Athlètes transgenres au JO : certains y pensent
Le CIO ne désire pas s’engager sur cette question. « Il revient à chaque fédération sportive de faire le choix… » Et personne ne le fait: il n’y a pas d’athlète transgenre aux jeux de Paris.
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Athlètes transgenres au JO : certains y pensent
Le CIO ne désire pas s’engager sur cette question. « Il revient à chaque fédération sportive de faire le choix… » Et personne ne le fait: il n’y a pas d’athlète transgenre aux jeux de Paris.
Le progressisme s’infiltre dans l’école.
À Genève comme dans d’autre pays l’offensive dite progressiste grignote de plus en plus de place dans les écoles primaires. Par exemple la récente initiative d’établissements genevois de remplacer la fête des mères par la fête des gens qu’on aime. J’en ai parlé ici.
Combattantes de la liberté.
J’ai trouvé sur Facebook un petit post d’encouragement aux féministes pour la journée du 8 mars. Comme avec Greta Thunberg et ses potes extrémistes vue précédemment, on constate ici l’intention de relier les luttes et contestations dans un « combat global ». Enfin, oui et non.
Non, un homme ne peut pas être enceint.
Miss Pays-Bas est un homme. Enfin, une femme trans, donc un homme devenu femme. « Samedi 8 juillet, lors du concours de Miss Pays-Bas, la couronne a été attribuée à Rikkie Valerie Kolle. Qui est une femme transgenre, devenant ainsi la première à décrocher ce titre dans le pays. »
Après l’Uni de Genève c’est l’Unil, université de Lausanne, qui gomme le genre des personnes diplômées. Pas de marque permettant de distinguer un genre ou un sexe. Pour les éviter le document ne contiendra que le nom et prénom, et date de naissance à la place de né le.
Un sondage sur la votation AVS à venir est commenté sur la télévision suisse romande. Ce sondage marque un clivage entre les genres: les femmes ne veulent majoritairement pas voir l’âge de leur retraite passer de 64 à 65 ans – comme les hommes.
Le monde du divertissement impose sa doxa, ses mœurs, ses fantaisies au monde. Ainsi les Brit Awards, récompense anglaise pour chanteureuses, s’est recyclé dégenré pour sa récente édition de dimanche dernier.
On savait le nouveau représentant spécial pour le climat nommé par Joe Biden, John Kerry, opposé aux centrales nucléaires. C’était il y a longtemps. Depuis il a retourné son point de vue.
Sous ce titre, France 2 diffusait il y a quelques jours une émission sur les personnes transsexuelles. Le concept fait poser des questions essentielles sur la nature humaine et la constitution de l’identité sexuelle.
Le roman Les Dix petits nègres noirs blacks d’Agatha Christie a montré la voie. Envisageons ensuite la mise en conformité d’autres titres impies. C’est un devoir moral: dans l’actuelle vague submersive de dégagisme culturel, il faut les modifier afin qu’ils deviennent politiquement corrects.
On ne naît pas homosexuel, on le devient. C’est le thème d’une manifestation qui se déroule à Paris. L’objectif est annoncé: théoriser pourquoi et comment quitter l’univers homo.
Contrôler le langage c’est prendre le pouvoir sur les esprits. En France, des pétroleuses en robe, de Bure, l’ont bien compris et pratiquent l’inclusion façon 1984, par l’inversion du sens: l’inclusion c’est l’exclusion.
La coupe du monde féminine de foot débute le 7 juin en France. Fonctions des joueuses, affiche: la présentation a été féminisée comme le montre l’Équipe. Ou presque: trois fonctions sur quatre sont concernées. Par exemple, gardiennes de but.
C’est une tradition récente aux États-Unis. Autour de la St-Valentin un bal est organisé pour les pères et leurs filles. La mère ou des amis sont présents. La dad-daughter dance est considérée parfois comme une initiation personnelle et sociale.
Bien qu’en désaccord sur l’idée même de cette écriture dite inclusive j’ai tenté de dépasser ma légitime résistance. Depuis quelques temps je lis tout texte, politique ou non, sans savoir s’il contient cette forme. Histoire de tester la forme dans la pratique.
Depuis des années différents organismes officiels avancent des chiffres pour tenter de quantifier l’importance et la persistance de cette situation dans le secteur privé. Quel est le bon chiffre: 40 %, 32 %, 25 %, 19 %, 7 %, ou moins?
Je rebondis sur le billet de Sylvie Neidinger à propos de l’usage des prénoms féminins pour nommer les tempêtes. Les Carmen et Eleanor seraient mécontentes d’être associées à ces événements porteurs d’une charge négative. Charge négative: faut-il supprimer le prénom Jack à cause de Jack l’Éventreur? Non bien sûr.
J’en viens maintenant aux deux interventions qui m’ont inspiré la présente réflexion. La première a été publiée sur une page Facebook. On y fait endosser aux hommes dans leur ensemble le double rôle d’agresseurs … et de victimes, eux aussi. Cette deuxième partie commence de manière plus conflictuelle que la première, mais comme vous le verrez c’est nécessaire.
Dimanche des manifestations se sont déroulées dans une dizaine de villes en France. Annoncées à grand bruit comme une réponse à l’affaire Weinstein et comme une « libération » de la parole, elles ont été très peu suivies.
En août, la municipalité d’Amsterdam recommandait à ses employés d’éviter autant que possible les termes Monsieur et Madame. Elle préconisait l’usage d’un langage plus neutre, non sexué, pour les personnes souffrant de dysphorie de genre. Pourquoi?