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Trump : «  Nous ne sommes pas si innocents »

Qu’on l’aime ou non ne dépend plus de la rationalité. En usant d’un langage populaire, vulgaire (de vulgus, le peuple), en proposant une ligne en partie inverse de Clintobama, il a pris le contrepied du langage feutré, ampoulé, qui régnait jusque là. Un langage qui consistait à ne pas dire crument les choses, à les contourner.

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Trump aurait peut-être perdu l’élection s’il avait usé du langage châtié des classes dominantes. Aujourd’hui si l’on veut décrypter Donald Trump il faut faire la différence entre le ton de la campagne et le personnage réel.

Ce personnage réel a commencé à s’exprimer par des décrets. Barak Obama avait fait de même: en 12 jours il avait signé plus de décrets que le Donald!

Et Trump parle. Il parle entre autres de la Russie. Comme d’habitude il dit ce qu’il pense, même s’il peut sembler contradictoire. Ainsi il avait annoncé un probable revirement  à l’égard de Moscou. « Avant sa victoire à la présidentielle, Donald Trump avait déclaré : « De ce que j’en sais, le peuple de Crimée voulait être avec la Russie, et pas là où il était. Et cela aussi, il faut le prendre en compte ».

Mais il y a quelques jours l’ambassadrice états-unienne à Moscou, Nikki Haley, a averti que ces mesures (ndlr: les sanctions) resteront en place « jusqu’à ce qu’elle redonne le contrôle de la péninsule (de Crimée) à l’Ukraine ».

S’agit-il d’un brouille ou d’un message voulu par le président? Ee message s’adresse-t-il à Poutine, aux européens ou au Parti républicain plutôt remonté contre le Vladimir? Était-ce le résultat d’un marchandage en relation avec la nomination du nouveau secrétaire d’État?

 


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Depuis il a précisé sa pensée. Dans une interview hier à Fox News il affirme respecter Vladimir Poutine. Dire cela est mal vu aux USA. Mais Donald suit sa ligne:

«   le président américain a défendu une nouvelle fois sa volonté de chercher à réchauffer les relations avec son homologue russe. «Je le respecte», mais «ça ne veut pas dire que je vais m’entendre avec lui», a-t-il dit.» C’est un leader dans son pays, et je pense qu’il vaut mieux s’entendre avec la Russie que l’inverse», a-t-il ajouté. »

Le journaliste qui l’interviewe, Bill O’Reilly, lui dit alors: « Mais Poutine est un tueur ». À quoi Donald Trump répond:

« There are a lot of killers. We’ve got a lot of killers. What do you think? Our country’s so innocent? »

« Il y a beaucoup, beaucoup de tueurs. Mais vous pensez quoi? Que notre pays est si innocent? »

Pour ceux qui l’auront écoutée attentivement cette petite phrase est un camouflet au Camp du Bien, aux moralistes, mais aussi à son prédécesseur républicain, Georges W. Bush. Trump reconnaît que la politique américaine ne peut prétendre à une hauteur morale que l’on refuserait à Moscou.

Quoi que l’on pense de Donald Trump cette petite phrase est forte de la part d’un président nord-américain. Reconnaître que les États-Unis ont une responsabilité dans le désordre du monde: serait-ce l’entame d’une révision des relations internationales? De la politique interventionniste de Washington, comme le nouveau président l’a affirmé?

 

 

 

 

Catégories : Philosophie, Politique 18 commentaires

Commentaires

  • Cher hommelibre,

    - « Trump : « Nous ne sommes pas si innocents » »
    - « un camouflet au Camp du Bien, aux moralistes »

    Vous voulez dire, les "moralistes" du bien ... islamique ? féministe ? catholique ? protestant ? économique ? politique ? écologique ? blanc ? noir ? jaune ? rouge ? artistique ?

  • La phrase que vous citez en italiques est assez ambiguë.
    J'ai été surprise par cette réaction, qui en soi dit une chose très vraie : Il y a beaucoup de tueurs dans les deux pays, donc ils sont faits pour s'entendre.

