Je m'en fiche comme de l'an 40! dit-on parfois.
Les annales météo des siècles passés n’ont pas la précision des relevés actuels. Toutefois des chroniques existent et des traces observables peuvent être analysées. Les chroniques, réalisées parfois par les curés localement, sont une source d’information précieuse. La description des épisodes extrêmes est souvent bien documentée et ceux-ci ne pas pas si rare.