«Tout ce sang sur les mains d’Obama»: c’était tentant de prendre le contrepied et de titrer ainsi mon billet. Je l’aurais fait pour réduire la nuisance du discours russophobe et anti-Poutine. Ce discours, relayé aveuglément par nombre de médias et de propagandistes, ne me paraît pas correspondre à la réalité. De plus il est dangereux: il prépare à des suites que je n’ose imaginer. J’ai d’autres espoirs qu’une nouvelle haine est-ouest.