Vladimir sait encaisser. Et sait se montrer patient. Après avoir été la cible de commentaires particulièrement agressifs avant et au début des JO - pour mémoire le suisse Massimo Lorenzi qualifiait le spectacle d’ouverture de «propagande soviétique» - Vladimir Poutine est maintenant vilipendé et menacé pour sa politique envers l’Ukraine. Lui ne dit rien et ne bouge pas.