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Un de plus: condamné à 36 ans pour viol, acquitté par l'ADN

Les premières analyses d'ADN dans le cadre d'une enquête criminelle remontent à 1987. Plus de 20 ans. Depuis plus de 20 ans toutes les situations justiciables de cette analyse peuvent donc en bénéficier. Mais cela ne se passe pas ainsi. De nombreuses enquêtes où l'ADN peut être décisif dans un sens ou l'autre n'en font pas usage. c'est ce qui est arrivé à un homme, Ricardo Collado, de Madrid. Accusé en 1997 du viol de trois mineures, puis condamné à 36 ans de prison - 12 ans par viol. Il a été acquitté hier. Son histoire fait actuellement les tour des rédactions.

Liberté1.jpg"Un homme condamné à 36 ans de prison pour trois viols sur mineures a été acquitté mardi par le Tribunal suprême espagnol. L'analyse des preuves ADN a démontré qu'il était "scientifiquement impossible" qu'il soit l'auteur de ces délits.

Ricardo Santiago Cazorla Collado "ne peut être l'auteur des trois viols sur mineures" dont il a été accusé par un tribunal de Las Palmas sur l'archipel des Canaries, car "c'est scientifiquement impossible, après l'analyse des preuves ADN", selon la décision du Tribunal suprême.

Cet homme de 46 ans avait déjà purgé deux ans et sept mois de prison.

Ces trois viols, sur des jeunes filles de 15 à 17 ans, avaient eu lieu en novembre 1997. Ricardo Santiago Cazorla Collado avait été condamné à 12 ans de prison pour chacun d'entre eux, à indemniser les victimes à hauteur d'un montant total de 30.000 euros et à payer une amende de 1.000 euros. (ATS)"

13 ans de sa vie brisée depuis 1997. 13 ans de calvaire. Pas une mise en doute des faits, visiblement.

Un cas de plus dans la chronique ordinaire des fausses accusations.

 

 

 

PS: Toujours pas de liberté pour les deux otages suisses retenus en Libye depuis 18 mois.

35 commentaires

Commentaires

  • Quand je pense que des personnes ( et j'en connais ) disent qu'ils faut condamner à mort sans procès les violeurs et autres assassins. Ce genre de fait divers dramatique est un argument contre la peine de mort. Bien des personnes criminels méritent la peine de mort; mais exécuter un innocent par erreur et irrattrapable.

    D.J

  • un exemple de plus de justice familiale sexiste et misandre, et apparement aussi 3 menteuses. avec le tapage actuel sur la violences des hommes c'est pas étonnant.

    aux baléares il est connu que les britanniques fonts de fausses déclarations de viol pour toucher de l'argent de leur assurance, l'assurance ne demande qu'une déclaration de plainte faite à la police, il suffit de faire un peu de cinéma, et c'est bon, il suffit de jouer la victime,pourquoi se priver !!!!
    que leur attitude culpabilise la gent masculine elles s'en foutent.

  • Leclerq... le fait que ce ne soit pas lui ne veut pas dire que ces filles sont des menteuses... viol il y a eu! Après si il portant une cagoule ou autre il a pû être difficile de l'identifier... le fait est que de l'ADN a été relevé... alors un violeur psychopathe se trouve encore dans la nature!
    Alors vos petites généralisations à 2balles vous vous les gardez MERCI!

  • "Il est préférable pour le juge de commettre une erreur en pardonnant plutôt que de la commettre en châtiant" parole prophétique

  • @ Boo

    "et apparement aussi 3 menteuses."

    je te ferais remarquer que j'ai écrit "apparement." je n'ai pas écrit quelles l'étaient !!!!! je ne l'ai que supposé comme tu suppose qu'il était cagoulé.
    s'il portait trois fois une cagoule, ça aurait quand même été difficile de le trouver sans conteste coupable comme ça été fait.

    et bien tu vois je maintiens apparement.

  • John,

    "Juste Justice d'une Justesse éclatante", n'est-ce pas! Parallèlement, 3 x 12 ans pour viol..humm, cela me laisse songeuse si l'on pense qu'en Suisse il faudrait s'attaquer à un bureau de poste-une banque pour en mériter autant par crime...l'affaire Stern pour nous en convaincre....Remarque, aux States, on prend bien x fois 30 ans par meurtre..en additionnant, un peu plus d'une centaine d'année du coup pour un seul criminel...

    @D.J

    Absolument ! Je suis totalement opposée à la peine de mort : un Tribunal, par l'intermédiaire d'un Juge et de Jurés qui décident d'enlever la vie d'un être humain, me semble tout autant si ce n'est plus barbare que l'individu (pré)supposé coupable d'un crime !

