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Couples ados : les filles frappent plus que les garçons

« L’enquête (publiée hier, ndlr) révèle quelques points inattendus. La violence physique serait plus souvent le fait des filles que des garçons. Elles sont 1 sur 5 à avoir déjà giflé, poussé ou battu leur partenaire, alors que la proportion est de 1 sur 8 chez les jeunes hommes. »

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Dans cette étude réalisée par l’Université de Zürich, des chercheurs se sont penchés sur la violence dans les couples d’adolescents. Leurs résultats ont de quoi surprendre, ainsi que le commentaire de Denis Ribeaud, chercheur à la chaire de sociologie de l’EPFZ, comme on le verra plus loin.

Cette nouvelle étude confirme en partie une précédente datant de 2015. La violence la plus répandue est le contrôle sur le ou la partenaire, comme par exemple la surveillance de son téléphone. Et dans ce domaine, devinez qui est en tête? Les filles.

Le contrôle entre partenaires est habituellement attribué aux hommes. Il s’agit d’accréditer une sorte de suprémacisme masculin imaginaire. Mais ici les données invalident ce préjugé. En effet, selon l’étude, 44% des filles et 38% des garçons surveillent le téléphone portable de leur partenaire.

Sur la violence physique, les filles sont également en tête, comme mentionné plus haut. 20% des filles battent, giflent ou bousculent leur partenaire contre 12% des garçons. C’est une étude sur la base d’auto-déclarations, donc les faits ne sont pas vérifiés. Comme la plupart des études sur ce sujet.

Qu’en est-il de l’ancienne affirmation de la secte féministe selon laquelle les femmes seraient victimes à 98%, et seuls 2% d’hommes subiraient une violence dans leur couple? Il s’agit certes de couples adultes, mais comment expliquer ce saut de 20% d’adolescentes agresseuses (et 12% de garçons) à 98% d’homme agresseurs?

Il n’y a pas d’explication. C’est juste insensé. Les chiffres des féministes sont biaisés et non vérifiés. Mais ça on le sait depuis longtemps. Depuis que la victimisation outrancière est devenue une grande source de revenus.

 

 

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Il faudrait documenter en détails ces violences. Quand sont-elle un mode réactionnel aux motivations et conséquences bénignes, et quand deviennent-elles plus sérieuses? Il y a forcément une gradation tant dans la violence elle-même que dans les motifs qui la provoquent.

La troisième forme de violence est l’agression sexuelle. Sans surprise les garçons devancent largement les filles (10% vs 1%). Sans surprise dis-je, car il est plus habituellement masculin de solliciter, d’insister ou de provoquer.

Là encore il faut définir précisément les actes mis en cause et dans quel contexte. En disant agression sexuelle aujourd’hui, on mélange le sifflet dans la rue, le regard appuyé, la caresse inopinée, le baisé volé, ou le viol. L’amalgame et la généralisation servent la culture victimaire féministe, ainsi que le nouveau puritanisme qui en émarge.

Dans un mode de société où les hommes audacieux sont préférés aux hommes prudes, et où les femmes leur laissent le premier pas et les stimulent souvent par l’image (habits, maquillage), les hommes sont plus facilement exposés que les femmes. Ce qui permet aux femmes de choisir le meilleur prétendant pour sa progéniture. C’est la domination féminine invisible.

Globalement on comprend de cette étude que les filles ados sont aussi violentes, voire plus, que les garçons. Et donc que la violence n’est pas genrée. Dès lors pourquoi le sus-mentionné Denis Ribeaud tient-il ces propos:

« … ces violences peuvent s’expliquer par des modèles d’éducation traditionaliste qui véhiculent une certaine forme de machisme. La consommation de matériel pornographique chez les garçons et de drogues chez les filles figurent parmi les autres facteurs. »

 

 

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C’est d’une stupidité rare. Car cela signifie que les filles seraient machistes, plus que les garçons? C’est le comble du non-sens. Fichez donc la paix aux machos (que je ne confonds pas avec les malades violents), qui sont souvent plus dignes et respectables que les hommes féministes, soumis et incapables de quitter cet état larvaire. Les hommes féministes sont des malades affectifs.

