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Valérie Garbani malade: vraie souffrance, fausse accusation

C’est bien ce que nous étions nombreux à penser. J’y reviens parce que ce cas est représentatif de plusieurs dérives, et que la presse d’il y a une semaine a apporté des éclaircissements indispensables. Prenons donc le temps de la réflexion, après l’emballement émotionnel.

Un bon point pour elle

Suite à son deuxième esclandre, Madame Garbani avait à nouveau mis en avant des supposés coups reçu de son compagnon. Le lendemain, elle a corrigé ses déclarations: il ne se serait agi que d’une gifle. Donc les supposés coups étaient faux. On imagine mal par ailleurs comment un gifle peut la conduire à crier par la fenêtre en petite tenue. Par la suite encore, elle a déclaré que ce compagnon n’était pas vraiment violent. A rapprocher de sa déclaration d'il y a deux mois où elle reconnaissait être co-responsable de cette supposée violence. Dont acte, un bon point pour elle.

Ce compagnon est d’ailleurs décrit par ses collègues comme quelqu’un de non-violent. Exit la supposée violence conjugale? De ce point de vue en tous cas, l’affaire se dégonfle. N’en déplaise à Madame Roth Bernasconi, Conseillère nationale, si prompte au tout début à enfourcher le balai usé de la violence domestique (à défaut d’un bon cheval). Un peu plus de réflexion la prochaine fois lui éviterait de défendre des causes improbables et de passer pour une Don Quichotte décalée du réel. Idéologie, quand tu nous tient...


Qu’en est-il de cette supposée violence?

S’il y a eu gifle, peut-on parler de violence domestique? Pour ma part je n’admets aucun coup entre conjoints, même pas une gifle. Mais il y a des gifles qui recadrent quand une personne perd les pédales. S’agissait-il de cela? Possible au vu du deuxième esclandre de Madame Garbani: insultes et gobelets de bière jetés sur un musicien qui a eu le malheur de lui déplaire.

Ou alors, dans sa crise violente, elle l’a poussé à bout de nerfs. Ou bien elle-même l’a peut-être frappé en premier. Car on sait que V.G. est violente. Son comportement l’a montré à plusieurs reprises.

C’est une femme violente.

Et l’on se trouve ici peut-être devant le cas bien plus fréquent que les statistiques ne le disent: la co-responsabilité de la violence. Comme deux mecs peuvent en venir aux mains dans la rue si l’un ne cède pas, cela arrive aussi dans le couple. Et bien sûr on n’imagine pas qu’un homme puisse être maltraité et frappé. En plus il a l’air de quoi s’il le dénonce? On penche automatiquement pour la femme “victime”. C’est ce qui semble s’être produit dans cette affaire. C’est si facile d’accuser un homme. L’emballement fait le reste.

Pour ma part j’avais vu très vite les incohérences de V.G. Je suis en quelque sorte devenu expert à mon corps défendant. Mais il a fallu 2 mois pour que l’on comprenne que c’est elle qui pose problème. La rengaine féministe: “homme bourreau - femme victime” a si bien intoxiqué la pensée collective que l’inverse, ou même la co-responsabilité, est inimaginable. Et pourtant cela existe.


La maladie: une vraie souffrance

Dans Le Temps du 20 juin, sous la plume excellente de M. Serge Jubin, de nouvelles révélations sont faites. Valérie Garbani admet publiquement qu’elle est malade, et pas à cause de l’alcool. Il s’agit d’un “trouble psychique précis qui n’est pas lié à une dépendance de l’alcool”. Le journaliste commente même cette phrase de V.G., “Je ne suis pas un desperado”, en écrivant: “Sous-entendu: je ne fais pas exprès de dépasser les limites”.

La phrase est importante. V.G. a-t-elle dit hors-micro la nature de son mal? Car l’expression employée par M. Jubin laisse entendre qu’elle serait “borderline”, soit “personnalité limite”. C’est une hypothèse plausible. En effet une personnalité borderline, quand elle est compensée, peut avoir une vie active normale. C’est en crise qu’elle perd les pédales. Et les facteurs de crises sont multiples.

