L’élection genevoise fut un séisme. Petit, certes, mais quand-même. Le café du Sabre et de l’Amitié Réunis a vu ses vitres voler en éclats sous la virulence tonitruante de Salika Wenger. Salika dont on sait qu'elle se transforme en Bonono sous l'effet d'une grande émotion. Un cas unique de libido électoralo-suffragiale déphasée. Normalement ce sont les gagnants qui manifestent une érection lors d'une élection.
Salika est rouge. De colère.
élection 4 novembre
-
Après le séisme: Raspoutine au Bar à Zone