Enfin l’étude affirme « que les jeunes issus d’une immigration non-occidentale, en particulier les garçons de confession musulmane, présenteraient un risque plus élevé. Précisons que près de la moitié des jeunes adultes ayant participé à l’enquête sont nés à l’étranger. Les différences entre les adolescents de confession musulmane et les autres sont particulièrement marquées, lorsqu’il s’agit de surveiller et d’espionner sa partenaire. »

Ce que conteste le porte-parole de la Fédération des organisations islamiques de suisse, Pascal Gemperli:

« Il nous semble douteux que l’islam soit l’élément déterminant de la violence des jeunes". Selon le porte-parole de la Fédération des organisations islamiques en Suisse, si l’on rapporte le nombre total de sondés aux 5% de musulmans vivant en Suisse, dont une partie seulement est pratiquante, alors la base de recherche est trop petite pour en tirer des conclusions scientifiques. Il estime que l’étude tend à faire un raccourci entre religion et comportement violent. »

De quoi entretenir les polémiques sur l’islam. Il y a fort à parier que ce dernier point prendra l’avantage médiatique sur l’information de fond: les filles sont aussi ou plus violentes que leurs copains.

Les Gorgones peuvent garder leurs campagnes contre la violence faite aux femmes: on n’y croit pas. Du moins pas dans les proportions exponentielles généralement annoncées, ni de manière univoque.

Il faudra même aller plus loin que le désaveu: un jour quelqu’un leur demandera des comptes pour tout l’argent des subventions publiques obtenu grâce à leurs mensonges.

 

Et une courte vidéo sur le foot féminin...

 

 

 

Catégories : Féminisme, société 31 commentaires

Commentaires

  • La vidéo fait froid dans le dos. Enfin, ce n'est peut-être pas la bonne expression à utiliser...
    Qui sont ces filles ?

  • La vidéo est d'internet. J'ai trouvé une piste avec le nom du club (Brigham Young):

    https://en.wikipedia.org/wiki/BYU_Cougars_women%27s_soccer

    https://byuwomenssoccer.blogspot.com/2013/08/let-2013-soccer-season-begin.html

  • Même au Maroc, bien qu on pourrait reprocher bien de critiques objectives au Roi(telet) et à ce royaume, les filles/femmes sont quasi autorisées à foutre deux baffes, voire plus, à un garçon/homme qui leur en a donné une. Ni
    l opinion publique ni la police ne punit pas ces "midinettes ou femmelettes" et cerise sur le gâteau, elles peuvent déposer plainte.

    Bien à Vous.
    Charles 05

  • @ Charles 05:

    Dans ce cas je suis d'accord avec elles: "les filles/femmes sont quasi autorisées à foutre deux baffes, voire plus, à un garçon/homme qui leur en a donné une."

    Par contre si la claque a été rendue la plainte n'a plus lieu d'être, enfin à mon avis.

    Bien à vous.

  • A mon humble avis, maintenant que les femmes libérées commencent à taper sur les hommes, on va commencer à prendre le problème de la violence domestique au sérieux.

    Que des femmes se prennent des torgnoles et doivent se réfugier dans des abris, avec ordre d'éloignement pour leur conjoint violent, c'est normal, tout va bien Madame la Marquise. Idem pour le viol.

    Mais que des hommes soient victimes de viols et de violence, ça devient un problème grave, dont on parle et auquel il faut trouver des solutions et des mesures de prévention.

    Tant mieux! Moins de violence contre les hommes devrait - en principe - signifier également moins de violence à l'encontre de femmes.

