Le wokisme, maladie sénile du communisme qu’elle essaie de rétablir par la bande en prêchant un égalitarisme forcené, fait pitié autant que peur. Peur pour la fascisation des esprits, le néoracisme, la violence d’exclusion du différent. Pitié pour la bêtise ou la folie qu’il signale.
Femme femme femme, et spiritisme
L’image 1 (clic pour agrandir) trouvée sur le net montre le visage d’une jeune femme qui signe wakwwokewoken ou baahbraa. Sauf que c’est un homme devenu femme. Voici ce qu’elle déclare:
« En tant que femme trans je suis plus femme qu’une femme biologique car j’ai choisi de l’être ! J’ai fait des démarches, pris des hormones, suivi un chemin très dur… Bref pas de leçon à recevoir de celles qui est né comme ça ».
Ce qu’elle affirme est faux. Une femme biologique et qui le reste est doublement femme: par la nature et parce qu’elle choisit de le rester. Alors la blonde qui s’est rasé les moustache a vraiment des leçons à recevoir de celles qui sont nées comme ça.
Elle saurait ce qu’est une vraie femme, car une femme trans n’est pas une vraie femme. D’ailleurs c’est quoi être une femme? Avoir des seins? Génétiquement c’est toujours un homme. Il faut oser le dire et ne pas alimenter l’absurde et invraisemblable théorie du mauvais corps. On ne va quand-même pas tout avaler?
Qui dit le contraire offense mes convictions profondes. Chacun fait ce qu’il veut. Qu’être une personne trans ne soit pas facile, je l’entends, mais qu’on nous épargne ces théories psychédéliques ou spiritistes.
Ça sent le woke à Science Po. La purification idéologique roule et pète en pétarade cinglante et malodorante.
L’établissement est réputé pour ses factions aux modes d’action fachoïdes et sa désignation de « coupables » de racisme imaginaire.
Science Po s’est aussi faite remarquer pour un prof qui améliorait les notes de ses étudiants s’ils rédigeaient leurs travaux en écriture inclusive. Ce n’était pas obligé, mais c’était mieux. Vidéo en fin.
En quelque sorte il payait les étudiants obéissants et soumis.
À la trappe. Ou au poopoo.
Autre image trouvée sur le net, qui résume en partie l’idéologie woke:
L’adulte demande à l’enfant:
« Quel est le mot magique pour obtenir tout ce que tu veux? »
Réponse de l’enfant:
« Je suis offensé. »
Victimes, victime! Société de victimes!
Et sur Twitter j’ai trouvé un compte au nom de BLM, Black Lives Matter, signé par la Dre Aniyah Lawson. Une internaute black qui est dans le camp des trans et de l'arc-en-ciel. Celui aussi des hippies repris par les gays.
Et que lit-on dans un tweet sous sa plume délicate, inklusive et bienveillante, débordante d’amour inconditionnel:
« Fuck white people! »
En français: « Encule les blancs » ou: « Enculés de blancs ».
Parce qu’une ado blanche a tué un noir.
Elle ne dit pas « Fuck black people » quand des blancs sont tués par des noirs. Ce doit être l’amour universel dans le nouveau monde. Et vu que c’est une insulte et une agression verbale, les homos vont apprécier…
C’est le retour à l'état sauvage. Ce n’est pas la première fois qu’une féministe utilise cette insulte (rappelez-vous Raquel Garrido: Va sucer la bite à ton patron, connard) pleine de mépris pour les homos. Au fait pourquoi ceux-ci ne réagissent-ils pas?
Enfin est-ce qu’on peut aussi inciter à enculer les noirs, dans un élan fraternel d’égalité et de réciprocité? Il n’y a pas de raison pour qu’ils soient discriminés et privés de ce bonheur simple.
Houlala, c’est pas correct ça. Mais aussi, j’ai un modèle. Si cette wokette BLM déjantée n’avait proposé impunément d’enculer les blancs…
Au fait son compte twitter n’a pas été suspendu. Cherchez l’erreur. Mais y a pas d’erreur. C’est ce que le monde est en voie de devenir: néoraciste, manichéen, intolérant, censurant, moraliste, culpabilisant, créateur de nouvelles castes de dominants et dominantes. Et ce n'est sûrement pas tout. Puisque l’égalité des sexes est réalisée, ces luttes ne servent plus qu’à prendre le pouvoir moral, prendre les places dorées, et virer l’ennemi – le mâle blanc – et l’annuler socialement. Génocide culturel et social, sans armes.
Trois pères et un porte-monnaie
Enfin aux USA un enfant a été officiellement reconnu fils de trois pères qui vivent un trhouple. Quelle est l'étymologie de trouple (en français)? Aucune. Nom bâtard qui mélange les concepts et tente de fusionner à partir des mots trois et couple. Ce n'est paa possible. Les mots un un sens, couple signifie 2, pas 3, et aucun suffixe en -ouple n'existe pour le lier à 3. Cela fait a joie du New York Post. On n’est plus à ça près.