    @Inside

    "Il est préférable pour le juge de commettre une erreur en pardonnant plutôt que de la commettre en châtiant"...que l'on pourrait apparenter à "Vaut mieux un coupable dehors qu'un innocent emprisonné à tort"

  • @ DJ

    "Quand je pense que des personnes ( et j'en connais ) disent qu'ils faut condamner à mort sans procès les violeurs et autres assassins."

    c'est la mode actuellement de mélanger les deux.
    un violeur n'est pas un assassin.
    et un viol ne peut pas être mis au même niveau qu'un meutre.

  • « Absolument ! Je suis totalement opposée à la peine de mort : un Tribunal, par l'intermédiaire d'un Juge et de Jurés qui décident d'enlever la vie d'un être humain... »

    Non, non, ça ne se passe pas comme ça. Par exemple, si un pickpocket est arrêté pour la douzième ou pour la vingtième fois, pas plus un juge que des jurés ne peuvent décider de lui enlever la vie.

    Et quand un type est condamné à mort, personne ne décide de lui ôter la vie, il y a un juge et des jurés qui décident d'appliquer la loi dans toute sa rigueur, parce que les conditions sont réunies pour entraîner l'application de la loi dans toute sa rigueur. Contrairement à ce que vous laissez entendre, ce choix n’a rien d’arbitraire.

    « … me semble tout autant si ce n'est plus barbare que l'individu (pré)supposé coupable d'un crime ! »

    Mais ce n’est pas le cas. D’abord on n’exécute pas des gens supposés coupables, mais des gens reconnus coupables. Comme par exemple Patrick Henry, Dutroux ou Fourniret qui, actuellement, se la coulent douce en prison.

    Par ailleurs, dans la mesure où le coupable a violé un article du Code pénal qui prévoit la peine de mort pour ce type de délit, le bourreau ne le saisit pas par surprise, à la différence de la victime de l’homicide.

    L’assassin, lui, ne meurt pas pour rien, pour un clope refusé – le cas s’est produit vendredi à Turin, un gosse de 15 ans égorgé par un Roumain – , pour un téléphone portable ou pour cent balles, il meurt parce qu’il a tué. A la différence de sa victime, il était dûment prévenu des risques qu’il prenait.

    S’il perd, il est mal venu de se plaindre au pied de la bascule ou au moment de la piqûre. Il a joué, il a pris un risque énorme, il a perdu. Dans la vraie vie « Pouce, je passe », ça fonctionne pas.

  • "...et un viol ne peut pas être mis au même niveau qu'un meutre."

    Et pourtant ses séquelles peuvent être plus graves que la mort elle-même... Il me semble que la justice n'en tient pas assez compte.

    Il m'est très pénible de penser qu'une femme violée se morfond chez elle sans oser sortir pendant que son violeur, sa peine accomplie, se marre dans une discothèque.

  • Leclerq, commentaire qui en dit long sur votre obsession....tout de suite, les filles (ces sous-êtres manipulatrices) sont "apparemment" des menteuses...
    Shame on you pour vos amalgames. Quand on dit apparemment, c'est qu'il y a de bonnes chances, au vue des faits, qu'elles le soient. Hors rien dans cet article ne va dans ce sens.
    Votre extrapolation immédiate ne vous rend pas crédible.
    Aller...je vais signer:

    UNE feminiiiiiiiiiiiiiiste (gare à vous! je mors, je mens, je manipule, j'empêche mes enfants de devenir adultes, je mène mon homme à la baguette...je suis l'objet de vos terreurs nocturnes et une race à abattre)

    :o))))))))))

  • Il est clair qu'on n'a pas suffisamment d'infos sur les mineures. La fausse accusation par la justice est démontrée. Celle des ados, difficile à dire, quoi que. En effet s'il état cagoulé elle n'auraient pas pu le reconnaître. Or elles l'ont forcément accusé. Vengeance de quelque chose? Panique d'ados qui ont couché avec des copains et ont eu peur de se retrouver enceinte et d'affronter leurs parents?

    L'affaire des Baléares avait passé dans la presse à l'époque. L'accusation de viol, fausse, peut être un business, une vengeance, un détournement d'attention, une maladie psychique. Les raisons ne manquent pas et l'aveuglement de la justice en la matière, ses réflexes conditionnés anti-hommes nourris par un climat de misandrie alimenté par les thèses de l'homme forcément prédateur, est en cause.