    A ce propos, au sujet du libre choix des femmes de s'habiller comme elles veulent:
    http://jrbelliard.blog.tdg.ch/archive/2018/07/11/iran-une-activiste-iranienne-de-la-lutte-contre-le-hijab-con-293194.html

  • @ Arnica:

    J'ai déjà proposé dans certains de mes billets, et en direct à des féministes, d'envisager de faire des campagnes mixtes sur la violence conjugale. Comme vous je pense que cela donnerait plus d'impact au thème. Cette proposition n'a pas eu de suites. Je pense qu'elles n'y ont pas intérêt, c'est leur chasse gardée... Il faudrait reconnaître qu'il y a une violence féminine, il faudrait partager la parole publique et les ressources financières. Je pense qu'elles gagnent davantage à rester dans leur ghetto victimaire.

    Par ailleurs cette forme de criminalité est une niche, elle est statistiquement peu importante. C'est parce qu'elle touche très peu de monde et que les gens, j'imagine, sentent que c'est présenté de manière exagérée, que cela prend peu.

  • Les massacres de famille par un homme ne sont pas rare.
    Les pervers, rarement des femmes.
    En Inde, les viols sont le fait d'hommes.
    Les visages défiguré par l'acide est le fait d'hommes.

    L'extrême violence est le fait majoritairement par les hommes : L'égo et les testostérones sont un mélange explosif.

    La violence des femmes est moins extrêmes et se situe dans une pression psychologique.

    Un homme peut divorcer d'une femme qui utilise une violence psychologique. A l'inverse la violence alimentée par un égo d'homme est parfois mortel.

    Si je fais abstraction des souffrances des victimes, on ne peut mettre à égalité la violence des hommes et celles des femmes : Les femmes risquent leur vie

  • @ motus

    "La violence des femmes est moins extrêmes et se situe dans une pression psychologique"

    mais finalement beaucoup plus efficace, dix fois plus d'homme se suicident suite à une séparation, que de femmes victimes d'homicides conjugaux.

    "Les massacres de famille par un homme ne sont pas rare"

    si il le sont, ils sont surtout médiatisés.

    "En Inde, les viols sont le fait d'hommes.
    Les visages défiguré par l'acide est le fait d'hommes"

    on est pas en Inde ici on est en Europe, que pouvons nous occidentaux des méfaits d'autres cultures.

    "A l'inverse la violence alimentée par un égo d'homme est parfois mortel."

    vous voulez parlez de quels types de violents ? les pervers narcissiques, ces hommes sont devenus comme ça parce que ce sont des enfants rois, enfants rois de leur maman.

    "Un homme peut divorcer d'une femme qui utilise une violence psychologique.

    Un homme a généralement plus de force qu’une femme. Comment explique-t-on qu’un homme puisse recevoir des coups d’une personne plus faible, sans réagir, sur des délais parfois très longs ?

    Tout d’abord de façon générale, les hommes –tout comme les femmes- ne se mettent pas en couple avec la volonté d’entrer dans la violence. Chacun de nous est capable d’être violent. On nous a appris à nous retenir, à user de notre intelligence pas de notre force musculaire. On sait qu’on peut le faire, mais on préfère régler nos conflits sociaux comme amoureux d’une façon plus « intellectualisée ».
    Ensuite, les hommes victimes de violence physique sont d’abord passés par la phase de destruction mentale. Rabaissés, humiliés, continuellement traités de « bons à rien, mauvais à tout » même devant les enfants, privés de leur capacité de décision et d’action, petit à petit ils perdent leur réactivité. Ils ne savent plus agir par eux mêmes. On a affaire à un vrai lavage de cerveau. L’homme est sans cesse dans l’obéissance parce qu’il ne sait plus faire autrement mais aussi parce que chaque « rébellion » donne lieu à des éclats voire à des représailles.

