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Canada: la politique hyperféministe laisse les hommes sur le carreau

Le Canada en Général, et le Québec en particulier, a mené ces 30 dernières années une politique féministe très agressive sur la société et contre les hommes. On est allé si loin qu’aujourd’hui certains envisagent sérieusement une politique de discrimination positive… en faveur des hommes. En particulier dans l’enseignement.

quebec_grande.jpgCertains se souviennent  du vaste mensonge des 300‘000 femmes battues par année au Québec. Cette province canadienne étant peuplée d’environ 3‘200’00 femmes, mineures, célibataires et personnes âgées veuves comprises, il ne fallait donc que 5 ans pour que toutes les femmes en couple y passent! Cette tartufferie est due à une féministe des années 1980, Linda McLeod, qui avait alors extrapolé un chiffre sans aucune réelle étude documentée.

Le mythe des 300‘000 s’est répandu grâce au Conseil du Statut de la Femme à toutes les sphères de la société, au point où il a figuré pendant des années sur les documents du Ministère de la Justice. Ce chiffre était pourtant totalement démenti par Statistiques Canada, l’organisme le plus pointu en matière d’analyse de la violence conjugale (où il apparaît entre autres que les hommes du Québec sont autant victimes de violence conjugale que les femmes) et par le nombre de plaintes déposées et surtout de condamnations (moins de 4‘000 par an). Pendant des années, grâce à ce chiffre, le féminisme de la Belle Province s’est enrichi d’environ 500 millions de dollars canadiens par année. 500 millions! Le groupe de L’Après-Rupture en a fait un dossier édifiant à lire ici.

Aucun soutien pour les hommes battus, une criminalisation à tout va, des hommes emprisonnés sur un simple coup de fil de la conjointe qui se sentirait «menacée» - par exemple lors d’une dispute verbale entre époux. Le Québec montre à quoi tend une société sous domination féministe.
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Un autre aspect, dénoncé depuis des années par des organisations d’hommes, vient de rebondir: les hommes lâchent de plus en plus les études, et il n’y a parfois quasi plus de candidats aux postes d’enseignement. Au point où il est suggéré maintenant de faire de la discrimination positive… en faveur des hommes!

C’est le quotidien «Le Temps» qui relate cet état de fait dans son édition du 9 octobre sous la plume de Ludovic Hirtzmann.

Il n’y a presque plus d’enseignants hommes au Québec. Les garçons n’ont plus de modèles masculins et se détournent de plus en plus des études. C’est ce qu’on appelle le décrochage scolaire.

«Tous les experts s’accordent à dire que cela désoriente les enfants. Le tiers des garçons n’obtiennent pas leur diplôme d’études secondaires, ce qui obère toute possibilité d’en faire des enseignants par la suite… La multiplication des accusations de violence ou de harcèlement sexuel, parfois à tort, a beaucoup refroidi les hommes».

Pourtant, selon Egide Royer, professeur à l’Université de Laval: «L’an dernier à Québec, nous avons eu quatre accusations de voies de fait… Parfois c’était un prof qui prenait l’élève par le bras pour le faire sortir de la classe… Il faut que les hommes cessent d’être perçus comme des abuseurs potentiels et qu’il y ait un regard positif en faveur de ces derniers.».


A l’Université de Montréal les hommes sont en minorité dans toutes les disciplines. Ils se tournent de plus en plus vers les métiers manuels. Egide Royer suggère qu’un mentorat soit institué en faveur des hommes pour les soutenir et les accompagner vers des études plus poussées. La ministre féministe Michelle Courchesne évoque du bout des lèvre la possibilité d’une discrimination positive en faveur des hommes.

Cette situation montre clairement les effets négatifs de la discrimination positive, en je ne pense pas qu’il soit souhaitable d’en instituer une pour les hommes. Le balancier ne s’arrêtera pas.

Ce qu’il faut, c’est simplement l’égalité: égalité des chances, égalité de valeur, égalité de respect.

Mais pour cela, les canadiens devront d’abord en finir avec le féminisme.


PS: Les otages suisses en Libye n'ont,semble-t-il, pas trop de soucis avec le féminisme, retenus qu'ils sont contre leur gré depuis plus de 14 mois...

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Catégories : société 38 commentaires

Commentaires

  • Très juste! La grande nouveauté est que le féminin devra prédominer sur le masculin dans la langue franco/québécoise (incompréhensible) contrairement au Français! Déjà que leur accent me fait grimper aux murs........

  • Tous les grands combats, mouvements, idéaux, aussi légitimes soient-ils, deviennent contre-productifs - voire préjudiciables - lorsqu'ils sont conduits à leur extrême. Se battre pour des droits qu'on n'a pas est une évidence, savoir s'arrêter lorsqu'ils sont acquis en est une également.
    L'acquisition de droits nouveaux n'induit-t-elle pas l'acquisition de nouveaux devoirs?

  • Merci pour cet article, qui confirme ce que j'ai vu en vivant un an au Québec.

  • Wow, pour être un homme québécois de 28 ans du Québec je peux dire que cet article est totalement rétrograde, inculte des réalités québécoises et de son histoire et s'inspire d'un mouvement masculiniste minoritaire et considéré par la plupart des hommes sensés comme d'arrière-garde et totalement erronné. http://www.ledevoir.com/2003/09/24/36762.html

    Très triste et désolant intellectuellement cet article d'outre-mer.....

  • @ Blaise:

    Wow, vous devez vivre dans une bulle... Mais bien, vous citez un article Francis Dupuis-Déri. Il a cosigné un livre sur le masculinisme. L'une des auteures de ce livre avait affirmé lors de sa sortie que la lutte des genre est une lutte de classe, reprenant ainsi le thème guerrier du féminisme des années 70 pour qui l'homme était le patron-exploiteur et la femme la prolétaire victime.

    Difficile donc d'imaginer que ce féminisme-là, auquel vous semblez souscrire en citant cet article, soit à même de dialoguer hors de son biais initial et de sa certitude de détenir une vérité indiscutable.

    Les nombreux hommes du Québec qui ont été broyés par la machine féministe apprécieront...