Mais qui a fait le bébé?
Qui a fait le bébé? Ou plutôt: qui a acheté le bébé dans cette traite des humains qui ne dit pas son nom? Sans fric ils ne seraient pas pères. Où est sa mère? Déjà payée, volée, arrachée, disparue, invisible, oubliée, annulée, cancelled? Ou mettant en route le nouveau bébé de son catalogue pour ses prochains clients?
Mais c’est le progressisme. Au nom du père, de la mère, du fric et du saint état civil.
Les hippies célébraient la liberté, la vraie inclusion non politique, ouverte, l'amour libre et spontané et ils respectaient Gaïa la déesse Terre. Ils parlaient librement de tout, comme ils le voulaient. Ils dansaient sur des musiques improvisées. Il n'y avait pas de racisme chez eux, seulement les jalousies à cause des femmes et des hommes, et la musique.
Les progressistes, woke et autres, ont perdu la tête. Il est temp de résister.
Commentaires
J'avoue que les exemples sont bien choisis pour illustrer cette vague "woke" U.S. La victimisation de l'individu, comme celle de la communauté à laquelle il appartient, est sans doute le signe d'une dérive sociétale qui a remplacé "la lutte des classes" du vingtième siècle. Ce n'est plus le statut social qui justifie l'opposition des groupes mais le genre, les pratiques sexuelles, l'ethnie, le handicap, etc. On est passé de l'inégalité sociale à l'inégalité sociétale, des inégalités matérielles et économiques objectives aux inégalités du ressenti. Victime parce que je suis un homme qui voudrait être une femme ; parce que je suis une femme ; parce que je suis noir ; parce que je suis homo ne pouvant faire un gosse tout seul ; etc. C'est le règne de l'individualisme, de l'égo, de Narcisse qui se regarde dans son miroir.
On a beau être « éveillé », il existera toujours des hommes et des femmes stupides ou intelligentes. La nature est ainsi faite.
On a beau être « éveillé », il existera toujours des hommes et des femmes stupides ou intelligentes. La nature est ainsi faite.
Oups, oublié la vidéo annoncée. Elle y est maintenant.
Corrigé également le bug de texte vers la fin, avec mes excuses.
Il y aurait tant à dire, mais une de mes bonnes résolutions pour 2022 est de faire de courts commentaires.
Relativement courts. ;-)))
Et là, on est encore en 2021.
Difficile de comprendre cette affaire du changement de "genre". Je voudrais être de bonne volonté, mais c'est difficile.
Au risque de passer pour misandre, je remarque que les femmes transgenre ( comme la personne avec les cheveux vert fluo) peuvent avoir une agressivité et une auto-affirmation très virile. "wakwwokewoken" cherche visiblement à se mettre tout le monde à dos. Cela la confortera probablement dans son trip. Comment se soumettre à son mode de pensée - qu'on soit née homme ou femme ?! Elle est partie pour se retrouver contestée par le 99,9 % de la population.
On parle beaucoup des hommes devenus femmes, mais si je suis bien renseignée, le cas inverse est plus fréquent. Ou du moins, les jeunes filles aimeraient devenir garçons plus souvent que l'inverse.
Comme si le rôle masculin était encore plus désirable que le statut social féminin, malgré l'impression que nous assistons à d'une prise de pouvoir par les féministes et/ou les femmes.
En Occident, ces "transitions" sont rendues possibles par l'accès aux opérations chirurgicales ( ne serait-ce que pour avoir des seins) et aux traitements hormonaux. L'acceptation sociale est plus difficile à atteindre parce qu'on n'arrive pas à influencer les convictions de ses contemporains de façon absolue (voir la problématique du covid 19).
Je n'ai pas encore trouvé de réponse à la question suivante : N'est-il pas contreproductif de vouloir changer son apparence de sorte à se conformer à une norme traditionnellement perçue comme féminine ou masculine ? Ce changement n'est que très rarement assez réussi pour ne pas attirer des regards interloqués. Les mains, les pieds, la mâchoire sont impossibles à modifier.
Il y a ce paradoxe de la burqa : on aimerait passer inaperçue et on obtient l'effet opposé.
Ce conformisme du stéréotype me semble s'opposer au besoin disruptif de changement radical.
Se sentir femme signifierait s'habiller et se montrer comme ultra-féminine, bien davantage que beaucoup d'entre nous qui privilégions le confort ou n'avons pas envie de passer du temps à nous maquiller, coiffer, habiller de façon élaborée. Et que dire des talons hauts ?!? S'infliger ça, c'est de l'abnégation.
Apparaître comme un homme est également difficile, si on part d'un physique féminin.
Je ne peux m'empêcher d'y voir du déguisement, comme quand ma fille voulait être Zorro, pirate ou cow-boy à L'Escalade.