    Enfin, ces femmes violentes savent utiliser la loi pour elles. En fait parfois elles n’attendent que ça : que leur compagnon réagisse. Cela leur permettra de déposer plainte pour violence conjugale s’il frappe à son tour ou abandon de famille s’il part du logement et avec toutes les sanctions immédiates que cela sous-entend : garde à vue, interdiction d’approcher du foyer, interdiction de voir les enfants…. Elles le disent d’ailleurs à leur compagnon. Donc s’il réagit, il se met immédiatement dans son tort. Les représentants de l’ordre tout comme la Justice portant plus de poids aux dires d’une femme qu’à celle d’un homme.

    http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/entretien-avec-sylvianne-spitzer-57815

  • @Homme Libre,
    Si vous vous faites attaquer dans la rue par un barjot et vous lui donnez la monnaie de la pièce, ne déposez plus une plainte après?. Moi, oui, deux yeux pour un oeil, deux ou trois dents pour une + plainte ...

  • @ Charles05:

    Cela dépend de la gravité et du contexte.

  • @ Motus:

    Sur le sujet, vous avez peut-être trop regardé les clips à la télé.
    :-)

    Vous avez sous les yeux une étude, avec des chiffres, chiffres qui confirment la précédente étude de 2015, et vous semblez les éviter et préférer une forme de déni. C’est votre choix.

    Ces chiffres ne sont pas les seuls. Vos infos datent d’il y a une vingtaine d’année et vous y êtes resté croché. Je ne vais pas refaire la liste mais en France, au Canada, en Suisse, entre autres, les hommes sont victimes de violence domestique à des taux de 25% à 50% sur l’ensemble des victimes déclarées ou auto-déclarées.

    Pas seulement de violence psychologique comme vous semblez le privilégiez dans une formule qui en atténue la gravité (pressions psychologiques). Est-ce de la condescendance de votre part, les femmes étant considérée comme incapables de violence physique? Quel préjugé sexiste balancez-vous là?

    20% d’agresseuses qui « giflent, battent, bousculent », c’est donc de la violence psychologique? Vous n’êtes pas sérieux.


    Pour votre liste, elle peut être faite en sens inverse aussi.
    Aujourd’hui les massacres d’enfants, parfois de leur famille, par des mères ne sont plus rares. Ces dernières années la presse a enfin pris le parti de médiatiser ces faits. Cherchez sur le net, vous en verrez un bon nombre. Ajoutez à cela les infanticides, crimes commis principalement par des mères, et la maltraitance que les statistiques françaises de la Snatem attribuent deux fois plus souvent aux mères qu’aux pères, il y a problème.

    Vous aimez l’épicerie et additionner les chiffres comme si ces femmes et ces hommes n’étaient intéressant que par leur nombre. Vous résumez la question à un concours du plus maltraité, le moins étant quantité négligeable. Vous justifiez ainsi de traiter cette criminalité de manière inégale.

    Vous n’avez visiblement jamais étudié le problème de près et vous répétez n’importe quoi, désolé de vous le dire ainsi.


    Le viol est en effet très majoritairement commis par des hommes, du moins sur des adultes. Sur les enfants c’est difficile à évaluer. Il y a 30 ans la féministe Erin Pizzey affirmait déjà que les femmes sont aussi violentes que les hommes et qu’il y a autant de femmes pédophiles que d’hommes. Par ailleurs, depuis deux ou trois ans, les médias nord-américains relatent régulièrement des affaires d’enseignantes qui couchent avec un ou plusieurs élèves hommes mais mineurs.

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2015/11/01/violence-domestique-le-grand-lavage-de-cerveau-selon-erin-pi-271410.html

    Marie-Claire en a parlé, entre autres:

    http://www.marieclaire.fr/,femmes-pedophiles,20258,408762.asp

    Renseignez-vous plutôt que de servir de courroie de transmission à la doctrine misandre.

    Les femmes, rarement perverses? Allons, des chiffres.

    À propos, avez-vous remarqué comment les hommes sont accusés de violence volontaire et idéologique en cas de crime, alors que les femmes ont souvent des excuses psychiatriques? Et comment leurs condamnations sont en moyenne moindre que celles des hommes pour le même genre de faits?

    http://www.lavoixdunord.fr/archive/recup/femmes/au-tribunal-les-femmes-jugees-moins-severement-que-les-hommes-ia0b0n645339


    Les viols en Inde: avez-vous des chiffres précis, à part le fait qu’aujourd’hui ces faits sont très médiatisés? Combien d’hommes sur l’ensemble des mâles indiens sont-ils des violeurs? S’agit-il de malades, ou d’une attitude délibérée anti-femmes (car c’est bien un aspect sous-jacent de la question)?