    Les faux chiffres de violence, dont les 300'000, véhiculés par le mouvement féministe du Québec, n'est qu'un épisode de plus de la guerre faite aux hommes dans la Belle province.

    Dommage que vous n'utilisiez qu'un vocabulaire marxiste rétrograde pour critiquer. Fautes d'arguments sans doute?

  • @hommelibre

    Vous faites encore preuve de grandes lacunes intellectuelles et c'est malheureux puisqu'en ce sens un dialogue rationnel et sérieux est impossible. Vous voyez de ma part un argumentaire marxiste dans mes trois lignes? Faudrait m'expliquer....

    Deuxio, il faut parler du livre et de son contenu avant que de tirer sur son messager. Hors, comme vous n'avez pas lu ce livre, cette discussion est impossible avec vous. C'est malheureux.

    Troisièmement, Dupuis-Déry quant à lui n'est pas marxiste, comme je ne le suis pas non plus, étant libéral (Dupuis-Déry est un anarchiste). C'est donc la preuve que des individus d'horizons différents peuvent discuter et réfléchir sans rester cloisonner dans des écoles de pensées. J'espère que vous êtes capable de la même ouverture et intelligence.

    Et pour finir, je ne vis pas dans ma bulle monsieur, mais au Québec. C'est déjà un peu plus proche du terrain d'étude que vous dépeignez très mal colportant des affirmations fausses. "A l’Université de Montréal les hommes sont en minorité dans toutes les disciplines". Aille aille aille Monsieur, vous avez beaucoup de recherches à faire encore (je mentionne également en passant que les hommes sont majoritaires de manière flagrante dans les études supérieurs de toutes les universités).

    En attendant un peu de sérieux de votre part, je vous passe cordialement le bonjour du Québec.

  • @ Blaise:

    En ce qui concerne les chiffres, ils proviennent du journaliste canadien que je cite.

    Les mots et le ton que vous employez sont du même acabit que les termes employés par l'extrême gauche pour décrédibiliser les adversaires en les faisant passer pour "rétrogrades", ce qui ne saurait de toute évidence être un argument critique d'un grand niveau intellectuel.

    Je constate qu'à part traiter ceux qui contestent l'idéologie dominante féministe de rétrogrades, vous ne contestez ni le chiffre des 300'000, ni les millions de dollars gagnés par les associations féministes qui présentent les hommes comme un danger et ont influé sur les lois d'exceptions mises en place contre les hommes, ni le fait que l'une des auteures a assimilé la lutte des genres à la lutte des classes. Dont acte.

  • @ Bonjour blaise

    "mouvement masculiniste minoritaire" franchement je ne vois pas le rapport parce qu'un mouvement est minoritaire que ce qu'il dénonce serait faux, où serais-tout d'un coup rétrogade, explique moi par quel tour de passe passe les féminazies québecquoises serais tout d'un coup devenues des saintes, comment une guerre anti-hommes d'une telle ampleur n'existerait plus tout d'un coup, et si c'était vrai serais ce une raison pour insulter comme tu le fais des hommes qui onts été détruits par ce féminisme malsain.
    "totalement erronné." l'invention par linda Mc leod de 300 000 femmmes ça c'était erroné oui, elle là reconnue elle même, ne te trompe pas dans ce qui est erroné, soit un peu plus lucide, tu est un peu naïf pour croire aux mensonges, aux exagérations et à la mauvaise foi des féministes, et à leur fumisteries genre le massacre de polytechnique serait une preuve de la violence contre les femmes. c'est quand même étonnant que Criticus qui a vécu un an au québec a un avis inverse du tien !!!! tu dois vraiment avoir des oïlléres grand format.

    http://www.lapresrupture.qc.ca/300000.html

    http://www.philo5.com/Feminisme-Masculisme/991206%20La%20violence%20faite%20aux%20hommes.htm

  • @ Blaise.

    http://www.ledevoir.com/2003/09/24/36762.html

    même si encore beaucoup de luttes restent à mener ici (équité salariale, violence conjugale, etc.)

    équité salariale, les femmes n'onts pas les mêmes compétences ni les mêmes centres d'intérets que les hommes, ni la même ambition et travaillent donc dans des domaines moins rémunérateurs, nul discrimination là dedans comme veulent nous le faire croire le féministes, un simple constat, de la différence des hommes et des femmes.

    http://www.science.ca/scientists/scientistprofile.php?pID=10&pg=1&-table=activities&-action=list&-cursor=0&-skip=0&-limit=30&-mode=list&-lang=fr

    "la violence conjugale" de récentes études au québec prouvent quelle est assez bien répartie entre hommes et femmes au québec !!!

    le début de l'article est déjà le relais du mensonge féministe !!!

    "et ailleurs dans le monde (scandale de l'excision, diverses lois interdisant aux femmes de voter, de travailler, etc.)."

    je ne vois pas ce que cette phrase vient faire ici, dans un article sur le québec je pense que c'est pour faire du victimisme.

    "Plusieurs hommes du Québec se réjouissent des victoires du féminisme, synonymes de liberté, d'égalité et de justice. "
    ces hommes doivent avoir des oeilléres, parce que franchement je ne vois pas où ils voient de l'égalité et de la justice.

  • @ Blaise

    Suite exemple de l'inégalité des hommes par rapport aux femmes.

    http://www.hommecible.com/www.hommecible.com/sexisme_anti_hommes_misandrie.html

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/07/21/quebec-anti-hommes-un-juge-denonce-la-politique-de-la-violen.html

    dans cette réalité là elle est où la justice amenée par le féminisme.
    c'est plutôt l'injustice que le féminisme a amené !!!!

    "évoquant sans subtilité aucune la «domination» féministe"
    il ne me semble pas que le féminisme fasse preuve de beaucoup de subtilité, dans son entreprise de démolition des hommes.

    "voire le «féminazisme», expression qui insulte à la fois la mémoire des millions de victimes réelles du nazisme "

    où est l'insulte, la comparaison est très vraie, entre le niveau d'injustice dont est capable le féminisme, et celui dont était capable le nazisme.

    elles feraient ces féministes de ne pas insulter les millions de victimes hommes, toutes les familles quelles onts brisées. c'est pourtant ce quelles fonts sans aucune pudeur, sure de leur domination.