    En effet, Trump ne dit pas : Mais Monsieur le journaliste, comment pouvez-vous affirmer une telle chose ? Avez-vous des preuves ?
    Sa réponse admet implicitement que V. Poutine serait un " killer" , tout comme beaucoup d'Américains.

    C'est super ! ;-((( Ainsi, ils se retrouvent entre pays de killers ?
    Effectivement, le camp du Bien n'a qu'à bien se tenir !
    Les petits pays aussi, par la même, ceux qui auraient quelque intérêt à ce que la géo-politique ne soit pas totalement régie par la loi de la jungle, celle des plus killers assumés de tous.

    Je n'ai pas encore compris, sous quel régime il est plus intéressant de vivre : celui des killers assumés ou celui des bienpensants un peu chrétiens sur les bords ?

    Je me demande juste, ce que les soldats américains sur le terrain actuellement pensent de tout ça, ainsi que les vétérans de retour au pays et leurs familles. Et tout ceux qui ont pensé que la grandeur des USA était en partie liée à son armée.

    On vit une époque formidable !

  • "celui des killers assumés ou celui des bienpensants un peu chrétiens sur les bords ?"
    Soyez honnête et complétez : "bienpensants un peu chrétiens sur les bords ?" qui tuent en toute discrétion. Par exemple par des drones...

  • "Reconnaître que les États-Unis ont une responsabilité dans le désordre du monde"
    Trump est un narcissique qui veut la grandeur des USA, ce n'est pas son genre à faire un mea culpa. Son genre est de dire que les autres sont des menteurs.

    Sa petite phrase est une façon directe de dire qu'on ne fait pas d'omelette sans casser les œufs. Il prépare les américains à des opérations militaires lorsque qu'il jugera importants au nom des intérêts américains.
    Son admiration pour Poutine, tient au fait que Poutine ne s'embarrasse pas trop de considérations lorsqu'il s'agit de la grandeur de la Russie

    Ses menaces contre les pays qui ont un excédent commerciales n'ont rien de pacifiques. L'Allemagne est en têtes de liste, et probablement, la Suisse isolée qui est une proie facile.

    La glorieuse Angleterre qui vanté son indépendance reprise à la méchante UE, s'est déjà vassalisé (vendu) et évitera les foudres de Trump.
    Reste l'UE qui ose le défier. Trump va probablement tout faire pour la casser : diviser pour régner, avec l'aide de l'extrême droite et populiste européens.

  • "Reconnaître que les États-Unis ont une responsabilité dans le désordre du monde"
    Trump est un narcissique qui veut la grandeur des USA, ce n'est pas son genre à faire un mea culpa. Son genre est de dire que les autres sont des menteurs.

    Sa petite phrase est une façon directe de dire qu'on ne fait pas d'omelette sans casser les œufs. Il prépare les américains à des opérations militaires lorsque qu'il jugera importants au nom des intérêts américains.
    Son admiration pour Poutine, tient au fait que Poutine ne s'embarrasse pas trop de considérations lorsqu'il s'agit de la grandeur de la Russie

    Ses menaces contre les pays qui ont un excédent commerciales n'ont rien de pacifiques. L'Allemagne est en têtes de liste, et probablement, la Suisse isolée qui est une proie facile.

    La glorieuse Angleterre qui vanté son indépendance reprise à la méchante UE, s'est déjà vassalisé (vendu) et évitera les foudres de Trump.
    Reste l'UE qui ose le défier. Trump va probablement tout faire pour la casser : diviser pour régner, avec l'aide de l'extrême droite et populiste européens.

  • Quelles ignominies sont prêts de commettre ces sbires de l'européisme ! Ouh, ouh, qu'est-ce qu'on a peur du grand méchant Trump. Cela ne va pas être pire que les torsions de bras de l'époque Clinton et de son lobby juif, dans tous les cas...

