(Première partie ici). Après avoir pointé les mensonges du GIEC, Steve Koonin va plus loin dans la critique de l’alarmisme des vecteurs dédiés à la peur: alarmisme des médias, des politiques et des militants. Il relativise le rôle du CO2.
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(Première partie ici). Après avoir pointé les mensonges du GIEC, Steve Koonin va plus loin dans la critique de l’alarmisme des vecteurs dédiés à la peur: alarmisme des médias, des politiques et des militants. Il relativise le rôle du CO2.
Je prends pour acquise la défaite de Donald Trump. Pour la suite à donner aux plaintes pour fraude, les tribunaux statueront. Y a-t-il eu fraude? Disons qu’en l’état des éléments paraissent troublants. Il est donc normal que le Donald tienne sa position jusqu’au bout, au cas où il aurait raison.
Il y a les bons noirs. les vrais. Et les autres. Skeleton Joe, le candidat pâle, connaît la différence. Il explique même à un noir ce qu’est être noir: c’est voter pour lui.
Si en 2008 l’élection de Barak Obama m’avait enthousiasmé, certaines de ses décisions politiques m’avaient ensuite douché. En particulier les mesures sexistes qu’il avait imposé aux universités.
Poursuivant sa carrière de bateleur, il peaufine sa méthode de drague. Drague politique. C’est connu: les hommes féministes se posent comme de bons protecteurs des femmes. Ils évitent ainsi la confrontation et l’éventuel camouflet d’une drague plus directe.
Une nouvelle campagne virale se développe aux États-Unis sous le hashtag #WalkAway. En français: s’en aller, partir. C’est une critique et un désaveu du parti démocrate. Elle a été lancée par un coiffeur styliste gay de New York, Brandon Straka.
Étonnant Frédéric Mitterrand: il a la voix d’un cadavre, il parle comme un cadavre, et pourtant il vit encore. La preuve, ce film documentaire diffusé hier soir sur France 3: « Trump, le parrain de Manhattan ».
C’est une part de sa marque de fabrique: le langage d’invectives, sans manières, frontal. Stratégie politique précise dans un monde qui étouffe de plus en plus sous le conformisme moral? Ou nature propre et caractère singulier du monsieur? Peut-être les deux.
Le déchainement anti-Trump semble céder la place à plus de raison. Le président, qui ne cherche pas à plaire, a une ligne. Il n’est pas si imprévisible qu’on l’affirmait avec angoisse, laissant planer la peur d’une guerre nucléaire. Que se passe-t-il?
Quelques médias font le bilan de l’année qui finit. En particulier sur le climat. Sans convaincre. Par exemple le journaliste du Matin auteur de l’article sur l’ours polaire vedette du net, Michel Pralong.
Des éléments de mur ont été récemment présentés au public américain. Ces nouveaux prototypes vont être testés dans les mois qui viennent. Donald Trump continue la mise en place de la politique pour laquelle il a été élu, avec plus ou moins de bonheur.
Elle avait tout de l’ange. Elle était portée aux nues par la presse et l’opinion occidentale, au point de recevoir le prix Nobel. Aujourd’hui elle est sur le banc des accusés. Passage du monde rêvé des anges au monde réel.
Les critiques passées contre Georges W. Bush et Barak Obama ne sont pas restées sans suite. On se souvient de Junior: l’ouragan Katrina l’avait laissé figé; il n’était pas allé sur le terrain, n’avait pas montré d’empathie pour les sinistrés.
L’administration Obama avait mené une politique de culpabilisation envers les étudiants de sexe masculin. Il s’en justifiait en déclarant: « On estime qu’une femme sur cinq a été agressée sexuellement pendant ses études – une sur cinq. »
Elizabeth Warren, Michelle Obama, Hillary Clinton. Trois kadors du féminisme américain. Trois chefs de file de l’élite dominante. Trois bourgeoises éminentes du camp du bien. Pourtant elles discriminent les femmes.
Un article de la Tribune de Genève papier du jour mentionne les travaux de Vincent Kaufmann (image 4) sur les limites de la libre circulation. Le titre de l’article: « Les effets pervers du dogme de la mobilité ». Fichtre!
Personne ne leur en a fait grief. Personne ne les a qualifiés de racistes ou xénophobes. Les mexicains n’ont pas fait mur contre eux le long de la frontière, comme c’était le cas il y a deux jours contre le Donald.
Qu’on l’aime ou non ne dépend plus de la rationalité. En usant d’un langage populaire, vulgaire (de vulgus, le peuple), en proposant une ligne en partie inverse de Clintobama, il a pris le contrepied du langage feutré, ampoulé, qui régnait jusque là. Un langage qui consistait à ne pas dire crument les choses, à les contourner.
… jette la première brique à Donald Trump. Ce ne sera ni Bill ni Hillary Clinton. Ni Barak Obama. En effet comme sénateurs ils ont voté pour la construction de ce mur en 2006. Mais alors pourquoi en faire un tel acte d’accusation contre le Donald?
Barak Obama essuyant une larme lors de son dernier discours de président: l’image a fait le tour du monde. Sincérité ou démagogie? À tout le moins j’y vois un signe de l’OPA affective de l’administration démocrate sur le pays.