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Pédophilie et abus sexuels: la justice privilégie les femmes

La Tribune propos ce matin sous la plume de Fedele Mendicino un long article sur un abus sexuel dont a été victime un garçon de 14 ans. La femme, mère d’un de ses amis, est âgée d’une quarantaine d’années.

FemmesPédophiles.jpgNous sommes devant un cas d'abus sur mineur, voire de pédophilie. Habituellement, un pédophile est immédiatement arrêté, mis en préventive parfois jusqu’à son procès, et est jugé soit en Cour correctionnelle, soit en Cour d’assises.

Ici, il n’y a pas eu d’arrestation, pas un jour de préventive, et c’est le Tribunal de police qui va prochainement juger l’affaire. Comme si ce cas était au final peu important, ou comme si la pédophilie était traitée différemment selon qui est l’auteur des actes.

L’avocat de la victime s’offusque: «C’est incroyable, quand un pédophile est arrêté, il fait des semaines, voire des mois de détention préventive, peste Me Daniel A. Meyer. Mais quand il s’agit d’une femme impliquée dans une telle affaire, elle est bien mieux traitée par la justice.»

C’est un fait: pour les mêmes actes, les femmes sont généralement traitées avec plus de mansuétude que les hommes. On se souvient que dans l’affaire d’Outreau par exemple, la mère pédophile et incestueuse avait été condamnée moins lourdement que son mari, pour les mêmes actes.

On sait aussi que lors de fausse accusation soutenue par une femme contre un homme, c’est mission quasi impossible de faire aboutir une plainte contre la dénonciatrice lorsque l’homme a été acquitté ou mis au bénéfice d’un non-lieu. La justice  trouve toutes les excuses possibles à la délinquante et classe le plus souvent. Cette justice est ouvertement contre les hommes.

Monsieur Zappelli peut-il expliquer cette différence de traitement? Ce biais manifeste dans l’appréciation des crimes, selon que l’on est homme ou femme? Pourquoi y a-t-il deux échelles différentes de sévérité?

Je lis dans certains commentaires qu’à 14 ans ce garçon savait ce qu’il faisait. On dit la même chose pour les filles abusées: elles auraient été consentantes, provocatrices même. Rien à voir ici: il est mineur, a pu être manipulé par l’adulte, comme aurait pu l’être une adolescente.

Je pense intéressant de conseiller la lecture du livre de Anne Poiret: “L’ultime tabou: femmes pédophiles, femmes incestueuses”. La pédophilie féminine est plus discrète dans ses manifestations, mais bel et bien existante. Erin Pizzey, qui a créé le premier centre pour femmes battues en Angleterre, disait à l’époque: “Je travaillais à Santa Fe au Nouveau-Mexique, sur des cas de mauvais traitements envers des enfants et contre des pédophiles. Voilà où jai découvert quil y avait autant de femmes pédophiles quil y a dhommes. Les femmes restent indétectées, comme dhabitude.”

La justice qui pratique deux poids deux mesure n’est pas la justice. Elle est l’expression du choix des magistrats de protéger un genre et pas l’autre.

Catégories : société 96 commentaires

Commentaires

  • Je suis ENTIEREMENT d'accord avec vous!

  • la violence et la perversion contre les mineurs n'ont pas de sexe ..l'une comme l'autre doivent être punies de la même manière .

  • Une preuve supplémentaire du fait que le bandeau sur les yeux de la Justice n'est pas tout à fait opaque.

  • En fait...

    "La justice qui pratique deux poids deux mesure n’est pas la justice. Elle est l’expression du choix des magistrats de protéger un genre et pas l’autre."

    Pas d'accord avec cette phrase :)

  • vous dites John que il y a des femmes dont on ne sait pas qu'elles sont pédophiles,

    mais je doute qu'elles en soient autant que des hommes , puisque même chez les hommes il y en a qui commettent ses crimes là et dont on sait pas non plus , car là on entre dans un domaine des appréciations et des estimations , ce que vous dites peut être vrai comme pas , du moment que vous en avez pas les preuves..ni une méthode de constat .

    et je me demande, et là il faudrait un professionnel de ces pathologies là pour le dire, le sexe de l'abuseur a quelque chose à voir quand il s'agit d'un abus sexuel sur mineur ?

    car la femme et l'homme abuseurs sexuel de mineur commettent le même crime car c'est la victime le point de mesure , peu importe qui l'ait abusé , puisque une enfant abusé par un adulte est abusé et c'est tout, le dégât est là que se soit une femme ou un homme à le faire...et ceci psychologiquement parlant ...

    après il y a aussi le point ou vous dites John que les hommes ont plus de répression judiciaire que les femmes si soupçonnés de viol o d'abus sexuels ,

    je crois que c'est vrai mais, ce qui me laisse pas convaincue c'est que vous dissiez que la raison à cela soit le fait que les femmes soient privilégiées dans ce domaine par la justice ,
    mais je crois plus en le fait et plutôt que les crimes commis sur les mineurs par des hommes sont particulièrement féroces et graves physiquement que ceux commis par les femmes ..en dehors du dégât psychologique que je disais plus haut et que j'ai pas mélangé express..

    je crois que l'argument est plus du domaine du crime et de la violence que celui des femmes mieux traités que les hommes en cas de crime sexuel sur mineur , là il faut pas tout mélanger ...

    il y a le viol sexuel sur mineur et l'abus sexuel sur mineur, je crois que la palette de différences et des gravités là dedans est grande et que cela ne peut pas se réduire à un dire que "les femmes quand elles abusent elles sont moins réprimées que les hommes si arrêtés comme tels et poursuivies par la justice ."

    si la théorie de la violence d'une femme adulte contre un homme adulte et vice versa est en un domaine de parité, sur sa gravité ou est licite demander la même peine ..

    elle ne colle pas quand il s'agit des enfants et des pédophiles

    puisque je trouve que ce n'est pas pareil, car le pédophile n'a pas un statut d'adulte simplement mais surtout d'adulte contre mineur sans défense et de criminel psychopathe

    chose que la femmes battue et l'homme battu ne sont pas..

    enfin c'est mon avis..

  • J'imagine bien que de se faire dépuceler à 14 ans par une dame d'âge mur, surtout lorsque l'on n'est pas consentant à priori, peut laisser des traces. J'avais un copain de fac, Vicomte, dont le père selon selon une vieille tradition de l'aristocratie française, l'avait emmené au B... à Nice, pour ses 14 ans justement. Ce qui l'avait passablement traumatisé. J'ai aussi une amie qui a été abusée par une femme dans son enfance et cela reste un souvenir dont elle préfèrerait se passer, 50 ans après.
    Cela étant, il me semble que l'acte sexuel commis par un homme sur un enfant, fille ou garçon, de par sa nature même, doit être plus traumatisant qu'un acte sexuel commis par une femme. Tout au moins tant qu'elle n'emploie pas d'objets divers...
    Par ailleurs, sans épiloguer sur des sexualités masculine et féminine me semble-t-il différentes, le fait est que si certains violeurs osent prétendre avoir suscité du désir, il parait difficile à une violeuse d'arriver à ses fins, s'il y a bien eu acte sexuel, sans que le jeune homme y ait été partie prenante, fut-ce sous l'empire des sens.
    Ce qui n'enlève rien à la notion de viol, et à la perversion de son auteur, mais cela me parait légitimer une gradation dans l'esprit des juges. Tout simplement parce que dans un cas il y a introduction violente, de force, et dans l'autre, au pire engloutissement non désiré, mais certainement pas imposé par la force brute.

  • je me suis trompée , à écrire

    je voulais dire que les "femmes qui battent l'homme " et "les hommes qui battent la femme" ne sont pas .

    pardon..

  • Une des raisons de cette différence de traitement est que dans l'imaginaire des juges (des deux sexes) le garçon aura probablement pris du plaisir, alors que la fille aura souffert. Cette idée, qui reste présente de manière sous-jacente même dans les cas où la fille est tout à fait consentante (et parfois initiatrice de la relation) a peut-être, malgré son inanité logique, une utilité du point de vue sociologique, mais ne saurait excuser certaines injustices flagrantes. Elle ne se justifie pas plus que l'attitude contraire qui fait de toute femme violée ou violentée une provocatrice qui n'a que ce qu'elle mérite.

  • Et ces parents qui exposent ces faits sur la place publique, cet avocat qui prend contact avec la presse pour faire mousser journalistes et commentateurs, comment les qualifier ? Où est la protection de la vie privée du mineur par la justice qui n'a pas encore fait son travail?

    "Nous sommes devant un cas de" : nous n'en savons rien du tout, tout ce que le public sait est ce qu'un avocat et son client ont bien voulu raconter à la presse. Le journaliste n'a pas le moyens de vérifier les dires de ces personne. Les récentes affaires de moeurs devraient inciter tous les commentateurs à plus de prudence. http://www.lepost.fr/article/2009/03/27/1473028_alfie-n-est-pas-le-pere-la-presse-anglaise-obligee-de-la-fermer-sur-un-des-sujets-de-l-annee.html

    Après quoi courent ces parents en diffusant cette information avec tous ces détails invérifiables et en allant se "confier" via avocat interposé à la presse, avide de faits divers ? Demain les photos de l'ado, de sa famille, de son cadre de vie, de la femme mise en cause dans la presse de boulevard ? Tout ceci avant que la justice se soit prononcée ?

    Attendons peut-être ses conclusions avant de prendre position et de s'offusquer de faits invérifiables et dénoncés avec publicité par une seule des parties concernée. Les journalistes n'ont-ils plus de déontologie et sont-ils prêts à tout pour faire vendre du papier et des publicités sur leur site web?

    Laisser un(e) ado de 14 ans jouer sur le web ou avec ses SMS sans aucun contrôle ni vérification peut être dangereux, avis aux parents!

  • Bonjour à toutes et à tous,

    Bonjour Hommelibre,

    en effet, la différence de traitement peut surprendre... cependant, en écoutant quelques amis avocats, et c'est fou ce que j'en ai dans mon entourage, la notion de viol est liée au fait que l'homme dépose sa "semence" dans la femme et que les conséquences d'un tel agissement peut être lourd de sens.

    C'est donc sur la gravité, non pas de l'acte sexuel en soi, mais sur les éventuelles conséquences que le juge / la juge peuvent estimer un préjudice plus important sur une femme, que sur l'homme.

    Anyway, je rejoins Philippe dans son analyse, sans juger l'affaire en question, c'est tout de même un peu difficile, hors objets, de violer un homme qui n'en aurait pas envie.

    Là dans le cas présent, nous somems clairement dans l'abus de position. Etant donné qu'il est relativement difficile de résister à une femme expérimentée et attirante.

    Mais pour le fond de votre billet, autant cette notion du "viol" peut être difficilement compréhensible, autant en y réfléchissant un peu, on peut concevoir que le rapport à l'acte est moins lourd de conséquence pour un homme.

    Bien à vous,

    Stéphane

  • ... La Justice? Mais quelle justice?
    Faites-vous à l'idée qu'elle n'existe pas! Que c'est un leurre! Un leurre qui fait le beurre de certains: avocats et autres gens de robe. Leurre mis en place par le pouvoir, pieuvre molle et insaisisable, afin de maintenir le citoyen lambda à sa vraie place, celle où il est permis de leur dire: "Cause toujours... mais obéit!"
    La "justice" actuelle ne contient que les règles d'un Monopoly géant: le jeu de notre démocratie (sic)!... Et la principale des règles de ce jeu faussé qui laisse tout une partie du monde dans le fossé, c'est que celles-ci ne sont pas les mêmes pour tous.
    Si vous n'êtes pas d'accord, devenez gens de pouvoir ou, sinon, causez tant que vous voulez, mais restez dans le fossé!

  • Bonsoir Hommelibre, bonsoir à tout le monde

    Ce jeune a vécu une expérience, et en lisant les posts de la TG, il y en a d'autres qui l'ont vécu (à les lires l'expérience était positive) ou auraient aimé la vivre. Mais qui lui l'a traumatisé. Il est possible qu'il soit immature et que cette expérience l'aie chamboulé, mais s'il n'en avait rien dit à ses parents, ne l'aurait-il pas (avec le temps) mieux digérée ? Parce que je trouve qu'il est plus difficile de surmonter un procès médiatisé que de surmonter ce genre d'expérience. Cela me laisse perplexe, mais je ne connais pas tous les tenants et aboutissants de cette affaire.

