Les premières analyses d'ADN dans le cadre d'une enquête criminelle remontent à 1987. Plus de 20 ans. Depuis plus de 20 ans toutes les situations justiciables de cette analyse peuvent donc en bénéficier. Mais cela ne se passe pas ainsi. De nombreuses enquêtes où l'ADN peut être décisif dans un sens ou l'autre n'en font pas usage. c'est ce qui est arrivé à un homme, Ricardo Collado, de Madrid. Accusé en 1997 du viol de trois mineures, puis condamné à 36 ans de prison - 12 ans par viol. Il a été acquitté hier. Son histoire fait actuellement les tour des rédactions.