À 22 ans, elle cumule les accusations infondées.
Cela lui coûtera 8 ans et demi de prison. La demoiselle a lancé de fausses accusations contre plusieurs hommes, je n’ai pas trouvé le chiffre exact. La BBC relate ici ce cas incroyable.
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À 22 ans, elle cumule les accusations infondées.
Cela lui coûtera 8 ans et demi de prison. La demoiselle a lancé de fausses accusations contre plusieurs hommes, je n’ai pas trouvé le chiffre exact. La BBC relate ici ce cas incroyable.
Dans ces épisodes de la guerre des sexes, Marie Laguerre s’est fait un nom. On se souvient peut-être de cet incident près d’une terrasse de café à Paris. Elle avait été frappée dans la rue par un inconnu. La scène commence à 0’13’’ sur la vidéo 1. N’hésitez pas à agrandir l’une ou l’autre vidéo ou image selon le besoin.
L’administration Obama avait mené une politique de culpabilisation envers les étudiants de sexe masculin. Il s’en justifiait en déclarant: « On estime qu’une femme sur cinq a été agressée sexuellement pendant ses études – une sur cinq. »
«C'est un sujet tellement lourd d'appréhension, il met tellement les gens sur la défensive, que j'ai l'impression de marcher mentalement sur des œufs.» C’est le propos d’une travailleuse sociale en réaction à un article d’Emily Yoffe sur les viols dans les campus.
Francesco Serrano, juge à Séville, compare la situation espagnole à Gantanamo. La doyenne des juges de Barcelone, Maria Sanahuja, déclarait en 2006: «Il y a une sorte de folie dans la loi, qui génère de l’abus, l’élimination de l’administration de preuves pendant la procédure et l’absence de présomption d’innocence».
On se souvient qu’au printemps dernier le Conseil Constitutionnel français avait abrogé la loi de 2002 sur le harcèlement sexuel. La raison en était le manque de clarté et de définition précise du délit. Le nouveau gouvernement propos un nouveau texte qui d’un côté détaille davantage ce délit mais de l’autre contient à nouveau un flou. Commentaire et réflexions.
Dans le feu de l’action on n’a plus assez de recul pour se rappeler les motifs et les buts d’une démarche. De plus la perception que d’autres ont de notre propre action varie selon leurs expériences et convictions personnelles, les malentendus, et les accords ou désaccords théoriques.
Quelle pitié! Comment le gouvernement Fillion peut-il en arriver là? Comment peut-il s’étaler dans la démagogie comme un cochon dans la boue? Il n’y a plus aucune dignité dans ce conglomérat de ministres angoissés. Et l’angoissée en chef est Roselyne Bachelot.
Il y a juste dix ans débutait ce qui allait devenir «l’affaire d’Outreau». Une affaire que la petite phrase du juge Burgaud, relatée par un accusé, décrit très bien: «C’est l’affaire du siècle! Avouez!'»
Je me suis bien amusé en écrivant mon précédent billet où il est question du gruppetto féministe de la Toison rouge. Le catalogue de revendications est digne d’un sketch. Rien que le mot «revendications»: tout un programme! On n’aspire pas à, on n’émet pas un voeux, on ne se donne pas les moyens de, non: on revendique. Tatatatam! Ce qui suppose un droit inaliénable que les autres doivent impérativement nous donner s’ils ne veulent pas passer pour réactionnaires. Ce féminisme-là est doué pour produire sa propre caricature.
(Cliquer sur les images pour les agrandir)
L’experte nommée à l’époque par le juge d’instruction Fabrice Burgaud a commis un livre publié l’an dernier: «Outreau, la vérité abusée». «Dans un souci de réhabilitation du rôle de l'expert, elle décrypte avec minutie dans son ouvrage l'approche méthodologique "très codifiée et très expérimentée des expertises, avec plus de quarante critères de validation", qui lui a permis de retenir comme crédibles les traumatismes racontés pour 15 des enfants.»
«... la psychologue revient sur "le rôle dévastateur" qu'ont joué, selon elles, les avocats de la défense "en utilisant pour stratégie la démolition du travail des experts. Nous étions les monstres à abattre, et moi la première.»
Tout le monde connaît le jeu du «téléphone arabe»: dans une chaîne de personnes, la première dit une phrase à la seconde, qui la redit à la troisième, et ainsi de suite. Après quelques personnes la phrase finale est souvent assez éloignée de la phrase originelle.
Le Canada en Général, et le Québec en particulier, a mené ces 30 dernières années une politique féministe très agressive sur la société et contre les hommes. On est allé si loin qu’aujourd’hui certains envisagent sérieusement une politique de discrimination positive… en faveur des hommes. En particulier dans l’enseignement.
Monsieur le Président de la Suisse,
Je viens de vous écouter à la télévision. Je ne peux que me réjouir de la possible libération (restons prudent avec les barbares libyens) de nos deux compatriotes utilisés comme monnaie d’échange par des gouvernants qui se considèrent au-dessus des lois internationales.
Hermil Lebel, dont j’ai cité l’affaire dans mes deux précédents billets, a posté un commentaire qui à mes yeux mérite d’être en première ligne. Il illustre la situation des pères et des hommes au Québec, hommes diabolisés par les féministes radicales que relayent les lois et les tribunaux.