  • Pour les féministes intégristes, non seulement la pédophilie féminine ne représente pas un vice mais bel et bien une vertu. À telle enseigne qu'elles en font l'apologie dans une pièce de théâtre présentée sous le couvert de l'œuvre d'art intitulée "Les monologues du Vagin", une tentative à peine déguisée de promouvoir le lesbianisme et la pédophilie.

    Habituellement, cette pièce se promène sur les campus universitaires et est souvent diffusée dans le cadre de la St-Valentin "V-Day" en Amérique du nord du moins. Je présume que cette pièce a franchi l'Atlantique.

    Avez-vous connaissance du passage de cette pièce des plus controversées dans un théâtre près de chez-vous?

  • L'argument de pénétration (dans le cas d'une homme avec un jeune fille) ou de non pénétration (dans le cas inverse) ne tient pas débout face à la différence de peines infligées aux hommes et aux femmes (ou à cette femme). Pour la simple raison que mêmes les attouchements par un homme sont plus sévèrement punis que le rapport sexuel accompli entre une femme et un garçon. Donc il y a injustice, parce que la loi ne prévoit pas de différence "de gravité" en fonction du sexe de la personne plus âgée.

    A l'age de 14 ans, j'étais épris d'une voisine et je tentais même de la "séduire" de façon assez explicite. A mon grand regret, elle se refusait à moi. Si elle avait accepté, je ne vois pas comment ça aurait pu me traumatiser, tout au contraire! Et jamais je n'aurais eu le sentiment que cette femme abuse de moi. C'est moi qui le voulait, avec toutes mes forces, toute ma sexualité débordante et dont je ne savais pas quoi faire ....

    Au lieu de condamner cette femme avec la même sévérité qu'un homme, il faudrait peut-être songer à alléger les peines pour les hommes en fonction de la situation. Malheureusement, notre société a tellement peur de la sexualité que je n'y mets pas trop d'espoir ...

  • Effectivement, il faut connaître le contexte. Cela me semble un brin tiré par les cheveux. Je pense au cas d'une "artiste" de cabaret qui avait suivi de son plein gré, à 4 h du matin, un client qui l'aurait ensuite molestée, selon elle... Dans le cas de ce très jeune homme, il me semble impertinent d'invoquer la pédophilie.

  • Le sujet fait évidemment débat. La justice doit s'appliquer à l'identique pour les hommes et les femmes, les riches et les pauvres, les suisses et les étrangers. La justice est - ou devrait être - un domaine de référence pour tous les humains.

    On peut comprendre qu'un magistrat apprécie une situation dans son contexte, et qu'un tribunal tienne compte d'éléments non factuels, comme les antécédents, les circonstances, etc. La rigidité du principe de la loi doit être rendu flexible par l'application intelligente et situationnelle des faits.

    Sur l'affaire en elle-même, nous ne savons que ce qu'en dit un article de journal. Notre appréciation ne peut donc être qu'incomplète et peut-être même biaisée. S'il est vérifié que des accusatrices piègent des hommes, comme ce fut le cas de l'ambassadeur de Suisse Thomas Borer en son temps, un homme, un adolescent, un enfant peuvent aussi piéger une femme. Cela pour dire qu'au fond nous ne savons rien de plus que les affirmations d'un avocat et d'une mère. Et tout le monde doit aussi savoir que si la femme est condamnée, elle devra verser des dommages et intérêts au jeune homme. Et oui, cela aussi doit être pris en compte!...

    On peut se dire, comme le cliché le laisse entendre dans ces cas de figures, que l'adolescent a été content d'être "initié" par une grande. D'ailleurs, dans l'imaginaire populaire, un homme ne peut être violé: on considère que s'il a une érection c'est qu'il a du désir - et donc qu'il est consentant. Ce cliché a la peau dure. Il mise sur le fait que l'homme est perçu comme capable de dominer toutes les situations. C'est loin d'être le cas.

    On peut aussi reprocher à l'ado d'être allé chez la dame. Pourtant on admet qu'une femme puisse suivre un homme chez lui, flirter, puis dire non au dernier moment. Evidemment on ne connaît pas le contenu détaillé de leurs échanges sur le net.

    On peut s'étonner, comme le fait Tatage, de la médiatisation. Mais c'est assez courant. D'ailleurs les procureurs font d'eux-même parvenir à la presse des résumés d'affaires en instance d'être jugées. Résumés où ne figure d'ailleurs que les arguments de l'accusation.

    On peut aussi, comme luzia, parler de la gravité des actes. La notion de pénétration par exemple est bien étrange, puisqu'elle ne s'appliquerait qu'aux hommes. Les premières lois contre le viol en France contenaient, sauf erreur, cette notion de pénétration. Dans le domaine de la pédophilie féminine, qui commence à être mieux documentée, les délinquantes utilisent les doigts ou des objets. Comment différencier dans un tel cas une pénétration par un pénis de celle de doigts ou d'objets substitués au manque de pénis? Un délit est-il moins grave que l'autre? Luzia, vous dite que les crimes d'hommes sur des mineurs sont plus féroces. Je dirais surtout qu'ils sont plus visibles, plus documentés et plus commentés. L'intromission d'objets à la place du pénis peut faire de très graves lésions. Mais ce n'est pas sur cela que je souhaite commenter.

    On pourrait aussi, comme le suggère benpal, s'interroger sur la psychose qui touche la sexualité dans notre société. On pourrait en effet, plutôt que de charger cette femme, décharger les mêmes actes chez les hommes. Les laisser en liberté lors d'accusation, les envoyer au tribunal de police plutôt qu'aux Assises. Mais, comme le dit benpal, la société a si peur la sexualité qu'elle préfère alimenter sa psychose comme un exutoire.

    Pour moi, il y a certainement à réfléchir sur un tel thème. Le mot pédophilie est-il excessif? Quel était le degré de consentement de l'ado?

    C'est déjà bien que lon puisse en débattre librement sans qu'il y ait d'invectives. Car imaginez, en sens inverse, que ce soit une fille de 14 ans la victime, et que l'un de nous ose dire que peut-être elle avait envie du père de sa copine... les kalachnikov seraient déjà en action.

    On doit aussi, enfin, considérer que jusqu'au procès, cette femme est présumée innocente. Et que si elle est acquittée elle restera innocente.

    En fait, cette affaire illustre assez crûment ce qui se passe pour un homme en situation analogue. Il est présumé coupable alors que c'est peut-être une fausse accusation, on le juge sans savoir, et lui il est emprisonné immédiatement, cassé dans sa vie, et traduit au minimum en correctionnelle.

    C'est cette différence de traitement qui est exemplaire dans cette affaire. Et qui pose question sur la neutralité de la justice. D'après mon expérience c'est bien évidemment un leurre.

  • Excellent résumé, hommelibre !

  • moi je ne le trouve pas excellent du tout, je lui en veux même, car il commence à devenir saoulant , il poste des sujets qui peuvent être intéressants , il laisse les gens s'exprimer et à un moment ou l'autre il ne peut pas s'empêchera de ressortir sa panoplie de reproches contre les juges et la loi et ramène encore encore ses sous-entendus sur les femmes en les tâchant de ceci ou de cela peu importe et pontifie son avis et trac fini la discussion ...ben bravo

    cette technique elle loin d'être inconnue s'est la technique utilisée par les nazi et les stalinistes, ou de la publicité chez nous ,celle de laver le cerveau des gens avec un iperpresence d'images ou de phrases imposées même si cachées ni rien ni moins ,dans son cas ce sont des paquets avec de mots clés , cela consiste en l'exténuante répétition du même sujet avec le précis but de imposer à l'usure un concept que ne se basant pas sur une discussion argumentée serait plus difficile à défendre ...

    je lui en veux parce que on est pas tous de cons...

    et c'est dommage, car l'argument était actuel et intéressant , ça m'apprendra à ne pas suivre mon instinct, mon instinct m'a toujours dit ce type là il n'est pas clair , maintenant j'en suis sure et je ne tomberai plus dans le panneau de dialoguer encore avec lui , je ne veux pas alimenter avec mes réponses ses réelles intentions..cet à dire de véhiculer des propos à lui chers d'une manière intellectuellement malhonnête.

    ce sera sans moi..

  • luzia, vos reproches s'adressent à qui? A hommelibre?

    Qu'y a-t-il de faux dans un raisonnement logique et cohérent? Vous pouvez toujours contrer avec d'autres arguments, si vous en avez. Ce qui ne semble pas être le cas, d'où votre attaque ad hominem, la dénigrement de la personne.

    hommelibre ne fait pas de reproches aux lois, il questionne leur pertinence et l'équité de leur application dans différents cas d'espèce.

  • Luzia s'égare à l'évidence. Et vous n'avez probablement pas tort, John, lorsque vous partez du principe que les juges partent du principe que les hommes sont à priori coupables. Cependant vous n'avez pas vraiment répondu à nos objections, à Stéphane et moi. Pour entrer dans les détails sordides, il y a effectivement bien des chances qu'une femme, pour abuser une enfant, use d'objets pénétrants. Mais pour abuser d'un enfant ? Cela n'est pas impossible, tous les fantasmes sont dans la nature, mais à mon avis peu probable.
    Par ailleurs vous semblez dire que quelqu'un de moche, de repoussant ou qui fait peur, peut produire une érection ? Cela n'est pas mon impression, mais je veux bien croire que la faculté a un avis différent, qu'une stimulation manuelle par exemple, peut assurer une érection dans tous ces cas de figure ? Est-ce le cas ? Cela serait intéressant de le savoir.
    Encore une fois, le fait d'être entraîné dans des jeux sexuels par une femme d'âge mur à 14 ans, me parait potentiellement troublant. Voire très traumatisant, selon la manière dont on le prend. N'empêche qu'un bon nombre de garçons de cet âge seraient ravis que cela leur arrive et que je doute fort que cela se soit passé avec de la violence physique.
    C'est aussi certainement moins désobligeant et moins violent que d'être violé par un homme, que l'on soit fille ou garçon. Même s'il arrive que des gamines de 15 ans un peu inconscientes allument leur prof, par exemple.

  • Luzia: ... pfff...

    A croire que vous cherchez systématiquement, insidieusement, les moindres prétextes, la moindre phrase, pour me dénigrer, me salir, me cracher dessus. J'ai bien compris que je vous dérange dans votre idéologie, mais au moins argumentez! Un débat est fait de bouts qui se complètent peu à peu. Lâchez la rampe après un seul commentaire élaboré, c'est un peu court.

    Insistez si vous voulez faire passer votre point de vue. Vous avez la place pour écrire, même pour écrire des insanités contre moi. Comme vous le constatez, je ne censure pas ceux et celles qui ne sont pas d'accord avec moi. Peut-être n'ai-je pas bien compris le sens de votre commentaire, cela se peut, je n'ai aucune prétention à comprendre tout et tout le monde d'un simple claquement de doigt. De plus, il y a des personnes avec lesquelles ma position évolue, d'autres pas, certaines avec qui nous sommes plutôt d'accord, d'autres pas, et c'est bien normal. C'est cela la liberté de penser et de s'exprimer, c'est cela le débat. Parfois certains thèmes reviennent 10 fois, 100 fois, avant qu'on en ait fait le tour. D'ailleurs mon petit résumé n'est pas la fin du débat, chacun peut le continuer. Si je considérais cela comme la fin, je fermerais les commentaires.

    Je considère ceux qui argumentent, je délaisse ceux qui attaquent pour dénigrer. Mais je suis souvent prêt à recommencer le dialogue même après fâcherie. Je crois l'avoir montré à différentes reprises sur mon blog.

    Vous m'attribuez une stratégie nazie ou stalinienne... A défaut d'argument sérieux, de telles insultes ne mangent pas de pain. Toutefois, elles sont quand même assez diffamatoires, d'une grande violence intellectuelle et d'une malhonnêteté crasse.