J’ai connu de près une telle personnalité, j’ai vu les dégâts qu’elle peut produire. Selon les sources, 1 à 3% de la population serait borderline. Pendant longtemps on peut ne rien voir, ne rien pressentir. Ces personnes peuvent se montrer très intégrées. Elles sont souvent très intelligentes, attachantes, avec une force émotionnelle qui touche.

Mais quand la crise est déclenchée, elles souffrent réellement, et n’ont parfois plus conscience de ce qu’elles font. Elles abusent alors plus facilement d’alcool ou autre, peuvent être violentes psychiquement ou physiquement. Elles peuvent réinventer la vérité selon leur perception du moment, sans relation avec les faits car la perception est alors altérée. On dit en psychiatrie qu’elles ne mentent pas délibérément, mais simplement que ce qu’elles racontent ne tient pas à l’épreuve de la réalité. Et qu’en phase de crise, leurs propos et affirmations doivent être très sérieusement relativisés.

Donc, si Madame Garbani est réellement borderline, ses propos depuis le début doivent être passés au crible d’une vérification totale et intransigeante.

Ses affirmations sur la soi-disante violence conjugale subie n’ont en tous les cas pas servi les vraies victimes. Enfin, au moins réfléchira-t-on à deux fois dorénavant, quand une telle affaire se produit.

Car, à cause peut-être de sa maladie, un homme - son compagnon - a été jeté en pâture à la rumeur, sali, suspecté par la justice, condamné d’avance par les féministes marxistes de service. L’emballement classique dans ce genre d’affaire a encore une fois fonctionné: on croit a priori celle qui s’annonce victime, sans rien vérifier.

Il a fallu deux mois pour qu’enfin il soit réhabilité.

D’autres ont dû attendre jusqu’à 7 ans et passer en Cour d’Assises puis être totalement acquittés sans appel pour être enfin blanchis - sans compter la rumeur et la réputation salie pour longtemps...

Et d’autres qui ont eu moins de chance moisissent encore en prison.

Ces affaires, ces préjugés contre les hommes, ces femmes malades (ou non malades) qui accusent faussement, la contamination de la justice par l’idéologie marxiste-féministe, les conséquences pour les hommes, tout cela est d’une extrême gravité. J’aimerais que l’on se réveille enfin sur ces questions. J’aimerais que l’on cesse de regarder béatement ailleurs quand un homme subit cette violence, et que cela soit dénoncé avec la même force que l’on utilise pour dénoncer la violence quand ce sont les femmes qui la subissent.

Si l’égalité a du sens, bien sûr...


http://www.hommecible.com
Catégories : société 14 commentaires

Commentaires

  • Zutalors ?
    J'avais apporté ma chaise pliante, mon parasol, mon thermos de café, mon cendrier modèle "Moutinot" et mes inévitables cigarettes pour assister au massacre et... y a personne ?
    :o)

  • Ils sont en train de boire un verre de rosé sur une terrasse...

  • Votre analyse est excellente. J'espère qu'elle permettra à beaucoup d'hommes d'être réhabilités.

  • Merci, je l'espère aussi. J'y travaille à ma manière.

  • Je comprends votre désire de remettre les pendules à l'heure en ce qui concerne la violence des femmes à l'égard des hommes dans le couple, mais il me semble, qu'en l'occurrence, vous avez tendance à faire feu de tous bois, comme Mme Bernasconi, à qui vous reprochez d'avoir entonné un peu trop vite le refrain de la victime féminine de violences conjugales dans l' "affaire Garbani". Le problème, c'est que vous vous basez sur les articles de journalistes qui, probablement, n'en savent guère beaucoup plus que vous sur la situation réelle de Mme Garbani. Et pour cause, toute personne publique qu'elle est, elle a quand même droit à une certaine vie privée et donc n'a aucune obligation de raconter aux journalistes par le menu les détails de ses problèmes personnels. Du coup, ils n'ont rien de mieux à proposer que des conjectures qu'ils ont tendance à transformer en faits avérés simplement parce qu'il ne détectent pas toujours un démenti formel dans son discours. Or, vous faites presque la même chose. Vous posez des questions inspirées par des informations extrêmement vagues sur cette affaire, puis, vous vous empressez de donner des réponses que vous motivez par des impressions plus ou moins fondées.

