Les décolletés à la télé.
Je regardais C dans l’air le 21 mai dernier. Le sujet programmé était la situation en Nouvelle-Calédonie. Assez rapidement mon regard s’est porté sur les femmes présentes.
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Les décolletés à la télé.
Je regardais C dans l’air le 21 mai dernier. Le sujet programmé était la situation en Nouvelle-Calédonie. Assez rapidement mon regard s’est porté sur les femmes présentes.
De par Dieu, ne l’appelez plus Gérard !
Gérard se lâche comme un ado qui ne connaîtrait pas les smartphones. Il semble oublier qu’il est filmé. Ou bien non: il le sait et en jouit. Il dit des grosses provocations face caméra. Il s’en fiche de la caméra. C’est Gérard.
Petite touche sexiste sur Arte.
J’ai découvert par hasard cette émission diffusée par la chaîne Arte: Karambolage. Une capsule dont je ne sais si elle doit être drôle, informative ou sarcastique. Celle que j’ai découverte dure 3’14’’, et le moment utile commence à 2’06’’ de la vidéo en fin de billet.
Revoir l’éducation des garçons (4-2) : rapport de force, deuxième partie.
L’éducation du garçon peut prendre plusieurs aspects. Le cognitif, bien sûr: il faut expliquer les choses. L’explication doit cependant éviter l’écueil de la stigmatisation du masculin.
Revoir l’éducation des garçons (4) : rapport de force.
J’aborde aujourd’hui un point très sensible. Les corps déterminent des possibles. La différence moyenne de force entre femmes et hommes détermine la relation à la violence physique.
Arrêt sur image : #SheToo ou le sexisme invisible dans le foot.
Invisible et pourtant sous nos yeux. Invisible parce que trop admis comme naturel. Habillé de bonnes intentions il n’en prolonge pas moins un stéréotype aussi désagréable qu’injuste.
L’affaire du pictogramme sexiste.
Nouvelle polémique genrée en France. Cela manquait. Heureusement Madmoizelle.com veillait. Le site féministe est monté au créneau pour saluer l’effort de la SNCF.
Deux formes subtiles de sexisme : l’affaire du parking rouge et le concours d’éloquence. (Republication d'une note parue dans l'ancien portail de la TdG)
Dans la peau d’agneau d’une présumée bonne cause, légitime et tout et tout, se glisse parfois le diable discret du politiquement correct. Le résultat est la création d’un nouveau sexisme. Deux exemples.
Ciel! Le dictionnaire Petit Robert en ligne a franchi le pas. Il a inscrit le pronom « inklusif » iel dans ses pages. Pour il et elle, ensemble. Ma mère, fervente lectrice, qui possédait le Grand Robert en je ne sais plus combien de volumes, doit se retourner dans sa tombe.
Renvoi particulier puisqu’il s’agit de détourner une image et de lui faire dire autre chose sur le même thème. L’image 1 est une publicité pour le No d’urgence 147, avec un visage de femme en gros plan (clic pour agrandir).
Quelques commentaires extérieurs sur les amusantes différences femmes-hommes dans Koh Lanta. Ils sont tirés de l’excellent magazine Causeur sous la plume de Nicolas Lévine. Pour le journaliste, ça chiale un max sur les camps.
Comme écrit précédemment le syndicat n’est pas à son coup d’essai. L’ancienne présidente Lilà Le Bas avait déjà mis en place des réunions non mixtes entre 2016 et 2018. Plusieurs femmes membres de l’organisation avaient accusé de viol, d’agression ou de harcèlement certains responsables masculins.
Elle déploie un marketing assassin. Avec sa candeur et sa voix accrocheuse elle alimente sans complexe le mouvement néo-raciste. Et personne ne trouve trop à y redire. D’aucuns ont été condamnés pour des propos moins graves.
Andrea Novicov devrait-il se suicider? Ce serait la meilleure manière de disparaître. Il serait cohérent. Car le directeur du Théâtre de l’Orangerie (TO) déclare une guerre sociale et le dit ouvertement: il veut la chute du mâle blanc. Lui-même étant un mâle blanc, il doit donc rapidement se faire disparaître.
Si en 2008 l’élection de Barak Obama m’avait enthousiasmé, certaines de ses décisions politiques m’avaient ensuite douché. En particulier les mesures sexistes qu’il avait imposé aux universités.
Cette petite phrase discrète fait mal. Ou mâle. Les tenancières du langage inclusif subissent un camouflet. Je publie ci-dessous l’infographie qui accompagne l’article qui a inspiré mon précédent billet. Ce graphe illustre, en pourcentage, l’exposition des femmes au risque du Covid-19.
Il faudra peut-être créer des espaces réservés aux hommes. Et des émissions radio et télé cryptées rien que pour eux. Et des salles de retrouvailles entre mecs où ils puissent se déstresser et être solidaires quand ils sont agressés.
À première vue ce que dit Denis Brognard est plutôt gentil pour les gagnantes. Il souligne avec insistance la présence de deux femmes en tête de la finale. Il y ajoute l’aura du petit qui gagne contre le grand. La légende de David et Golliath sert la victimisation féminine.
Le sujet a déchaîné les justiciers de Twitter. Il s’agit du clip sur le mondial féminin diffusé le 17 juin dans le JT de Jean-Pierre Pernaut. On y voit des joueuses filmées au ralenti, avec gros plans sur les mains qui touchent le ballon. Le commentaire est jugé sexiste.
Ce livre vient à point pour combler une lacune. On parle beaucoup de sexisme, on le dénonce, avec raison mais aussi avec exagération. Et surtout avec omission: on ne parle presque jamais du deuxième sexisme.