    Valérie, oui tuer coûte moins chez pénalement que violer, alors que si le viol est une cruauté on peut s'en sortir, nombre de femmes s'en sont sorties, durablement blessées pour certaines, mais vivantes.

  • N'empêche que je suis vraiment heureuse pour cet homme qu'il ait été disculpé!
    L'erreur judiciaire est une des pires choses qu'il puisse arriver!
    J'espère qu'il s'en remettra!

  • @ lobscurq
    "Leclerq, commentaire qui en dit long sur votre obsession....tout de suite, les filles (ces sous-êtres manipulatrices) sont "apparemment" des menteuses..."

    "Un cas de plus dans la chronique ordinaire des fausses accusations."
    fausse accusations = menteuses non ?

    nulle part je ne sous entend que les filles sonts des sous êtres !!!

  • "Celle des ados, difficile à dire, quoi que. En effet s'il état cagoulé elle n'auraient pas pu le reconnaître. Or elles l'ont forcément accusé"

    Pourquoi "forcément accusé". Il arrive tout de même relativement souvent que les violeurs agissent masqués, dans l'ombre ou par derrière. Dans ce cas on recherche des témoins, des pistes, etc. Ces jeunes filles ne l'ont peut-être accusé de rien du tout. Il a très bien pu être dénoncé par quelqu'un d'autre et passer pour le coupable idéal pour x ou y raisons, sans que la reconnaissance des filles y soit pour quoi que ce soit. Qu'il y ait eu fausses accusations, ou faux soupçons, ne veut pas forcément dire qu'elles viennent de la part des victimes, ni par ailleurs qu'il n'y ait pas eu de viol. Ca change complètement le tableau. Dans ce cas l'on n'est plus dans la longue litanie de la "tyrannie-féministe-pourfendeuse-d'hommes-prédateurs" mais devant une "simple"(bien que cruelle) erreur sur la personne, comme cela arrive souvent.

    Je dirais même que le viol devrait être plus ou moins sûr, puisque si on a pu établir que ce monsieur était innocent, c'est bien qu'il y a eu du sperme retrouvé, donc normalement une expertise médicale qui peut prouver le viol suivant la présence de lésions constatées ou non.

    Ensuite évidemment on peut toujours penser qu'elles se sont volontairement abîmées les parties intimes et qu'elles ont récupéré un préservatif usagé pour en extraire du liquide spermatique pour ensuite aller voir la police, mais bon...

  • Pour l'instant il y a très peu d'articles en français, mais je lis dans un journal espagnol "Foi identificado pelas três vítimas", et malgré ma méconnaissance de la langue, je crois comprendre qu'il a été identifié par les trois victimes. Ce qui donnerait raison à Leclerq : "trois menteuses". A suivre...

    http://jn.sapo.pt/PaginaInicial/Mundo/Interior.aspx?content_id=1484968

  • Audrey, quelle imagination! Aller chercher du sperme dans un préservatif usé. Mais la présence de sperme, si elle confirme une relation sexuelle, ne confirme pas encore un viol. Si c'est le même sperme chez les trois ados, ela confirme un rapport avec un même homme, pas encore un viol.

    Il n'est dit nulle part que leur parties intimes ont été abîmée, et le peu d'information pousse à spéculer hors du raisonnable...

    Pour qu'un homme soit accusé de viol il faut au moins que les présumées victimes l'aient reconnu, ou reconnu sa voix, ses habits, peut-être son odeur, et qu'il y ait des indices concordants. Je ne vois pas encore un procureur entendre trois jeunes filles qui n'accusent personne de précis décider que c'est untel, et même s'il peut y avoir matière à présomption (comme être au mauvais endroit au mauvais moment) les présumées victimes devront d'une manière ou d'une autre renforcer la présomption par leurs déclaration. A moins que ce soit le Saint-Esprit qui ait dénoncé cet homme. Je me demande parfois sur quelle planète vous vivez, Audrey.

    Quand à la litanie pourfendeuse d'hommes prédateurs, il n'y a dans les milieux intéressés à ces questions que les aveugles qui ne la voient pas.

  • Non il n'est dit nul part que. Mais comme vous l'avez vous-même fait remarquer, beaucoup de choses ne sont pas dites, dès lors il faut bien spéculer. S'il y a pu avoir récolte de sperme, il y a pu avoir expertise médicale, le tout serait de savoir si cette expertise est concluante ou pas.