    "Les «masculinistes» (c'est le terme qu'ils utilisent) affirment que l'identité masculine est aujourd'hui bouleversée, voire méprisée, et exigent donc quelle soit (re)valorisée. L'ensemble du discours masculiniste est traversé par une volonté de simplifier la réalité sociopolitique et de tout expliquer par une cause unique (l'émancipation des femmes)."

    non ils subissent surtout une pédagogie négative.

    "Les garçons eux, ont subi une pédagogie négative. « Ne fais pas comme ton grand-père et ton père » proclament les nouveaux commandements. Dès la maternelle, les garçons sont plongés dans un univers quasi exclusivement féminin et cela se poursuit d’ailleurs au primaire. Les maîtresses, consciemment ou pas, les souhaitent souvent sages comme des filles, attentifs comme des filles, appliqués comme des filles. S’ils s’agitent, bousculent certains enfants, crient trop fort, on parlera d’agressivité et pourquoi pas de violence, transformant des tiraillages de garçonnets en comportements pré-pathologiques. Et vivement les pilules calmantes ! "

    le féminin est devenu plus qu'un sexe un idéal

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?article13

    "Constatant que les garçons réussissent moins bien que les filles à l'école, voilà qu'on invite des soldats, des policiers, sans oublier le char d'assaut, l'hélicoptère de combat et la pelle mécanique. "

    quel mépris dans cette simple phrase.

    "Or des études universitaires ont démontré que c'est précisément lorsque les garçons s'identifient le plus à des modèles masculins traditionnels qu'ils réussissent le moins à l'école. "

    ah oui quels sonts ces études universitaires.
    ça ne serait pas plutôt parce que les garçons n'onts plus de modéles masculin

    "depuis des décennies, nous sommes employés à dévaloriser l’image de l’homme, du père en particulier. Les hommes eux-mêmes ont contribué à cet effondrement symbolique en fuyant leurs responsabilités paternelles. Les générations de garçons sans père qu’ont bien décrites Guy Corneau et tant d’autres ont engendré des fils fragiles. "

    "Le plus répugnant dans le discours des masculinistes reste encore l'instrumentalisation qu'ils font des suicidés. Vrai, de trois à quatre fois plus d'hommes que de femmes s'ôtent la vie au Québec (le texte de Jobin y fait explicitement référence). Les masculinistes semblent suffisamment clairvoyants pour n'y voir là rien de bien mystérieux: les Québécois se suicident plus que les Québécoises parce qu'ils sont mal dans leur peau d'homme (implicitement: le féminisme assassine). Je n'ai pas cette prétention d'expliquer si facilement le mystère du suicide, surtout que j'ai consacré quelques minutes à consulter les statistiques et que j'ai découvert une réalité plutôt complexe.

    Ainsi, le Québec a l'un des taux de suicides masculins et féminins les plus élevés au monde. S'il est vrai qu'environ trois à quatre fois plus d'hommes que de femmes meurent de suicide au Québec, cet écart est stable au moins depuis... 1950, soit bien avant la supposée tyrannie féministe. Et cette écart hommes-femmes est similaire dans tous les pays (voir H. Kusher, American Suicide, 1989). Par ailleurs, le taux de tentatives (ratées) de suicide est à peu près identique pour les hommes et les femmes. Si les hommes ratent moins leur suicide que les femmes, c'est parce qu'ils préfèrent utiliser des armes à feu. Et ils utilisent plus d'armes à feu que les femmes précisément parce que l'identité masculine traditionnelle est encore associée aux guns, à la police et à l'armée... "

    bizarre l'avis d'yvon dallaire est différent.

    5. Que le divorce et le suicide des hommes sont intimement reliés

    http://www.philo5.com/Textes-references/DallaireYvon_LiberationDeL'Homme_020125.htm

    il y a bien beaucoup plus de divorces qu'il y a cinquante ans, étonnant alors que l'écart soit sois-disant resté le même.

  • d'après mon expérience de vie au Québec, qualifier ce qu'y passe de féminisme nuit énormément à un mouvement et à des revendications légitimes.

    Le féminisme à la québécoise n'est que le produit d'une société très médiocre et de problèmes catholiques moyenâgeux très particuliers (viol des filles par leurs pères).

    Par contre personne ne parle des garçons qui furent violés systématiquement par les prêtres. Dans un patriarcat les hommes ont peu d'excuses pour se poser en victimes d'une société. Et dans le contexte médiatique d'aujourd’hui, on écoute celui qui hurle le plus fort.

  • @ Benoit

    "d'après mon expérience de vie au Québec, qualifier ce qu'y passe de féminisme nuit énormément à un mouvement et à des revendications légitimes. "

    excusez moi je n'arrive pas à comprendre le sens de votre phrase.

    " Et dans le contexte médiatique d'aujourd’hui, on écoute celui qui hurle le plus fort."

    dans le cas du québec ce sonts bien les féministes qui hurlent le plus fort, on connais l'influence quelles onts au gouvernement !!!

    " Dans un patriarcat les hommes ont peu d'excuses pour se poser en victimes d'une société."

    vous voyez un patriarcat où, vu la politique de la tolérance zéro mise en place par les féministes, et tous les abus qui s'ensuivent, contre la violence conjugale.

  • Avant de discuter sur le féminisme du Québec, il serait bon de lire la recherche complète de L'après-rupture:
    http://lapresrupture.qc.ca/Le%20scandale%20des%20fausses%20statistiques.htm

    Vous comprendrez alors que la totalité du mouvement féministe québécois est basée sur des mensonges...qui ont rapporté aux groupes féministes depuis 25 ans plus de 10 milliards de dollars

  • @ jean claude

    j'ai mis ce lien plus haut, donc tu vois je connais le sujet.

    http://www.lapresrupture.qc.ca/300000.html

    mais benoit et blaise ne connaissent que le tapage féministe eux

  • Je suis content de voir qu'il peut y avoir débat sur la question. Mais franchement, il y ici trop de raccourcis pour que le chemin soit plaisant. À bon entendeur salut, j'ai d'autres chats à fouetter. Pendant ce temps, pauvres hommes castrés, souffrez! Moi, pour ma part, je jouis et j'en suis heureux!