    Vous m'attribuez des intentions cachées: laissez de côté votre parano, luzia. Je ne cache rien de mes intentions. Dans ce billet je fais le constat d'un biais qui est loin d'être exceptionnel. D'autre part, et je ne m'en cache pas, je travaille à rééquilibrer les images sociales de l'homme et de la femme. Le cliché homme bourreau - femme victime est bien loin de la réalité, mais il alimente des positions anti-hommes que je dénonce. Parler de la criminalité en général, c'est une réflexion de société. Parler de la criminalité des femmes, c'est lever un peu le voile sur un tabou. C'est un thème sur lequel je reviendrai encore, quand une bonne raison m'y incitera.

    Quand au lavage de cerveau, il faudrait plutôt évoquer les campagnes contre la violence faites au femmes, répétitives et malhonnêtes: chiffres outrageusement gonflés, caractère univoque de ces campagnes, déni des violences faites aux hommes, entre autres.

    Balayez donc devant votre porte avant de vouloir faire le ménage chez moi.

    Pour autant, dois-je le répéter, les criminel-le-s ne représentent qu'une très faible partie des humains, heureusement, et la grande majorité des femmes et des hommes sont "normaux", c'est-à-dire ni des abuseur-ses, ni des violent-e-s.

    Votre instinct vous dit que je ne suis pas clair? Encore faudrait-il définir ce que vous nommez instinct. Pour ma part, ce sont beaucoup de vos commentaires qui ne sont pas toujours clairs, ni les raison que vous avez de vouloir me salir ainsi. Mais je ne dénigre pas votre personnalité pour autant. J'ai le sentiment que vous avez un problème avec le débat et avec le fait que l'on ne soit pas d'accord avec vous. Il me semble que vous en faites à chaque fois une affaire personnelle.

    Retirez-vous des débats, vous êtes libre de faire comme bon vous semble. Pour ma part, c'est assez frustrant de tenter de dialoguer avec vous, mais chacun sa vie, chacun son chemin...

  • @ Philippe:

    Sur la violence physique lors d'un abus sexuel, en effet un garçon ou adolescent a moins de risque qu'une fille de la subir. Toutefois, les hommes abuseurs ne sont pas automatiquement violents. Cela peut se passer sur un mode où l'abuseur investit psychiquement l'enfant, ou bien le menace sans voie de faits.

    Sur les manières des abus faits par des femmes, ce que j'en sais par entre autre le livre que je mentionne, les commentaires de Erin Pizzey dans son livre "Enclin à la violence" dont je n'ai pu lire que des passages en anglais, l'émission sur la pédophilie féminine à infrarouge, et diverses documentations, la pédophilie féminine est plus discrète, et difficile à chiffrer à cause de cela. Il n'y a pas forcément d'objets utilisés, mais les doigts, des masturbations forcées (et là, c'est mécanique, il y a érection avec un plaisir traumatisant de culpabilité).

    Les femmes pédophiles sont généralement dans l'entourage familial ou professionnel de l'enfant. La présentation de l'émission d'infrarouge est intéressante:

    "L’idée qu’une femme puisse abuser d’un enfant est l’ultime forme de discrimination. Occulter cette transgression sexuelle, c’est contester, peut-être inconsciemment mais, par définition, toute sexualité féminine. Les femmes pédophiles reproduisent, en tout point, le schéma de leurs homologues masculins. En grande majorité, elles se cachent dans le milieu familial ou le cercle des proches.
    S’il y a peu de prédatrice, c’est que souvent leur métier leur donne accès à l’enfant. Les agressions sexuelles commises sur des mineurs sont considérées comme les crimes les plus horribles, mais lorsque l’acte est perpétré par une femme, par une mère, on touche à l’impensable, à l’irreprésentable, à l’indicible."

    J'ai reçu pas mal de témoignages d'hommes: la mère qui les prend dans sont lit et se serre fort contre eux quand ils sont ados, les soins d'hygiène qui dévient vers la masturbation ou la fellation. Difficile de ne pas avoir d'érection. Et difficile pour le garçon de voir cela comme un abus. Psychologiquement, le garçon ne se voit pas en victime, car du fait du plaisir relatif ressenti il est profondément coupable de s'être laissé faire. Les témoignages viennent presque tous d'hommes passé la quarantaine, qui un jour osent poser ouvertement les questions qui dérangent.

    Voilà. Ai-je répondu, Philippe?

  • Oui, John, vous m'avez répondu... mais pas convaincu. je ne suis pas certain qu'il faille se forcer à le ressentir comme un abus, si on ne le ressent pas comme un abus.
    Par exemple, il se pourrait (ce n'est que pure supputation) qu'un jeune homme de 14 ans connaisse une telle expérience et s'en vante auprès de ses copains. Et que cela finisse par revenir aux oreilles d'un adulte, qui le convainc de porter plainte alors qu'il était peut-être même au départ consentant, voire demandeur. Ce qui n'excuse pas la faute pour une adulte d'avoir consenti, encore moins initié.
    Si une ado drague son prof et qu'il consent, celui-ci sera reconnu coupable à juste titre, même sans violence. Mais il sera tout de même moins sévèrement condamné que s'il viole une gamine dans la rue. Du moins je l'espère. Vous souvenez-vous de ce très beau film de nos jeunes années, tiré d'un fait réel, Mourir d'aimer ?
    La suite peut-être sur mon blog :-)

  • En fait statistiquement la majorité des abus sur enfants ou jeunes ados sont commis par un proche, ce qui suppose pas dans la rue ou dans un bois avec violence, mais dans un lieu de vie. La violence physique n'est donc pas forcément de mise. La violence psychologique, oui.

    Sur le fait qu'un ado de 14 ans puisse être partiellement consentant, oui, je le crois possible, autant pour les filles que les garçons d'ailleurs. Entre le garçon qui attire une "grande" et la fille qui provoque son prof ou un ami de la famille, il y a peut-être un même point commun: une forme de valorisation, au moins dans le fantasme.

    Mais l'adulte doit savoir que la maturité psychologique et affective n'est pas assez aboutie à ces âges. Les émois de deux ados de 14 ans n'ont rien à voir avec ceux d'un adulte. Donc nous sommes d'accord, cette limite-là est nécessaire.

    "Mourir d'aimer", oui de telles situations peuvent aussi exister, avec un amour sincère et réciproque. Les différences d'âge, de culture, de religion, de couleur de peau, ne sont pas des obstacles à un amour sincère sur le plan des sentiments. Toutefois, l'amour implique plus que des sentiments, et je doute qu'à 14 ans on ait une idée de comment faire marcher un couple et des choix qui sont une condition de son fonctionnement.

    Il y a eu le cas d'une prof aux USA, il n'y a pas longtemps. Elle a fait de la prison pour avoir eu une relation avec un ado de 13-14 ans je crois. Par la suite, ils se sont mariés et ont un enfant. Il y avait aussi le livre "Les beaux dimanches de Ville d'Avray", histoire dont je ne sais plus la fin car je l'ai lu il y a longtemps.

    Bref, la réalité est souvent moins simple et moins rigide que la loi. Mais la loi propose un cadre nécessaire et fondé sur la notion de maturité affective et psychique, qui va avec l'âge.

  • Ben moi, je pense que ce môme de 14 ans se souviendra, dans quelques années, qu'il "s'est fait" une "vieille" et ce sera un sacré souvenir ! Cuex qui n'ont jamais connu ça, ne peuvent pas comprendre !

  • @hommelibre: "la mère qui les prend dans sont lit et se serre fort contre eux quand ils sont ados, les soins d'hygiène qui dévient vers la masturbation ou la fellation. Difficile de ne pas avoir d'érection. Et difficile pour le garçon de voir cela comme un abus."

    Pourquoi devrait il? Doit il avoir honte de la réaction de son corps, du plaisir qu'il ressent? La définition d'"abus", n'est pas innée, elle n'est pas naturelle. Le term "abus" est une construction dictée par la culture, les moeurs. En dehors de toute considération juridique, l'abus n'est pas

    "Psychologiquement, le garçon ne se voit pas en victime, car du fait du plaisir relatif ressenti il est profondément coupable de s'être laissé faire."
    Pourquoi doit on se sentir "victime" ou coupable? Le même garçon peut tout naturellement avoir une relation sexuelle avec une copine à quelques mois d'age de plus. Comment peut il comprendre qu'à 14 ans et demi il doit se sentir coupable et, quelques mois plus tard, pour les mêmes actes avec une autre personne, il ne doit pas se sentir coupable? C'est bien comme ça qu'on fabrique les "dérangés". On les désoriente en leur imposant un point de vue qui n'est pas le leur, on les met dans un conflit permanent entre leur perception individuelle et la pression sociale. On les prive des moyens de se construire eux-même un modèle de comportement cohérent, compréhensible et applicable. Ils vivent en conflit permanent avec eux-même et avec leur entourage.

    Note à part: je suis convaincu que les récentes "tuéries" par des jeunes ont leur racine dans la désorientation, des sentiments non-exprimés de culpabilité et d'exclusion (pas forcément en rapport avec leur sexualité).

    "Les témoignages viennent presque tous d'hommes passé la quarantaine, qui un jour osent poser ouvertement les questions qui dérangent."
    Et pourquoi ces questions les dérangent? Parce qu'on leur a inculqué qu'ils doivent se sentir coupable? Ce genre d'attitude rappelle les méthodes des églises qui doivent fabriquer des coupables pour pouvoir ensuite les sauver ....

    Je suis d'accord avec le fond de la pensée d'Octave, mais hélas, pas avec sa forme d'expression. "se faire une vieille" est à la fois vulgaire, dénigrant et enfantin.

  • benpal, Octave ne fait en général pas dans la dentelle, mais là il a mis des guillemets à "s'est fait" et à "vieille".
    Je pense qui a ainsi voulu illustrer la façon qu'un "jeune" utiliserait pour évoquer ce type d'expériences. C'est une forme de pudeur idiote, mais de pudeur quand même.
    Je me trompe, Octave ?
    A part ça... hahum... la femme d'expérience, quand on a l'âge du blé en herbe...
    hou! je m'égare dans les souvenirs !

    :o)

  • Blondesen, je l'ai compris de la même manière, je voulais juste me distancer, moi, de ces termes.
    Aah, les souvenirs, ça forme un homme ...

  • @ benpal: oui, non, peut-être. Oui l'aspect culturel est important dans le sentiment de culpabilité; non, l'aspect culturel n'est pas forcément l'élément moteur de cette culpabilité; peut-être faut-il laisser les modèle se créer d'eux-même sans lein avec la culture, histoire d'inventer une fois une autre culture.

    Je reprends, car c'est un peu court! (:o). Votre commentaire pousse la réflexion assez loin dans un langage pourtant familier.

    Je pourrais partir de la pensée de Reich sur l'orgone et l'énergie en mouvement et considérer que la culture, au sens des règles de comportement où elle est citée ici, peut être considérée comme pourvoyeuse de pathologies. A force de dire par exemple que critiquer la notion de dieu est un blasphème, le croyant se trouve acculé à se conformer même quand il n'est pas d'accord, ou à être plongé dans la detestation de soi et à la culpabilité extrême.

    Mais la culpabilité vient aussi du sentiment d'une transgression. Culturelle encore, peut-être, mais pas forcément inculquée. L'interdit sur la sexualité en famille par exemple a des raisons biologiques de consanguinité, mais aussi d'émancipation psychologique. Tout vivre en vase clos, c'est la fin génétique et créative. La distance mise au corps par rapport à la sexualité est une manière de créer les conditions pour aller chercher ailleurs et donc renouveler le clan et l'espèce. Quand cette distance est établir, sa transgression est probablement un choc naturel. Par exemple, jamais je n'aurais pu imaginer un french kiss avec ma mère. Je la voyais dans une autre fonction. Je n'aurais pas supporté un mélange des fonctions, même pas en fantasme.

    De plus, la culpabilité a parfois un rôle à jouer dans la construction des limites, si nécessaires à l'apprentissage du respect et de l'altérité.

    La sexualité suppose une alchimie qui ne me semble pas présente dans un rapport de protection comme celui de l'adulte envers l'enfant. La sexualité est audace, autonomie, égalité dans la relation. Je ne crois pas qu'elle puisse s'épanouir dans la dépendance. C'est donc très différent de voir une femme de 40 ans avec un ado de 14, ou de voir deux ados de 14 ensemble.

