Je rebondis sur l’article de Grégoire Barbey concernant l’information de plainte pénale de l’employé de sécurité qui a sprayé au poivre Eric Stauffer le soir des Fêtes de Genève. Je rejoins le questionnement sur le risque de stigmatisation qui découle d’une information dont la divulgation n’ajoute rien aux faits - sinon à faire bouillir la marmite fantasmatique genevoise: le plaignant est frontalier.