoyer des Suèdois.
Voila quelqu'un qui défend l'indifférenciation, d'une manière subtile et ambigüe, mais bien réelle, et qui nous accuse nous de misandrie? Vous voyez prometheus, c'est exactement ce que je disais plus haut sur les féministes paradoxales. Ce sont un peu comme des chevaux de Troie.
Enième confusion dans son esprit, lorsque je fais allusion aux pères giflant leurs enfants turbulents; elle y voit forcément quelque chose de négatif. Voila c'est l'illustration parfaite de tout ce que j'ai écris. Cette personne croit en la supériorité des valeurs féminines, c'est pour ça qu'elles nous considèrent nous qui ne sommes pas vendus, comme des misandres. Renversement.
Sachez que j'ai moi-même reçu des gifles par mon père étant plus jeune, et j'en suis reconnaissant car je les avez mérité. C'est un geste éducatif, hélas parfois nécessaire.
@Didier peut-être était - elle était méritéevous seul pouvez en parler mais une gifle qui elle parcontre est doublement méritée a été donnée aux Verts par le vote fribourgeois montrant leurs dénis envers des inepties montrant s'il en était besoin à ces larmistes de tous bords et souffrant du syndrome de Stockolm ou de lima qu'en Suisse le peuple lui se doit de garder sa propre personnalité , sa propre autonomie tout comme le parent giflant exceptionnellement il va de soi qui lui montrera par son geste à l'enfant, qui dirige qui et comment
Il est amusant (?) de constater que moins on fait d'enfants, plus on se dispute sur la manière de les élever. Obligés de compter sur l'immigration pour éviter à nos pays européens une catastrophe, on s'adonne, dans nos pays, à une frénésie théories sur la société, la sexualité et l'éducation, pendant que les peuples moins "avancés" procréent à notre place et pour notre bénéfice. Pas étonnant que l'expression de "fin de civilisation" pointe son nez métaphorique.
Une chatte n'y retrouverait pas ses petits.
Malgré la meilleure volonté du monde, je n'arrive pas à me faire une opinion claire au milieu de toutes ces étiquettes.
Est-il plus horrible d'être misandre, féministe paradoxale, bisounours, natacha-
polonisé, misandre inconscient, paterphobe, collabo au patriarcat, folle ou JAF ?
Et qui certifie les labels ?
Calendula:
J'adore! MDR!!! :-)))))
Il faut ouvrir un bureau des labels. Un métier d'avenir...
:-)
Ça manque d'humour, c'est pour cela qu'il vous est difficile de vous faire une opinion.
Imaginez une féministe paradoxale chevauchant un bisounours paterphobe, fille d'un JAF, dont la soeur est une folle misandre bien que collabo du patriarcat, et lisant Natacha Polovny sur un banc... Mais c'est bien sûr... :-)
@ hommelibre :-))))
Je pense que cette personne ne pourrait être que auderey-pulvarisée par le moulinex made in france.
Ben je me fait agressé je me défend quoi de plus normal hommelibre ?
"Et je pense aussi que vous êtes assez caricatural."
En quoi ai-je été caricatural, juste une petite citation, car pour le coup je ne suis pas du tout convaincu.
""Au fait vous vous trompez singulièrement d'analyse à propos de Natacha Polovny."
L'analyse faite de Natacha Polony n'est pas la mienne hommelibre, mais celle de Didier. Je n'ai fait que donner mon opinion sur une analyse de Natacha Polony, en sous entendant que les propos de monsieur Didier soient véridique?
Vous vous trompez de personne
"Vous voyez prometheus, c'est exactement ce que je disais plus haut sur les féministes paradoxales. Ce sont un peu comme des chevaux de Troie."
Vous savez mon cher Didier, il y a bien longtemps que je crois que le cas des féministes relève plus d'une psychiatrie qui m'échappe.
Par contre je ne me prononcerais pas trop sur son cas, rien ne prouve qu'elle soit réellement de mauvaise foi.
Mais au moins avec elle la discussion a duré, même si à la fin elle a sombré dans le procès d'intention.
@Mère Grand
Et réjouissez vous car avec l'élection du mollusque en France et celui de la Maison Blanche; il semblerait que la civilisation soit encore plus à mal et que nous perdions le peu de valeur qui faisait foi dans la société, à cause des démocrates et des la gauchiasse.