    Mais sur un plan plus global, il n'est de mal (et donc de culpabilité) que ce que nous décrétons comme tel. Nos société ont banni le meurtre. mais le meurtre a été approuvé dans d'autres temps et d'autres sociétés - meurtre rituel, meurtre de ses adversaires, meurtre des nouveaux-né fragiles dans certaines cultures.

    Tout est donc relatif. Ma première expérience sexuelle a eu lieu l'année de mes 17 ans. Elle en avait 34!... Mais l'important était de l'avoir fait. Pas qu'elle ait 34 ou 18, pas même que j'aie des sentiments. J'en suis reparti avec l'idée: Je l'ai fait! mais sans réel plaisir. Qu'aurais-je fait à 14 ans? J'étais trop dans l'attente romantique, je pense que je n'aurais pas pu. A 16 ans, une "grande" avait très envie, tout y était: les circonstances, la liberté, mais je n'ai rien vu!!! Ce n'est qu'à la fin que j'ai compris, quand nous nous sommes dit adieu parce que la vie nous emmenait chacun ailleurs...

    Je suis d'accord avec vous en partie sur l'excès de culture, mais pas entièrement car elle a aussi un sens.

  • @ benpal encore: voudriez-vous développer le thème de la culpabilité et de l'exclusion qui peuvent avoir conduit aux tueries récentes? Je vous offre d'écrire un de mes prochains billets, à votre manière. Qu'en pensez-vous?

  • Merci, hommelibre, pour les commentaires et la proposition. Je serai absent ces prochains jours (dès ce matin 5 h), mais je vais y réfléchir.

  • Désolé, je n'ai pas eu le temps de tout lire, mais j'aimerais quand-même ajouter ma "moutarde" au sandwich. Pour moi, ce n'est pas trop grave de faire l'amour ou une initiation, mais ce qui est très grave, c'est la perversion et le non-respect. Ayant été obligé, par jeu, de subir une fellation ou faire une minette me paraît parcontre grave.
    Tout abus sexuel non-consenti devrait être sévèrement puni. Or, nos juges sont beaucoup trop mou et laxistes pour prononcer des peines exemplaires et selon débât à l'Arena, émission alémanique (comme Infra-rouge), j'ai appris que des violeurs courent en toute liberté, où souvent condamnés avec sursis ou même amende en argent (liquide?), tandis que les victimes sont traumatisées à vie.
    Un scandale de plus, car les prisonniers (enfermés dans leur colo de vacances) sont traités avec tous les égards, tandis que les victimes sont laissées pour compte (presque tout le monde s'enfout par la suite). Ai-je tort ? Je veux bien rectifier mon tir, si quelqu'un de sensé arrive à me prouver le contraire !
    Bien à vous et belle journée printanière, avec chaleur ambiante .

  • Très intéressante, votre dernière réponse à Benpal, John.

  • Quant à la justice homme/femme, il y a certainement des nuances suivant les cas. Et chaque être et chaque cas est différent. La Pédophilie est beaucoup plus répandue chez les hommes, réligieux ou pas, que chez les femmes, d'oû une certaine sévérité s'installe.
    La pédophilie présente généralement une grande différence d'âge avec la "victime" immature.
    "L'expérimentation", voire éducation ne devrait commencer qu'à partir de l'âge mûre, abbaissé par la loi à 16 ans. Mais, certains sont même à 20 ans encore traumatisé par l'aventure.

    C'est un sujet très sérieux, mais j'aimerais ajouter l'histoire de Pierre, chauffeur de taxi.
    Un jour, une réligieuse s'est pointé pour prendre le taxi pour Chancy. Le chauffeur la regardait dans son rétro avec une telle insistance, que la soeur Emmannuelle était mal à l'aise.
    Pour finir, elle entame la conversation: "Pourquoi, vous me regardez ainsi?"
    Pierre: "Parce que j'ai un fantasme; de toute ma vie, j'aurais toujours voulu embrasser une réligieuse"!
    Soeur Emmannuelle réfléchit et dit: "Je suis vieille, j'ai déjà pratiquement tout vue dans ma vie, mais si vous insistez ... je suis d'accord sous 2 conditions: Vous devez être célibataire et catholique"!
    Pierre tout heureux, perds presque les pédales : "Oui, oui, c'est la cas, ma soeur" et il s'arrête au bord d'un petit bois. Après s'être embrassé langoureusement, à faire rougir Grisélidis (trop tard, elle se repose aux Rois), ils reprennent la route.
    D'un coup, Pierre commence à chialer. "Qu'est-ce que tu-as, Pierre, ce n'était pas bien"?
    Pierre: Si, si, mais je vous ai menti, que Dieu me pardonne, je suis ni catholique ni célibataire, je suis juif et marié et j'ai même 2 mômes".
    Soeur Emmannuelle: Mais Pierre, arrêtez de pleurer, je vous ai également menti; je m'appelle Dédé et je vais à un bal masqué" !

    Lecteur/lectrices, pardonnez-moi, car cela devrait ne pas figurer sur ce blog. Je laisse le choix à l'hommelibre, libre de penser, libre d'agir, libre de sévir.
    A déguster au second degré et j'espère que personne, ni Belle ni Boo, ne me prendra en grippe pour cette escapade humouristiqe. Si, non, nous allons prendre le taxi ensemble, car je sais (me) "conduire". C'était plus fort que moi, mais en principe, je suis très très sérieussse, presque trop et d'une timidité incroyable, incommensurable (pour ceux et celles qui le croient, à la bonne heure ... et moi ... où commence la timidité ? Le doute s'installe !
    Bisou du chauffeur ...de taxi

  • Blondesen, ce que je voulais dire : "Souvenirs, souvenirs.....!!!!! Elle était belle, des seins en poire, un cul ! quel merveilleux moment ! Le déniaisement de cette façon, c'est magique !

  • Je sais, c'est un peu intellectuel mais je préfère ça au manuel !

  • *hommelibre, l'excès de culture a aussi un sense ! Quel sense. Je suis d'accord s'il s'agit connaissances. Je reproche à la gent masculine le manque de respect de son partenaire. Ce n'est pas une machine et nous tous ne sommes pas fait pour satisfaire juste ses besoins et pulsions. Le plaissssir, mais aussi dans la mutualitéééééééééé ! Se vanter devant les copains et une chope de bière est quand-même un peu petit et je pense, que la gent féminine est plus discrète, plus fine (Jedem Tierchen sein Plaisir'chen)
    *Philippe, John a raison (art.1). Art.2: si un jour, par malheur, il ne devait pas avoir raison, c'est art. 1 qui entre vigueur. Ouiiiiiii, c'est vieux comme le monde ... nul dirait ma femme !

  • *Octave, quel coquin; oui souvenirs, souvenirs ou MMS, n'est-ce pas !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    Elle était belle et ... je n'en voulait pas,
    je préférais croquer la pomme (paire), quoque une belle paire de poires Williams ne serait pas à dédaigner. Au contraire, elle me ferait monter la sève. En plus, j'aime aussi déguster le liquide (de Morand, bien sûr).
    Je commence à déc... C'est la faute au printemps, la faute à la Sérotonine (pas Séraphine) ou à la Dopamine (pas Dopolino) ...
    L'autre disait, c'est la faute à la Météo et elle répondait sur la descente du lit: "salaud, je savais, je savais que tu as une autre femme dans ta vie" !

  • *John, oui le sense, toujours le sense, mais quel sense ? Sense de la culture;heureusement, il y a dans ce mot ture. D'ailleurs, en tant qu'étranger de langue de Rousseau, je suis stupéfait du nombre de mot, commençant par les 3 lettres. On pourrait faire une étude, sans se culpabiliser !

  • Ah, Etoile de Neige, quand j'y repense......elle hésitait à dévoiler son but devant tant de candeur. Elle était folle de la messe et bête à vous échauffer la bile ! C'était le bon temps ! Maintenant elle est certainement membre du MLF ou des Chiennes de Garde ! Quelle horreur !

  • Mais c'est le printemps ce matin!!!...

    (:o)))

    La sève monte mieux que le Ceva - un ceva la vie...

    EdeN: d'après ce que me disent certaines copines, les femmes entre elles, quand elle parlent des gars, ce n'est pas vraiment si discret... c'est même parfois assez dru semble-t-il! Et bien des mecs sont discrets. Ah, encore un mythe qui tombe, une généralité qui part en vrille, le cliché de la femme discrète, réservée, face aux gros rustres bavant leurs exploits à la cantonade...

    Par contre, je trouve terrible, la beauté des femmes au printemps!!! Terrible, de quoi déclencher un double strabisme con-di-vergent (pssst: non, pas de jeu nde mot ici)...

  • "Maintenant elle est certainement membre du MLF ou des Chiennes de Garde ! Quelle horreur !"

    Quelle horreur effectivement, une femme émancipée et qui revendique ses prises de positions mais... mais c'est vraiment monstrueux! Inimaginable! Bigote et bête c'est quand même tellement mieux! Ah que n'avons-nous perdu la vraie femme, qui savait être la mère ou la prostituée, ou alors qu'on pouvait dissocier sans que des revêches ne nous fassent tout un foin! Une femme qui n'est pas bête, mais vous n'y pensez pas!

    Bigote et bête, "c'était le bon temps"...des fois je préfèrerais être bête à vous "échauffer la bile" plutôt que d'entendre ça...

  • Oui John, pas Fitzgerald, c'est le printemps et cet après-midi aussi. Je vais sortir mon vélo, mais dans quel "sense" il faut le prendre (pas répondu). Par ailleurs, mon blog transpire également (Le bien-être dans le "pré" et Le printemps est là, resp. le bonheur est dans le pré).
    *Octave, grâce au manuel (livres), on trouve l'intellectuel. J'adore votre citation et je rêve, je rêve d'après les poires du Valais, les Williams bien-sûr. Que pensiez-vous, l'esprit toujours mal tournés?
    Je ne connais pas assez les indiscrètes, soit elles se cachent par pudeur, soit elles se délassent au soleil bien-faisant (rayons magnétiques qui nous procurent de la lumière). Ah les filles ... si on ne les avaient pas ... il faudrait demander Dieu de les créer, à l'image de BB des années 50 bien sûr. Maintenant elle a subit quelques rides et si elle dit aujourd'hui: je ne sais plus à quelle sein me vouer, nous nous détournons et louchons direction Anderson, oui Pamela avec du silicon, gonflés à bloc. Moi, je préfère la Williams en blonde : Et maintenant place à Cardinal, la belle Suissesse, car une terrible soif me prend. Santé

  • Eh bien moi je comprend le point de vue de ce cher Octave et suis de tout coeur avec lui!!!
    Maintenant que nous sommes actives, émancipées, libres.... comment un homme macho, idiot, néanderthalien tel que lui peut-il encore se trouver une compagne??!! En effet il la faudrait bête... et bigote... c vraiment dommage... heureusement il vous reste la main droite Octave :) (et au cas ou ça suffirait pas je vous propose de vous sponsoriser votre baise mensuelle de gigolos à la rue de Berne (pas de femmes hein faudrait pas commencer en plus à faire chier les putes avec vos théories à la con et vu à quel point vous êtes misogyne je me dis quoi de mieux qu'un trou de balle et un torse poilu pour vous satisfaire :)))

  • D'ailleurs Audrey si vous voulez bien je vous propose de répartir les charges "baise d'Octave" c'est que ça risque de me faire un sacré budget à la fin du mois à voir la frustration du pauvre bonhomme :(

  • Ma pauvre Boo, je vous savait stupide mais pas à ce point ! Tant mieux si vous êtes émancipée mais ce n'est pas un signe d'intelligence ! Vous pouvez dormir tranquille, vous n'êtes pas mon type car j'aime les femmes charmantes, belles, enjouées, gourmandes et, surtout, intelligentes ! Passez votre chemin et joyeuses Pâques !

  • Chère Boo

    Vous n'y pensez pas, un(e) Vairgebel doit avoir un succès monstrueux sur le "tchat"! A côté les Beatdecheval, Peacepluloinketoi et graussekeu c'est vraiment du pipi de minet-te! A noter que quelques gouttes sont peut-être tombée à la lecture de ses propos, d'où on ne le saura pas:-)

    Nous pourrions effectivement faire "bourses" communes, une oeuvre de salubrité publique en somme! Ah...les femmes et leur penchant naturel au social...