    Le fait est que:
    1) Nous ne savons pas pour sûr qui est le compagnon de Mme Garbani ni quel est son caractère ou son comportement au sein du couple. Vous fignolez sur le terme de gifle, mais en réalité, vous n'avez aucune idée des relations que ces deux personnes entretiennent depuis des mois, voir des années. Vous prenez ainsi un peu vite la défense du monsieur en affirmant que Mme Garbani est violente. Soi-disant, son comportement l'aurait déjà prouvé. Eh, bien donnez des exemples probants. C'est certes une femme au fort tempérament qui ne s'en laisse apparemment pas compter, mais de là à en faire une personne violente, il y a un pas que je ne franchirais pas sans avoir de solides preuves à l'appui. Et pour moi, des ragots de journalistes et/ou de politiciens, voir même de proches plus ou moins bien intentionnés (mais anonymes), ne constituent pas des preuves solides. Tout le reste n'est qu'hypothèses invérifiables pour nous autres qui ne connaissons pas personnellement Mme Garbani et ne faisons pas partie de son cercle familial rapproché.

    2) Nous ne savons pas plus de quoi, exactement, souffre Mme Garbani. Vous posez un diagnostique hypothétique en vous basant sur une vague impression que vous a inspirée une déclaration de sa part, elle-même, on ne peut plus imprécise. Mais, les problèmes psychologiques de nos jours peuvent couvrir une palette extrêmement large de situations, plus ou moins pathologiques. Du coup, votre longue explication sur les personnes borderline est certe très intéressante, mais sa pertinence pour le cas Garbani n'est absolument pas prouvée.

    3) Finalement, et c'est ma touche féministe finale, lorsqu'il s'agit d'un homme politique, il ne viendrait à l'idée de personne de se lancer dans de pareils conjectures en tous genres sur l'équilibre psychique, physique, moral, éthique de celui-ci en cas de dérapage. Par exemple M. Lombardi, Conseiller national PDC tessinois. Lorsque l'on a appris qu qu'il avait tendance à prendre le volant alors qu'il n'était pas en état ou lorsqu'il était encore en période de retrait de permis, personne ne s'est lancé dans des investigations de nature aussi personnelles pour tenter de découvrir d'éventuels problèmes psychologiques ou émotionnels qui pourraient expliquer un comportement aussi casse-cou. On s'est simplement contenté de fustiger un chauffard qui essaie d'échapper à ses responsabilités. On ne s'est pas plus posé la question de la santé mentale de M. Bagnoud qui s'est quand même laissé filmer nu comme un vers en train de sniffer de la poudre, prenant ainsi le risque de voir cette vidéo exposée à la planète entière sur YouTube! Et personne n'a demandé la publication de la fiche psychologique d'un certain M. Blocher, qui nous a fait une véritable crise de bile lors de son éviction du CF en décembre dernier et qui continue à faire sa victime en se présentant partout non pas comme ex-conseiller fédéral, mais comme conseiller fédéral non-réélu (quel joli titre!)! Peut-être pourrait-on s'interroger sur ses éventuels problèmes "borderline"?

    Vous pouvez le constater, ce n'est pas demain que le féminisme pourra prendre sa retraite!

  • Chère Greypower,

    Je vous remercie pour votre commentaire. Vous savez que j'apprécie votre esprit pointu, vos argumentaires, votre sens de cohérence et de logique, et votre respect de votre interlocuteur. J'apprécie aussi que vous ne me traitiez pas de "machiste puant". Vous avez perçu, j'espère, mon affection et mon estime pour les femmes dans leur ensemble, et aussi les blessures que j'ai vécues (v oir en particulier mon site hommecible.com).