Si en plus de celà on a une extrême droite plus forte que la droite, ce qui risque de nous arriver dans un avenir proche n'est pas de bonne augure.
@ mére grand
"Obligés de compter sur l'immigration pour éviter à nos pays européens une catastrophe"
faux c'est de la propagande mensongére de bobo
lire les yeux grand fermés de michéle Tribalat c'est trés bien expliqué.
http://www.amazon.fr/yeux-grands-ferm%C3%A9s-Limmigration-France/dp/2207261778
@leclerq
Merci de votre référence. La situation, telle qu'elle est décrite (ou interprétée) par l'auteur pour la France, vous paraît-elle aussi valable pour la Suisse?
J'aimerais beaucoup trouver ici confirmation ou infirmation de ce qui est affirmé, d'autant plus évidemment que j'en fais une partie de ma description de notre monde.
@ mére grand
pour la suisse, je pense que cette situation de déni est commune à l'europe a des stades divers, pour le france le fonctionnement dans le déni de la réalité est trés avancé, le livre je l'ai lu deux fois je l'ai sorti de la bibliotéque il y a quelques mois il est depuis à coté de l'ordi
@leclercq
Merci de votre réponse.
Rien que pour l'intro cela donne envie de le lire.
Bonsoir,
Ma question principale serait la suivante, au vu de la durabilité moyenne du couple. Comment éduquer, généralement les petites filles ou tout futur chef de famille autonome, à bien tenir un rôle monoparental, adapté aux sexes de sa progéniture future.
Vous allez peut-être la trouver naïve, j'en conviens, mais je n'ai été pour l'heure qu'enfant. Le désir de jouer, des hormones qui se brassent dans un centre nerveux plutôt sensible aux changements. Il n'aime pas trop et redemande généralement qu'à retrouver le plaisir auquel il a déjà goûté. Les genres sont-ils égaux en la matière?
Fantasmer devant un manche à balai, une arme chargée ou un gateau fourré aux pommes tièdes température corporelle, un édredon, des images, reste d'une facilité qui me déconcerte, comme devant toutes formes en plastique un brin érotique. L'échange social pauvre et peu porteur. Surtout et si dès lors, l'ambition reste la transmission des valeurs; l'honneur sauf, certes.
@ Dominique,
Bonjour, vaste question. J'imagine qu'il y a des personnes plus compétentes que moi pour vous répondre sur ce point très spécifique. Je vais vous donner mon point de vue, ayant eu assez de contact avec des personnes, généralement surtout des femmes, qui élèvent leurs enfants seules.
D'abord le fait d'élever son ou ses enfants en monoparental est difficile. Un enfant est un bonheur mais aussi une charge. Il faut être partout là où un couple répartit des obligations. Il faut donc prévoir des temps de ressourcement. Par exemple il faut profiter des moments où votre enfant est chez l'autre parent pour vivre des choses pour soi-même. Il faut si c'est possible confier parfois l'enfant à un parent, ou une personne proche, pour soulager le parent. Parfois même il faut faire appel à une aide ménagère.
Ensuite, sur le plan de l'éducation et de la présence, il faut choisir, en cas de séparation, une formule où les deux parents restent très impliqués, avec de larges plages de temps pour les deux. Ceci pour plusieurs raisons. D'abord une raison de continuité de la présence des deux parents auprès de l'enfant. Un enfant a toute sa vie deux parents. Ensuite pour diminuer si possible les sources de tensions et de guerre entre les ex-conjoints. Enfin pour libérer du temps. Cela suppose qu'en cas de séparation l'impératif du bien de l'enfant est réellement prioritaire. Parfois une médiation aide à cela.
Si ce n'est pas possible pour quelque raison, il faut que l'enfant puisse avoir une personne référente du sexe qu'il voit le moins, et qui soit d'accord de le prendre assez régulièrement: oncle, tante, parrain, marraine, parfois un grand-parent. Cela pour la raison que quand l'enfant grandit, un parent seul a souvent de la difficulté, et surtout les mères selon mon expérience. Jouer deux rôles comme la compréhension et l'autorité, est contradictoire. Je connais bien des mères qui ne "savent pas quoi faire" de leur garçon adolescent. C'est un âge où les garçons ont besoin de la limite et de l'autorité paternelles, plus encore qu'avant. Je vois des mères tomber dans l'autoritarisme avec leur ados garçon (ce qui passe très mal), puis fondre en larme parce que cela ne marche par. Et l'enfant prend le pouvoir sur le parent.
