Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Hermil, un père entré en clandestinité

Vous pensiez naïvement que la justice est une dame digne? Que tous les magistrats sont objectifs, honnêtes et rigoureux? Ce rêve légitime, pieux et enfantin n’est qu’illusion.

Le cas d’Hermil Lebel fait partie de cette saga qui, à Genève, au Québec et ailleurs, révèle la misandrie généralisée de nos sociétés occidentales. Les hommes et les pères sont coupables par principe, et ils doivent être poursuivis et châtiés en conséquence.

Hermil fait partie de ces trop nombreux pères accusés faussement au Québec (il prouve par dossier la fausseté de l'accusation) lors d’un divorce conflictuel. On sait que nombre de juges ont désormais un parti-pris anti-hommes exprimé ouvertement. Quand la juge genevoise Madame Tombesi déclarait dans une interwiew au quotidien Le Temps, il y a quelques années (je cite de mémoire):

“Nous partons du principe que les mères qui accusent sont de bonne foi”,

la messe est dite pour les pères et les hommes. Le dogme de la justice n’est plus l’égalité des citoyens devant la loi, ni la présomption d’innocence. Même plus besoin d’analyser les causes. Les hommes sont coupables, forcément coupables.

1530035604.jpgAinsi, Hermil a été condamné à 11 mois de prison pour deux messages laissés à ses enfants sur le répondeur de la mère. Il l’a fait en toute légitimité. La justice en décida autrement. Les péripéties judiciaires d’Hermil furent proprement hallucinantes. Un exemple:

“C’est par le truchement d’un courriel, acheminé 48 heures à peine avant la date d’audition, que les intervenants de la DPJ convoquèrent Hermil au tribunal. De façon constante par la suite, les intervenants de la DPJ ont systématiquement ignoré toutes les demandes formulées par le père. À sa requête visant à obtenir copie de la procédure, la DPJ oppose un refus catégorique. Sans jamais le consulter, la DPJ assigne deux procureurs aux enfants. Même si ces derniers confirment n'avoir jamais rencontré ni même interrogé les enfants, ces procureurs se permettent de témoigner au nom des enfants devant le tribunal.”

Face à l’acharnement de la justice et cette condamnation insupportable et injuste, Hermil a pris le maquis. Il vit en clandestinité dans son propre pays depuis plusieurs mois. Il ne sait quelle sera l’issue de la situation.

Il se voit à juste titre comme un résistant face à une institution aux méthodes relevant plus de la Gestapo que d’un Etat de droit.

Je vous invite à visiter son blog: http://bisbille101.blogspot.com/. Descendez un peu dans la page jusqu’à “L’affaire Camille”. Dans cette page et les suivantes, vous pourrez lire de quoi vous demander à quelle époque cela se passe: inquisition? Années 30-40?

Hermil, je pense à toi dans ton maquis, dans ta privation de tes enfants chéris, et je te soutiens sans réserve.

http://www.hommecible.com
11 commentaires

Commentaires

  • Votre ami livre un combat inutile et surtout inefficace. Pendant tout ce temps, les aiguilles de l'horloge tournent inexorablement et quand il aura été réduit à l'état de loque, ses enfants ne lui en sauront même pas gré. Car pendant ce même temps, ils subissent probablement un lavage de cerveau genre "votre méchant-papa-salaud ne s'intéresse pas du tout à vous et la preuve c'est qu'il n'est pas là pour vous".
    Il ferait mieux de reprendre une existence normale et de se reconstruire.
    Le moment venu - dans 5 ou 10 ans ? - il pourra, en gardant copies de toutes les cartes d'anniversaires et de Noël, lettres, quittances de paquets expédiés, etc., montrer à ses enfants ce qu'il en était réellement.
    La mère se trouvera alors sur le banc des accusés d'un tribunal où les juges n'accordent pas de circonstances atténuantes: celui des enfants.
    En attendant ce jour, il ne faut perdre ni sa raison ni son âme.
    Dur-dur la vie...

  • Bonjour, je sais qu'il lira les commentaires donc le vôtre lui parviendra. Merci.