    Je suis un profond romantique, de ceux qui essaient d'aller au fond des choses et d'y mettre leurs tripes. Je suis aussi polémiste à mes heures. Et vous avez bien compris que je tente de remettre un peu les pendules à l'heure concernant certains aspects des relations hommes-femmes. L'humain me passionne, sans quoi je n'aurais pas de raison de vivre.

    Vos commentaires montrent en général la valeur que vous donnez aux personnes auxquelles vous vous adressez. J'apprécie réellement de dialoguer ainsi avec vous par la toile (de maître, au minimum).

    Des hommes et des femmes blessés, dans leur corps, dans leur coeur ou dans leur âme, il y en a tant. La blessure d'un humain n'est jamais une victoire.

    Votre commentaire me touche et me collisionne ce soir dans un moment où une autre blessure remonte, pas celle citée sur mon site. Je n'en dirai pas plus par une pudeur que l'on ne me connaît peut-être pas encore sur ce blog.

    Mais, foin de mes états d'âme.

    Je reprends les points de votre commentaire.

    Concernant Madame Bernasconi, elle n'a pas démenti ses propos. J'apprécie ce qu'elle fait contre l'excision, thème qui me touche, mais pour le reste ses positions sont très discutables. En particulier sur l'autorité parentale conjointe. Très discutables.

    Sur Madame Garbani, elle a répondu à différents journalistes sans démentir après coup. Les propos qui lui sont attribués sont donc fiables, tels que je les relate. Sa violence envers les policiers, envers son ex-ami, envers des musiciens, ne sont en rien contestés. Je fais une hypothèse sur la défin ition de sa maladie, je vous l'accorde. D'autres espaces psychiques peuvent être concernés. Et ma propre expérience me conditionne peut-être. J'assume. Et intuitivement, je pense avoir vu juste avec elle depuis le début. Je sens. Je détecte l'incohérence. Même si je ne peux pas la prouver directement. En effet je ne connais pas intimement leur relation. Mais je sais lire les signes, et ses propos et contradictions me parlent en clair. Si je me trompe, je le reconnaîtrai ouvertement, car j'aime l'honnêteté intellectuelle autant que vous.

    Sur son compagnon, même si son nom n'est pas cité, il est aisément repérable. Or rien dans les propos de témoins le connaissant ne l'incrimine. Et Madame Garbani elle-même a changé radicalement de propos à son sujet. Où est la vérité? Ce que dit la presse n'a pas été contesté.

    Sur le fait que l'on cherche des poux à Madame Garbani et que l'on n'en cherche pas aux hommes, vous avez plutôt raison. Que Monsieur Bagnoud se soit laissé filmé comme il l'a fait est assez hallucinant… Pour Mopnsieur Blocher, il a eu la rage, mais je pense qu'il est sain d'esprit. Même si je ne partage ni ses idées ni son style.

    Je ne peux pas plus accepter ce chauffeard qui essaie d'échapper à ses responsabilités.

    Sans responsabilité pas de droit, pas de relations humaines, pas de civilisation. Et c 'est bien ce qui me manque dans l'affaire Garbani: qu'elle assume ses responsabilités sans se défausser sur l'homme – cible classique et facile.

  • Je suis contente que vous n'ayez pas mal pris mon commentaire. Je suis d'accord avec vous sur le fond. Les féministes, à mon sens, devraient se battre pour une réelle égalité entre hommes et femmes, et donc aussi prendre en compte les souffrances qu'endurent les premiers, lorsqu'ils se trouvent confrontés à des problèmes modernes pour lesquels ils n'ont pas non plus été préparés.