    Blaise

  • @ Blaise:

    Je comprends que vous préfériez passer votre chemin. Car pour qu'il y ait débat il faudrait amener des arguments, et non de simples affirmations non étayées. Or, d'argument vous n'en avez amené aucun.

    Vous partez parce que le chemin n'est pas plaisant? Il ne l'est pas parce qu'il ne va pas dans votre sens? Ma foi, je ferai une réponse caricaturale à votre propre caricature méprisante et insultante ("pauvres hommes castrés"): pour tenir un débat contradictoire, il faut "en avoir"...

    Et comme visiblement vous n'en avez pas, je comprends votre inféodation au féminisme québecquois et votre aveuglement de toutou.

    Voilà, je me suis mis à la hauteur de vos interventions.

  • Cet article présente un tableau tout à fait juste de ce qu'il n'est pas exagéré d'appeler le "totalitarisme féministe" du Québec - ou j'ai vécu plus d'un quart de siècle -.

    Et comme le fait remarquer un posteur plus haut, ce féminisme détraqué est en effet un avatar du marxisme - ou l'ennemi de classe est remplacé par "le mâle", empruntant au communisme beaucoup de ses thèmes et de ses méthodes.

    Attention cependant, il serait incorrect d'attribuer tous les maux du Québec au "féminisme", qui n'est qu'une conséquence de l'organisation socio-politique collectiviste qui prévaut au Québec depuis la révolution tranquille.

    Les effets oppressifs de ce collectivisme se constatent aussi bien dans les persécution bureaucratiques d'une machine gouvernementale hors de contrôle - qui gaspille à elle seule la moitié du PIB de la province, sans qu'on puisse rien y faire apparemment -, que dans le pouvoir maffieux des syndicats ou les procès quasi-staliniens menés au nom du fémi-fascisme dont il est question ici.

    Définitivement, une région du monde à éviter.

  • L'affaire Dupuis-Déri:

    http://www.politiquebec.com/forum/viewtopic.php?p=398183&highlight=#p397407

  • Autre chose:

    Tapez `discriminations systémiques´ dans GOOGLE, juste pour voir ce que donne le premier lien:

    Pour les paresseux, voici:

    http://discriminations-systemiques.blogspot.com/

  • En passant, suite à ces textes:
    http://www.politiquebec.com/forum/viewtopic.php?p=398183&highlight=#p397407 ,

    Dupuis-le-menteur-Déri, a perdu son poste a l'université de Montréal. Je m'étais assuré que tous les profs que frequentaient Déri, reçoivent une copie de mes courriels et textes sur lui.

    Quoi?

    Il faut ce qu'il faut !
    Je mérite mon titre de méchant, très, méchant masculiniste, bon !
    Décrire la réalité, c'est devenu un acte méchant!
    ;-)

    En passant, que la très -pas- sérieuse université UQAM , ose lui donner une tribune et -un peu- de crédibilité...

    UQAM = université de ¬¤¦¦²²¬¤7%?&(&**?%(&?%*&/£/3333z/£££±@£¢¤¬¦²²³³¼½½¾½¼][¶/" socio-constructiviste, par excellence !

  • Dernier détail:

    Saviez-vous que les hommes et les jeunes hommes du Québec n'ont presque PAS d'aide spécifique au Québec... mais que les femmes et les groupes de femmes ont environ 700 000 000 $ ANNUELLEMENT:

    Portrait du soutien financier gouvernementale pour les organismes de femmes SEULEMENT:

    http://www.quebec-politique.com/index/viewtopic.php?f=3&t=10216&p=169543#p169543

  • les quotas, la parité en faveur des femmes sont des idées d'équité absurdes, ce qui nous faut ce sont des personnes compétentes et surtout que leur vision politique tienne compte de l'environnement et des autres parties prenantes. On ne peut plus à l'heure d'aujourd'hui gouverner avec dogme et pensée unique. Mme. Salerno nous démontre que sa gouvernance à la ville est calamiteuse et sans résultat. La nomination de Mme Garbani pourra-t-elle assainir les affaires ? Si Mme. Pürro est de la même trempe, ce n'est pas bon pour le Canton.

  • @ hommelibre, @ blaise… et tous les autres québécois aveugles.

    Au Québec, les hommes subissent, depuis leur enfance, à partir de la maternelle, un lavage de cerveau systématique qui leur enseigne que la femme est supérieure à l’homme. Une fois adultes, ces demi-hommes sans couilles perçoivent normal que la québécoise les domine, ou si vous voulez, cela devient normal pour les québécois sans couilles de se soumettre comme des larves. Les hommes québécois deviennent complètement aveugles comme blaise et hommelibre.
    Blaise et hommelibre et les autres castrés, Il ne vous reste que de passer à la boutique pour vente de matériel masochiste (cuir latex….) je pense qu’il ya une au centre ville sur la rue ou il y des prostituées (que ne citerais pas).

  • @ sami cheik:

    Dis moi gros coco gros couillaud, mais tu es vulgaire! Tu peux traduire en arguments intelligibles ton commentaire qui sent le slip mal lavé? Et puis tu pourrais nettoyer tes yeux et lire correctement, parce que si tu m'assimiles à Blaise je crois que tu devrais resserrer tes neurones: mon billet n'est pas de la pommade pour féministes!

    J'ai horreur des gros mal lavés sentencieux qui puent du bec et ne savent aligner que du "castré", "larves", "couilles". L'inculture est aussi une tare, mais contrairement au féminisme je ne suis pas certain qu'elle se soigne, et si tu ne sais pas lire et que tu viens m'insulter encore une fois, je te jette hors de mon blog.

    Je défends les hommes, pas les gros tas...