    Brûler les visages à l’acide est atroce, j’en ai d’ailleurs parlé sur ce blog. Mais là encore, quelle est la réalité quantitative, combien d’hommes sont concernés en tant qu’auteurs?

    Sur l’extrême violence, un point est juste selon différentes études: les femmes battues peuvent recevoir des coups plus violents que les hommes battus. Question de force physique. D’où dans certains cas le harcèlement psychologique, le dénigrement, les fausses accusations, bref des stratégies et des actes qui à la fois leur demandent moins de force et qui sont moins perçues par le public.

    Par ailleurs, en parlant d’ego et de testostérone, je crois que les femmes sont aussi pourvues des deux. Mais évidement en parlant de l’ego des hommes vous imposez en creux l’image de l’homme orgueilleux, tout puissant, dominant, alors que par contraste la femme reste la pauvre petite chose – statut dont elle tire également profit.

    Il faut enfin dire que cette criminalité ne concerne qu’une petite fraction des femmes et des hommes.

    Bref, révisez vos sources, Motus.

  • @HL
    Quoi que vous puissiez dire, les faits sont têtus, beaucoup plus de femmes meurent sous les coups d'hommes, que d'hommes sous les coups d'une femmes. Une gifle n'a pas le même impact qu'un coup de couteau.

    Les violences quelque soit la nature sont méprisables, et je ne fais pas de différence entre sexes. Il n'y a pas à philosopher. Par contre je fais une différence avec une violence qui conduit à la mort ou à un traumatisme profond.

    Il y a autant de bonnes personnes chez les femmes que chez les hommes. Sur ce terrain là, il n'y a pas à discuter et c'est surtout ça qu'il faudrait voir.

    Pour clarifier le débat, il ne faudrait pas parler d'hommes et de femmes, mais d'individus violent qui sont catégorisés entre des hommes et femmes.

    C'est ce que je reproche à certaines féministes qui ne font aucune distinctions

  • Motus, vous en venez à l'argument final, le seul aujourd'hui qui porte les accusations contre les hommes: les meurtres conjugaux.

    Vous avez raison, les chiffres montrent que 4 à 5 fois plus de femmes meurent sous les coups d'un homme qu'un homme sous les coups d'une femme. Mais si je vous suis, les hommes tués on s'en fiche?

    Environ 120 décès de femmes et 30 d'hommes par année dans ces circonstances. Soit un crime qui touche le 0,00001% des femmes et le 0,0000004% des hommes. C'est toujours trop. Mais cela ne fait pas une théorie, encore moins une accusation généralisée contre les hommes.

    Pour le reste, je suis d'accord: il s'agit d'individus violents femmes ou hommes et non de spécificités de genre. C'est pourquoi des campagnes mixtes auraient tout leur sens dans une ligne préventive non biaisée. La "genrisation" est l'obstacle.

    Mais quand on arrive à une vue non genrée, on trouvera probablement ce que l'on trouve dans d'autres délits et crimes: la prévention est très peu efficace.

  • Salut John! Je tente de revenir sur Facebook pour le moment.

    https://rmcsport.bfmtv.com/football/coupe-du-monde-la-fifa-ne-veut-plus-des-gros-plans-sur-les-supportrices-sexy-1488243.html

  • Cool, ok.

  • Bonjour HL,
    Avez-vous vu que TF1 allait diffuser une série TV consacrée à la vie de Jacqueline Sauvage,avec Murielle Robin dans le rôle principal ? J'ai vu la bande annonce à la mi-temps du match Angleterre Croatie. Edifiant !