    Je ne sais pas, je vis peut-être sur la planète qui regarde trop "Faites entrer l'accusé" (je me soigne cependant si,si). Et qui y a vu de nombreux rebondissements dans les affaires de viols, avec souvent des mises en garde à vue voire prison préventive, sans que le coupable ait été reconnu par les victimes elles-mêmes, mais par x badauds. Quand en plus le type a un profil de "marginal", ça passe d'autant mieux. C'est vrai qu'avec les expertises adn on évite aujourd'hui mieux ce genre de choses. Reste qu'à l'époque cela n'existait apparemment encore pas.

    Ahh mon dieu, que me voilà démasquée: une affreuse féministe qui fait mine d'être aveugle pour mieux renforcer son pouvoir tentaculaire et criminaliser l'entier de la population masculine. Le fait est que cette conception existe, comme existe celle de la litanie des pourfendeuses de "salopes", qui n'ont pas bien dit non, dont on aurait pu éventuellement croire que leur cri de non disaient en fait oui, dont la jupe était trop courte pour qu'on puisse penser que, ou qui n'avaient qu'à pas accepter de préliminaires. Des réflexes conditionnés anti-femmes, alimentés par la misogynie ambiante et les thèses de la femme tentatrice. On l'a vu à Genève (affaire de la pizzeria), à la Chaud-de-fond (affaire des hockeyeurs) et ça a de nouveau été dit sur l'affaire polanski, encore que celle-ci ne soit effectivement pas très claire. Sans compter qu'on trouve très fréquemment des allusions dans les conversations qui laissent à penser qu'à se promener en mini-jupe il pourrait bien arriver malheur sans que ce ne soit très étonnant.

    Aux affres des uns répondent donc aussi les affres des autres. Leur situation est pourtant dramatique dans un cas comme dans l'autre. L'un ne devrait absolument pas occulter l'autre. A dresser un portrait aussi sombre, aussi appuyé sur le "racisme" anti-homme ("un de plus", "chronique ordinaire", "réflexes conditionnés anti-hommes")à se demander si demain ne va pas commencer carrément le génocide, c'est pourtant bien ce que vous faites. La réalité n'a pas toujours qu'un visage.

  • "Audrey, quelle imagination! Aller chercher du sperme dans un préservatif usé."

    Bah quoi! Vous avez jamais vu les (s)experts?! ;-)

    Très sérieusement c'était dans un épisode. Mise de sperme d'un autre dans la bouche de la morte par le meurtrier pour ne pas pouvoir être accusé. Il l'avait récupéré dans une poubelle. Donc non, je n'ai pas une imagination débordante. En revanche ça confirme que je regarde trop la télé ;-)

  • Audrey vous m'avez convaincu plus jamais je n'irais déposer mon liquide spermatique dans une poubelle, vous me faites flipper là

  • @ Audrey: les souffrances des uns ne doivent pas occulter celles des autres, entièrement d'accord. C'est d'autant plus pour cela que les problèmes sociétaux doivent être abordés de manière multipartite et globale, et que pour moi l'expression "solidarité féminine" est intrinsèquement une déclaration de guerre dans la vision genrée qu'elle impose. Et ça, chez moi c'est très, très durablement porte fermée et combat en réponse à cette déclaration de guerre.

  • PS: Je n'ai pas vu cet épisode...

  • Je peux voir un aspect humoriatique néanmoins à la solidarité féminine: c'est synonyme "d'affaires de bonnes femmes" comme disaient pleine de copines quand elles voulaient parler entre elle.

    Rien de nouveau sous le soleil, seul le nom change.

  • Fermer votre porte si ça vous fait plaisir que voulez-vous que je dise. Reste que dans le genre "vision globale" on a vu mieux que cet article très très orienté, et plus "généralisant" que véritablement "englobant".

    Ce qui est rassurant pour moi c'est néanmoins de me dire que des sites comme "la cause des hommes" (que n'aurais-je entendu si j'avais parlé de "cause des femmes") ne doivent pas trouver du coup plus de grâce à vos yeux!

    Mais bon, c'est votre choix, je ne passerai pas en douce par les murs ;-)

  • Ce site, "La cause des hommes", ou d'autres, les postures de résistances, sont tous et toutes issues du genrisme féministe qui veut dire à l'homme ce qu'il doit être, et son incomplétude. C'est simplement la réaction normale à la déclaration de guerre initiale. Relisez les discours es années 70: ils n'ont pas tellement changé. Une manière de dire qu'on n'est pas dupes et qu'on ne se laisse plus faire, qu'en tant qu'hommes on ne se laisse plus déconstruire.

    Article orienté? Bien sûr! Je le revendique. Je n'ai pas de peaux de saucisses devant mes yeux. L'attitude actuelle de la justice, biaisée, envers les hommes, est essentiellement le résultat du travail des lobbys féministes. Ce n'est pas venu par hasard.