    Bonne après-midi à vous!

  • Je suis ravie de savoir que je peux encore vous surprendre :))) un bon point pour moi :)))

    Pour le reste... vu que vous ne savez mm pas à quoi je ressemble je vous trouve gonflé de vous avancer sur les traits physiques ;)) mais pour le reste je suis entièrement d'accord... je ne risque pas d'être votre type... I'm way out of your league ;))

    Je dois dire que depuis que je vous lis je ne peux m'empêcher de penser que votre misogynie vient du fait que vous seriez un homosexuel refoulé... j'espère que vous vous en rendrez vite compte :))

    Joyeuses Pâques!!! :)))

  • Bon... John... sorry pour la vulgarité vraiment... je me mettais au niveau de mon interlocuteur... :(((

    BISOUS :)))

  • Je vois, je vois... après la gravité, puis la légèreté printanière, voilà revenu le temps de la castagne! Ca faisait un moment. Il faut bien que sève se passe...

  • Ah Boo, Pâques sera formidable car je vais me faire rouler les oeufs !
    Bisous

  • "Pour le reste... vu que vous ne savez mm pas à quoi je ressemble je vous trouve gonflé de vous avancer sur les traits physiques"

    Comment Boo, ne savez-vous donc pas? Nous autres "émancipées" sommes forcément laides et acariâtres, haineuses (reprise du bulletin sur la parité), frustrées sexuellemment (d'où notre acharnement contre une aussi belle vairge), à la fois mal baisées et forcément d'hooorrrrriiiiiibles lesbiennes (termes souvent "euphémismés" chez un vairgebel). Donc tout le contraire d'une femme charmante, douce, enjouée et gourmande, intelligente (comprennez "comme il se faut pour une femme").

    "voilà revenu le temps de la castagne"

    pour rester dans le ton, parlons de casse-noisettes!

    "Pâques sera formidable car je vais me faire rouler les oeufs ! "

    J'apprécie votre acharnement à nous prouver l'ardeur et l'aspect trépidant de votre vie sexuelle. Ca me fait penser à une histoire de frites, une vague pub à homonymie républicaine... M'enfin...attention quand même à ce que ne les enfants ne marchent pas sur vos oeufs, dès fois que l'herbe les cache trop bien!

  • Je trouve choquant qu'un billet sur un cas de pédophilie provoque de si bas propos. Du bien lourd et du cradingue, digne d'une chambrée de militaires en mal de gonzesses.

    Vous reniez ainsi le droit à des enfants de s'élever contre des actes pédophiles. Pire, benpal va jusqu'à justifier l'acte de pédophilie commis par une mère, si plaisir il y a. En se demandant pourquoi le moutard se sentirai coupable ou honteux. Je dois vivre sur une autre planète, vraiment.

    Et l'espèce de raillerie sur le jeune qui se tape une vieille et qui ne pourrait pas s'en plaindre même s'il ne voulait pas, parce que ça lui fera de bon souvenirs... non mais franchement.

    Il y a dérapage entre réalité et fantasmes.

    En tout cas, Messieurs, vous contribuez pleinement à l'objectif d'hommelibre qui semble tenter de montrer la mâlitude sous un autre jour.

    Ben il y a du boulot...

  • @ Pascale: Hoooouuuu... Vous me faites douter de ce que j'ai lu. J'ai pris le propos de benpal comme du 2e degré, ou comme une digression philosophique sur le bien et le mal, pas pour une justification. Car dans un sens il est vrai que le bien et le mal sont relatifs à une communauté et à une époque. Et que le plaisir est très encadré culturellement, alors que physiologiquement il l'est beaucoup moins.

    Auriez-vous vu quelque chose que je n'aurais pas vu?

    Pour le reste de la chambrée, je le prends comme de l'humour. Même Audrey s'y est mise!

    Mais bon, vous savez que je vous lis avec attention, et peut-être votre réaction doit-elle me montrer quelque chose que je n'ai pas capté.

  • "Même Audrey s'y est mise!"

    Ah tout de même, ce n'est pas la 1ère fois! Pour un peu j'aurais l'impression que vous avez fini par me prendre pour le calvin du féminisme...pourtant je suis quelqu'un de très drôle, enfin j'espère.

    Néanmoins pour les premiers commentaires avant que nous digressions complètement, fascinés par l'exhibitionnisme de vairge le Bel premier, il est vrai que je tendrais à rejoindre les propos de Pascale, et en ceci les vôtres dans le 22e commentaire en partant du haut (quel succès) lorsque vous parlez de la difficulté de ces victimes masculines.

    Si l'on peut comprendre les propos de Benpal sous l'angle des travers de la justice qui existent, il en reste que je peine avec sa décontextualisation. Je suis certes la 1ère à parler de la relativisation des normes, néanmoins c'est suggérer ici que ce jeune homme a forcément eu du plaisir, ce qui n'est pas forcément le cas. Et puis c'est suggérer que la douleure du viol est culturelle, ce qui me semble peu crédible.

    J'ai toujours peine aussi à comprendre ses hommes qui ne peuvent imaginer le viol au masculin. Ils devraient pourtant être les mieux placés pour savoir que le pénis n'est malheureusement pas toujours un organe qui réagit logiquement: si l'on peut désirer une femme et ne pas réussir à avoir d'érection, pourquoi l'érection ne pourrait-elle également être causée par d'autres émotions que le désir?

    Surtout je trouve cette attitude légère. Il y a quelques mois était passé sur france 2 l'affaire d'un curé qui avait violé pendant quelque chose comme 20 ans des jeunes sfd, souvent déphasés, qu'il recueillait chez lui avant de s'introduire dans leur lit la nuit. Un d'eux témoignait et expliquait pourquoi il lui avait fallu attendre de voir d'autres victimes témoigner pour enfin se reconnaître comme victime. Ce jeune homme expliquait sa détresse, son manque de réaction, devant une personne qui disposait d'un statut (un homme de dieu) et l'avait accueilli si gentillement, outre la marginalité dans laquelle il vivait alors. Il expliquait aussi qu'il avait eu une érection incompréhensible, "mécanique", lorsque le curé l'avait touché, et que ce point l'avait à la fois dégoûté de lui-même et empêché de se reconnaître comme victime, lui-même se disant que si érection il y avait eu, c'est qu'inconsciemment quelque chose avait du avoir du désir en lui pour cet être.

    Certes le fait d'être violé par un sexe pénétrant renvoit à un autre imaginaire social, en ce sens est-il vraiment si différent que celui d'être engloutit? Le viol reste une violence psychique, c'est le déni du contrôle sur son propre corps par un autre qui se l'approprie. C'est le déni à disposer de son corps. En revanche ce déni du viol au masculin relève cette construction genrée qui ne peut s'imaginer l'homme comme victime, l'homme comme potentiellement violenté. Si l'homme se fait violenter par une femme, alors même qu'il est plus fort physiquement, ou "pénétrant" on va forcément remettre en cause son "non-désir". C'est oublier les pressions psychiques, les fragilités passagères ou structurelles de cette période adolescente. C'est oublier que devant l'adulte on peut ne pas oser dire non, c'est oublier qu'on peut désirer physiquement, sans vouloir psychiquement, et ce pour un tas de raisons (fidélité, peur de la transgression, pas d'envie de changer la relation, etc.). Au final ces réactions nous ramènent assez à la question de la violence conjugale et au déni de la violence conjugale vécue par certains hommes. Après tout, puisqu'il y a des SM qui prennent plaisir à se tapper, pourquoi culpabiliser la violence domestique? Ca paraît absurde mais ça ne l'est pas plus que de dire que le sentiment de douleur lié au viol serait à relier à une culpabilisation du plaisir.

    Je crois également qu'il faut faire ici une distinction entre fantasmes et désirs réels. Par essence les fantasmes font partie de notre imaginaire et ne s'accordent que rarement à la réalité. Quand un jeune fantasme de se faire coller au mur par une femme, sûr qu'il se la représente plus sous les traits d'une monica belluci que sous ceux de la sorcière de blanche-neige, pas sûre par contre que son fantasme ne traduise une véritable envie de "viol", qui dans ce cas serait consentant. Et puis, dans ce fantasme comme le rappellent les commentaires ici, beaucoup y voient un signe de performance, le si délicat "se tapper une vieille", souvenir impérissable qui ne doit pas être resté le même pour ces femmes d'âge mûre soit dit en passant:-)

  • @hommelibre
    "@hommelibre: "la mère qui les prend dans sont lit et se serre fort contre eux quand ils sont ados, les soins d'hygiène qui dévient vers la masturbation ou la fellation. Difficile de ne pas avoir d'érection. Et difficile pour le garçon de voir cela comme un abus."

    Pourquoi devrait il? Doit il avoir honte de la réaction de son corps, du plaisir qu'il ressent? La définition d'"abus", n'est pas innée, elle n'est pas naturelle. Le term "abus" est une construction dictée par la culture, les moeurs. En dehors de toute considération juridique, l'abus n'est pas"

    Oui sans doute du deuxième degré (du moins je l'espère) et si je comprends la polémique sur le bien et le mal, j'ai un peu plus de peine que ce soit à propos de l'inceste. Même si je sais que pour certains l'inceste est plus qu'acceptable. Mais cela me gêne d'autant plus que dans là on parle de contrainte. D'où ma réaction.

    Effectivement même Audrey s'y est mis, mais cela sonne un peu acide. Quelle meilleure manière pour se faire comprendre des boeufs que d'adopter leur langage. Enfin cela ne reste que mon interprétation.
    :-)

  • @ Pascale

    Non je vous l'accorde, c'était un peu "acide", mais j'avoue avoir du mal à estimer qu'un propos construit puisse parler à un certain Vairgebel (qui ne va certainement pas aimer la comparaison avec les boeufs, vu leur statut, soit dit en passant:-)). Vous me direz, et c'est sûrement vrai, que dans ce cas autant le laisser dans sa puérilité d'enfants attardé, mais je suis assez faible et ai donc tendance à piquer la mouche, bêtement c'est vrai. Et puis souvent je me rends compte qu'il est lassant de tenter ce genre de discours relativement construit pour se faire renvoyer en pleine face que nos propos seraient insultants, voire haineux. Hônnetement ce genre de petites corrections hors-propos et sans autre formes d'argumentation sont déplacées et ne poussent pas à la discussion. Tant qu'à recevoir la critique, pour une fois j'ai eu envie de me lâcher, d'apporter un certain rire jaune à ce post qui comme vous le dites ne reflète pas l'idée de la gent masculine qu'on voudrait se faire.

    Mais après tout je trouve ça révélateur de certaines choses: le post sur la chasse aux homosexuels est resté désespérement vide, tandis que celui du viol d'un adolescent à charié son lot de fantasmes de séduction d'une femme plus âgée que soi, à croire que la dénonciation des violences faites à des hommes parle finalement plus à des femmes. De quoi tordre le cou à l'idée qui veut que cette violence est occultée à cause de "féministes", et mettre en lumière ce que nous discutions sur un précédant post, à savoir que le travail est d'abord à faire sur les représentations du masculin que se font eux-mêmes des hommes.

    Mais il est vrai qu'il devient récurrent que les discussions dévient, quand ce ne sont pas les commentaires intrusifs de l'ordinateur wiki (mais que fait l'administrateur de tdg??!) Ainsi après un dialogue intéressant sur la parité nous avons eu droit à un humour douteux sur l'homosexualité visant à discréditer le sérieux du sujet. Ici on ne compte même plus, peut-être faudrait-il des sujets "défouloirs" et des sujets "sérieux"? Un tel blog public (et un peu "raccoleur" parfois quand même) apporte forcément un public, comment dire...très "varié", d'où la nécessité peut-être de préserver un espace de jeu pour certains, et permettre un réel débat sans parasitage pour les autres. Un sujet sur le zizi sexuel pour notre ami régressif peut-être?

  • @ Audrey:

    "Pour un peu j'aurais l'impression que vous avez fini par me prendre pour le calvin du féminisme..."

