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Pourquoi Wonder Woman n’est pas une héroïne féministe

On dirait une guerrière grecque d’il y a très longtemps. Ses cuissardes à talon devraient faire de l’effet aux clients dans les tavernes de Sparte. Et ses cuisses longues, sa cuirasse très courte, son visage de madone: elle a beaucoup pour elle.

 

wonder woman,féministe,yourcenar,Elle est forte. Très forte. S’il faut se battre elle est armée et intelligente. Elle règle ses affaires elle-même. Ne pleurniche pas quand ça ne va pas comme elle veut.

 

Elle aime les hommes. Enfin, normalement, quoi.

 

Elle ne les attaque pas, ne leur fait pas reproches sur reproches, ne se bat pas contre eux – sauf si ce sont des méchants.

 

wonder woman,féministe,yourcenar,Elle na pas de carte au MLF et ne prêche pas la théorie de l’indifférenciation des genres. Ne défile pas poing levé en traitant les mâles de noms qu’on ne donnerait même pas aux oiseaux.

 

Elle n’est pas victime de ceci, victime de cela, à chercher la preuve de l’ignominie du système.

 

Pour ces raisons, Wonder Woman ne peut pas être une héroïne féministe.

 

 

PS: Le côté féministe du film a été mis en avant aux états-Unis et en partie en France par nombre de médias (un exemple). Mais d’autres médias s’indignent de voir ce blockbuster avec une nana siliconée être qualifié de féministe.

 

PS 2: Merci à la-cause-des-hommes.com pour le poster détourné de Wonder Woman: Je ne suis pas une victime, je suis une femme.

 

 

Catégories : Humour, Politique 10 commentaires

Commentaires

  • "Ses cuissardes à talon devraient faire de l’effet aux clients dans les tavernes de Sparte." Vous croyez ? Pas si sûr...elle ne ressemble pas trop à un jeune garçon...

  • Je n'ai pas vu le film et ne connais pas l'univers des comics, mais il me semble tout de même que ce film s'inscrit dans un genre très à la mode mettant en avant des femmes dans des rôles guerriers masculins. Aujourd'hui on a l'impression que chaque film d'action hollywoodien propose une actrice mignonne, pas forcément baraquée mais capable de mettre au tapis le premier gros bras venu.
    Cette mode participe à l'idéologie féministe prônant l'indifférenciation des sexes. D'autant plus qu'Hollywood est un gros relais de propagande de l'idéologie dominante.
    Je me souviens de certains rôles féminins forts dans les années 70 80 (le rôle de Ripley dans Alien ou encore celui de la princesse Leia) qui n'étaient pas construits sur un modèle masculin stéréotypé et qui ne rivalisaient pas forcément physiquement avec les hommes mais qui n'en étaient pas moins fortes au contraire.

  • @ steppenwolf

    bien vu

    ". Aujourd'hui on a l'impression que chaque film d'action hollywoodien propose une actrice mignonne, pas forcément baraquée mais capable de mettre au tapis le premier gros bras venu.
    Cette mode participe à l'idéologie féministe prônant l'indifférenciation des sexes. D'autant plus qu'Hollywood est un gros relais de propagande de l'idéologie dominante. "

    http://www.air-defense.net/forum/topic/18025-les-%C3%A9normit%C3%A9s-et-clich%C3%A9s-du-cin%C3%A9ma-et-s%C3%A9ries-t%C3%A9l%C3%A9vis%C3%A9es/?page=1

  • Cette wonder woman n'est peut être pas féministe mais je la crois représentative d'un féminisme américain en pleine débâcle qui cherche à se redonner une image positive.
    J'ai écrit ce petit article là pour facebook mais j'ai du l'effacer pour éviter le bad buzz sur un projet de jeu de rôle sur lequel je travaille. Alors à défaut, bin je le partage ici :

    Je me rappelle avoir entendu une fois une féministe, sur facebook, se demander "pourquoi les auteurs de fiction ne se posent pas plus souvent cette question toute simple: est ce que cette histoire serait décente si les sexes étaient inversés?"
    La prenant au mot, je me suis imaginé ce qui ce serait passé si un auteur avait décidé de créer Wonder Man, un super héros issu d'une race de men getting their own way surhumains vivant rien qu'entre bites sur une île paradisiaque interdite aux femmes, lourdement sous entendu que c'est pour ça qu'elle est paradisiaque. Un jour, il décide de quitter son île pour servir la justice en bottant des culs féminins par centaines.
    Je pense que les lectrices le haïraient et qu'elles auraient raison. Y a pas à dire : nous les mecs, on est vachement tolérants.