    Quand les féministes cesseront de dire aux hommes ce qu'ils devraient être dans leur société idéale, quand elles cesseront de vouloir les éduquer, mais s'assiéront à ôté d'eux, les acceptant, leur demandant qui ils sont, ce qu'ils aiment ce qu'ils ont envie d'être, les tranchées se combleront. D'ici là les armes continuent à être pointées. L'ennemi de genre s'est déclaré.

    Pour ma part je suis plus intéressé au genre humain qu'au genre féminin ou masculin. Mais fermer les yeux sur la réalité qui se met en place n'est pas souhaitable. Comme dit le proverbe: "Crois en Dieu mais attache ton chameau".

    Cela dit je ne tiens ce langage qu'avec celles qui en niant les genres ne font que créer, donner une fonction et modeler les genres à leur convenances, à celles qui font leurs affaires dans le victimisme, à celles pour qui le féminisme est une manière d'introduire la lutte des classes dans le couple et à celles qui ont une comptabilité idéologique dans les yeux. Avec les autres, pas de problème: vrais partages, objectivité, approfondissement, respect mutuel naturel, pas de jeu de pouvoir.

  • J'ai eu au cours de trente années d'activité indépendante en Suisse passablement à faire avec la Justice - et la Justice avec moi. Au cours de ces années, j'ai constaté pratiquement partout les mêmes carences, la même arrogance chez les juges, la même incapacité de résoudre les problèmes même les plus simples. La même incapacité de se réformer.
    Des problèmes juridiques qui pourraient se résoudre en quelques jours, voire en quelques heures, mettent des années à ne PAS se résoudre.
    Un cas cité hier tant sur la TV alémanique que sur la TV romande: les fonds volés par al famille Duvalier au peuple haïtien: 25 années de procédure, après quoi les faits reprochös à la Famille Duvalier sont prescrits... Ben oui, quoi.... c'est pas un viol.
    L'affaire Paul en ski, rigolo comme tout.
    En 1998, une jeune femme à Berne, condamnée sans preuves et sans aveux à 18 ans de taule, pour un crime qu'elle avait de toutes bonnes raisons de ne pas commettre.
    Lorsqu'un juge est élu à quelque degrö que ce soit, ce n'est pas une personnalité intègre, humaniste, cultivée, courageuse, intelligente qui est remplacée par une personnalitö du même calibre. C'est un UDC, un radical, un PS qui remplace un autre UDC, radical un PS.
    80 % des gens qui cherchent leur droit devant le TF sont déboutés. 98% à Strasbourg. En d'autres termes, 80, respectivement 98 pourcent des gens qui s'adressent à ces instances judiciaires sont des cons et/ou des emmerdeurs. Cela fait beaucoup de cons et d'emmerdeurs ä la vérité...

  • Détail théorique que je vais soulever ici, juste une réflexion :

    Dans un hypothétique cas de viol perpétré par une femme sur un homme, comment l'homme victime prouvera médicalement et avec l'aide de l'ADN son statut de victime ?
    Ah, zut alors, l'égalité de traitement entre les sexes est mise à mal par Mère Nature...


    Pour le reste... Le viol est une abomination. Qui malheureusement se produit en majorité dans le cadre familial ou familier.
    En être accusé à tort est une autre abomination.


    Et pour finir, il faut lutter contre les généralisations et les amalgames, je l'accorde. Mais il faut aussi ouvrir les yeux, il faut se promener en ville, il faut voir certaines (! une minorité heureusement) filles de 14 ans, femmes ou sens biologique puisqu'en état de procréer, voir comment elles sont habillées, leur comportement, leur discours, et il faut se poser de vraies questions sur la santé mentale de leurs parents...
    L'éducation sexuelle par internet est un fiasco. Il y a des filles de 14 ans qui font des fellations parce qu'elles croient je ne sais quoi, mais elles le font, et cela ne semble pas un signal inquiétant pour bien des personnes ?

    Discutez avec des profs d'école qui ont des classes d'ados, vous n'en croirez pas vos oreilles.

  • Bonjour Greg

    "Pour le reste... Le viol est une abomination. Qui malheureusement se produit en majorité dans le cadre familial ou familier. "

    Wikipédia.

    "49 % des viols sont commis sans aucune violence physique ;
    67 % des viols ont lieu au domicile (de la victime ou de l'agresseur) ;"

    Le viol est un phénomène de société considérable dont l'ampleur commence à être reconnue. On ne dispose de données chiffrées officielles que depuis l'enquête nationale menée en 1999 (ENVEFF)[21]. Selon Amnesty International, 50 000 à 90 000 femmes ont été violées en France[22].