  • Merci pour l'info, je n'ai pas vu. Je vais chercher.
    Edifiant a priori, en effet. À moins qu'ils ne gardent une distance critique. Pas certain, mais à voir.

  • Bon, je ne suis pas vraiment précisément dans le trip ce soir, mais perso, j'ai été sidéré (peut-être est-ce local?) du nombre de femmes qui font subir des sévices à leurs enfants, voire les conduisent à la mort par assassinat, à l'unité ou par fratries entières.
    Depuis le début de l'année, je trouve (je n'ai pas fait de statistique ni d'étude comparative, c'est un sentiment provoqué par le nombre de faits divers à ce propos) que depuis janvier ça a été exponentiel.
    Doit-on rajouter cela dans les statistique? Si certes ce ne sont pas des hommes adultes qui sont victimes, ça en dit au moins long sur les capacités criminelles de certaines femmes.

    PDO.

  • Et pour illustrer le propos du post avec l'actualité d jour:

    http://www.sudinfo.be/id64669/article/2018-07-13/la-bande-dadolescentes-seme-la-terreur-sur-les-hauteurs-de-liege-pas-calmees-les

  • Et pour illustrer les propos de HL ( Actualité du jour):

    http://www.sudinfo.be/id64669/article/2018-07-13/la-bande-dadolescentes-seme-la-terreur-sur-les-hauteurs-de-liege-pas-calmees-les

    PDO

  • HL@ "Merci pour l'info, je n'ai pas vu. Je vais chercher.
    Edifiant a priori, en effet. À moins qu'ils ne gardent une distance critique. Pas certain, mais à voir."
    Distance critique avec Muriel Robin dans le rôle titre ? Vous connaissez Muriel Robin ?

  • @ PDO:

    J'ai la même impression que vous concernant l'actualité criminelle.

  • @ Géo:

    Ça craint en effet, mais je laisse un interstice de liberté au réalisateur,. Qui sait? Je ne veux pas faire de procès d'intention à l'avance, même si j'avoue ne pas trop y croire.

  • Allez, juste pour rigoler un bon coup :
    « Après la tuerie, la rue des Ballets était un véritable charnier ; le sang y coula avec une telle abondance, que le ruisseau – alors au milieu de la chaussée – déborda, ensanglantant le seuil des maisons.
    Dans les autres prisons, à la Conciergerie, au Grand Châtelet, au Séminaire de Saint-Firmin, au cloître des Bernardins, à Bicêtre, à l’Hôpital de la Salpêtrière, partout, pendant les sept jours que durèrent les massacres, les tueurs firent preuve d’un zèle, d’une ardeur dont témoigne cette réflexion de Billaud-Varennes : « Je crois, ma parole, que le sang grise ces gaillards-là mieux que le bon vin ! » Seul, Marat grognait, trouvant qu’on n’allait pas assez vite en besogne et que trop d’ « ennemis du peuple » échappaient aux sabres et aux piques.
    A la Conciergerie et au Grand Châtelet, le tribunal populaire renforça les effectifs des « travailleurs » en offrant la liberté aux détenus de droit commun, à la condition qu’ils « travailleraient » à leur tour. La plupart, pour ne pas dire tous, acceptèrent cette offre alléchante, et, si l’on en juge par le nombre des victimes, on doit supposer qu’ils firent honnêtement leur besogne.
    Parmi les détenus libérés sous condition à la Conciergerie, on comptait une soixantaine de femmes. Ces femmes « travaillèrent » avec autant d’ardeur que les hommes et formèrent ensuite le noyau de la troupe de révolutionnaires en jupon, connues sous le nom de tricoteuses.

    Jules Mazé
    Sous la Terreur

    https://www.youtube.com/watch?v=Iit3Kabs7QA

  • Et les tricoteuses furent à l'origine d'une régression sociale des femmes.

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2013/05/30/pourquoi-la-revolution-a-ecarte-les-femmes-2-et-fin-le-coup.html

  • Excellent billet, très bonne chose que de le faire ré-apparaître...