  • "La phrase que vous citez en italiques est assez ambiguë."
    Non, c'est votre interprétation qui l'est.
    Si allusion il y a, c'est celle-ci:
    http://www.globalresearch.ca/united-states-war-crimes/5561468
    Et s'il y un serial-killer, c'est le prix nobel de la paix (des cimetières). Notamment le faux assassinat de Ben Laden. Faux assassinat dont il s'est vanté par souci électoraliste.
    Et il vaudrait mieux relire le discours d'investiture:
    "Nous chercherons à garder l’amitié et les bonnes grâces des autres pays du monde, mais ils doivent comprendre que chaque pays a le droit de faire passer ses intérêts avant ceux des autres. Nous ne cherchons pas à imposer notre mode de vie à quiconque, mais nous voulons qu’il serve d’exemple aux autres. Nous voulons être un exemple d’excellence."
    Si seulement...
    http://www.voltairenet.org/article195000.html
    A part ça, la paille et la poutre, ça vous rappelle quelque chose?

  • "Les Suisses doivent découvrir quelle sorte de salopards étaient leurs grands-pères" selon un parlementaire juif américain.
    "La neutralité suisse est une tromperie morale" selon le "New York Times".
    "La malhonnêteté est un code culturel que maîtrise chaque Suisse" Tom Bower.
    "Les Suisses sont cupides, profiteurs, blanchisseurs d'argent, receleurs, voleurs, pillards et menteurs" US News and World Report.
    "Un pays aux rues propres et aux coeurs sales". New York Post.
    + le rapport Eizenstat, un sommet d'insultes envers notre pays.
    Voilà ce que pensaient les démocrates de la Suisse. Alors Trump...

  • A propos de vulgus, le peuple

    si vulgus vulfaire

    Lorsque l'on demande si quelque chose a bien marché, il arrive que la réponse soit: "comme sur des roulettes", très bien.

    Or, roulette, de rouler, "roue" est la traduction du mot chakra, en sanskrit soit centre nerveux et de conscience.

    Du bon fonctionnement de ces centres nerveux et de conscience dépend notre santé: "comme sur des roulettes" soit que tout "tourne" à merveille:
    Respect au peuple, please.

  • Pardon: si vulgus signifie vulgaire...

  • Géo: et après on va dire que c'est la Russie l'ennemie...
    Mais ce serait mieux de donner la ou les sources de ces "prises de position".

  • « Voilà ce que pensaient les démocrates »

    "Démocrates" peut-être... mais autre chose aussi...

    C'est fou, il y en a qui peuvent se permettre les insultes les plus innommables, sans risquer de jugements infamants.

  • "Mais ce serait mieux de donner la ou les sources de ces "prises de position"."
    Vous avez raison, j'ai écrit ça à la va-vite. Il s'agit de l'introduction au livre de Stephen Halbrook "La Suisse face aux nazis", introduction écrite par J-J Langendorf.

  • Calendula:

    Ma perception de ce propos a été inverse de la vôtre. J'y vois un constat et un début d'autocritique de la part du président américain, et non une posture de cynisme entre des killers.

    La question des preuves n'importait pas à ce moment là, on n'était pas dans une enquête policière mais dans le rappel que son pays n'est pas pour rien dans l'état du monde.

  • @hommelibre,

    C'est intéressant, comme on peut percevoir une chose de façons opposées ! Ce n'est pas la première fois, que cela nous arrive . ;-))))

    Oui, je comprends bien votre façon de lire, qui a un côté factuel tout à fait correct.
    Pourtant, j'aimerais encore un peu défendre la seconde lecture ( la mienne).

    Si j'étais une grande fan de V. Poutine et que je voyais en lui celui qui cherche avant tout à apaiser les tensions politiques dans le monde, je serais un peu perturbée par ce "oui, effectivement et nous ne sommes pas en reste".
    Le contexte de la phrase n'est pas complètement insignifiant.
    Si j'étais sûre, que D. Trump est un pacifiste, qui condamnerait les missions meurtrières du passé et qui aurait l'intention de ne plus laisser tuer au nom de son pays, ce serait une lecture univoque.
    Mais je crois avoir compris, qu'il n'est pas parti pour diminuer les moyens militaires de son pays. Ni pour apaiser les relations avec l'Iran ou la Chine.