  • L'article à la base de ce débat est déjà bien loin des considérations actuelles quand à la définition sexuelle, son importance et son impact sur la société québécoise. La définition de cette identité et de ces enjeux entre dans une nouvelle ère; on ne parle plus de féminisme, ni de masculinisme, on parle d'études des genres, ou comme les universités anglophones l'ont comprises, de queer studies. La notion d'identité sexuelle primaire devient de plus en plus désuètes, et il faut remettre en question la division homme et femme comme source d'un quelconque savoir. Cela étant dit, si les sources de l'article sont fiables, même en tant que femme s'il faut cocher une catégorie et ses clichés associés, je considère qu'on ne mets pas assez d'emphase sur les hommes battus (Cela ne voulant pas dire qu'on en mets trop sur les femmes battus). Pour le reste, oui les garçons décrochent plus au secondaire, mais ils sont aussi majoritaires dans les cycles supérieurs, les femmes ne reçoivent toujours pas en moyenne un salaire aussi élevé que les hommes mais on leur reproche de gouverner par en-dessous. Entendons-nous, notre débat est un débat de perception où chacun choisi les statistiques lui convenant pour appuyer son point, ma perception me porte plus à choisir le parti de l'humain et m'enquérir sur les nouvelles identités sexuelles interchangeables, en somme, d'arrêter le débat entre la femme victime et l'homme gros bras, entre l'homme victime et la menace fantôme de la féministe radicale. Il n'y aura pas une façon d'analyser la place de l'individu dans sa société sans jouer à l'archétype du classement par opposition, d'analyser ces données dans une optique plus actuelle comme celle de mes confrères Y ?

  • @ Bonsoir claudia

    on a déjà une adepte des études de genre sur le forum, je cite "Audrey", on a déjà beaucoup débattu sur ce sujet dans des billets des mois précédents, on ne connais pas ta réparti, mais si tu lui ressemble eh ben ça promet !!!!

  • @ hommelibre

    Tu comptes soigner le féministantisme québécois !!!!! Je te souhaite bonne chance.

    Quant au slip, on peut toujours utiliser des produits insecticides. Une féministante québécoise m’a dit un jour qu’elle les utilise pour ses slips et ça marche bien.

  • @ Bonjour claudia

    de Natacha Polony

    "Sur sa lancée, l'auteur critique vertement les Queer theories et cette optique culturaliste par laquelle la différenciation sexuée ne serait qu'une construction culturelle que la société impose à l'enfant dès sa naissance pour reproduire la domination masculine ! Sans compter que cela torpille la parité ! Pour cela, les universitaires américaines, dans la lignée de John Money en 1955, ont inventé un concept : le genre, qui précède le sexe ! Or, la différence des sexes est d'abord physique, n'en déplaise à ceux qui nient la réalité. Pour l'auteur, cela revient à plonger l'humanité dans une fiction totalement destructrice et mortifère. Autrement dit, le genre est une contrainte et non un fait ; il est un instrument de pouvoir. "La question n'est pas, pour les queer studies, de modifier l'idée qu'on se fait d'un garçon et d'une fille, mais de criminaliser la pensée de la différenciation. Pour accepter la différence, nions-la» (p.57). L'attaque est rude."

    http://www.editions-jclattes.fr/livre/jc-lattes-239773-L-homme-est-l-avenir-de-la-femme-hachette.html

    "Entendons-nous, notre débat est un débat de perception où chacun choisi les statistiques lui convenant pour appuyer son point"

    il faut dire que les féministes sonts assez douées en statistiques mensongéres, quand elles s'appuient sur des statistiques. Linda Mac Leod a carrément inventé son chiffre de 300 000 femmes battues ça ne là pas dérangée, et ne s'en est pas excusée, ça aurait été la moindre des choses.

    "les femmes ne reçoivent toujours pas en moyenne un salaire aussi élevé que les hommes"

    évidement si elles travaillent pas dans les mêmes secteurs moins rénumérateurs.

  • @ Leclercq
    Je suis d'adhérer aux thèses féministes, mais le problème de l'inégalité des salaires demeure bel et bien réel. Il existe une méthode de calcul dite de l'équation des salaires (développée à UNIGE) qui permet de prouver sans ambiguïté aucune qu'une femme, à poste et compétences égales, gagne en moyenne 10 à 20% de moins qu'un homme, ce qui est innacceptable.

    En revanche, en ce qui concerne l'indifférenciation, qui conduit fatalement à la désincarnation, à mon sens il est vain d'entrer en matière avec ses ferventes défenseuses, qui au-delà du bon-sens, s'obstinent à nier la distinction entre vagin et pénis. Avec un zeste de provocation, l'on pourrait qualifier cette démarche de "révisionnisme sexuel"...

  • @ Bonjour un passant

    http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=11081

    Moins de femmes dans les professions et les secteurs les plus rémunérateurs

    "Pour isoler l’influence respective de ces différents facteurs, on réalise une analyse « toutes choses égales par ailleurs ». Cette analyse calcule l’écart qui subsisterait entre les salaires masculins et féminins si les profils des salariés et des salariées (âge, catégorie socioprofessionnelle, condition d’emploi) et des établissements dans lesquels ils et elles travaillent (secteur d’activité, taille, département d’implantation) étaient les mêmes."

    oui mais le secteur où elles travaillent n'est pas le même, ce type d'analyse est quand même assez fumeux.

    mais il y a des emplois où il y a des hommes et des femmes pour le même poste et le salaire est le même, mais ça les dérange de le dire dans l'enquête, moi ce que je constate au quodidien, c'est que les femmes manquent de compétences dans le domaine technique et la hiérachie ferme les yeux au non de l'indifférentiation homme femmes, et en plus la DRH est une femme et embauche prioritairement des femmes, et personne ne s'aviserait à lui dire quelles sonts moins compétentes.

    comment peut-on parler d'inégalités alors que les secteurs où travaillent les femmes sonts moins rénumérateurs.

    le chiffre de 20% est obtenu en mélangent tout, alors qu'il y a beaucoup plus de femmes travaillant à temps partiel, qu'il y a moins de femmes cadres, ça les intéresse moins et elles onts moins d'ambition, c'est encore la testotérone.

    "Le secteur d’activité explique aussi les écarts de salaires entre les femmes et les hommes. Les secteurs les plus rémunérateurs sont souvent moins féminisés. C’est le cas notamment de l’énergie où le salaire brut horaire moyen atteint 18,22 euros, mais où les femmes occupent moins de 18 % des postes. La situation est semblable dans plusieurs autres secteurs industriels : la champagnisation, l’industrie automobile et, dans une moindre mesure, les industries des biens d’équipement.