  • Merci pour avoir le courage de briser l'omerta. Dans les faits, cette sinistre réalité est systématiquement évacuée de l'espace médiatique en raison du silence complice des journalistes frileux, assujettis à la « rectitude politique ». Grâce à ce silence morbide, les juges fripons peuvent continuer, et ce en toute impunité, de tourner en dérision l'institution qu'ils ont pourtant jurés de servir avec honneur et intégrité. Dans l'Affaire Camille, j'ai d’ailleurs fait la liste, qui n’a rien d’exhaustif, des juges, procureurs de la couronne et autres intervenants, pour illustrer justement la collusion existante au sein de la communauté de parasites, bénéficiaires de l'industrie du divorce, qui s’affairent à dépouiller sournoisement le patrimoine destiné aux enfants tout en détruisant méticuleusement la famille. Et tout ce cirque nous est servi au nom de l’ « intérêt supérieur des enfants » !

    Cette histoire peut sembler irréaliste, exagérée, voir tout droit issue de l'imagination une peu délirante de quelque plaisantin.

    Malheureusement, il n'en n'est rien.

    Pire encore, elle est d'une banalité à pleurer.

    Elle n'a rien d'unique ou de particulier. Cette histoire kafkaïenne représente cependant bien la norme lorsqu'un homme est traduit devant nos tribunaux fantoches suite à des allégations de violence domestique. Chaque année au Québec, environ 10 000 hommes sont ainsi chassés de leur domicile après un fort désagréable séjour derrière les barreaux sur la seule base d'une dénonciation, sans preuve, sans témoin et surtout sans la moindre enquête digne de ce nom. Bref, c'est le grand bond en arrière, directement au cœur de l'inquisition.

    Souvent, je m'amuse à répéter que l'actuelle politique d'intervention en matière de violence conjugale, adoptée en toute vitesse par le parlement sans le moindre débat, sous la pression d'un puissant lobby, est davantage sexiste que Mein Kampf pouvait être raciste. Et la raison en est fort simple. Les juifs ne représentaient qu'un infime partie de la population allemande alors que les hommes constituent tout de même la moitié de la population.

    Mis à part les chambres à gaz, le sort réservé à la population ciblée présente beaucoup de similitudes. En vertu de cette politique, les hommes sont jetés à la rue comme des sacs à vidange, privés de l’accès à leurs enfants, de la jouissance de leurs biens, et dépouillés de leurs actifs par le biais d’honoraires professionnels scandaleux dans une vaine quête de justice.

    Lorsque le mouton est tondu, il prend le chemin de l’abattoir. Chaque jour qui passe, 4 hommes s’enlèvent la vie au Québec dans l’indifférence la plus totale. Voilà pourquoi les chambres à gaz sont inutiles. De guerre lasse, les hommes ciblés retournent cette violence institutionnelle contre eux. À ce chapitre, nous figurons parmi les champions mondiaux, un titre que bien peu de peuple convoite.

  • L'alternative serait de me livrer à la police et aller purger une peine d'un an pour un crime perpétré par la mère de mes enfants en toute complicité avec les service de police. Mes enfants ne méritent pas de voir leur père en prison. D'ailleurs, j'y ai déjà séjourné à 5 reprises pour un cumulatif de 6 mois sans que jamais, de toute ma vie, je n'ai été impliqué de quelque manière que ce soit dans des activités criminelles.

    Malgré tout, je fais confiance à la vie. La vérité est une force d'une formidable puissance. Un jour, ces enfants seront fiers du combat mené par leur père, qui n'est pas seul dans cette galère, afin de ramener un peu d'ordre au sein de cette société sous l'emprise d'une idéologie aussi néfaste que le National-Socialisme, le féminazisme.