    Ainsi, je lis en filigrane l'affirmation : Nous sommes tous deux des pays de "killers".
    Ce n'est d'ailleurs pas forcément que du cynisme, c'est peut-être une façon de dire : Nous ne sommes pas des mauviettes, les killers ne nous font pas peur, on a de l'expérience.

    Bon, je ne vais pas essayer de me mettre "dans la tête de" Donald Trump !
    Je me demandais juste, comment sa prose peut être perçue par ses concitoyens et par les dirigeants des autres pays, dirigeants qui doivent désormais compter avec des déclarations très diverses, selon qu'elles émanant des membres du gouvernement ou du président lui-même.
    La polyphonie ne se trouve pas seulement dans une phrase, comme celle qui nous occupe, mais également dans les paroles des "ministres" ou de l'ambassadrice à l'ONU.

  • Bonjour Calendula,

    Nous ne sommes pas en face de pacifistes!
    :-)
    Mais de chefs d'État qui doivent préserver toutes les options. On n'aura pas de Trump pacifiste. Par contre il peut estimer que les engagements militaires comme les USA le font depuis longtemps ne sont plus la bonne politique américaine. La guerre doit toujours rester une options de dernière extrémité.

    Depuis plus de 10 ans le Donald annonce la couleur, en désaccord avec l'emballement US au Moyen-Orient en particulier. Il est cohérent sur la durée. Reste à voir s'il le restera en étant au pouvoir.

  • Bonjour hommelibre,

    Nous ne sommes pas dans la tête de D. Trump, même si nous essayons de trouver une cohérence dans sa démarche.
    Il cherche en tout cas un rapport de forces, tant avec l'Iran qu'avec la Chine.
    Sur le blog de Bruno Hubacher, on peu lire le récit d'un briefing de presse catastrophique. Le porte-parole de la Maison blanche a opéré un glissement sémantique probablement non-intentionnel, mais qui peut provoquer encore davantage de tensions que nécessaire ou même souhaité par le gouvernement américain.
    Nous sommes généralement très exigeants avec nos dirigeants, chaque mot compte, chaque déclaration est passée au peigne fin. C'est la démocratie, nous nous sentons en position de demander des comptes.
    Si Trump se lance dans une opération armée, il devra prouver que son killing est mieux que les killing de ses prédécesseurs.
    Il twittera, bien sûr, mais sommes-nous condamnés à croire le contenu de ses affirmations ? Il faudra avoir des sources réellement fiables et indépendantes, pour essayer d'y voir clair.

    Lorsque j'ai lu ceci, j'ai d'abord cru à de l'intox, tellement c'était énorme :
    "Vous avez vu ce qui s'est passé à Paris ou à Nice", a commencé Donald Trump. "Et bien cela arrive aux quatre coins de l'Europe, à tel point que les médias ne prennent même plus la peine d'en parler." Et d'ajouter dans une expression plein de sous-entendus que "la presse malhonnête ne voulait surtout pas en parler".
    Mais on doit constater de ses propres yeux et oreilles, qu'il l'a bien dit:

    actu.orange.fr/.../selon-trump-il-y-a-tellement-d-attaques-terroristes-en-europe-que-la-.

    Ainsi, il essaye de faire croire à des compatriotes, qu'en Europe, il serait possible de cacher de tels événements au grand public, que nous ne dépendrions que de la presse malhonnête pour nous informer, que nous ne saurions pas poster de vidéos faites avec des smartphones sur internet, ni twitter, ni nous organiser pour faire connaître des attaques terroristes réels ???
    Il nous fait passer pour des demeurés et par la même, croit que ses compatriotes le sont.