    Quand la bande annonce du film Wonder Woman 20017 est passée sur youtube, un type a posté la question "Who would be the bad guy?" et un autre a répondu "men". Au moment où je lisais ce commentaire, il avait déjà une centaine de like. Comme je croyais qu'il aurait raison, je ne suis pas allé voir ce film. Or, d'après les échos que j'en ai eu, il avait tord et, du coup, moi aussi.
    Pour me rattraper, je me suis payé "Wonder Woman rebirth" ou en bon François, Wonder Woman année 1, copyrighté en 2016/2017. Quand on lit un Wonder Woman, c'est très important de savoir de quand il date, tant le personnage et son histoire ont été modelés et remodelés, et j'avais surtout envie de voir à quoi ressemblait la Wonder Woman nouvelle vu que j'avais loupé celle du film.

    Bin... je pensais pas pouvoir dire ça un jour d'un Wonder Woman récent, mais ça m'a plu. Bon, je me suis pas cogné le cul au plafond parce que je commence à être un peu vieux pour ça (pour les super héros hein, pas pour me cogner le cul au plafond) mais je l'ai trouvé sympa et rigolo.
    Le pitch est simplissime : il reprend le début de l'histoire de Wonder Woman (le crash de Steve Trevor, le tournois, le départ de Diana qui obtient ses pouvoirs un peu plus tard) transposé à notre époque, comme le fait l'anime long métrage de 2009. Déjà, premier constat : la Wonder Woman nouvelle est toute miel, alors de celle de 2009 était toute vinaigre. Pour ce que j'en ai entendu, c'est le cas aussi dans le nouveau film.
    Elle est gentille avec Steve Trevor depuis le début, elle passe pas son temps à critiquer le "monde des hommes" et elle a plutôt tendance à trouver tout génial, sauf le soda qui est beaucoup trop sucré quand on n'a mangé que des trucs naturels toute sa vie. Steve Trevor, lui, est un personnage purement positif. Au passage, on sent que Twilight est passé par là parce qu'ils en ont fait un tout jeune beau gosse baraqué, style beefcake, qui passe la moitié de la BD torse-nu sous un prétexte ou un autre (FANSERVIIIIIIIICE!!!) Pour comparaison, le Steve Trevor de la série avec Linda Carter avait plutôt une gueule à jouer le capitaine dans la croisière s'amuse.

    Il y a surtout un petit passage que j'ai trouvé très bien amené, avec un second degré assez évident sur l'image actuelle de Wonder Woman et, peut être même, l'image actuelle du féminisme aux Etats Unis : Alors que l'armée décide de la garder enfermée le temps de comprendre ce qu'elle est et d'où elle vient (pas évident vu qu'elle ne parle qu'en amazone, un mélange de grec ancien, de perse et d'autres trucs) Diana se demande pourquoi les hommes se méfient autant d'elle alors qu'elle leur veut que du bien et qu'elle est là pour les sauver. Bin je sais pas cocotte... peut être parce que tu leur a chié dessus pendant vingt ans? Là, tu recommences tout juste à être sympa avec eux, faut le temps de s'habituer quoi.