    A l’inverse, les femmes sont plus présentes dans des secteurs où les salaires sont relativement faibles. Le secteur des services aux particuliers qui est le moins rémunérateur (10,84 euros bruts de l’heure) emploie 58 % de femmes."

  • @ un passant

    http://www.la-croix.com/article/index.jsp?docId=2395971&rubId=4079

    "Autre variable agissante : les femmes, qui sont plus diplômées que les hommes mais choisissent des filières moins rémunératrices, sont surreprésentées dans certains métiers (aides aux personnes, secrétariat, santé…), où les salaires sont bas. Une réalité qui a longtemps été traitée avec fatalisme par les entreprises. Mais certaines sociétés se donnent désormais les moyens d’agir, soit en se fixant des quotas (50 % d’embauches féminines pour Areva), "

    des quotas pour augemter la proportion de femmes dans des domaines plus rénumérateurs.

    ça ressemble fort à une histoire de parité ça

    " De même, avant la crise, PSA envoyait ses salariés dans les écoles pour susciter des vocations sur ses métiers industriels, très masculins. Surtout, le constructeur automobile a massivement investi dans l’amélioration des conditions de travail. Alors qu’en 1999, seulement 26 % de ses postes étaient dits « légers », c’est-à-dire à pénibilité physique réduite, désormais cette proportion atteint 49 %, ce qui lui a permis d’augmenter de 25 % le nombre de femmes embauchées entre 2002 et 2008."

    susciter des socations, toujours le même principe de l'indifférentiation homme femme, le tapage féministe fonctionne bien !!!

    "Reste le fameux plafond de verre, cet obstacle invisible qui empêche les femmes de monter dans la hiérarchie. D’après l’Orse, si les femmes constituent la moitié de la population active, elles ne représentent que 21,1 % des postes d’encadrement et 7 % des équipes dirigeantes des grandes entreprises. Pour forcer les choses, Total s’est fixé des quotas de femmes aux postes de direction (22 % de cadres, 11 % de dirigeants en 2010 contre 20 % et 8 % en 2007). "

    encore des quotas !!!!

    http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?rubrique80

  • @ un passant

    http://www.actu-cci.com/dossier/Dossier_74/2877/

    Un dernier programme baptisé Women in Technologie nous permet d’intervenir dans les collèges et lycées pour montrer que les carrières dans le monde de la technologie sont tout à fait envisageables pour une femme. »

    encore l'indifférentiation !!!!

    http://www.science.ca/scientists/scientistprofile.php?pID=10&pg=1&-table=activities&-action=list&-cursor=0&-skip=0&-limit=30&-mode=list&-lang=fr

    "« Se lancer dans un processus coercitif d'ingénierie sociale afin d'équilibrer la représentation distinctive des sexes pourrait bien être la pire des discriminations. Cela sert également à entraîner des gens dans des activités qu’ils n’apprécieront pas et pour lesquelles ils 'n'ont aucun talent. » "

    "Axel Kahn est lui aussi catégorique : « Il existe une indéniable sexua-lisation du cerveau et des compétences propres à chaque sexe"

  • @sami cheikh

    " Une féministante québécoise m’a dit un jour qu’elle les utilise pour ses slips et ça marche bien."

    Oui? Lollllll pour des toiles d'araignées ou des morpions?

    Vais-je être modérée ? :))))))))

  • @Un Passant:

    Vous devriez faire attention aux manipulations assez grossières des statistiques publiées sur au sujet de la soi-disant "inégalité salariale".

    Ainsi, on pourrait penser que les déclarations d’impôts sur le revenu de toutes les femmes et de tous les hommes au Québec, démontreraient « hors de tout doute raisonnable » cette inéquité. Et en effet, la compilation de tous les revenus annuels dans tous les secteurs ou catégories d'emploi hommes et femmes est, sans contredit, l'argument le plus objectif des revendications féministes sur le sujet, et la base qu'elles utilisent pour affirmer qu'"Encore aujourd'hui les femmes gagnent près de 70% du salaire des hommes".

    Or, voici les revenus moyens selon le sexe au Québec pour les années 1986 à 1998:

    Revenu d'emploi (moyen) des hommes et des femmes gagnant un revenu,
    Québec, de 1986 à 1998, et rapport entre ces revenus moyens:

    Année Total Homme Femme F/H

    1986 24854$ 29661$ 18346$ 61,9%
    1987 25490$ 30834$ 18295$ 59,3%
    1988 25373$ 30985$ 17920$ 57,8%
    1989 26121$ 32181$ 18501$ 57,5%
    1990 26380$ 31687$ 19746$ 62,3%
    1991 25348$ 30451$ 18904$ 62,1%
    1992 25131$ 29618$ 19561$ 66,0%
    1993 24212$ 28601$ 18854$ 65,9%
    1994 25641$ 30565$ 19485$ 63,7%
    1995 25451$ 29874$ 19983$ 66,9%
    1996 25540$ 30088$ 19962$ 66,3%
    1997 25548$ 30396$ 19692$ 64,8%
    1998 26216$ 30655$ 20795$ 67,8%

    ( En dollars de 1998)

    Source: Statistique Canada, Enquête sur les finances des consommateurs (1986 à 1995), Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (1996 à 1998).

    Compilation: Institut de la statistique du Québec; 11 février 2002

    Sans réplique non? Et bien non, pas tout à fait: une variable importante semble exclue du tableau récapitulatif (et elle l'est bel et bien): le temps (en heures) travaillé par jour selon le sexe.En fouillant un peu, vous trouverez:

    Moyenne quotidienne de temps consacré au travail:

    Hommes: 4,7 Heures Travaillées / Jour
    Femmes: 3,1 Heures Travaillées / Jour

    Sources: Statistique Canada, Enquête sociale générale 1986, 1992 et 1998, fichiers de microdonnées.

    Bureau de la statistique du Québec, Portrait social du Québec, 1992.
    Bureau de la statistique du Québec, Les conditions de vie au Québec: un portrait statistique, 1996.

    Maintenant, par quelques «règles de trois» très simples, nous sommes en mesure de mettre le temps travaillé par jour en relation avec le revenu selon le sexe (année de référence 1998) , et nous pouvons répondre à des questions du genre:

    1 - Si les 4,7 heures travaillées par jour (HT/J) sont le maximum d’heures travaillées par les hommes sur une semaine (100%), quel pourcentage de leur salaire gagneraient ils s'ils travaillaient 3,1 HT/J sur une semaine?