    Hum hum... Euuuhhhhh... J'avoue avoir parfois un peu été caressé par cette pensée... (:o) Mais un peu seulement, dans un ou deux commentaires ces derniers temps, je pourrais aller les chercher mais j'ai un peu la flemme là tout de suite, j'ai même failli aller me coucher avant de vous répondre... Ce qui me dérange à l'idée de vous voir en Calvin, c'est la barbe... Mais je n'en ai pas fait une obsession, cette caresse fut fugace, si si, et d'ailleurs je ne l'aurais pas formulée si vous ne m'aviez tendu la main, bref je préfère vous imaginer en femme qu'en Calvin! (J'ai encore le temps d'effacer ce bout de texte - zut où est la touche du clavier? Raaahhh, faites comme si vous n'aviez pas lu!!!).

    (;o)))

    Bon, c'est pas tout, un peu de sérieux, même en ces jours de printemps où la s'ève se l'ève.

    Tout cela pour dire que nous trouvons un accord sur ce commentaire à propos du viol sur des hommes, et je pense que ce discours-là n'est pas genré et s'applique aussi bien aux femmes qu'aux hommes victimes d'abus.

    Mais je reste à penser que pénissublime - enfin Octave - aime provoquer avec un humour délibérément incorrect, et que benpal ne fait pas l'apologie de l'inceste. Il y a de la provocation dans l'air, une mise virtuelle dans une autre perspective que l'hallali contre cette femme. Car derrière cette provocation relativiste, la question posée était à mon avis: Hors de l'indignation politiquement correcte ou de la valorisation de l'ado, sur quel argument ou raison fondée peut-on condamner cette relation? C'est utile parfois de revoir nos fondamentaux afin de ne pas penser avec la meute. J'espère avoir donné un argument sensé.

    Sur l'absence de commentaire à propos de la chasse aux homosexuels, mon impression est que cela coule de source et qu'il n'y avait pas vraiment à débattre. Enfin j'espère. A moins que l'on n'estime qu'un homo n'est pas un humain digne du même respect humain qu'un autre.

    Difficile de choisir à l'avance des sujets défouloir, et de savoir comment il sera pris. Je n'ai pas de plan préétabli quand j'écris. Parfois je sors mes tripes, parfois c'est plutôt provoc, parfois encore poétique-tac, bref quand j'ouvre le robinet (des mots...) je ne peux savoir où la pente ira, ni même si elle ira quelque part.

    Par contre, je retrouve peut-être un peu la Calvin des blogs quand vous me dites raccoleur. Jugement de valeur, ça. Et d'ailleurs, quand bien-même? J'aime susciter un débat, et j'aime que chacun-e se sente libre. Je prends des sujets aussi bien "accrocheurs" qu'hermétiques (voir mon billet sur Messiaen), j'aime parfois trouver un titre qui fait mouche, et si je peux surprendre je ne me prive pas de ce plaisir. Sur l'ensemble des billets, je ne sais pas d'avance où ira un débat, mais je dois dire que j'en ai eu plusieurs assez formidables. J'apprécie beaucoup l'intérêt que l'on porte à mes billets, et j'en suis souvent moi-même surpris car je pense ne pas plaire à tout le monde. Il m'arrive aussi de recadrer quand on s'éloigne trop, mais après tout il y a dans le blog une multitude de formes d'expression qui vont du café du commerce à l'aula de l'uni, et je ne veux en exclure aucune - sauf les diffamations ou les attaques perso trop grossières.

    Mais je vais essayer de trouver des défouloirs dédiés. J'ai aussi une idée à expérimenter, je ne sais pas si cela marchera, c'est pour bientôt.

    Bon, pas tout ça, je fatigue et j'ai encore envie de poster un ch'ti billet sur une belle surprise que j'ai eu - et d'autres aussi je pense - en regardant la fin de Nouvelle Star hier soir.

    A peluche!

  • @ homme libre

    "Hum hum... Euuuhhhhh... J'avoue avoir parfois un peu été caressé par cette pensée... (:o) Mais un peu seulement, dans un ou deux commentaires ces derniers temps, je pourrais aller les chercher mais j'ai un peu la flemme là tout de suite, j'ai même failli aller me coucher avant de vous répondre... Ce qui me dérange à l'idée de vous voir en Calvin, c'est la barbe... Mais je n'en ai pas fait une obsession, cette caresse fut fugace, si si, et d'ailleurs je ne l'aurais pas formulée si vous ne m'aviez tendu la main, bref je préfère vous imaginer en femme qu'en Calvin! (J'ai encore le temps d'effacer ce bout de texte - zut où est la touche du clavier? Raaahhh, faites comme si vous n'aviez pas lu!!!)."

    Non mais je comprends bien. Il est vrai que par écrit l'on peut très vite passer pour quelqu'un de dur, l'emportement d'un commentaire peut s'interpréter comme une rage perpétuelle, alors qu'il s'agit d'un mouvement impétueux, d'un moment où lorsque quelque chose nous tient à coeur nous réagissons d'un bloc, et pouvons apparaître monolithiques. Et puis un blog c'est un peu comme une "arène", la présence de la foule peut nous amener dans nos retranchements, à donner dans la mise en boîte pour marquer des points face à cette possibilité de masse silencieuse qui parfois vient jouer les arbitres, ou au contraire pointer le doigt vers le bas pour signifier la mise à mort verbal. La communication bloggeuse pourrait être quelque chose d'intéressant à analyser si l'on considère en arrière fond ce public, même si nous adressons généralement nos commentaires à une personne à la fois. Bref, encore une fois je dévie. Ainsi, un petit mot et l'on peut vite se sentir piqué, comme lorsque j'utilise le terme "raccoleur" par exemple, que j'écris avec un sourire qui a certes du mal à se retranscrire dans les mots, et que je mettais d'ailleurs entre guillemets. De ce que je sais le post qui a pour finir drainé le plus de commentaires était celui sur le féminisme, de même nous avons réussi a "switché" d'une pub pour tally weijl a un débat sur les normes de nos sociétés. Par "raccoleurs" j'entendais "aguichants", mais il est vrai que vous avez pu le lire comme "bas de gamme". Disons alors que vos posts s'inscrivent dans un "raccolage" haut de gamme (en tant que "cliente" je préfère) et puis si vous n'aimez pas m'imaginer avec une barbe peut-être me plaît-il d'imaginer vos posts en porte-jaretelles ;-)

    "ce discours-là n'est pas genré et s'applique aussi bien aux femmes qu'aux hommes victimes d'abus."

    En fait lorsque je parlais de discours genré, j'entendais interprétation genrée de la situation (selon le sexe du protagoniste en fait). Comme vous le disiez on n'aurait difficilement pu interpréter la même situation vécue par une jeune fille comme quelque chose qu'elle aurait pu désirer. Nous ne connaissons encore une fois pas l'entier de la situation, mais je critique cette idée de remettre d'avance en cause l'état de victime de ce jeune homme, parce qu'en tant qu'homme il n'aurait pu être que consentant. C'est en ce sens que j'y voyais une interprétation genrée, ou qui du moins m'interpelle.

    "enfin Octave - aime provoquer avec un humour délibérément incorrect"

    Moué...que vous dire...qu'il veuille provoquer est certain, m'enfin ayant entrevu le bonhomme sur d'autres posts, connaissant ces perpétuels "vomi" (oui c'est méchant) verbal sur la gauche, les féministes et les musulmans, j'ai de la peine à ne pas voir un très gros fond de réalité à son humour. Un peu d'humour est appréciable, mais il devient grinçant lorsque le mépris gratuit dégouline perpétuellement en arrière fond, c'est un point de vue et tout le monde n'a pas effectivement à le partager.

    "Il y a de la provocation dans l'air, une mise virtuelle dans une autre perspective que l'hallali contre cette femme. Car derrière cette provocation relativiste, la question posée était à mon avis: Hors de l'indignation politiquement correcte ou de la valorisation de l'ado, sur quel argument ou raison fondée peut-on condamner cette relation?"

    Personnellement je n'aurais aucune condamnation à apporter à ceci si vous aviez présentez une affaire où, après une relation consentante, les parents s'étaient offusqués de ceci et avaient porté plainte pour abus à la place de leur enfant. Peut-être ceci est il le cas, encore une fois nous n'en savons rien. Nous partons ici d'un postulat d'abus sexuel, et il serait tout de même bien d'en tenir compte. Ensuite honnêtement, si je n'ai rien contre la différence d'âge qui aurait pu être consentie, je me mets tout de même aussi à la place de l'ami dont la mère a eu une relation sexuelle avec un camarade, et le côté perturbant que ceci peut aussi avoir, même en cas de consentance. Sans se draper dans notre pudeur, je crois que chacun peut aussi se mettre à sa place et penser au caractère perturbant de la chose dans une période de vie déjà un peu troublée.

    "de ne pas penser avec la meute"

    Le MLF, les Chiennes de garde, et maintenant la Meute...décidément! (un sourire, vu qu'ils ne transparaissent pas apparemment)

    "Sur l'absence de commentaire à propos de la chasse aux homosexuels, mon impression est que cela coule de source et qu'il n'y avait pas vraiment à débattre. Enfin j'espère. A moins que l'on n'estime qu'un homo n'est pas un humain digne du même respect humain qu'un autre."

    Tout post n'est pas matière à débat effectivement, mais peut être matière à compassion, à réflexion sur les travers de notre propre société, comme votre post sur Lucie. Ici on n'a quasiment rien vu, je trouve ça dommage...

    "J'apprécie beaucoup l'intérêt que l'on porte à mes billets, et j'en suis souvent moi-même surpris car je pense ne pas plaire à tout le monde."

    Oui non mais vous savez, ne pas plaire à tout le monde est souvent la clé du succès, il faut un minimum de "polémique", parler à un "soi-même" peut être amusant un moment mais on s'enlise assez vite tout de même... Si nous étions toujours d'accord avec vous, il n'y aurait jamais matière à débat. Si vous ne plaisez pas à certain-e-s, il reste que vous répondre doit tout de même leur plaire, comme quoi on finit toujours par s'y retrouver :-)

    Bonnes fêtes pascales!

  • @Audrey
    Tout-à-fait d'accord avec vous sur l'inutilité d'une quelconque argumentation. D'autant plus si l'on sait d'avance que l'on se prendra des insultes. Autant se lâcher un peu :-)

    Comme défouloir, je propose un jeu du genre "Ni bite ni couilles". Ce jeu aurait un effet collatéral, celui d'obliger les posteurs à étendre leur vocabulaire.

    Parfois les discussions dévient mais dans la franche rigolade et là c'est agréable. Par contre dans le graveleux ras-terre, bôf. Surtout lorsque comme vous le dites cela discrédite le sujet. Dans ce billet, c'est idem.

    Re tout-à-fait d'accord avec vous sur "les représentations du masculin que se font eux-mêmes des hommes". Et je le redis à hommelibre... y a du boulot...

    @hommelibre
    L'"humour délibérément incorrect" d'Octave, faut le dire vite...
    Cela ne correspond pas à ma définition de l'incorrect, tant c'est prévisible, commun et caricatural.
    J'admets le terme "humour" puisque qu'il semble séduire d'autres mâles.

    Je n'ai pas dit que benpal faisait l'apologie de l'inceste, n'exagérons rien. J'ai juste dit qu'il avait justifié (oui je n'ai pas d'autre mot) l'abus d'une mère, donc de l'inceste, s'il y avait eu plaisir. Et qu'il n'y a pas eu une seule réaction à ce sujet. Mais comme il est absent et qu'il ne peut intervenir, je me tairai un moment sur le sujet.

