Dans la récente émission de Temps Présent « Guerre des sexes au chalet » on assiste à un moment qu’après-coup je trouve étrange. Le réalisateur a choisi de présenter quelques séquences d’anciens films où l’on voit des scènes de séduction.
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Dans la récente émission de Temps Présent « Guerre des sexes au chalet » on assiste à un moment qu’après-coup je trouve étrange. Le réalisateur a choisi de présenter quelques séquences d’anciens films où l’on voit des scènes de séduction.
Les hommes célibataires moins empathiques ?
Selon trois chercheuses les hommes célibataires sont davantage sujets à contracter une forme grave de la Covid 19. L’information est parue hier dans un article du JDD (Journal du dimanche).
Je suis surpris par la levée de boucliers contre ce projet d’aménagement des retraites bientôt soumis au vote. J’entends en particulier des femmes qui se revendiquent féministes et font une bronca d’enfer aux accents populistes non dissimulés, simplificateurs et générateurs d’amalgames improbables.
C’est compromis: 0-1 au début du temps additionnel. Il reste trois minutes. La gardienne autrichienne se prépare à un tir des six mètres. Elle espère encore le but libérateur, promesse de prolongation.
Deux Cosette ont réalisé un film sur la très grande difficulté existentielle des femmes cyclistes. Elles-mêmes ont fait un périple de 3’000 km pour rencontrer « des femmes qui font du vélo, qui réparent des vélos, qui construisent des vélos. »
Je viens d’apprendre sur le blog voisin de Demir que le 21 février est la journée internationale de la langue maternelle. Il n’y a pas de langue paternelle. La langue est transmise par de la mère.
Rien ne changera en 2022. Les inepties sont déjà de retour. En particulier celle de ce pape politique et gauchiste. Dans son discours du jour de l’an il a déclaré, selon le Matin dimanche du jour: « L’Église est mère, l’Église est femme. »
Je rebondis sur une remarque postée sous mon précédent billet pour en faire une illustration humoristique. Il s’agit du travail féminin et de parité. La phrase est celle-ci: « … je ne croirai jamais en la bonne foi des féministes tant qu’elles ne demanderont pas aussi leur part de travail ingrat, dangereux et dévalorisant. »
Femmes et hommes sont égaux devant la loi. Ok. Mais ils ne sont pas semblables. Et les femmes, comme les hommes, continuent à véhiculer des stéréotypes sexués. Et pourquoi pas?
Les provocations genrées battent leur plein. On apprend par exemple que l’actrice noire Lashana Lynch interprétera le prochain agent au matricule 007. Elle remplacera Bond, James Bond, parti à la retraite.
Mon premier est une drôle de féminisation d’un mot courant. Nous somme à l’hôpital. Il y a des docteurs, des docteures et des doctoresses. Et aussi le médecin.
Je n’ai pas d’admiration particulière pour Bonaparte. Je trouve même cet homme agaçant. On le commémore sans que le monde n’en soit sidéré. Imaginez Angela Merkel allant poser une gerbe sur le lieu du bunker où est mort Hitler et rappelant qu’il a permis à l’Allemagne de dominer une bonne partie de l’Europe. Impossible.
La destruction des bouddhas de Bâmiyân avait suscité l’indignation du monde occidental. Pourtant ici aussi on abat les statues de personnages ou de symboles déclarés indignes. Ici aussi des progressistes veulent effacer et réécrire l’Histoire en commençant par en exclure tout ce qui n’est pas bien.
Les hommes paient un très lourd tribut à la liberté de la presse et de l’information. Selon le site de Reporters sans Frontières, sur les 334 journalistes emprisonnés en 2019, 307 étaient des hommes et 27 des femmes. La presse a surtout mentionné le chiffre de 27 femmes.
Cette petite phrase discrète fait mal. Ou mâle. Les tenancières du langage inclusif subissent un camouflet. Je publie ci-dessous l’infographie qui accompagne l’article qui a inspiré mon précédent billet. Ce graphe illustre, en pourcentage, l’exposition des femmes au risque du Covid-19.
Poursuivant sa carrière de bateleur, il peaufine sa méthode de drague. Drague politique. C’est connu: les hommes féministes se posent comme de bons protecteurs des femmes. Ils évitent ainsi la confrontation et l’éventuel camouflet d’une drague plus directe.
Ce livre vient à point pour combler une lacune. On parle beaucoup de sexisme, on le dénonce, avec raison mais aussi avec exagération. Et surtout avec omission: on ne parle presque jamais du deuxième sexisme.
Lu ce matin une chronique du Journal de Montréal signée Richard Martineau. Un esprit impertinent et très pertinent à la fois. Il commente l’action d’éclat de Madame la Maire d’un arrondissement de Montréal, Sue Montgomery.
Je connaissais l’histoire de l’homme invisible. Je découvre peu à peu celle de la femme invisible. Même la TdG s’y met: dans un édito du 10 novembre le journaliste culinaire Jérôme Estèbe se demandait Où sont les femmes.
Télérama semble aimer le langage animalier. Est-ce parce que la direction du magazine est assurée par des femmes? Est-ce une sorte de croisade contre les hommes portée par le magazine télé? Mon correspondant français réagit à une lettre de lectrice parue dans son édition du 24 octobre. Voici son texte.