A propos de "Je suis offensé", je me souviens d'un épisode dont j'ai retrouvé la trace sur internet, Je cite
"En 2005 encore, Voltaire fait scandale. Sa pièce Mahomet ou le fanatisme, lue jeudi soir à Saint-Genis-Pouilly, en France voisine, sous la direction d'Hervé Loichemol, a provoqué l'indignation d'Hafid Ouardiri, venu tout exprès de la mosquée de Genève pour dire que la communauté musulmane se sentait insultée par cette représentation."
"Insulté" à fait place plus tard, particulièrement dans le vocabulaire de Tarik Ramadan à "offensé".
Rien de nouveau sous le soleil donc et Genève peut se targuer d'avoir été un des lieux de naissance du wokisme.
J'aurais aimé voir la grande "Claire Bretécher" s'emparer de ce mouvement "ultra identitaire"! Elle qui dans les années 1970 nous montrait un couple de gays avec sacs à dos et ............poussette!!!! Ou une vraie parisienne qui demandait à sa bonne espagnole de porter son futur bébé!!! Je vois très bien ce qu'elle en aurait fait, mais je ne suis pas sûr que l'obs oserait aujourd'hui publier ce type de dessins! Nous en sommes là c'est un système totalement suicidaire, régit par des dogmes ultras sectaires, dans lequel je ne vois aucun progressisme! Même sur le site du Département de l'Instruction "l'intrusion" Publique Genevois, je vois les métastases du système, les bases y sont clairement posées! l'inclusif, la théorie du genre, difficile de ne pas voir là le début de l'endoctrinement WOKE! Qui fait des dégâts profonds, entre autre une chasse aux sorcières, à Sciences Po Paris et Grenoble digne de la révolution culturelle chinoise! Mais ce sont toutes nos écoles, nos collèges et nos universités qui sont contaminés, on y fabrique de bons petits soldats, qui ne pourront plus penser par eux même! Et on nous parle de progressisme? Je regarde en ce moment un documentaire sur la collaboration "Les brûlures de l'histoire, les collabos 40/44! On y voit entre autre, marcel déat socialiste puis néo socialiste puis à l'extrême droite! Et Jacques Doriot communiste qui devient on ne sait comment un parfait petit collabo! On nous parle aussi de bousquet l'ami de toujours de mitterrand, un habitué, comme attali, des repas en tout petit comité rue de Bièvre! Mais il semble que l'on oublie mitterrand! Lorsque la Chine et la Russie communistes ce sont "effondrées", j'ai réalisé qu'en fait le communisme était simplement soluble dans l'argent! Pire encore que ces deux nations communistes ne c'étaient pas effondrées mais étaient simplement devenues en quelque instants, des dictatures ultra capitalistes! Même si officiellement elles sont encore communistes! Rien de nouveau sous le soleil donc, argent et pouvoir! Et pour finir par le rire! Sur RT-TV "interdit d'interdire" Iel ou pas Iel, avec le génial Michel Maffesoli et Patrick Charandeau, en face 2 égarés, formatés sciences po paris, c'est tout dire! Avec eux ça va beaucoup plus loin que la carricature WOKE! Frédérique Dard disait de ce genre de gugus, ils volent .......................en escadrille!
Les papys wokes font de la résistance. Quand un woke ne coûtait que une livre sterling:
https://www.youtube.com/watch?v=W2KbsWz950E
https://www.youtube.com/watch?v=14rNqhuVj5A
https://www.youtube.com/watch?v=yj0x3TeOixY
https://www.youtube.com/watch?v=JDOKwFbXv9Y
https://www.youtube.com/watch?v=o1C1rs4UlJ0
Belle brochette!
Vous avez raison sur la crainte que vous inspire l'idéologie woke. Quant au communisme, s'il a été prospère au vingtième siècle, comme idéologie libératrice pour le prolétariat, c'est à mon avis une ambulance sur laquelle il est inutile de tirer. La Chine, avec l'OMC, est capitaliste sur le plan économique même s'il existe un domaine public. La Russie a privatisé à tout va et les oligarques se sont enrichis. L'idée marxiste de "l'appropriation collective des moyens de production et d'échange" a fait long feu. Le problème ne me paraît pas être le communisme en tant que tel, imaginé par le camarade Marx, même s'il préconisait "la dictature du prolétariat" qui n'était pour lui qu'un moyen provisoire pour contrer le capitalisme tout puissant. Le danger dans un système économique, qu'il soit capitaliste (avec Hitler) ou communiste (avec Staline), c'est la dérive autoritaire. On trouve des dictateurs dans des économies étatisées comme dans des économies libérales. Quand un parti politique détient un monopole sans opposition politique (communiste en Chine, islamiste en Iran), la démocratie n'existe plus. Et la démocratie peut être de gauche, comme de droite.