    "Le viol est, dans la plupart des juridictions, un crime défini comme relation sexuelle ou pénétration sans consentement valide des deux parties. Dans certaines juridictions, le viol est défini par une pénétration de l'anus ou du vagin par un pénis,[réf. nécessaire] tandis que dans d'autres juridictions, la pénétration que ce soit du vagin ou de l'anus n'ont pas besoin d'un pénis : un doigt ou un godemichet suffisent.[réf. nécessaire] Certaines juridictions étendent la définition du viol pour inclure d'autres activités sexuelles sans consentement valide, incluant la fellation, le cunnilingus et la masturbation."

    50 000 à 90 000 femmes onts été violées en france !!!
    ces chiffres sonts une extrapolation des pourcentages receuillis par l'enquête ENVEFF, quand on connait le manque d'objectivité de cette enquête, et sa misandrie !!!!

    "La sexualité, violence maximale
    On a vu plus haut que les questions portant sur l’espace public et sur le travail se succédaient comme les phases ascendantes d’un processus menant au viol. La structure du questionnaire est cependant plus complexe. Entre les étapes de la montée de l’instinct sexuel s’intercalent celle de la montée de la violence physique indépendamment du sexe. Par exemple, les étapes de la question P9 sont énumérées dans l’ordre suivant par le questionnaire :

    1. insultes 1
    2. avoir été suivie 2 1
    3. exhibitionnisme 2
    4. agression pour vol 3
    5. gifles, coups, brutalités physiques 4
    6. menaces ou attaques avec arme 5
    7. avoir été embrassée ou pelotée de force 3

    8. attouchements sexuels 4
    9. tentative de rapport sexuel forcé 5
    10. rapport sexuel forcé 6

    Les deux colonnes de numéros qui suivent chaque intitulé de la liste ci-dessus ne figurent pas dans le questionnaire. Nous les avons ajoutées pour distinguer les étapes successives de la violence ordinaire (première colonne) de celles de la violence sexuelle (deuxième colonne). Seul le deuxième item du questionnaire peut relever des deux catégories, car on peut avoir été suivie par un voleur qui attend le moment propice pour vous prendre votre sac, par un admirateur ou par un maniaque sexuel. On remarque immédiatement que le mélange des deux catégories de violence permet de les amalgamer tout en les hiérarchisant : il donne aux violences liées au sexe un caractère plus grave qu’aux autres. Dans l’échelle , les " menaces ou attaques avec armes " figurent par exemple avant " avoir été embrassée de force ", ce qui semble leur donner moins de gravité. De même, la " tentative de viol " arrive beaucoup plus loin dans la liste donc elle est a priori beaucoup plus grave que les " coups et brutalités physiques ". La connotation sexuelle d’une atteinte paraît lui imprimer un caractère sacré, de même qu’autrefois le vol et la profanation d’hosties étaient condamnés bien plus durement que le vol de pain. Là encore, l’enquête épouse et étend une évolution juridique contemporaine : de fait les tribunaux condamnent aujourd’hui plus sévèrement les crimes sexuels que les crimes de sang .

    Cette hiérarchie se retrouve au niveau de l’enquête prise dans son ensemble. A l’énoncé des questions, la personne interviewée est soumise à un double crescendo, celui de la gravité des fait physiques et sexuels qu’elle peut avoir subis, et celui des sous-questionnaires qui pénètrent de plus en plus profondément dans sa vie privée : d’abord son état civil et ses caractéristiques habituelles, puis les agressions dans l’espace public, celles sur le lieu de travail et enfin au sein intime de la famille et du couple. Cette dramatisation est couronnée de succès puisque les auteurs de l’enquête reconnaissent candidement qu " les deux tiers des femmes contraintes par leur conjoint à des pratiques ou rapports sexuels forcés en ont parlé pour la première fois au questionnaire ". Au lieu de s’en prévaloir, il faudrait peut-être s’interroger sur les causes et la valeur d’un résultat que pourraient envier bien des psychiatres et psychanalystes et se demander si l’organisation du questionnaire n’aurait pas conduit à cette issue. Peut-on confondre un travail militant et une enquête objective ? Sauf à considérer que c’est l’extorsion de tels aveux qui constituerait une " enquête objective " où l’information n’est pas recueillie mais suscitée par les termes et la construction du questionnaire, à la façon dont se déroulaient les procès de l’inquisition…"

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article203 Homo mulieri lupus ? Marcela Iacub, Hervé Le Bras. Les temps modernes, n° 623, février 2003

    dans l'espace familial, l'homme apprécie des petits coups vite fait. dixit mars et vénus sous la couette, sa compagne le fait pour lui faire plaisir.

    d'aprés l'enquête ENVEFF, est-ce un viol ? fort possible puisque c'était un rapport sexuel non désiré. et vu comment sonts posés les questions dans le style inquisition.
    dans ces couples a la sexualité saine et épanouie, les hommes seraient alors des psychopathes, des criminels, puisque le viol est un crime !!!!