    En lisant cette BD, je me suis rappelé que je n'avais pas toujours détesté Wonder Woman, et que je garde même un très bon souvenir de la vieille série avec Linda Carter. Bon, elle paraît super niaise aujourd'hui, et même pour l'époque elle fleurait bon le tout petit budget (Oh le beau trampoline!) mais elle avait de la fraîcheur, une qualité rare de nos jours. Je pense que toute l'équipe assumait très bien qu'ils faisaient un truc pour les gosses et qu'ils le faisaient de leur mieux avec les moyens du bord. On a une Diana qui fait simplement son taf de super héros et un Steve qui joue son rôle, celui d'une échelle de dimension pour mesurer Wonder Woman. C'est un procédé classique qui consiste à mettre un compagnon humain au dessus, voire très au dessus de la moyenne à coté d'un héros surhumain pour montrer à quel point le héros est supérieur, même à un humain haut de gamme. C'est ce que fait Watson avec Sherlock Holmes, Lois Lane avec Superman et, si on remonte à l'antiquité, Iphiclès avec Héraclès. Aujourd'hui, c'est pas évident de voir Lois Lane comme au dessus de la moyenne mais, à l'époque de sa création, une femme journaliste c'était pas rien.
    Bref, on est dans les années 70, à une époque ou les revendications féministes s'orientaient sur l'avortement, la contraception et, surtout, l'égalité en droits et en considération. Ca nous pause une série avec une super héroïne finalement très neutre. Elle protège les innocents et combat les méchants, sans jamais abuser de sa force ni se substituer à la justice... bref, on se fout que ce soit une amazone et, la plupart du temps, on se fout même que ce soit une femme. Superman se conduirait quasiment de la même façon. C'est comme avec Blade : le plus remarquable dans le fait qu'il soit noir, c'est que ça ne l'est pas. Ses aventures ne parlent ni de racisme ni de culture afro, mais de chasse aux vampires. Certains diront que, du coup, elle est creuse et n'a aucun message à donner mais moi, je trouve que c'est un message en soi.

    Dans les années 90 et 2000, Wonder Woman a changé de cap... parce que le féminisme a changé de cap également. Je vais pas être objectif, je vais pas être nuancé, je vais même pas essayer d'être intelligent : pour moi, c'est une époque de merde. En occident, c'est l'heure de gloire d'un courant féministe bourgeois, puritain, manichéen et liberticide qui s'est imposé comme LE féminisme officiel, fort d'une opinion populaire encore très favorable et soutenu par une gauche caviar qui, après avoir trahi le peuple, se cherche de nouvelles causes pour maintenir une illusion d'engagement égalitaire. La droite fera d'ailleurs la moitié du chemin qui la sépare de la gauche en se convertissant au "progressisme" sociétal. Le mot "sexisme" se popularise et on l'utilise à tord et à travers, mais uniquement pour accuser les hommes et victimiser les femmes. Pendant ce temps là, on peut se balader dans une librairie et trouver, au rayon psycho-socio-démago des livres intitulés "J'élève mon mari" ou "Pourquoi les hommes sont des lâches" et personne ne bronche. Le courant le plus représentatif de ce féminisme en France est celui des chiennes de garde.
    Ce féminisme mainstream avait un autre défaut, qui causera finalement sa perte : bourgeois jusqu'au bout des ongles, il était complètement déconnecté des préoccupations réelles de madame Tout le monde. La grande inquiétude de madame Tout le monde, c'est pas de savoir si telle ou telle pub avec des bonasses à poil est "dégradante" pour l'image de la femme ou s'il y aura autant de chattes que de bites dans la prochaine assemblée dont elle ne fera jamais partie, mais de savoir comment elle va bouffer si elle finit mère célibataire avec un smic et trois gosses à charge. C'est ça la vie d'ouvrier : toujours la merditude des choses.
    La meilleure illustration de la Wonder Woman de cette époque, c'est celle du dessin animé long métrage de 2009. Après un résumé de l'histoire des Amazones qu'on peut traduire en gros par "On est les gentilles, les hommes sont des gros enculés et en plus, c'est des brelles parce qu'on leur a botté le cul", on a droit au crash de Steve Trevor. Les Amazones le traitent en ennemi, avec une rancune et un mépris évident. Elles hésitent même à le tuer, mais décident finalement d'organiser leur tournoi pour désigner une championne à envoyer dans le "monde patriarcal" histoire de rattraper les conneries de ces abrutis de mâles.
    Dans ce film, Diana est une connasse méprisante qui considère tout, n'importe quoi et son contraire comme une oppression envers les femmes. Quand à Steve Trevor...
    Bin c'est un trou du cul.
    Ouais!
    Parce qu'on est dans un film féministe, alors il faut que les hommes soient tous des trous du cul pour que les femmes puissent les éduquer, même du coté des gentils et même Steve Trevor. Il oscille entre une caricature de macho séducteur et une caricature de chien soumis toujours d'accord avec sa maîtresse. Le seul moment où il se révolte un tout petit peu, c'est quand Diana le baffe parce qu'il a préféré la sauver plutôt que de finir la mission en la laissant crever derrière, et qu'elle trouve ça sexiste...
    Franchement, si vous vous demandez pourquoi le féminisme a si mauvaise presse aujourd'hui, oubliez les femens. Ce sont peut être des connasses extrémistes, mais elles sont reconnues comme telles et ça change tout. D'ailleurs en ce qui me concerne, je ne les trouve même pas plus extrémistes que les chiennes de garde, juste plus trash sur la forme. Regardez plutôt le dessin animé de 2009 en vous disant que ça, c'était grand public, adressé à la jeunesse et tout à fait politiquement correct. C'est pas la gravité de l'insulte qui crée de la rancœur, c'est sa légitimation. Les féministes le savent très bien quand ce sont eux qui se font insulter.

