Elle se taisait depuis le 15 mai. Ne sachant rien des protagonistes et de ce qui s’est passé elle ne voulait rien dire. Aujourd’hui elle prend la parole. Une parole qui exprime la colère de la féministe contre les autres féministes, celles qui ont profité de l’affaire, qui l’ont instrumentalisée. Celles qui disent, en toute inconscience et du haut d’un sexisme et d’une domination féminine décomplexée: «L’affaire Strauss-Kahn aura eu ceci de bon...».