  • "et il faut se poser de vraies questions sur la santé mentale de leurs parents..."

    Des démissionnaires qui comptent sur l'école pour éduquer leurs enfants!

    "PS: Je n'ai pas vu cet épisode..."

    Ben... moi non plus! :)))))))))))

    popol, LOL c'est dans la poubelle des "Experts"..ou ceux de Miami! :))))))

  • @Leclercq

    "un violeur n'est pas un assassin."
    "et un viol ne peut pas être mis au même niveau qu'un meutre."

    Quand on viole un bébé de 9 mois, qui en meurt? vous appelez cela comment?
    (enquête et vidéo récupérée lors d'une descente de police)

    Qu'auriez-vous fait s'il c'était agit de votre bébé? Et que feriez-vous si, par malheur, cela arrive à votre enfant de 3/4 ans!?

  • @ Patoucha

    ton exemple est quand même un cas trés particulier, de là à généraliser qu'une femme qui a été violé, ça mérite la même punition qu'un meurtre il y a de la marge !!!!

    je rejoint tout à fait la potition de HL sur ce point.

    "Valérie, oui tuer coûte moins chez pénalement que violer, alors que si le viol est une cruauté on peut s'en sortir, nombre de femmes s'en sont sorties, durablement blessées pour certaines, mais vivantes."

    et c'est quand même étonnant le nombre de femmes violées que l'enquête ENVEFF
    a trouvé qui apparement n'étaient même pas au courant quelles l'étaient.
    mais le pourcentage trouvé sert à faire des gros chiffres en extrapolant sur la population française.

    il est vrai qu'avec la loi qu'on fait voté les féministes, on ne sait plus trop ce que c'est qu'un viol, le commun des mortel s'imagine encore, que c'est une pénétration avec éjaculation et violences mais non pas du tout.
    ben non il suffit de la pénétration d'un doigt dans le sexe où l'anus sans le consentement de la victime. donc il n'y a strictement rien de visible aprés coup
    et une femme peu accuser n'importe quel homme de viol, il n'y a que sa parole de victime en jeu, où de fausse victime. et vu le climat de misandrie actuelle elle a de fortes chances d'être crue.

  • Bienvenue à toi lobscurq sur le blog extrémement intéressant d'homme libre

    "UNE feminiiiiiiiiiiiiiiste (gare à vous! je mors, je mens, je manipule, j'empêche mes enfants de devenir adultes, je mène mon homme à la baguette...je suis l'objet de vos terreurs nocturnes et une race à abattre)"

    "j'empêche mes enfants de devenir adultes," tu ne dois pas être blamer pour une attitude protectrice elle est normale, que ton compagnon joue son rôle éducatif auprés de vos enfants.

    pas de chance, je n'ai aucune terreur nocturne, je m'endors paisiblement dans le dos de ma peite femme adorée. race à abattre pas du tout, pas des femmes comme toi, pleine de bon sens d'humanité et éprise de justice, la phrase que je cite ci-dessous le prouve.

    "N'empêche que je suis vraiment heureuse pour cet homme qu'il ait été disculpé!
    L'erreur judiciaire est une des pires choses qu'il puisse arriver!
    J'espère qu'il s'en remettra! "

  • Le viol est un phénomène de société considérable dont l'ampleur commence à être reconnue. On ne dispose de données chiffrées officielles que depuis l'enquête nationale menée en 1999 (ENVEFF)[21]. Selon Amnesty International, 50 000 à 90 000 femmes ont été violées en France[22].

    ==> Ces enquêtes, de la misandrie en barre, les féministes veulent la guerre des sexes et les hommes sont tous juste en train de s'en rendre compte.
    D’ailleurs une de ces enquêtes portés sur la violence conjugal, et elle est partie du principe que seul les hommes pouvait être des agresseurs et les femmes seulement des victimes (alors que l’on sait depuis 10 ans officiellement que les hommes représente au minimum la moitié des victimes des violences conjugal, tandis qu’aux états unis ils en sont la majorité des victimes).
    Alors je dis aux hommes ne vous y trompez pas, battez vous pour vos droits et dénoncé le sexisme ambiant anti homme.
    Les dormeurs doivent se réveiller !