  • J'ai passé par "LA MACHINE A BROYER LES HOMMES" (Serge Ferrand 2005) 'made in Canada'
    http://cf.geocities.com/serge_ferrand/Index.htm

    Personne n'est pariel face a l'injustice et ce qui me caractérise c'est le fait que j'ai décidé 'd'accepter' tous les jugements/accusations/injustices avec la CONVICTION PROFONDE QU'UN JOUR, J'ALLAIS OBTENIR GAIN DE CAUSE. Et j'ai vite compris que -dans mon cas- je ne pouvais RIEN faire en utilisant les 'outils' -sexistes- en place. (Car même si je 'gagnais', mon enfant perdait !)

    J'ai cependant décidé de CONSACRER MA VIE a changer le systême et ce, par tous les moyens indirects -et démocratiques- qui m'étaient disponibles

    Je n'ai jamais cessé de me 'battre' et je ne cesserai jamais. Ma vie a pris un sens que je n'aurais jamais imaginé lorsque 'tout ça' est venu chambouler ma vie.

    Et j'ai réalisé qu'a chaque fois que le 'systeme' détruit un homme/père, IL DÉTRUIT AUSSI LA FEMME, LES ENFANTS et d'autres proches. Les 'dommages' ne sont pas aussi 'visibles'(au départ en tout cas), pas aussi directs, mais il y a quand même un incroyable tort fait a ces femmes (et 'leurs' enfants) qui 'gagnent', mais qui -en réalité et è moyen et long terme- perdent souvent 'tout' !
    (etre victime a vie et -souvent- dépendant du systeme, ce n'est pas tres 'épanouissant' et c'est peu dire...)


    Pensez-y ! Les hommes et les femmes sont fait pas VIVRE ENSEMBLE et de plus en plus de gens vivent seuls, dépendants de l'état, dans la peur de l'engagement et 'brisés'. (En tout cas, au Qc, c'est presque 50% de gens célibataires...)

    A qui profite ce systême de fou et cette judiciarisation/victimisation a outrance ?

    Et DE PLUS EN PLUS DE PROFESSIONNELS N'EN PEUVENT PLUS DE VIVRE TOUTE CETTE m****. Tout ceci est malsain pour tout le monde...



    Pour ma part, les années passent, et le pardon et la paix s'installent dans ma vie et j'entrevois meme un 'réveil' parmi nos élites occidentales

    Un texte a lire et a méditer:

    LA BEAUTÉ DU PARDON:
    http://www.canoe.com/infos/chroniques/juliusgrey/archives/2008/05/20080512-090800.html



    Courage Hermil ! Tout ce que tu as fait/écrit est/sera utile, mais tu dois aussi penser a TOI -maintenant- ! (COMME UN VAILLANT SOLDAT FACE A 'L'ENNEMI', un pere doit RESTER DEBOUT ET FORT ----» pour ses ENFANTS ! C'est de cette façon de tu vas pouvoir crier 'VICTOIRE', UN JOUR !)



    Quand ce genre de situation dégénère trop (et ou les enfants sortent perdants a coups surs!), je pense que nous devons faire -pour l'instant- ce qu'écrit le premier intervenant:

    "Il ferait mieux de reprendre une existence normale et de se reconstruire.
    Le moment venu - dans 5 ou 10 ans ? - il pourra, en gardant copies de toutes les cartes d'anniversaires et de Noël, lettres, quittances de paquets expédiés, etc., montrer à ses enfants ce qu'il en était réellement.
    La mère se trouvera alors sur le banc des accusés d'un tribunal où les juges n'accordent pas de circonstances atténuantes: celui des enfants.
    En attendant ce jour, il ne faut perdre ni sa raison ni son âme.
    Dur-dur la vie..."

  • ... merci de me citer.
    J'ai écrit cela "expérience faite", peut-être faut-il le préciser.
    Courage !

  • Blondesen, j'apprends quelque chose: "expérience faite". Déjà au club?

    J'ai pu avoir des infos précises sur l'affaire d'Hermil. Un scandale judiciaire. Son blog en dit déjà beaucoup, avec des preuves. Ayant passé par le rouleau compresseur judiciaire pour une fausse accusation, je vois très bien la pertinence des arguments de Hermil.