    D'un côté, vous semblez très tolérant et prompt à excuser, voire justifier les interventions douteuses de certains, et d'un autre vous collez une barbe à Audrey, qui a le mérite de toujours s'exprimer de façon claire et posée en argumentant. Manqueriez-vous de partialité ou ne reconnaîtriez-vous pas vos amis?
    :-)))

  • J'avoue de ne pas avoir lu tous les commentaires, mais j'ai réfléchi cette nuit.
    Cela m'arrive parfois, la preuve.
    Pédophilie et abus sexuels, tel est le sujet.
    Pour moi, un viol est un peu comme forcer la porte d'un domicile sans y être invité ou participer à un repas de mariage sans y être convié. Avec le sexe, c'est un peu la même chose. D'une part, il faut être disposé et avoir envie. Etre invité avec galanterie, cela ouvre les "papilles". Ma chérie, viens voir si la rose est close ... mais forcer le passage devrait appartenir au passé, surtout avec les MLF, les chiennes au sang chaud (je vais me faire des amitiés). Avec l'émancipité, le choix devient réciproque. Fini le viol à la Afghanistan, où le mari a droit au dessert.
    L'amour est parfois la chose la plus triste, souvent la chose la plus belle, mais toujours la chose la plus importante de la vie. Ce n'est pas de moi, mais je le place, car je le pense. Donc imposer sa propre loi à l'autre ne va pas et je le considère comme bestial. Quant à la pédophilie, il y a des hommes et rarement les femmes qui sont attiré-e-s par les ados, trop jeunes, trop immatures. Tant que cela reste des attouchements, des caresses, on pourrait encore fermer un demi-oeil, mais quand il s'agit de sodomie ou de minettes ou pipes, le poil se dressent sur ma tête pas encore chauve. Oui, c'est bestial et sans amour, sans sentiments, juste pour satisfaire ses pulsions du printemps à toutes saisons. Le respect du partenaire devrait interdire des relations avec des jeunes, mais déjà Mohamed, le vénéré, a abusé de son épouse de 9 ans.
    Je ne veux pas jeter la pierre aux musulmans, car les chrétiens et juifs ont fait tant d'attrocités et toujours dans le but de dominer, dominer l'autre en cherchant son propre plaisir. Et pour dominer on a besoin de pognon qu'on se procure d'une façon loyale ou pas. Voilà j'ai dit et j'attends vos réactions.
    Action - réaction ! On n'est certainement pas tous sur la même longueur d'onde et être d'accord avec tout tuerait la conversation, non ? Le dialogue est tellement important partout, j'ai dit dia- non mono...
    Il y en a qui aiment bien s'entendre parler mais ce n'est pas la rhétorique, les belles paroles, ce sont les actes qui comptent, n'est-ce-pas Pierre, Jean et Jacques, John je ne le demandes même pas, car je suis sûr qu'il va prendre le temps de réagir. Quant aux belles filles au bois dormant Boo, Audrey et Pasquale, j'aimerais bien vous éveiller, vous faire sortir de votre "bois"
    Bruno, le bois gentil

  • Coucou, c'est moi ! Bon, mes chères amies, en voici encore deux petites dernières pour la route des fêtes de Pâques.
    Comme vous le dites si bien, vous vous êtes émancipées mais "les femmes seront les égales des hommes le jour où elles accepterons d'êtres chauves et trouver ça distingué" (Coluche)
    Et puis n'oubliez pas que, dans quelques années, va arriver un truc chiant : la ménopause. C'est simple, c'est quand la poussée des poils sur vos jambes ralentit, ceci vous donne plus de temps pour vous occuper de votre nouvelle moustache !

    Allez, je vous adore et vous souhaite à toutes Joyeuses Pâques.
    Votre Octave préféré !

  • Aïe!
    dernière phrase de mon dernier post:
    "Manqueriez-vous d'impartialité?"....

  • @Octave
    Mais vous avez des dons de voyance? Je suis impressionnée!
    Quoi? Nous allons vieillir? Et mourir? Non! C'est pas vrai!?

    J'en reste baba...

  • Pascale, vous n'allez pas vieillir, vous allez prendre quelques années de plus, vous n'allez pas mourir car une femme ne meurt jamais, elle est toujours présente.
    Bisous

  • En effet Pascale, je me disais bien, j'avais déjà corrigé...

    Pour Octave, il a visiblement ses opinions et les assume, comme chacun, mais il ne faut pas sous-estimer son coté provocateur. Il aime bien en rajouter un peu, même des fois beaucoup, je ne partage pas tout mais pour moi il fait partie des électrons libres qui aiment rajouter un peu de délire. Je ne peux prendre sa "misogynie" qu'au second degré. Il y en a d'autres que je ne nommerai pas, avec lesquels j'ai déjà eu quelques prises de becs, que je trouve beaucoup plus malsains et grossiers dans les insultes ou le mépris de leur interlocuteur, et dans leur misogynie.

    Je ne voudrais pas excuser ni justifier, je laisse la place de s'exprimer. C'est vrai que le thème de ce billet devrait susciter une réflexion autre que des gags ras-les-pâquerettes, mais c'est aussi la respiration d'un billet que de diverger parfois. Et comme je n'aime pas jouer le censeur, je préfère que ceux et celles qui ne sont pas d'accord l'expriment, comme vous-même, Audrey et Boo le faites très bien.

    Oui j'ai un peu extrapolé vos propos par rapport à benpal, la fatigue d'une longue soirée... Avec mes excuses.

    Mais ce qui me dérangerait serait d'être partial malgré moi. En fait, si j'apprécie deux personnes qui ne s'apprécient pas entre elles (sauf cas grave), je ne veux pas être mis en position de choisir pour l'une ou pour l'autre, je ne veux pas être arbitre d'un match où je ne suis pas prévu. Mais si je peux atténuer les querelles (si, si, parfois cela m'arrive!!!...) je tente (de camping) de le faire.

    Cela dit je ne laisserais pas passer une insulte trop perfide ou diffamatoire. Une prise de bec est une forme de bisous, pas de baffe... (:o)

    Pour la barbe d'Audrey, ce n'est qu'humour à cause de Calvin. Pas un tacle. Mais vous l'avez bien compris, j'en suis certain, et vous me chicanez un peu ce matin. Grrrrr... J'aurai ma revanche, très bientôt, ce n'est pas Pâques pour rien... Hé hé...

    (:o)

  • Oups... le "(sauf cas grave)" doit être déplacé dans la partie suivante de la phrase...

  • @hommelibre
    "Pour la barbe d'Audrey", en lisant vite j'ai lu "Par la barbe d'Audrey", on pourrait en faire une expression, c'est très classe je trouve :-)

    Oui, bien sûr, en mettant en doute votre impartialité je vous titillais, et ça marche, vous êtes très chatouilleux!
    :-)

  • Pascale: (:o)))) mdr!

    "Par la barbe d'Audrey", ouais, ça le fait bien! Mais bon je ne sais pas si elle va apprécier d'être durablement accolée à cette pilosité aussi luxuriante qu'inadéquate...

    Oui, chatouilleux parfois... Cela dépend des sujets... Raaahhh... je ne suis donc pas parfait...

    (:o((

  • Je ne savais pas qu'Audrey était barbue ! Est-ce elle qui était, dans ma jeunesse, à la fête foraine dans la roulotte de la "femme à barbe" ? A moins qu'elle se soit fait retirer las peau ? Cela devient barbant !

  • *Pascale, bonne fêtes pascales. Quant à Boo, fais le Boo et sois gentille avec tes interlocuteurs ou as-tu un caractère de provoc... en plus d'être femmelibre, MFL mais sans barbe, rasée ?
    Est-ce que les sex-toys rentrent aussi dans les abus ?
    Mais, j'au une belle à vous racconter, appris par un beau mec tyroliens du Sud, mon guide de montagne:
    Une femme entre pour la première fois dans un sex-shop. Elle voit tous ces objets et son oeil ou ses yeux sont attirés par un objet long de couleur verte.
    "Combien cela coûte"?, demande-t-elle au vendeur. "Juste 50 Euros". "Et celui-ci, de couleur bleue"? "52 Euros". "Un peu cher, et alors le rouge?" Le vendeur: "Ah, celui-ci n'est pas à vendre, c'est l'extincteur d'incendie" !!!!!

    Ahhhhhhhhhhh bonnes fêtes de Pâques, avec ou sans oeufs. Et si vous suffoquez de plaisir, pensez à moi qui me trouveras dans les hauteurs, sous ou mieux sur 2 m de neige, en train de contempler la belle nature, en prenant mon pied ou les deux - le nirvana quoi !
    Et sachez qu'on ne réussit jamais à faire une omelette, sans en casser ! C'est toujours mieux que casser les pieds aux bloggeurs par la vulgarité ! La vulgarité et la bêtise font généralement bon ménage !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  • Au sujet de l'intelligence et de la beauté des femmes féministes: je ne révélerai rien qui ne me soit reproché après:)) mais je suis sciée par la maturité (l'intelligence je le savais) des écrits d'Audrey. Certains seraient sur le cul de savoir son âge....quand à la beauté....mes amis masculins et tant d'autres dans la rue se retournent sur une Audrey barbue et disent: quelle bombe! (à barbe, je rajouterai à partir de maintenant). Voilà c'est dit, je vais me faire trucider par ma soeur(?) mais vu les commentaires de Mister Penis Monde (Rocco, c'était vous?) j'ai décidé de me lâcher aussi...

  • *oui, hl = plus court, plus commode, plus ... les femmes discutent sur la vie intime? Quelles femmes, car il ne faut tout de même pas verser tous les Boo etc. dans le même pots. Elle cite la rue de Berne, soit elle y habite, soit elle s'y connaît rudement bien pour envoyer Octave dans le quartier des putes.

    Une pute voulait me la faire. J'ai dit d'accord, si tu le fais comme ma mammi. Vexée, elle répond, bien sûr, tu vas voir, je te le ferai comme ta mammi, même mieux. Une fois terminé l'affaire, elle demande, alors ça va ? Au fait, comment le fait ta mammi?
    Et à moi de répondre "Elle le fait gratuitement" !
    Moralité: Il vaut mieux se renseigner avant d'exécuter.

  • Puisque Etoile de Neige se lâche, moi également : Un type ayant quelques difficultés à "être en forme" consulte son toubib afin d'obtenir la petite pilule bleue. Le toubib lui que, vu l'état de son coeur, il refuse mais lui indique une façon simple pour retrouver de la vigueur : Mettre du Nutella. Au rendez-vous suivant le toubib lui demande : alors avec le Nutella ? Le gars répond : Ma femme n'aime pas mais les enfants en raffole !!!

  • @ Myriam: j'en étais sûr!... Le sourire d'Audrey est (&%Ç#]≠¿´ ¬©∫≈ª¬ßªº∆¬ åƒ~©º€∆º©ß) (hum... censuré). Pas ¨besoin de l'imaginer, je le VOIS dans ma têt'.

    Pffff....

    Bon, EdeN, ce ne sont pas des copines mlf qui racontent les mecs, ce sont des sérial women!... Je reviendrai sur la culture ka du sens, jé pa ré-pondu (Pâques oblige...).

  • *Myriam, tu parles de quel Rocco ? Celui avec son Siff-let ? Avec Mister Penis, j'ai dû manquer une page. Au fait, il parrait que les femmes admirent les grands, mais préfèrent les petits, je parles de hauteur bien entendu. Alors dévoilez-moi vos secrets. Boo doit avoir un sacré collection, mais les écrits peuvent tromper, n'est-ce-pas Octave ? Quant à la Barbe d'Adrey (un fort joli nom entre parenthèse), j'ai aussi une petite histoire à vous racccconter:
    Une femme va chez le chirurgien estétique. Au beau milieu de l'opération, elle sur les 2 joues 2 points noirs. Elle demande, c'est que cela? Oh, ce sont juste les 2 pointes des mamelons. Alors elle dit, stoppez de suite votre opération, je n'aimerais quand-même pas sortir barbue. Oouahh
    J'aime bien les barbes-à-Papa, mais elles sont un peu trop collantes.

  • Je voulais dire, Audrey, à force de tirer la peau ...

  • M'ouais... Les mecs, franchement... Bon puisque c'est la course au pire, j'en essaie une: Un ado boutonneux et libidineux s'inquiète de ne pas avoir de zizi. Il va voir un médecin qui l'examine.

    - C'est grave, docteur?

    - Non, c'est normal: vous êtes une fille...

    Pfff... même pas drôle...

  • @ homme libre et Pascale

    non "Par la barbe d'Audrey" me convient assez, j'aurais presque l'impression de devenir une "référence", et je préfère ça à "stalinienne" pour tout vous dire...

    Pascale, bonne idée le "ni bites, ni couilles", mais pas sûre que le vocabulaire de certains ne sache s'étendre dans d'autres voies...

    @ Octave

    "Est-ce elle qui était, dans ma jeunesse, à la fête foraine dans la roulotte de la "femme à barbe" "

    Comme quoi Boo ne devait se tromper qu'à moitié... Au risque de faire choir votre fantasme pileux, ce n'était malheureusement pas moi. Cependant, à l'instar de la "bête et bigote", je suis certaine qu'elle garde un très bon souvenir de vous!