  • Ce que vous ne lirez surtout pas dans la TdG ni ne verrez sur la RTS:
    (Traduction par Google...) Lien en anglais pour les puristes :)

    HOLY SH * T! Regardez ce qui est arrivé à la chanteuse noire dans Trump Dress juste après avoir quitté Grammys!
    Par Amanda Shea

    Où il ya un spectacle de récompenses Hollywood, il ya une déclaration politique à faire maintenant que Donald Trump est notre président et la majorité de l'industrie du divertissement le déteste. La première déclaration de la nuit a été inattendue lorsque la chanteuse noire Joy Villa a fait le tapis rouge grand nouveau dans sa robe de soutien Trump, brisant le stéréotype raciste contre notre chef. Même si elle était consciente que l'enfilage d'une telle robe lors d'un événement comme celui-ci lui ferait une cible, elle ne s'attendait certainement pas ce qui est venu de lui la seconde, elle a quitté la remise des prix.

    Sachant que ces spectacles de récompenses sont devenus une étape pour détruire notre président, Villa a décidé de contrer ce sentiment en montrant son soutien à Trump dans un incroyable "Make America Great Again" robe. Elle avait l'air étonnante et rayonnait de patriotisme et de fierté pour notre président. Elle a mis son nom sur la carte pour les conservateurs qui ne l'ont peut-être pas connue jusqu'à ce qu'elle a marché le tapis rouge dans cet ensemble la nuit dernière, et a également fait elle-même une cible de la gauche gauche, y compris certains dans sa propre industrie.

    À quelques secondes de sa sortie dans son engin MAGA, Villa a été verbalement réprimandée par des gauchistes clairement non tolérants qui sont allés même jusqu'à demander sa mort. "ATTAQUE!! TUE-LA!! JOUTEZ-LA DANS UN CAMP ... POUR LES ADULTES !! "criait un psychologue libéral sur Twitter. Une autre s'est incliné à un niveau immature en changeant son nom sur Wikipédia pour Joy Angela Villa Trash, a rapporté le Gateway Pundit. Les attaques ont fait rage pendant des heures, l'appelant un «traître désespéré», et certains sont devenus racistes puisque les libéraux pensent seulement que le racisme est mauvais quand ils prétendent qu'il vient d'un conservateur. Puis quelque chose de vraiment alarmant s'est produite après qu'elle a quitté le spectacle dans sa robe.

    Peu de temps après avoir quitté le spectacle et l'apprentissage des attaques contre elle, elle a reçu la bonne nouvelle de l'effet Trump qu'elle vient de recevoir en étant assez courageuse pour montrer son soutien. Son album, I Make the Static, a grimpé au sommet des charts sur Amazon, passant du numéro 543.202 au # 3. C'est une augmentation de 18,106,633 pour cent en quelques heures et elle est actuellement en vendant ses homologues notoirement contentieux, Lady Gaga et Beyoncé.

    Le peuple américain a parlé une fois de plus par les ventes d'album sans précédent pour le chanteur qui a montré le soutien de Trump. Les gens sont malades des artistes libéraux crachant la haine et perpétuant la divisibilité de leurs perchoirs prétentieux. Les réponses opposées à Villa des deux côtés de l'allée politique prouvent la grande différence dans les partis politiques. Il n'y a jamais une augmentation des ventes pour le travail des artistes qui trash Trump après qu'ils disent leur morceau haineux, mais les conservateurs mettre leur argent où leur bouche est.
    Amanda Shea
    Amanda Shea est un aficionado politique et conservateur de l'actualité, qui couvre toutes les questions d'importance pour les conservateurs. Elle attire l'attention et la perspicacité de ce qui se passe dans la Maison Blanche dans les rues des villes américaines, parce que tout cela a un impact sur notre avenir, et le pays est parti pour nos enfants. Elle écrit avec une vérité non filtrée, mélangée avec l'esprit là où il est approprié, et estime que le journalisme ne doit pas être censuré.

    Http://freedomdaily.com/holy-sht-look-happened-black-singer-trump-dress-right-leaving-grammys/

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