    Réponse : 3,1 / 4,7 = 65,95%

    Selon l’ISQ, les femmes gagnent 67,8% du revenu des hommes. Lorsque la variable du temps de travail des femmes est calculée (3,1) pour les hommes aussi, ceux-ci gagnent 65,95% de « leur » revenu. On obtient donc un pourcentage du taux salarial presque identique, même légèrement inférieur pour les hommes.

    2 - Selon l’ISQ, les hommes gagnent 30 665 $ par année pour 4,7 HT/J. Combien gagneraient -ils pour 3,1 HT/J?

    Réponse : 30 665 $ x (3,1 x 4,7) = 20 225 $

    Le revenu moyen des femmes est de 20 795 $ pour 3,1 HT/J. Les hommes gagnent donc 570 $ de moins que les femmes par année pour le même temps de travail (3,1).

    3 - Selon l’ISQ, les femmes gagnent 20 795 $ par année pour 3,1 HT/J. Les hommes gagnent, eux, 20 225 $ par année pour 3,1 HT/J. Quel est le « différentiel salarial » entre les hommes et les femmes POUR LE MÊME TEMPS DE TRAVAIL?

    Réponse : 20 795 $ / 20 225 $ = 102,8% pour 3,1 HT/J

    Les femmes gagnent en moyenne 2,8% de plus que les hommes pour 3,1 HT/J, soit 570 $ de plus par année.

    4 - Selon l’ISQ, les hommes gagnent 30 665 $ par année pour 4,7 HT/J. Toujours selon l’ISQ, les femmes gagnent 20 795 $ pour 3,1 HT/J. Est-ce équitable? En d’autres termes, combien d’heures en moyenne les femmes devraient-elles travailler par jour pour que leur salaire moyen corresponde au même taux horaire que les hommes?

    Réponse : 4,7 x (20 795 / 30 665) / = 3,18

    Les femmes devraient travailler 0,08% de plus chaque jour en moyenne, avec le même salaire annuel, afin d’atteindre l’équité avec les hommes.

    Les femmes sont vraiment « contraintes » à travailler moins d'heures, ou le font-elles par décision contextuelle, pour études, raison familiales, ou autre ? Grande question... avec tous les programmes de soutien, comme les garderies payées par l'État, les lois priorisant les femmes à l'embauche, bourse d'études (Chapeau les filles), le fameux « différentiel salarial » qu’on vous ressort à tout propos et hors de propos ne correspond t’il pas tout simplement à des choix de priorités personnels?

    De même l'argument soutenant que les femmes sont confinées dans des catégories d'emploi sous rémunérées s'effrite rapidement ... car les revenus de toutes les femmes du Québec compilés par les déclarations d'impôts, touchent également toutes les catégories d'emplois ... et lorsque ces catégories d'emploi sont comparées à celles des hommes, comme nous l'avons vu, le salaire est pratiquement identique.

    Alors voilà, mon ami "Le Passant", vous savez à présent à quoi vous en tenir sur la prétendue "inéquité salariale": c'est un mythe, purement et simplement, entretenu à coup de truquage statistiques gros comme des cables à bateau, et poussé au nom du féminisme par les syndicats québécois pour deux raisons: 1) toute augmentation du salaire moyen de leurs adhérents (dont la majorité aujourd'hui sont des femmes, dans le secteur public), se traduit par une augmentation automatique de leur revenus, et 2) le simple fait d'avoir assez de pouvoir pour truquer les chiffres gouvernementaux, sans crainte de conséquences, attire de nouveaux adhérents - alors que le taux de syndicalisation au Québec dépasse déja les 40%.

    Bref, un avatar de plus d'un collectivisme sociétal dont la première victime, comme toujours, est la "Pravda"... la vérité.

  • ... Je souscrit aux avancées réalisées par les femmes. Je vois d'un bonne oeuil leur nouvelle libertée de rôles. Les femmes ont aquis beaucoup de pouvoir au Québec, avec le pouvoir vient la responsabilité, et il faut maintenant que les femmes utilisent leur pouvoir de façon responsable.

    Ont reconnait la grandeur d'une femme à la façon dont elle traite les hommes qui l'entourent. Et malheureusement au québec la seul mention par un homme du mot féministe ou féminisme donne lieu à des attaques contre lui qui sont injustifier.

    Ont ne le laisse pas s'exprimer, et si il arrive à s'exprimer ont ne l'écoute pas. Ont est trop occupé à le juger et à le condamné.

    Mon discours est simple, il est temps pour l'homme de ce libéré de ces propres stéréotypes. De faire le même cheminement que la femmes... ce n'est qu'une juste équité.

    Je doit avouer que mon réveil à été brutal, je me suis sentie comme Néo dans la matrice, ma vision du monde à basculer. Je n'aime pas les stéréotypes avec lequel ont m'habille. L'homme violent, l'agresseur, le violeur, le profiteur, l'idiot qui ne comprend rien, le paresseux, le bon à rien, le looser.

    Tous ces stéréotypes sont appliqué à tous mes amis, à tous les hommes... jusqu'à preuve du contraire. Je n'aime pas le regard de méfiance des autres envers moi, le fait que je suis automatiquement considéré mauvais, mal, fautif, avant même que je ne parle.

    Ce sont mes chaines, elles sont lourdes à porté, je suis un homme québécois, je n'est jamais été roi dans mon pays qu'est le québec. Quand je n'obéissait pas à mon patron, j'obéissait à mon curée, et à la maison je doit obéir à ma femme.

    C'est la réalité de beaucoup... pas tous... mais beaucoup d'homme québécois !

  • le délire continue !!!

    "Renault veut féminiser ses garages
    | RéagirGuillaume Zambaux | 27.10.2009, 07h00






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    Macho, le milieu automobile ? A tort ou à raison, certaines clientes, en entrant dans un garage pour effectuer une réparation sur leur voiture, ont souvent l’étrange sentiment qu’elles vont se faire berner… Face à ce constat, Renault veut davantage féminiser ses points de vente. « Actuellement, 26 % des effectifs de Renault (hors des sites de production) sont des femmes, explique Bernard Cambier, le directeur commercial France de Renault.