    Maintenant, je dois avouer que toutes les spéculations que j'ai lues ou entendues sur la situation personnelle de Mme Garbani et sur la relation qu'elle entretient avec son ami (honnêtement, personnellement, je n'ai vraiment aucune idée de qui il s'agit...je n'ai peut-être pas suivi suffisamment en détails toute l'affaire)m'ont sérieusement échauffé les oreilles. J'ai tout particulièrement mal pris les pseudo-conseils des journalistes du Temps à son égard et leurs appels à démissionner. Je ne sais plus qui a écrit cela, mais si on devait demander la démission de chaque homme politique qui rencontre de sérieux problèmes dans sa vie ou pète les plombs une fois ou l'autre, je crois qu'il y aurait comme une hécatombe! Après tout, si les électeurs du Tessin ont accepté d'accorder leur confiance pour la énième fois à un chauffard fragile du cœur, les Neuchâtelois accepteront bien de se coltiner jusqu'au bout une forte tête-émotions fortes, qui, bon, de temps en temps, réveillent ses voisins à 8h00 du matin le samedi d'une façon un peu excentrique...

    Je ne suis pas d'accord avec ses idées, mais honnêtement, Mme Garbani, elle me plaît de plus en plus! En tant que personnalité, cela dit. Je ne suis d'ailleurs pas sûre qu'elle ait voulu rejeter l'entière responsabilité sur son compagnon. Ces situations de conflits, où la violence physique fait irruption dans le couple, sont généralement extrêmement complexes et on ne peut pas se contenter de jugements à l'emporte-pièce, comme l'ont fait certains médias et politiciens dans cette histoire. C'est en partie cela qui m'a tellement agacée dans cette histoire.

  • Pas de soucis, j'apprécie vos commentaires.

    Je comprends que vos oreilles aient chauffé avec tout ce qui s'est dit. C'est une situation out tout le monde parle de gens qu'il ne connaît pas personnellement, et c'est assez casse-gueule. Pour ma part j'avais senti dès le début le bug à propos de la violence domestique, et j'ai été assez désappointé de voir comment au début tout le mo0nde reprenait cette thèse sans aucune vérification.

    Pour ce qui est des politiques, bien d'accord avec vous, n'attendons pas qu'ils soient parfaits. Le puritanisme hypocrite à l'américaine, non merci. Et comme ces gens sont très exposés, les ragots s'amplifient. Et puis qui fait mieux dans sa propre vie, pour vouloir donner des leçons de vie aux politiciens?

  • Garbani est une femme malheureuse. Respectons tout d'abord sa souffrance comme celle de n'importe quel semblable en dérive. Ce qui dérange dans cette affaire est la publicisation de son malaise personnel. (Elle s'est même fâchée contre ce phénomène.)

    Quand on voit le nombre de connards dans des postes de pouvoir qui ne sont pas moins malades - de la tête et du cul - mais moins sympathiques et compétents qu'elle, ça laisse à réfléchir sur cet acharnement injustifié.

    Bravo pour votre billet qui reconnaît que Garbani est seule dans ce combat contre elle-même (malgré le fait d'être connue)!

  • Du sang italien, je vous l'avais dit !
    Venez vous rafraîchir sous mon parasol, Micheline !
    ;o)
    (on enverra un gros bisou ensemble à Valérie)

  • @ Micheline:

    Oui il faut reconnaître sa souffrance, je peux d'autant mieux le dire que je ne l'ai pas ménagée dans un précédent billet. Et oui, il y a des ... en poste dont on ne parle pas. Mais je n'oublie pas qu'elle a incriminé peut-être sans raison son compagnon. Mais sa souffrance doit être reconnue plutôt que de la traîner dans la boue.

    @ Blondesen:

    Là c'est vilain de venir faire du plat à Micheline qui établit enfin un peu d'intimité avec moi... jalous va!...

  • Jalous guy... voulais-je dire ( je rattrappe ma faute dortaugrafe)

  • Ah, je savais bien qu'Hommelibre est un coeur tendre (ou à prendre)... hi, hi, ça rime! Si V.G. vous faisait du pied, je suis presque sure que vous craqueriez même si vous ne l'avez pas ménagée... Qui châtie aime bien, n'est-ce pas???

  • Micheline vous êtes exquise... Mais quand même, V.G., j'ai déjà donné dans le genre... disons... malade... Alors ma tendresse ne va plus jusque là. J'aime la fantaisie romantique, mais j'aime aussi un peu de cadrage...

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