En écoutant la chanson de Sting mise en fin de mon billet d’hier, «They dance alone», je repensais à ces femmes, mères, soeurs et filles d’hommes enlevés, torturés et tués par la dictature argentine entre 1976 et 1983. Je pensais au courage de ces femmes qui bravaient la violence d’un pouvoir sans merci, qui dénonçaient la mort atroce de ces milliers d’hommes, résistants à l’oppression, étudiants, syndicalistes, cibles automatiques du pouvoir.