    Or, nous voulons accroître nettement nos effectifs féminins pour être plus efficaces. Il ne faut pas oublier qu’un automobiliste sur deux est une automobiliste… Selon nos études, nos clientes sont davantage satisfaites lorsqu’elles sont reçues par une femme. » Près d’un tiers des véhicules neufs est acheté par des femmes et, dans un couple, elles interviennent à plus de 60 % dans le choix du modèle.
    Le hic, c’est que l’automobile fait encore la part belle aux hommes. Selon une étude TNS Sofres pour l’association les Elles de l’auto, les femmes ne représentent que 25 % des salariés dans cette industrie. Et encore, la majorité d’entre elles sont essentiellement présentes dans les services marketing et communication. « Notre objectif d’ici trois ans est d’avoir 50 % de vendeuses dans nos concessions, ajoute Bernard Cambier. Même si c’est plus difficile à réaliser, cette démarche doit également se faire dans l’après-vente, c’est-à-dire à la réparation et dans la vente de pièces détachées. »

    « Des campagnes de recrutement spécifiques »

    Toute la difficulté pour l’entreprise est d’attirer les femmes vers ces métiers. « Nous allons mener des campagnes de recrutement spécifiques, déclare Bernard Cambier. Nous voulons aussi engager des partenariats avec des centres de formation par l’apprentissage (CFA) pour montrer l’intérêt de nos professions. » Récemment, Renault s’est associé à l’association les Elles de l’auto pour lancer un site communautaire baptisé les Elles de Renault France. Ce site permet de retrouver des parcours de femmes dans l’entreprise, de prendre des contacts et d’obtenir des réponses plus pratiques sur le recrutement.
    En outre, Carlos Ghosn, président de la firme au losange, a accepté le principe de mettre en oeuvre au sein de l’entreprise un « réseau de femmes » dont l’objectif sera d’aider les nouvelles entrantes grâce à un système de parrainage."

    " en entrant dans un garage pour effectuer une réparation sur leur voiture, ont souvent l’étrange sentiment qu’elles vont se faire berner… "

    ah parce que si elle sonts en contact avec une femme, elle n'auronts plus l'impression de se faire avoir, le probléme ne viendrait pas plutôt quelles ne s'intéressent pas du tout à la mécanque auto quelles se fonts avoir !!!!

    "Or, nous voulons accroître nettement nos effectifs féminins pour être plus efficaces. " ah oui et pour quelle raison !!!

    "Macho, le milieu automobile ? A tort ou à raison" je ne vois pas où est le machisme là dedans !!! alors maintenant quand il n'y a pas parité c'est du machisme pas mal

    "Même si c’est plus difficile à réaliser, cette démarche doit également se faire dans l’après-vente, c’est-à-dire à la réparation et dans la vente de pièces détachées. »

    oui on comprend bien que dans la réparation les mécaniciennes risquent de manquer de force physique, mais il ne faut pas le dire.

    "Toute la difficulté pour l’entreprise est d’attirer les femmes vers ces métiers. « Nous allons mener des campagnes de recrutement spécifiques, déclare Bernard Cambier."

    que ces métiers n'intéressent pas les femmes ça n'a pas l'air d'inquiéter grand monde.

    http://www.science.ca/scientists/scientistprofile.php?pID=10&pg=1&-table=activities&-action=list&-cursor=0&-skip=0&-limit=30&-mode=list&-lang=fr

    Elle déclare : « Se lancer dans un processus coercitif d'ingénierie sociale afin d'équilibrer la représentation distinctive des sexes pourrait bien être la pire des discriminations. Cela sert également à entraîner des gens dans des activités qu’ils n’apprécieront pas et pour lesquelles ils 'n'ont aucun talent. »

  • suite

    http://www.leparisien.fr/societe/metallos-chauffeurs-routiers-ou-plombieres-27-10-2009-689391.php

    http://www.leparisien.fr/societe/elles-sont-nombreuses-a-porter-l-uniforme-27-10-2009-689385.php

  • le bourrage de crane féministe marche bien !!!!

    http://www.lexpress.fr/emploi-carriere/vers-l-economie-mixte_486256.html

    «Désexuer» l'orientation scolaire
    Françoise Vouillot est responsable de l'équipe de recherche Orientation, genre et inégalités des sexes à l'Institut national d'étude du travail et d'orientation professionnelle du Cnam

    Bon nombre de DRH déplorent le manque de candidates aux postes techniques et scientifiques et incriminent l'orientation scolaire des filles. L'école serait-elle sexiste?
    Dans les mentalités, la division entre «métiers féminins» et «métiers masculins» reste prégnante. Chacun porte ce schéma en soi: les enfants, mais aussi leurs parents et leurs professeurs, qui n'ont pas les mêmes attentes avec les filles qu'avec les garçons. Ainsi, les garçons de niveau BEP se retrouvent massivement dans les filières de production et les filles dans les filières de services. Il en va de même au niveau du bac: en terminale, on compte 8% de filles en sciences et technologies industrielles, mais 63% en sciences et technologies tertiaires. Elles représentent 83% des élèves en bac littéraire et seulement 46% en bac scientifique.
    Comment atteindre l'objectif affiché d'augmenter de 20% la proportion de lycéennes dans les filières scientifiques générales et technologiques d'ici à 2010?
    Il serait nécessaire de s'intéresser aussi aux garçons, qui désertent les filières sanitaires, sociales, littéraires… En outre, pour «désexuer» véritablement l'orientation, fixer des objectifs chiffrés est utile, mais former est indispensable. Il est urgent de sensibiliser les élèves, les conseillers d'orientation et les enseignants à la question du genre. En 2000, déjà, une convention avait été signée, préconisant d'introduire systématiquement dans le cursus des futurs professeurs un module sur les stéréotypes de sexe. Dans les faits, seuls quelques instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM) le proposent…
    Propos recueillis par Véronique Mougin

    "Il est urgent de sensibiliser les élèves, les conseillers d'orientation et les enseignants à la question du genre."

    rien de moins !!!!

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