Un fille a aussi besoin du père, si c'est lui qui est moins présent. Elle en rêve. Le père est naturellement un héros pour beaucoup de filles. C'est aussi le modèle masculin de référence. Il faut donc que les filles puissent voir fréquemment et régulièrement le père.
Cela pour une famille monoparentale dirigée par la mère. Si c'est le père qui dirige, il doit penser aux mêmes choses en sens inverse, avec une problématique moins crue à l'adolescence. Le père représente l'autorité plus que la mère, c'est souvent le cas. Peut-être à cause de la voix plus grave, de la force physique, ou du fait qu'il est plus "autre" (je veux dire qu'il n'y a pas eu l'intimité du ventre maternel où l'enfant entend en permanence la voix, reçoit les hormones, les humeurs, le goût même de la mère).
Je pense qu'en famille monoparentale, la mère s'organise mieux pendant toute l'enfance. Elle pense plus à tout ce qui est nécessaire pour l'enfant. Peut-être par culture, peut-être par instinct. Mais certains pères le font aussi très bien. Par contre les pères sont plus à l'aise pour gérer les conflits de l'adolescence. Peut-être parce que les hommes seraient davantage programmés biologiquement pour le conflit alors que les femmes auraient une plus grande disposition à la collaboration. Cette hypothèse est actuellement à l'étude, en lien entre autres avec la présence et l'activation de certaines hormones chez la femme et chez l'homme.
Culturellement les hommes ont tenu le rôle de celui que l'on craint dans beaucoup de familles, alors que les mères avaient le rôle de la consolatrice. Je pense que ce n'est pas par hasard si cela s'est constitué de telle manière. Il y a bien sûr des marges d'action et un pourcentage d'inversions, mais je n'exclus pas qu'il y ait là un modèle normatif des comportements.
J'ai digressé mais je reviens à votre question première: pour diminuer les tensions de confrontations, il faut préparer la future mère à établir des contrats avec des objectifs, plutôt que de chercher l'épreuve de force. Eduquer en négociant plus qu'en imposant, quand cela devient nécessaire. Il faut aussi lui apprendre à ne pas tout prendre sur ses épaules et à accepter de demander de l'aide quand c'est nécessaire. Lui apprendre aussi qu'un garçon adolescent (et en partie une fille aussi mais plus les garçons semble-t-il) est rebelle à l'autorité pure de la confrontation, et que pour que cette confrontation (poser des limites par exemple) fonctionne, un homme est souvent mieux placé. Donc il faut enseigner à cette petite fille que les enfants doivent garder un contact régulier avec les deux parents en cas de séparation, et si c'est impossible, trouver un équivalent-parent de l'autre sexe.
Evidemment dit comme cela c'est schématique et chaque situation demandera des adaptations particulières. D'où l'important que le parent sache prendre l'aide nécessaire quand il y a le besoin.
La deuxième question est: les genres sont-ils inégaux en matière de jeux et de désir du plaisir? Ce qui semble est que les filles se disciplinent mieux que les garçons. A quoi est-ce dû? Education? Culture? Différence dans les circuits d'adaptation neurologiques? Je ne saurais le dire.
Pour le dernier point, je ne sais pas quel âge vous avez mais peut-être serait-il amusant de trouver en votre partenaire quelqu'un qui aime aussi le jeu, qui puisse vous comprendre et avec qui vous puissiez partager une partie au moins de votre imaginaire, sans crainte. Vos images sont jolies et autant les assumer avec jeu et humour. L'honneur est une notion empreinte de gravité. C'est une bonne chose pour ancrer des valeurs. Mais le fun et la légèreté ne doivent pas être contradictoires à cela. Il y a un temps pour tout: pour jouer, pour être grave, pour rire, pour réfléchir, et cela peut parfois varier assez vite. Donc la variabilité à laquelle vous faites référence pourrait être un atout-jeu dans la relation, et elle sera d'autant plus plaisante que des valeurs de fond auront été ancrées entre les partenaires.
Voilà pour le moment. J'espère avoir en partie au moins répondu à votre commentaire, dans la mesure de mes possibilités. Peut-être aurez-vous d'autres réflexions, qu'il sera agréable de partager.
Bien à vous.