    Et la Wonder Woman de 2017? Je pense qu'elle incarne un féminisme occidental désavouépar la population, montré du doigt, privé de ses appuis politiques avec l'implosion de la gauche caviar et la victoire de Trump, ou plutôt la défaite de Clinton, et en pleine campagne de dédiabolisation. Le mot "dédiabolisation" peut paraître exagéré pour des oreilles Françaises (et encore) mais aux US, je crois qu'on en est là. Ca avait déjà commencé avec la campagne he for she. Reprenez moi si je me trompe, mais je crois que cette campagne a été un gros bide une fois l'effet du discours passé.
    La branche mainstream du féminisme est toujours incapable de se remettre en question sur le fond ( pour ça, il faut chercher du coté des dissidentes comme Christina Hoff Sommer, ou Peggy Sastre en France. Elizabeth Badinther, qui voyait loin, est devenu dissidente dans son propre camp du temps où il était au sommet de sa puissance, en anticipant que ça allait se péter la gueule) Mais elle a au moins compris qu'elle était tombé de la chaire du juge dans le box des accusés et qu'il était temps d'arrêter les conneries sur la forme et de passer de la pommade à tout le monde, surtout au public masculin. Ce sera pas évident car le féminisme des années 90/2000 a engendré quelques monstres de Frankenstein qui, grâce à la magie d'internet, ont échappé à tout contrôle et continuent à mettre du napalm sur le feu.
    Si ça, c'est pas une mission pour Wonder Woman!

  • Je ne m'intéresse pas du tout aux exploits des super-héros, quel que soit leur sexe. Je trouve tout ça d'un ennui profond.
    En revanche, leur perception par le public a quelque chose d'intrigant. Que projetons-nous dans ces héros ? Avons-nous besoin d'eux comme modèles et à quel moment de notre vie ?
    Quand on voit tous ces petits Spidermen dans la rue, même en-dehors de l'Escalade, on est obligé de se dire que ça touche une corde sensible chez les petits garçons.

    L'histoire de la création de Wonder Woman vaut la peine d'être connue, si on veut parler de sa raison d'être.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Wonder_Woman

    Je cite:

    "En 1940, le psychologue William Moulton Marston est conseiller éditorial pour la société All-American Publications, dirigée par Max Gaines. Lassé de ne voir que des super-héros masculins, il crée une super-héroïne nommée Suprema the Wonder Woman. Max Gaines, intéressé par le concept, accepte l'idée de Marston qui crée la série sous le nom de plume Charles Moulton (combinaison de son 2e nom et de celui de Max Gaines). Bien que Marston porte entièrement la responsabilité de la création, le responsable éditorial Sheldon Mayer, apporte sa pierre et convainc l'auteur de ne garder que la seconde partie du nom. Le dessin est confié à H. G. Peter, artiste expérimenté, qui réalisera presque toutes les aventures de l'héroïne jusqu'en 19581."

    Ce personnage n'est donc pas né dans la tête de féministes enragées du XXIème siècle.