  • Je suis marié pour la deuxième fois, ma première femme était une gerce fainéante, arrogante et fort probablement lesbienne Après quatre ans, j'ai demandé le divorce.
    Devant le tribuanal, elle a admis qu'elle m'avait attaqué avec un couteau à désosser, pour un motif absolument futile. J'aurais pu être gravement blessé ou même tué. Aucun tort n'a pu m'être imputé, en aucun domaine que ce soit.
    J'ai eu donc le privilège de lui payer une pension durant quatre ans, alors qu'elle était absolument en mesure de prendre soin d'elle-même, et qu'aucun enfant - Dieu soit loué - n'était issu de cette "union".
    Je me rends compte que je m'en suis extrêmement bien sorti, en comparant le sort d'autres hommes divorcés sans aucun tort, ou dont le seul tort avait été de marier une salope.

  • @Greg
    "Il y a des filles de 14 ans qui font des fellations parce qu'elles croient je ne sais quoi, mais elles le font..."

    Elles ne le font pas sur des ânes... Le problème n'est pas le comportement ou l'éducation des jeunes filles, mais des jeunes que ce soit filles ou garçons.

    Je crois que nous sommes tous d'accord pour dire que le viol est inacceptable et doit être puni, de même qu'une fausse accusation. Je rejoins hommelibre pour dire que ce n'est pas un problème hommes contre femmes ou vice versa, mais de société.

    Des dérives qui ruinent des vies.

    On a voulu donner, à juste titre, des moyens de défense pour des victimes potentielles. Il semblerait que, comme dans n'importe quel domaine, il y ait des abuseurs, ou abuseuses. Plutôt que de s'attaquer à ces moyens, qui ont une réelle efficacité dans une majorité de cas et permettent justement à des personnes de s'en sortir sans trop de dégâts et de punir des agresseurs (ou agresseuses), il faudrait s'attaquer à ces dérives ou "dommages collatéraux".
    Une fausse accusation, toute destructrice qu'elle soit, ne doit pas pour autant remettre en cause toutes les accusations de viol. Il ne faut pas oublier qu'il n'y a pas si longtemps, une vingtaine d'année, entrer dans un poste de police afin de déposer plainte pour un viol, était une épreuve humiliante et très dure. Pas d'écoute, des railleries, du mépris, bref, de quoi décourager les plus courageuses.
    Il y a eu progrès et facilitation, il y a maintenant certains abus.

    Il faut les prendre en compte, et chercher des solutions, mais pas remettre en cause les acquis.

    :-B

  • @ Pascale:

    Coucou je me réveille alors petite visite.

    "Il ne faut pas oublier qu'il n'y a pas si longtemps, une vingtaine d'année, entrer dans un poste de police afin de déposer plainte pour un viol, était une épreuve humiliante et très dure. Pas d'écoute, des railleries, du mépris, bref, de quoi décourager les plus courageuses."

    Oui, tout-à-fait, vous avez raison, et en effet pour bien des victimes de viol cela a été un calvaire supplémentaire. Est.ce une culpabilité collective qui a soudain inversé cela, fait croire presque aveuglément aux accusations avec trop peu de vérifications?

    hommes et femmes ensembles nous devons travailler à éduquer les filles et les garçons au respect réciproque. Je suis bien conscient, Pascale, et gêner par le fait que l'on a l'impression qu'en défendant un bord l'autre perd de l'importance. Il faut dé-cliver cela dans nos têtes pour le dé-cliver dans les faits.

    C'est aussi pour cela, vous le savez, que je mentionne régulièrement des faits comme celui de ce billet. J'espère qu'un jour on lira plus d'objectivité dans les jugements et plus de sérieux dans les enquêtes. Je traiterai alors le sujet autrement. Je continuerai à le traiter car j'ai été sensibilisé à la violence et à l'injustice dans ma chair, et que indépendamment du biais actuel que je dénonce actuel, reste le fait que viol, violence, fausses accusations, souffrance, irrespects, continuent et ne sont pas acceptable. Lutter contre cela, tous et toutes ensemble, c'est contribuer à civiliser un peu plus le monde.

    Dénoncer ne suffit certes pas, il y a un travail sur la prévention, la sanction, la réparation la plus adéquate (car je ne suis pas certain que la prison modifie la conscience du criminel dans sa fonction actuelle) la guerre latente entre filles et garçons, mais chaque étape est importante.

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