    @ Etoile

    "Elle cite la rue de Berne, soit elle y habite, soit elle s'y connaît rudement bien pour envoyer Octave dans le quartier des putes."

    heum...comment vous dire...mais qui ne connaît pas la rue de Berne au juste?

  • EdN, je crois connaître les goûts d'Aufrey : Elle aime les grands et les blacks ! (contrepètrie)

  • Aufrey veut bien, Octave. Aimer les glands est une chose que font très bien les cochons. En revanche les "bracks"...je m'interroge encore

  • Cela fait tellement du bien de se lâcher un peu et de passer du sérieux au un tout petit peu moins sérieux. Puisque on est à la pillule bleue, Octave, c'est grave:
    Le médecin lui l'a proscrit. Voilà qu'il l'avale et oh malheur trouve sa femme au volant de sa titine, en train de démarrer pour faire les courses en ville.
    Trop tard. Une folle envie lui prend, l'effet se fait sentir. Catastrophé, il téléphone à son médecin. Celui-ci écoute ses malheurs et dit: " il me semble que vous avez une bonne"! Et lui de s'exclamer: "oui, oui, mais pour celle-là, je n'ai pas besoin de la pilllllule" !
    Finis de blaguer, je pars dans d'autres cieux ou lieux

  • Mais dis donc c'est le serial clashage ici.... et moi qui ai tellement de boulot... pffffff.... quelle barbe!!

    Bon eh bien en 2mots...

    Etoile de Neige... non je ne connais pas grand chose en prostitution mais enfin la rue de Berne est sacrément connue pas besoin d'y bosser pour savoir ce qu'il s'y passe!

    Et Audrey... j'admire également la maturité de vos commentaires et votre intelligence :)
    Je n'ai malheureusement ni la patience (oui oui caractérielle et chieuse...), ni le temps de rentrer dans d'aussi beaux discours (alors venir rigoler un peu ici est un peu tout ce qu'il em reste malheureusement... :( ) et je vous remercie infiniment pour le plaisir que je retrouve à chacun de vos écrits souvent bien plus matures que certains ici présents :)

    Sinon bisous à tous et bonnes fêtes!!!!
    Euh... ps... Audrey... je pense qu'on doit avoir le même âge! échange de mails?? :)

  • Audrey, si je me permets d'intervenir dans ces échanges un peu trop graveleux à mon goût c'est parce que je pense que votre jeune âge fait que peut-être vous ignorez l'argot et le vieux françois. Dans lequel un braque était ce que vous pouvez deviner qui trouvait sa place dans un braquemard, à savoir une culotte. Ou encore un slip...
    Bien à vous et bien du courage avec cette bande de brutes.

  • @ Boo

    merci boo! Très volontiers pour l'échange de mails, si ça se trouve nous évoluons peut-être même dans des cercles communs! En revanche, ne disposant plus depuis la fermeture du mythique caramail que d'un compte composé de mon nom de famille, si vous en avez un un peu plus "anonyme" je vous écrirai volontiers. Non que je n'assume pas mes propos, mais pas envie de me faire flooder sur ma boîte étudiante par le premier abruti qui pourrait passer ici. Et puis qui sait si un-e futur-e employeur ne traîne pas par ici, des propos comme il y en a ici ne feraient pas du plus bel effet:-) Si vous avez une boîte "poubelle" je me ferais donc un plaisir de vous le transmettre.

    @ M. Souaille

    Maintenant que vous le dites, il est vrai qu'il me semble vaguement me souvenir d'avoir entendu "braquenard" dans la bouche de mon père. J'avoue ne pas avoir fait le lien du tout. Merci de m'avoir éclairé, j'étais un peu circonspecte, il faut dire que l'évocation était un peu tordue aussi!

    Bonne fin de journée

  • COUCOU!

    Audrey... voici mon mail "poubelle" : ))) : boo69_666@hotmail.com

    Au plaisir de vous relire bientot!!

  • ce débat est très intéressant. Merci Monsieur Goetelen de l'avoir lancé et de permettre ainsi de voir à quel point il est source d'inspiration et de réflexion chez les uns et les autres.
    Ma pensée est la suivante : effectivement les cas de pédophilie féminine sont hélas moins bien traités que pour les pédophiles hommes. Bon il faut se souvenir que l'émergeance des cas d'abus sexuels sur les enfants ne date pas non plus d'il y a trente ans. L'affaire Dutroux a soulevé la chappe de plomb par rapport à cette problématique qui ne date pas d'hier. Enfin d'autres médecins avaient bien tenté de parler des abus sexuels avant mais ils s'étaient vu foudroyer par une censure pure et dure. Aujourd'hui il faut malhereusement constater que les cas d'abus sexuels sur enfants sont dans une proportion de type "génocidaire" et la justice est totalement submergée par ces cas.
    La pédophilie des femmes existe bien sur en tres grande proportion mais la le tabou est grand et il faudra encore du temps avant que la prise en charge judiciaire de ces criminelles soit prise en compte équitablement par rapport aux criminels hommes.
    Et pourtant, elles sont souvent beaucoup plus perverses que les hommes et plus violentes. Il ne faut pas penser que l'abuseuse est moins "brutale" que l'abuseur bien au contraire! il existe des témoignages à ce sujet qui vous glace le sang (silence, on tue des enfants! de Régina LOUF par ex).
    Donc bien sûr Monsieur Goetelen a raison il faut que justice soit rendue aux victimes, qu'elles le soient d'homme ou de femmes.
    Juste une chose qui me tient à coeur : je ne pense pas Monsieur Goetelen que les fausses accusations soient majoritaires dans les affaires de révélations d'abus. Je sais que vous insistez systématiquement pour faire passer cette idée dans vos messages. Je vous assure que les révélations sont le plus souvent fondées. SVP vous qui lisez ce message ne croyez pas que les fausses accusations sont aussi nombreuses que les accusations fondées c'est une tromperie (sûrement involontaire) mais c'est une tromperie.
    Merci

  • *Vali, j'abonde dans votre sens et suis content de trouver de temps à autre un commentaire digne, tochant le sujet, car desfois cela dévie. Si vous avez envie de correspondre d'une autre façon, je vous donne l'énigme: Allez sur mon blog, prenez la première lettre de mon pénom (b, bien sûr), ajoutez un point et complétez par mon nom de famille (oui ce nom existe également en prénom) et complétez le tout par arobase et le serveur tele2.ch, vous y êtes.
    Comme Boo écrivait à Audrey: nous sommes sur la même longeur d'onde et avons peut-être, vu la sagesse de vos propos, le même âge, quoi à se comprendre.
    Oufh, si ce n'est pas une invitation, c'est alors quoi ? Mais attention, ma femme est très jalouse. Heureusement, comme beaucoup de femmes (encore une provoc), elle comprend tout sur l'info, mais ne rien sur l'informatique.
    Les bises du père Mathis

  • Si j'étais une femme, je serais peut-être la plus grande pute ... pas seulement des Pâquis, car je me laisserais pas abuser par les hommes. Une femme doit être d'abord Mère de famille, Cuisinière et Maîtresse ... quoi de plus ?
    Quant à Audrey, Boo, Pascale et Myriam, je me pose encore la question sur votre sujet! Etes-vous comme les Belges qui font par envie la plongée sous-marine; car au fond, elles ne sont pas si bêtes ?

  • J'ai oublié d'ajouter, oui c'est "Alfred", oui Alred Alzheimer. ça commence déjà, mon Dieu?
    Oui, la plus grande pute, plus grande que Griselidis, comme cela j'entrerais aussi dans le royaume des "Rois". Moi, avec ma laideur, mon nez pointu et crochu et la barbe de paille, je n'ai aucune chance reposer un jour, note le plus tard possible, entre Calvin et Grigri que je n'ai malheureusement pas connue, ni la rue des Etuves, ni la rue de Berne, ni ... Moi, je ne fréquente que des clubs et bars cosy. Cosy soit qui mal y pense !

  • Oufh, John, j'ai fini de me lâcher. Le coeur léger, je me tourne vers d'autres aventures ... et là, si vous comprenez un peu beaucoup l'allemand: "Da schweigt des Sängers Höflichkeit" ! Par ailleurs, un peu de réclame, je prépare avec 149 autres chanteurs (mixtes) mon concert en novembre au ... pardon du peu ... Victoria-Hall à Genève. Et que nous vous présenterons? Carmina Burana de Carl Orff, version 2-pianos. Vous n'êtes pas obligé-e-s d'y participer en tant que spectacteurs, mais cela me ferait tellement chaud ... au coeur (entre autres, le célèbre et fameux Coeur d'Echo d'Onex, que vous avez certainement déjà entendu à la Radio Suisse Romande, n'est-ce-pas. Psssscht, je ne voulais pas utiliser ce canal pour publicité. Tantpis, c'est fait
    L'incorrigible Bruno

  • @Etoile de Neige : "Si j'étais une femme, je serais peut-être la plus grande pute ... pas seulement des Pâquis, car je me laisserais pas abuser par les hommes." On voit que vous n'êtes pas une femme ... c'est chiant de faire la pute à longueur de journée, sur les trottoirs comme dans les bureaux!

  • *Soleil d'hiver, oui la vie peut être chiante, de nous à la rendre belle. En principe, nous sommes tous né en bonne santé, à nous la maintenir par la Muse, le Sport etc. ... et de ne pas brûler la chandelle par les 2 bouts. Le bien-être est dans le prix. Si vous voulez, vous pouvez toujours consulter mon blog. Assuré, c'est gratuit ! Soleil d'hiver, nous avons entamé le Printemps. Ne voulez-vous pas adapter votre pseudo, car le soleil du printemps est plus réparateur, après celui d'hiver, celui qui fait monter la sève, celui qui fait "éclater" la Nature.
    Quant au sujet Pédophilie, encore souvent tabou, je suis heureux qu'enfin on arrive à attraper les gars de la Cyber-pédo, également nocif pour notre Société.
    La justice privilège les femmes, pas seulement en pédo ... Est-ce la loi du nombre qui fait pencher la balance ou est-ce le délit moins perverse ?

  • Restez en surface Etoile de Neige, même l'apné ne peut rien pour vous.

  • C'est vrai que le sujet est rarement traité sous cet angle. J'ai eu l'occasion une fois d'évoquer le cas d'un ami homosexuel traumatisé par les attouchements déplacés par sa mère dès son plus jeune âge (bébé dans sa baignoire).

    Un roman vient de paraître : "POUPEE". L'auteur-le narrateur est un homme racontant son enfance, du harcèlement troublant pratiqué par sa mère ...
    et sa grand-mère.

    Bien écrit, il ne verse jamais dans le pathos moi-je, moi-je.

    p.s. : wahoo, passé les 90 commentaires!

  • *Micheline, je n'ai pour le moment pas eu le temps, ni le courage de lire les 91 commentaires et je ne vais certainement pas lire la "Poupée", car un ami m'a prêté un livre passionnant sur la vie difficile des juifs depuis Jésus Christ à aujourd'hui. Que le roman présente quelque valeur littéraire, je ne veux pas m'exprimer, mais tous les "victimes" pourraient éditer ou faire éditer un livre, même dans l'esprit de monnayer les "aventures" !
    Quant à la remarque amusante de ma chère Audrey (j'adore feu Audrey Hepburn, bien que Katharine n'était pas mal non plus) : "restez en surface Etoile de Neige, même l'apnée ne peut rien pour vous", je veux suivre votre conseil et surfer sur la vague ! C'est vrai, à deux cela irait mieux, car pour danser le tango il en faut être deux !!
    Permettez-moi de citer une histoire vraie, si le conteur a dit vrai:
    Un homme admiratif est assis au bord du Léman et gesticule: "un miracle, un miracle !". Au bout d'un moment une dame élégante va vers lui: "c'est quoi, votre miracle"? et lui de répondre: "vous vous rendez compte, hier ma femme ne savait pas nager, et aujourd'hui elle fait de l'apnée depuis une demi-heure" !

    J'espère avoir pu apporter dans ce triste monde quelques secondes de gaiété et donc rendez-vous fixé au jeudi 23 avril sur la Place de Nations; je prendrais le pique-nique de midi, à vous d'apporter le liquide, pour deux.

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