    À la création du personnage, le communiqué de presse précise : « Wonder Woman a été conçue par le docteur Marston dans le but de promouvoir au sein de la jeunesse un modèle de féminité forte, libre et courageuse, pour lutter contre l'idée que les femmes sont inférieures aux hommes et pour inspirer aux jeunes filles la confiance en elles et la réussite dans les sports, les activités et les métiers monopolisés par les hommes »

    On peut en vouloir à ce docteur d'avoir eu une telle idée et il faut rendre à César ce qui est à César.

    Toute la question, en 2017, est de savoir ce que l'on fait du personnage.

    www.huffingtonpost.fr/.../wonder-woman-a-beaucoup-evolue-depuis-sa-creation-en-...

    A mes yeux, il s'agit avant tout d'un phénomène commercial. Il fallait trouver un personnage qui pourrait faire un nouveau film à gros succès et qui ratisse large.
    WonderWoman est parfaite par les temps qui courent, puisqu'on arrive à faire du grand spectacle avec une actrice belle et sexy qui plaira aux hommes, et à laquelle des femmes pourront s'identifier, parce qu'elle est forte.
    Ensuite, on peut bien sûr se sentir un peu remise en question à cause de tant de perfection ...
    Il faut juste savoir rester dans l'univers du merveilleux, comme les petits garçons qui regardent Spiderman ! ;-)))

  • Une féministe des années 70 (féministes bien décrites en un commentaire ci-dessus), aujourd'hui, se demande ce qui arriverait si pauvreté croissant, famines prévisibles, l'humanité démunie redécouvrait en ses gènes le cannibalisme connu jadis en cas de grande disette!?

  • Notez que Le Matin, comme on pouvait s'y attendre, continue la "man-bashing" avec de gros clichés. Il serait intéressant de les voir écrire un article sur les femmes qui détestent les hommes, mais ça n'arrivera pas:

    http://www.lematin.ch/societe/mgtow-hommes-detestent-femmes/story/20735188

  • C'est vrai qu'une féministe en Wonder Woman comme la récupération féministe autour du film je n'ai pas été surpris mais je me demande si elles savent se quelle font (font voter, rendre obligatoire,...). Une femme qui veut être "puissante" et tout ce qui va avec se retrouve dans le féministe c'est l'opposé ce n'est pas du tout compatible avec le personnage. Comme le féministe la déjà écrit les normes de réussites masculines et féminines ne sont pas identiques avec leurs représentantes je n'ai aucun doute par contre je regrette qu'elle l'oublie quand elles font leurs actions de société... .




    https://fabiusmaximus.com/2017/06/05/causes-of-rising-hatred-in-america/
    Un passage :
    The quest for special rights for these and other oppressed groups appears never-ending. As seen — on a small scale in the Wonder Women screenings — the quest for human rights has been replaced by new goals. Now the Left seeks social justice through social engineering. As part of this the great civil rights have been retconned, given new meanings directly opposite to their original intent. Prohibition of discrimination by gender or race becomes authorization for special treatment by gender or race.

  • Bonjour Homme libre j'aime bien la phrase elle aime bien les hommes mais normalement
    Au vu du nombre de maris qui doivent partager leur lit avec les animaux de compagnie plus leur épouse représentante de la gente fétichiste on comprend le besoin de certains d'aller à gauche
    Il sont ridiculisés par les épouses qui en plus n'ont aucun savoir vivre et aucun respect pour l'animal
    J'aime les animaux j'en ai eu beaucoup mais tous ont apprit très vite quelle place était la leur .l'humain se doit de rester prioritaire
    Il y a longtemps que j'aime les hommes mais dorénavant ce sera deux fois plus !!!!

  • C'est impossible de se faire une idée sur le féminisme et wonder woman si on connait pas l'univers comics. Comme a dit Cyril, les histoires sont modelé et remodelé. Il n'y a pas UNE version mais plusieurs versions.
    Pour exemple, la plupart des gens ont une idée précise de Batman : Les parents tué par le joker (ou un autre criminel) et le petit Bruce qui devient Batman.
    Il existe une version ou c'est Bruce Wayne qui meurt, le père devient Batman et la mère devient le joker!
    La mode de mettre une mignonette est qu'un aspect commercial développé déjà au XXème siècle. Dans tous les cas parler d'aspect sociétal avec un blockbuster américain, c'est comme comparer des étudiants d'université avec les anges de la téléréalité!

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