  • Et si jamais, dimanche, les Français entonnent la "Marseillaise", relisez le texte de Jules Mazé. C'est à cela que cela fait allusion, "qu'un sang impur abreuve nos sillons". Les Français en sont encore à glorifier la racaille immonde de Septembriseurs, des massacres de Septembre 1792.

    Cela dit, dans 24 heures d'aujourd'hui, deux pages à la gloire d'une djihadiste prisonnière en Syrie; en page 2 et 3, rien n'est assez bon pour ces merveilleuses femmes terroristes...
    Le journaliste décrit une gardienne kurde : " ..."heval" Amara Derik. Heval signifie camarade en kurde. Elle est la responsable de la communication du camp et porte ostensiblement un pistolet Glock à la ceinture."
    Par Toutatis ! Peut-être aurait-elle du le cacher, son Glock, pour ne pas effrayer le petit minable journaliste 24 heures ? Quelqu'un pourrait-il m'expliquer pourquoi nous n'avons droit qu'à des journalistes femelles dans ce journal ? Y a t-il clairement une ségrégation des hommes virils ?

    Une dame vigneronne de mon village m'a raconté la scène suivante : son fils est occasionnellement chasseur. Il avait laissé son fusil de chasse à la cuisine. Un ami de ses enfants le voit et demande en bégayant de peur : "Qu'est-ce que c'est, monsieur ? Une arme ?" Complétement terrorisé, le djeune, environ 17-18 ans. C'est tout juste s'il n'a pas fallu appeler une ambulance...
    Notre société est complétement féminisée, et cela ne va pas bien se passer, face aux durs à cuire d'en face...

  • @ Géo

    donnez de meilleurs sources pour votre interprétation fantaisiste.

    "Et si jamais, dimanche, les Français entonnent la "Marseillaise", relisez le texte de Jules Mazé. C'est à cela que cela fait allusion, "qu'un sang impur abreuve nos sillons". Les Français en sont encore à glorifier la racaille immonde de Septembriseurs, des massacres de Septembre 1792"

    https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Marseillaise

  • leclercq @ En fait, je n'ai fait que citer encore Jules Mazé :
    "La capitale n'eut pas le monopole des massacres : ça et là, en province, à Versailles, à Orléans, à Lyon, à Meaux, à Reims, un sang dit impur arrosa, en ce début de septembre, les sillons où se développaient, depuis le 10 août, les germes de la liberté."
    Mazé n'est de loin pas un auteur anti-révolutionnaire ou anti-républicain. Mais il n'a pas de mots assez durs pour ceux qui ont mis en place la Terreur...

  • @ Géo

    c'est bien ce que j'ai vu, cette source est-elle fiable par rapport à l'origine de cette phrase ?

  • leclerq@ "cette source est-elle fiable par rapport à l'origine de cette phrase ?"
    Je pense pour ma part que oui. Et d'ailleurs, pour votre gouverne, je lis dans 24 heures du 16 juillet le compte-rendu du journaliste suisse Alain Rebetez :
    "Tout Paris s'égosille sur "la Marseillaise".
    "Le match débute, clameur immense pour le 1-0, silence pesant pour le 1-1. Quand la France reprend l'avantage, la foule entame à tue-tête "la Marseillaise", des hectolitres de sang impur abreuvent le Champ-de-Mars."
    Eh oui, les terroristes du Bataclan n'ont en fait que voulu démontrer à quel point ils étaient bien français, en faisant couler joyeusement le sang impur...
    Et s'ils n'étaient pas français, est-ce que les footballeurs africains jouant pour le compte de la France le sont ?
    Faut assumer, leclerq, faut assumer...
    Rassurez-vous, ce n'est pas beaucoup mieux en Suisse...
    A part ça, si vous le pouvez, lisez ce livre de 1947 de Jules Mazé sur la Terreur. C'est incroyablement instructif sur la méthode historique, sur l'irrationnel. Sur la manière de penser dans ces années-là...

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