    IDEE:

    Serait-il envisageable de faire une pétition internationale pour Hermil? Adressée au 1er ministre du Québec, ou au ministre de la justice, à voir, ce sont juste des idées.

    Objectif: faire un appui international pour demander une révision de son affaire et la suspension de toute sanction dans l'attente. Il y a trop de documents accablants pour la justice.

    D'une part nous aiderions Hermil, victime de la justice sur des bases fausses, à trouver une solution qui lui permette de reprendre une vie normale, de retrouver ses enfants qu'il adore.

    D'autre part ce serait une première et un test de solidarité pour un homme.

    Même 100 soutiens, même 50, ce serait déjà bien.

    Je pourrais, avec le concours d'Hermil, faire une synthèse de son affaire et des preuves. Il faudrait ensuite un système de pétition internet, là je ne m'y connais pas.

    Qu'en pensez-vous?

  • J'en pense que votre ami doit d'abord penser à se reconstruire et à reprendre des forces (physiques et morales).
    Il doit ensuite agir sainement, c'est à dire sans une vision obscurcie par sa situation personnelle et les émotions qui fatalement la plombent.
    Je pense enfin que la presse (ou tous les moyens de communication à disposition) doivent au préalable être utilisés pour faire cesser des injustices criantes:
    les politiques sont alors obligés de suivre et les pouvoirs judiciaires aussi.
    Expérience faite - encore une fois - je sais que des faits précis et bien établis, présentés sans passion et dans le respect du droit (et sans avocat...) ont plus d'effet que la passion, la révolte et les larmes.

  • Un homme et une femme sont devant le tribunal dans le cadre d'une affaire de divorce. Le problème est de savoir qui va obtenir la garde de l'enfant. L'épouse se défend la première : "Votre honneur, j'ai mis au monde cet enfant avec douleur et travail....il est normal que j'en aie la garde."
    Le juge se tourne vers son mari et dit : "Qu'avez-vous à dire pour votre défense ?"

    L'homme contemple autour de lui un moment...puis se lève lentement...
    "Votre honneur, si je mets un franc dans un distributeur automatique et qu'un Coca-Cola en sort....A qui le Coca-Cola appartient ? A la machine ou à moi ?"

  • Une pétition existe déjà pour demander une commission d'enquête sur l'administration de la justice au Québec

    http://www.petitiononline.com/limreh3/petition.html

    Elle compte actuellement 492 signatures. Il ne manque plus que celles des lecteurs de ce blog pour augmenter la pression.

    Merci pour la solidarité

  • Chers intéressé(e)s,

    "Lorsque le tribunal viole le language clair et non-ambiguë de la Constitution, une fraude est commise et nulle n'est tenu de s'y conformer" (Voir: 16 Ma. Jur. 2d 177, 178) State v. Sutton, 63 Minn. 147, 65 NW 262, 30 L.R.A. 630 Am. St. 459.) http://www.constitution.org/cons/const_quotes.txt

    Cette jurisprudence traduite est de provenance américaine et réflète bien la situation qui prévaut au Québec. Cependant, sachant que la Législature québécoise n'a pas certifié -- le 17 Avril, 1982 -- son appui à l'administration de la Charte canadienne dans les affaires de l'état, ce dernier -- sans vouloir soutenir par le biais d'une commission de droit la supervision constitutionelle de ses lois ainsi que leur exécution -- manifeste toujours le désir néfaste d'imposer une idéologie non-conforme à la Règle de Droit dans le but réel et bien arrêté d'assurer la défranchisation illicite de la grossière majorité des pères pourvoyeurs.

    Une commission d'enquête sur l'administration de la justice, au Québec? Qui assurera l'indépendance de cette enquête publique si les membres de cette commission sont assignés par l'état? Donc, une enquête publique, oui, supervisée par une entité indépendante régie par le droit international ... absolument! Bienvenue à la Commission de la Règle de Droit EQUITAS!

    À Suivre ...

    Daniel Couture
    Analyste Juridique
    EQUITAS (District du Canada)
    http://www.eqrolc.ca

Les commentaires sont fermés.